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L'extrême droite algérienne existe


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L'extrême droite algérienne existe

 

Kamel Daoud - Le Quotidien d'Oran - 08/05/2012

 

L'extrême droite existe-t-elle en Algérie? D'abord il faut définir: l'extrême droite telle qu'on la voit en France se dit de «souche». C'est ce que disent certains politiques chez nous : « nous sommes arabes, nous sommes arabes, nous sommes arabes ». Ben Bella l'a dit et est mort. Eux le répètent. Donc, comme Le Pen qui rêve d'une France pour les Gaulois, ici on rêve d'une Algérie pour les «arabes» qui ont déjà un pays en Arabie Saoudite. Ensuite l'extrême droite n'aime pas les immigrés. Ici chez nous aussi: des hommes du régime n'aiment pas les harraga. C'est l'inverse de Le Pen mais c'est le même problème : ceux qui arrivent ne sont pas français dit-elle. Ceux qui se sauvent ne sont pas algériens, disent certains ministres. Valable, sauf pour leurs enfants.

 

Ensuite, l'extrême droite est méchante : l'Autre est une menace, une invasion, un vol et une colonisation, une paresse et un parasite. C'est ce que disent certains hommes du régime à propos des progressistes, des démocrates et de tous ceux qui veulent respirer normalement, vivre libres chez eux et avoir un contrôle sur l'argent public. Ceux qui ne votent pas sont des sionistes et des gens de l'OTAN a presque dit Ahmed Ouyahia qui, lentement, s'en va dérivant dans l'espace sidéral de la paranoïa utilitaire. Ceux qui ne votent pas sont des lâches et des hypocrites, vient de conclure le ministre des Affaires religieuses, qui n'est pas élu par les Algériens, ni choisi par le ciel. Ceux qui ne votent pas vont en prison comme le jeune internaute Tarek Mameri, sont arrêtés, emprisonnés ou doivent être sanctionnés selon Ksentini, le salarié des droits de l'homme. On aurait voulu les expulser mais on ne peut plus le faire, le Nord étant fermé et le Sud sans camps de concentration. Ensuite ?

 

L'extrême droite algérienne agit comme Papon d'octobre : Alger, capitale fermée. Policiers dans les gares, fouilles dans les hôtels, arrestation selon le faciès, matraques et violence. Il manque quoi ? La Seine et le FLN qui est passé du côté des oppresseurs.

 

L'extrême droite est aussi une sorte de jonction conservatrice solide entre le clergé religieux et le « politique » monarchiste, c'est-à-dire ultra pro-Bouteflika. Cela se voit chez nous : Ghoullamallah fait du vote un devoir religieux, comme au 16e siècle européen, par décret papal. Il y a aussi rapprochement discret mais puissant entre zaouïas, lobbys fonciers ruraux et mépris du peuple qui « ne travaille pas ». Le peuple ? C'est d'ailleurs une sorte d'immigration massive d'étrangers dans le pays depuis 1962 et à partir des maternités et des cliniques d'accouchement. C'est un étranger qui parasite le « pétrole qui est à nous ». Des hommes du régime voient cet étranger comme une menace, grouillement violent, banlieues encerclant Alger et les résidences d'Etat, boat-people terrestres. Il faut le contenir, le refouler, le contrôler, contrôler ses papiers à Alger, surtout. Le peuple à Alger ? « Un c'est bien, c'est quand il y en a beaucoup que », dit le murmure officiel anti-droit de manifester à Alger malgré la levé de l'état d'urgence. Et comme en France, l'extrême droite, ici, nourrit les islamistes, les rend importants médiatiquement et obèses idéologiquement puis va crier à la menace et au terrorisme. L'extrême droite algérienne croit qu'elle descend directement des martyrs de la guerre de libération, contrairement à nous.

 

D'où la doctrine du tutorat et de la pureté de la race de la famille révolutionnaire. D'où le rêve de ramener le pays à l'an zéro de la révolution.

 

D'où le mépris des sang-mêlé, des étrangers au «corps», des gens venus d'ailleurs ou qui n'ont pas fait la guerre. D'où le clanisme élitiste et les liens de sang entre membres du régime, ministre de la région, proches, etc. D'où le populisme, la haine des élites libres, les méthodes policières et les analyses racistes et méprisantes sur les indigènes, dans l'intimité.

 

L'extrême droite algérienne a aussi ses affiches, ses stars de foot qu'elle paye pour faire campagne, ses chanteurs, ses journalistes et ses journaux, ses fermes, ses terres, ses filons et ses réseaux. Elle existe.

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Guest samirovsky
L’extrême droite algérienne c'est la Tunisie :D

 

Dans mon inconscient, la droite, c'est l'Occident et elle est à l'Ouest et la gauche c'est l'Orient et elle est à l'Est.

Donc, pour moi c'est le Maroc, l'extrème droite.:rocket:

C'est comme le Nord est en haut et le Sud est en bas, à force de tenir du mauvais côté le globe.

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Guest jagellon
Dans mon inconscient, la droite, c'est l'Occident et elle est à l'Ouest et la gauche c'est l'Orient et elle est à l'Est.

Donc, pour moi c'est le Maroc, l'extrème droite.:rocket:

 

Ben ça dépend si tu regardes devant toi ou derrière toi :p

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L'extrême droite algérienne existe

 

Kamel Daoud - Le Quotidien d'Oran - 08/05/2012

 

L'extrême droite existe-t-elle en Algérie? D'abord il faut définir: l'extrême droite telle qu'on la voit en France se dit de «souche». C'est ce que disent certains politiques chez nous : « nous sommes arabes, nous sommes arabes, nous sommes arabes ». Ben Bella l'a dit et est mort. Eux le répètent. Donc, comme Le Pen qui rêve d'une France pour les Gaulois, ici on rêve d'une Algérie pour les «arabes» qui ont déjà un pays en Arabie Saoudite. Ensuite l'extrême droite n'aime pas les immigrés. Ici chez nous aussi: des hommes du régime n'aiment pas les harraga. C'est l'inverse de Le Pen mais c'est le même problème : ceux qui arrivent ne sont pas français dit-elle. Ceux qui se sauvent ne sont pas algériens, disent certains ministres. Valable, sauf pour leurs enfants.

 

Ensuite, l'extrême droite est méchante : l'Autre est une menace, une invasion, un vol et une colonisation, une paresse et un parasite. C'est ce que disent certains hommes du régime à propos des progressistes, des démocrates et de tous ceux qui veulent respirer normalement, vivre libres chez eux et avoir un contrôle sur l'argent public. Ceux qui ne votent pas sont des sionistes et des gens de l'OTAN a presque dit Ahmed Ouyahia qui, lentement, s'en va dérivant dans l'espace sidéral de la paranoïa utilitaire. Ceux qui ne votent pas sont des lâches et des hypocrites, vient de conclure le ministre des Affaires religieuses, qui n'est pas élu par les Algériens, ni choisi par le ciel. Ceux qui ne votent pas vont en prison comme le jeune internaute Tarek Mameri, sont arrêtés, emprisonnés ou doivent être sanctionnés selon Ksentini, le salarié des droits de l'homme. On aurait voulu les expulser mais on ne peut plus le faire, le Nord étant fermé et le Sud sans camps de concentration. Ensuite ?

 

L'extrême droite algérienne agit comme Papon d'octobre : Alger, capitale fermée. Policiers dans les gares, fouilles dans les hôtels, arrestation selon le faciès, matraques et violence. Il manque quoi ? La Seine et le FLN qui est passé du côté des oppresseurs.

 

L'extrême droite est aussi une sorte de jonction conservatrice solide entre le clergé religieux et le « politique » monarchiste, c'est-à-dire ultra pro-Bouteflika. Cela se voit chez nous : Ghoullamallah fait du vote un devoir religieux, comme au 16e siècle européen, par décret papal. Il y a aussi rapprochement discret mais puissant entre zaouïas, lobbys fonciers ruraux et mépris du peuple qui « ne travaille pas ». Le peuple ? C'est d'ailleurs une sorte d'immigration massive d'étrangers dans le pays depuis 1962 et à partir des maternités et des cliniques d'accouchement. C'est un étranger qui parasite le « pétrole qui est à nous ». Des hommes du régime voient cet étranger comme une menace, grouillement violent, banlieues encerclant Alger et les résidences d'Etat, boat-people terrestres. Il faut le contenir, le refouler, le contrôler, contrôler ses papiers à Alger, surtout. Le peuple à Alger ? « Un c'est bien, c'est quand il y en a beaucoup que… », dit le murmure officiel anti-droit de manifester à Alger malgré la levé de l'état d'urgence. Et comme en France, l'extrême droite, ici, nourrit les islamistes, les rend importants médiatiquement et obèses idéologiquement puis va crier à la menace et au terrorisme. L'extrême droite algérienne croit qu'elle descend directement des martyrs de la guerre de libération, contrairement à nous.

 

D'où la doctrine du tutorat et de la pureté de la race de la famille révolutionnaire. D'où le rêve de ramener le pays à l'an zéro de la révolution.

 

D'où le mépris des sang-mêlé, des étrangers au «corps», des gens venus d'ailleurs ou qui n'ont pas fait la guerre. D'où le clanisme élitiste et les liens de sang entre membres du régime, ministre de la région, proches, etc. D'où le populisme, la haine des élites libres, les méthodes policières et les analyses racistes et méprisantes sur les indigènes, dans l'intimité.

 

L'extrême droite algérienne a aussi ses affiches, ses stars de foot qu'elle paye pour faire campagne, ses chanteurs, ses journalistes et ses journaux, ses fermes, ses terres, ses filons et ses réseaux. Elle existe.

 

Mazal tkharadjna mane el cartoon hadhak el comic Daoud!!!!

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Guest jagellon
Mazal tkharadjna mane el cartoon hadhak el comic Daoud!!!!

 

je vais te raconter l'entrainement des HBI algériens.

L'instructeur se met en face du HBI et mélange ses mains. Après il lui pose une question: Win raha la gauche win raha la droite?

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Guest Scapine

L'extrême droite, L'extrême droite , ils , elle, c'est bien d'en faire un film sans nommer personne!

Article bidon et carrément à l'Ouest comme l'est son initiateur:mdr:

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Guest samirovsky

Je pense que toutes les sociétés sous développées sont conservatrices et réactionnaires, il faut avoir les moyens d'être progressiste, je ne parle pas de progressisme de slogan mais dans les faits et gestes de tous les jours.

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Bien que conservateur et nationaliste, le pouvoir algérien n'est pas totalement à l'extrême droite.

 

Cependant, il existe un mouvement d'extrême droite que j'ai découvert sur internet. Il rassemble de vrais fachos ayant un discours d'une violence extrême. Je ne sais même pas si ce site existe encore étant donné son contenu raciste.

 

Je pense que toutes les sociétés sous développées sont conservatrices et réactionnaires, il faut avoir les moyens d'être progressiste, je ne parle pas de progressisme de slogan mais dans les faits et gestes de tous les jours.

 

Comment faire entrer le progrès dans des esprits bornés? Si on arrive à trouver la façon de le faire, on n'aura plus aucune raison de nous inquiéter de notre avenir.

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Guest Frontalier

En fait quel parti actuel peut être considéré comme un parti de droite ? L'Algérie est "officiellement" socialiste et dans la khalota actuelle je n'arrive pas à identifier la droite et la gauche (hormis le FFS qui se définit comme le parti socialiste algérien) ?

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Guest samirovsky
En fait quel parti actuel peut être considéré comme un parti de droite ? L'Algérie est "officiellement" socialiste et dans la khalota actuelle je n'arrive pas à identifier la droite de la gauche

 

En Algérie et je pense partout dans les pays arabo-musulmans, il n'y pas de clivages politiques gauche/droite mais des clivages tribaux, religieux, régionalistes.

clivage musulman pratiquant/athée, tout ce qui ne fait pas la prière et n'a pas de barbe est athée chez nous.

le clivage, arabe, chaouis, kabyles

clivage Nord/Sud

Clivage Est/Ouest

Clivage ayants droit/n'ayant pas droit...

C'est tellement difficile et aléatoire de compartimentez les citoyens ou les idées par gauche et droite c'est quand même plus facile et plus empiriques les autres clivages à l'algérienne :worthy:

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Guest Frontalier
En Algérie et je pense partout dans les pays arabo-musulmans, il n'y pas de clivages politiques gauche/droite mais des clivages tribaux, religieux, régionalistes.

clivage musulman pratiquant/athée, tout ce qui ne fait pas la prière et n'a pas de barbe est athée chez nous.

le clivage, arabe, chaouis, kabyles

clivage Nord/Sud

Clivage Est/Ouest

Clivage ayants droit/n'ayant pas droit...

C'est tellement difficile et aléatoire de compartimentez les citoyens ou les idées par gauche et droite c'est quand même plus facile et plus empiriques les autres clivages à l'algérienne :worthy:

 

En fait je parlais des partis politiques et leurs programmes et non pas de la population. Tes constations s'appliquent aussi au ghachi du Maroc

Par exemple, au Maroc, la parti Istiqlal (arabiste) incarne la droite avec le RNI et Al7araka (amazighiste)

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En fait quel parti actuel peut être considéré comme un parti de droite ? L'Algérie est "officiellement" socialiste et dans la khalota actuelle je n'arrive pas à identifier la droite et la gauche (hormis le FFS qui se définit comme le parti socialiste algérien) ?

 

En Algérie, les partis politiques se catégorisent en trois grandes classes: socialistes/communistes, nationalistes et islamistes.

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Guest samirovsky
Gauche /droite ça date de la révolution française, donc c'est clairement historiquement et culturellement situé, normal que ça fasse pas totalement sens pour les pays avec une configuration différente . Rien qu'en Amérique par e, c'est très différent de l'Europe , c'est notions.

 

Pour le tribalisme, il y a aussi un peu ce genre de truc dans les pays fédéraux et multilingues en Europe, tu peux trouver plusieurs "mondes sociologiques" dans un même état. Ensuite, le clivage chrétien/ non-chrétien a aussi eu la cote pendant longtemps et chrétien représentait la droite dure xénophobe religieuse ( par ex les rexistes) . D'ailleurs le mot libéral (gauche) s'opposait à chrétien (droite).

 

Ayant droits/ayant pas droits, c'est un peu gauche/droite ça , non?

 

Sinon, pour le gras, c'est ironique? Rassure moi stp :D

 

Ladoz t'aurait répondu que pour le ghachi, si on lui pose la question, il est plus facile pour lui de répondre je suis musulman pratiquant ou athée, berbère ou arabe, de l'Est ou de l'Ouest, fils ou petit fils de chahid fils de harki, quoique, que de répondre je suis de gauche ou de droite.

 

Ps: Je ne sais pas écrire sans ironie.:D

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Gauche /droite ça date de la révolution française, donc c'est clairement historiquement et culturellement situé, normal que ça fasse pas totalement sens pour les pays avec une configuration différente . Rien qu'en Amérique par e, c'est très différent de l'Europe , c'est notions.

 

 

Je ne suis pas certaine que ça remonte si loin. Même si la révolution a implanté dans les esprits la graine de l'égalité et de la fraternité, ce n'était pas avec l'esprit de la gauche socialiste d'inspiration communiste. Il faut attendre la fin de la première guerre mondiale pour voir naitre un vrai mouvement gauchiste.

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Guest Frontalier
Ladoz t'aurait répondu que pour le ghachi, si on lui pose la question, il est plus facile pour lui de répondre je suis musulman pratiquant ou athée, berbère ou arabe, de l'Est ou de l'Ouest, fils ou petit fils de chahid fils de harki, quoique, que de répondre je suis de gauche ou de droite.

 

Ps: Je ne sais pas écrire sans ironie.:D

 

 

T'as oublié la réponse suivante " je suis Mrabet". Au Maroc, t'auras plutôt la réponse suivante " Je suis chrif" ;)

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En Algérie, les partis politiques se catégorisent en trois grandes classes: socialistes/communistes, nationalistes et islamistes

 

Exactement j'ajouterais aussi " Laic" "incarné" par le "RCD"

 

Socialistes ffs, communistes PT, nationalistes FLN-62, Islamistes Ennahda !!

 

 

Sauf que si en regarde vraiment bien tous c'est des khoubzistes !!!!

 

islamiste modéré zaama, nationaliste ta3 zouj doro kisesoigneenfrance, communiste anti-marikane ..... bled mickey ouais :mdr:

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Je ne suis pas certaine que ça remonte si loin. Même si la révolution a implanté dans les esprits la graine de l'égalité et de la fraternité, ce n'était pas avec l'esprit de la gauche socialiste d'inspiration communiste. Il faut attendre la fin de la première guerre mondiale pour voir naitre un vrai mouvement gauchiste.

 

il paraît que dans une assemblée les "conservateurs" s'assoient à la droite du président de celle-ci et les "progressistes" à sa gauche d'où la gauche la droite ... :D

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Guest samirovsky
il paraît que dans une assemblée les "conservateurs" s'assoient à la droite du président de celle-ci et les "progressistes" à sa gauche d'où la gauche la droite ... :D

 

Merci beaucoup beaucoup pour l'info djallal:D Je me suis toujours demandé pourquoi gauche droite

Remarque, je ne l'ai pas tapé sur Google.

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De manière pratique tu as raison.

 

Mais traditionnellement (bon d'accord dans mon ancien cours de sc po :D), on présente plusieurs évènements fondateurs de la notion:

- le débat sur le veto royal la constituante de 1789 ( pour se rassemble à droite et les contre se rassemblèrent à gauche)

-un épisode entre girondins et montagnards dont je me souviens plus

-l'affaire dreyfus qui sera vrmt fondatrice de la notion

 

Merci Nuna pour ces notions complémentaires:clover:.

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il paraît que dans une assemblée les "conservateurs" s'assoient à la droite du président de celle-ci et les "progressistes" à sa gauche d'où la gauche la droite ... :D

 

Il y a aussi la rive gauche versus la rive droite:D.

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