azebon 10 Posted May 9, 2012 Partager Posted May 9, 2012 Appelé déjà à plusieurs reprises à débattre autour de la présentation de son dernier ouvrage La transition de l’économie émergente : références théoriques, stratégies et politiques, le ministre de la Prospective et des Statistiques, n’a pas laissé indifférent son auditoire ce samedi à l’IDRH d’Oran. En effet Hamid Temmar a largement provoqué le débat, fait surtout d’interrogations, après son très long exposé, durant lequel il aura brossé un tableau des politiques économiques mises en place depuis les années 70 avec à chacune “l’idéologie, les institutions” du moment ayant orienté cesdites politiques. Mais c’est surtout sa grille de lecture qui ne peut être dissociée du ministre qu’il est, d’autant plus qu’il se revendique de faire partie de ceux que l’on désignait comme étant “les hommes du Président” qui est nettement ressortie et qui a fait réagir nombre de présents. Ainsi, pour l’orateur, si aujourd’hui en dépit des indices macroéconomiques, notre pays ne peut être considéré économiquement comme un pays émergent, à l’instar de la Chine, de l’Inde et du Brésil, auxquels il fera souvent référence, c’est parce que dans les années 90 après l’ajustement structurel, les instituions et les politiques de l’époque n’ont pas été au bout des réformes, qu’il y a eu “un simple habillage de marché de notre économie, on voulait simplement dépasser la crise, l’économie est restée fondamentalement la même” et, selon lui, “la différence avec ces pays cités se situe justement et uniquement sur cet aspect, les autres ont fait les vraies réformes structurelles quand nous, nous nous sommes arrêtés une fois arrivés à la stabilité macroéconomique, nous n’avons pas choisi la voix de la réforme institutionnelle”. Hamid Temmar lâchera que c’est l’arrivée du président Bouteflika qui a enfin permis d’achever ce processus pour dépasser le passif des années 1990. L’efficience des économies émergentes est pour le ministre étroitement liée à la stabilité politique et la cohésion sociale et de la mise en place des politiques pouvant réduire dans le temps la transition, souvent marquée par des affrontements, des confrontations. Mais là où le ministre provoquera des réactions, c’est en évoquant une fois de plus le modèle brésilien, qui par la “démocratie” est passé à une liberté économique totale mais avec un État fort toujours, et de dire qu’en “Algérie, nous sommes une vraie démocratie”. Plus loin, dans la logique de son argumentaire, l’Algérie, depuis l’arrivée du président Bouteflika, a tout entrepris notamment les réformes institutionnelles, les politiques de régulation, d’accompagnement des entreprises privées. D’ailleurs, ce sont ces dernières qui ne sont pas capables de modifier la nature de leur fonctionnement, dira-t-il, à son auditoire. Dans son évaluation des actions menées, insistant fortement sur l’idéologie politique qui prévaut depuis les années 2000, c'est-à-dire depuis l’arrivée une fois encore du chef de l’Etat actuel avec “ses hommes”, Hamid Temmar estime que “les politiques du gouvernement sont de très bonne politiques, parce que ce sont celles qui sont appliquées dans le monde, l’inefficience ne vient pas de notre idéologie de nos institutions mais de l’administration”. Et de poursuivre : “Chaque fonctionnaire pose problème. Et pour 90% des politiques, le problème est celui de leur mise en œuvre, de la gestion, et non pas des choix politiques.” Parmi les présents, certains feront remarquer au ministre que les réformes engagées à l’époque par Hamrouche “étaient les bonnes réformes et que depuis, toutes les réformes venues ont été imposées par l’extérieur”, tandis que d’autres remettront en cause le sous bassement idéologique qu’il défend, l’absence de transparence pour ne pas dire l’absence de démocratie avec cette remarque d’un homme d’affaires. “Pourquoi cette intervention toujours de l’Etat, nous interdire d’importer des équipements d’occasion et on ne peut que se poser la question : vous protégez qui et vous protégez quoi ?” source : quotidien el watan d'aujourd'hui Citer Link to post Share on other sites
zaki123 10 Posted May 11, 2012 Partager Posted May 11, 2012 mais pourquoi ni temmar ni autre ne veux dire qui avait fermé les écoles de formation?? L'admoinistration roule avec des agents recupéré directement des lycées c'est a dire des gens qui ont été rejeté...temmar il n'est pas ici en algerie il est ailleur dans un quatier a alger ou je ne sais ou....j'étais present lorsque j'essayais de comprendre le pourquoi dans une adminsitartion.. a chaque fois l'employé me dit attend monsieur je vais voir...elle va ensuite elle revient elle me donne une reponse peu convainquante je repose alors la quetion d'une autre manière elle dit attend monsieur je vais elle part puis elle revient et elle me fournit la reponse...qyuelques instants en faisant la chaine en attendant uens ignature quelqu'un m'eterpelle..tu ne te rapelle pas d emoi...je le vois et ça me dit quelques...un ex etudiants chez nous...c'est un physicien qui travaille ou??? Dite a temmar dans une administration...temar ne sait pas encore pour traviller dans l'administration il faut physique chimie mathematqiue et pourquoi pas medecine ou pharmacie ou mem churdent pour enlever des dents.... et ce qui est grave demain il dira le contraire ce qu'il avait dit hière...mais mosnsieur hier tu avais dit le contraire il repondra comment?? IL NE SAIT PAS QU4IL AVAIT PARL2 HIER...J'ai rien compris de ce comportemnt il est general chez tous les membres du gouvernements... Citer Link to post Share on other sites
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