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Algérie: les étudiants volontaires pour la Révolution Agraire.


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:salam:

J'aimerais à travers ce topic rassembler les témoignages d'un faits rares et peu connu: dans les années 70 l'engagement des étudiants Algériens pour l'application de la Révolution Agraire.

Qui a des témoignages?

 

QUELQUES INFOS SUR CE MOUVEMENT:

- les étudiants allaient dans les campagnes durant les vacances d'été (un mois et en hiver 15jours),

- ils étaient affectés par groupes mixtes de 7 à 8 dans des communes,

- ils logeaient dans des écoles, la plupart du temps les étudiantes étaient hébergées par une famille (instituteurs, infirmiers, ...),

- ils recevaient un pécule de 300 DA pour leur nourriture,

- ils étaient acheminés par bus dans les wilayates, ensuite les communes venaient les chercher avec leur véhicule (souvent un camion...),

- ils rédigeaient à la fin un rapport,

- ils étaient de véritables commissaires politiques (dans les APCE, ils aidaient à nationaliser les terres; dans les coopératives: ils propageaient la parole révolutionnaire: s'organiser en coopérative, contrer la bourgeoisie et el radj3iya "les forces réactionnaires").

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Guest Nimos
:salam:

J'aimerais à travers ce topic rassembler les témoignages d'un faits rares et peu connu: dans les années 70 l'engagement des étudiants Algériens pour l'application de la Révolution Agraire.

Qui a des témoignages?

 

Cheikh Ezzoubir quand est ce que tu te fais volontaire pour la révolution économique en Algérie?:D

 

Ps: En Algérie y a pas de top laisse partout:D:D

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:salam:

J'aimerais à travers ce topic rassembler les témoignages d'un faits rares et peu connu: dans les années 70 l'engagement des étudiants Algériens pour l'application de la Révolution Agraire.

Qui a des témoignages?

 

j'y ai assisté quelque fois mais en tant que lycéen ... crois-moi Zoubir ... c'était du khorti :D

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j'y ai assisté quelque fois mais en tant que lycéen ... crois-moi Zoubir ... c'était du khorti :D

 

Bonjour Djallal

 

En 77 , on avait participé en tant que lycéens à une journée de volontariat pour enlever les pierres d'un champ du coté de Messerghin .

En fait ,on avait juste dégagé l'espace necessaire pour un match de foot , le reste de la journée tout le monde se battait pour jouer quelques minutes . :D

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j’étais étudiant volontaire en 1971 ....

 

ma foi j'en garde de bons souvenirs ......de provincial decouvrant alger ...son université ...l'esprit de mai 68 .....les filles formidables et libres ......

puis direction les aures ....environ de merouana.

bref un bon moi intense de decouverte des gens ....d'autres mentalités ...les chaouis ...des gens formidables !!!

 

ah si je me rappelle aussi avoir parlé avec Houari boumedienne et lui avoir posé la question suivante : monieur le president quelles sont les chance de reuissite de la RA ....sa reponse fut tres drole : pour moi c'est une partie de poker ...je suis sur de la gagner gar j'ai tout les as dans ma manche .....

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j’étais étudiant volontaire en 1971 ....

 

ma foi j'en garde de bons souvenirs ......de provincial decouvrant alger ...son université ...l'esprit de mai 68 .....les filles formidables et libres ......

puis direction les aures ....environ de merouana.

bref un bon moi intense de decouverte des gens ....d'autres mentalités ...les chaouis ...des gens formidables !!!

 

ah si je me rappelle aussi avoir parlé avec Houari boumedienne et lui avoir posé la question suivante : monieur le president quelles sont les chance de reuissite de la RA ....sa reponse fut tres drole : pour moi c'est une partie de poker ...je suis sur de la gagner gar j'ai tout les as dans ma manche .....

 

Merci de votre participation.

Vos témoignages sont précieux.

Y a t il un livre sur ce mouvement des étudiants Algériens?

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Honnêtement, comme beaucoup, c'était pour joindre l'agréable (300 DA) à l'agréable (partir en vacances). C'était la première fois que je partageais un joint de kif...

Je l'ai fait 2 fois. Une fois Entre Mosta et Oued Rhiou et une 2me fois à Aïn Sefra (45° à l'ombre) : quelle hospitalité des nomades qui égorgent une chèvre pour nous alors qu'ils étaient dans le dénuement total..

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Honnêtement, comme beaucoup, c'était pour joindre l'utile (300 DA) à l'agréable (partir en vacances). C'était la première fois que je partageais un joint de kif...

Je l'ai fait 2 fois. Une fois Entre Mosta et Oued Rhiou et une 2me fois à Aïn Sefra (45° à l'ombre) : quel hospitalité des nomades qui égorgent une chèvre pour nous alors qu'ils étaient dans le dénuement total..

 

Bcp d'étudiants ont découvert leur pays à cette occasion.

Un paysan a dit a une connaissance: 11 mois de l'année on baisse la tête. C'est que quand vous êtes là qu'on la relève.

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j'y ai assisté quelque fois mais en tant que lycéen ... crois-moi Zoubir ... c'était du khorti :D

 

- khouya pour juger, il faut avoir une vue d'ensemble.

- c'est l'un des plus beau geste de la jeunesses estudiantine algérienne. Crois moi!

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Ma connaissance l'a fait 9 fois (été et hiver).

il a nationalisé des gros propriétaires et aider à berner des terrains avec un géométre, il a moissonné à la faucille, bu el ben et mangé la galette avec el fellahine, fait des heures de transport dans la remorque d'un tracteur sans amortisseur sur des pistes poussièreuses, bu de l'eau pas très potable, bu du café avec du poivre à Sétif...

Belles journées sous le soleil d'Algérie.

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j’étais étudiant volontaire en 1971 ....

 

ma foi j'en garde de bons souvenirs ......de provincial decouvrant alger ...son université ...l'esprit de mai 68 .....les filles formidables et libres ......

 

On est un peu loin de mai 68 quand même, c'était le milieu des années 70... mais il est vrai que l'esprit de mai 68 avait atteint l'Algérie vers le milieu des années 70... les filles libres, oui... ce n'est plus la même époque...

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Guest D. ESSERHANE

Ombre et Lumière

 

Nous étions 3 000 journalistes du temps de Boumediène. Je n'ai pas le souvenir d'une quelconque rébellion, dans les années 1970, contre la manière de faire nos journaux et je crois avoir lu beaucoup, beaucoup d'articles qui glorifiaient le président défunt et faisaient l'apologie du pouvoir révolutionnaire. En considérant que 1 000 d'entre nous sont morts, que 1 000 autres ont changé de métier et que 600 ont émigré. En ajoutant 300 qui ont sombré dans l'alcoolisme ou la folie, il doit bien rester une centaine à travailler dans la presse ! J'ai interrogé certains d'entre eux sur leurs écrits des années Boumediène ! Voici leurs réponses :

 

- J'étais inconscient !

- Ils nous ont eus. J'étais jeune.

- Je faisais cela pour le pain

- Je m'occupais de sport, pas de politique !

Ni vu, ni connu. Moi, j'étais à la nationale ! J'étais au cur de la révolution, j'ai parcouru en plusieurs sens mon pays, j'ai vu mon peuple sourire et espérer J'ai écrit à la «Une» des éditos engagés qui me valaient les insultes de «Radio Tanger» Tanger, un centre de subversion contrerévolutionnaire s'acharnant sur l'Algérie et son socialisme, qui deviendra Radio Médi 1, puis TV Médi 1, toujours aussi prompte à manipuler et à détruire l'Algérie, tout en faisant une publicité mensongère au régime alaouite.

 

Mais le gars qui m'attaquait quotidiennement en berbère et en français s'est fait piéger tout seul, en affirmant que j'étais un millionnaire qui se déplaçait en hélicoptère ! Je prenais le bus à la place des Martyrs et, durant le Ramahan, je laissais passer l'heure du f'tour pour éviter la foule Sans la vie facile de l'époque, je n'aurais même pas mangé à ma faim. C'est Ramdane, le serveur du «Tahiti», qui me l'apprendra un jour : «Je n'écouterai plus jamais cette radio. Ce sont des menteurs.

 

.../...

 

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Guest D. ESSERHANE

Le recul de la Révolution s'est accompagné par la mainmise des milieux réactionnaires sur les affaires du pays et de la société. Notre cauchemar, en 1970, était de voir les obscurantistes imposer leurs lois rétrogrades. C'est malheureusement ce qui vient de nous arriver ! Alliés à la nouvelle bourgeoisie affairiste, ils ont affaibli le pays qu'ils ont transformé en immense bazar ! Mais, en même temps, l'esprit révolutionnaire du peuple ne s'est pas essoufflé ! Nous avions accompagné les paysans pauvres et les ouvriers dans leurs luttes historiques ; nous accompagnons le mouvement citoyen, en Kabylie et ailleurs, pour la liberté et la dignité ! Le journaliste en Algérie ne peut être qu'engagé ! Nos aînés ont inventé les premiers titres en y mettant leur foi en l'indépendance, la justice et la liberté.

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Guest D. ESSERHANE

Nous avons continué au nom des mêmes valeurs La génération qui est venue après nous ne s'est même pas poséE la question :

 

la réaction, l'obscurantisme, l'intégrisme, toutes ces dérives contre-révolutionnaires étaient déjà là, tuant une centaine de journalistes et poussant à l'exil, vers la maladie et même la folie, beaucoup de nos confrères ! Le combat est toujours le même :

 

la lumière contre l'obscurité ! Qu'il est beau, en ces temps de reniements et d'opportunisme, de dire que je préfère le socialisme à ce libéralisme teinté de «démocratie» qui a installé les plus grandes injustices, les inégalités les plus criantes et le désespoir partout Entre une fausse démocratie et la certitude que le soleil se lèvera encore une fois sur mon peuple, je continuerai de chanter les jours heureux d'hier jusqu'à ma dernière goutte d'encre et de sang

 

! Et je continuerai d'écrire dans le respect des adversaires de Boumediène, anciens et nouveaux, en espérant que ce qui unit les patriotes sera plus fort que ce qui les divise

 

tous mes respects au talentueux M F que j'apprécie fort bien

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Le recul de la Révolution s'est accompagné par la mainmise des milieux réactionnaires sur les affaires du pays et de la société. Notre cauchemar, en 1970, était de voir les obscurantistes imposer leurs lois rétrogrades. C'est malheureusement ce qui vient de nous arriver ! Alliés à la nouvelle bourgeoisie affairiste, ils ont affaibli le pays qu'ils ont transformé en immense bazar ! Mais, en même temps, l'esprit révolutionnaire du peuple ne s'est pas essoufflé ! Nous avions accompagné les paysans pauvres et les ouvriers dans leurs luttes historiques ; nous accompagnons le mouvement citoyen, en Kabylie et ailleurs, pour la liberté et la dignité ! Le journaliste en Algérie ne peut être qu'engagé ! Nos aînés ont inventé les premiers titres en y mettant leur foi en l'indépendance, la justice et la liberté.

 

comme t'es dans la police ,j'avais une une question a te poser,t'as plus de boite mp et c'est privé:(

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Guest D. ESSERHANE
comme t'es dans la police ,j'avais une une question a te poser,t'as plus de boite mp et c'est privé:(

 

vas-y, je vais la décadenasser dans un moment

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j"ai fait la premier volontariat ...mais pas le second ou j'ai abondonné des le regrouemnt d'alger ....

explication

 

la premiere campagne ....je me sentait a l'aise ...un air de liberté flottait dans l'air ...le regroupement d'alger etait fantastique de liberté pendant trois jours ...on mangé dans la meme salle que les ministres ...un melange pas ordinaire ou le president nous donner du : "vous etes mes gardes rouges" ...et on n’arrêtait pas d’embêter les ministre par nos questions ...

des la deuxiemme année .....c'etait froid ...la bureaucratie etait passé par la ...controle tatillon ..affectation de type administatif .....la liberté etait moins presente .......on avait l'impression d'etre des missionnées pour aider les administation locales .....plus qu'autre chose ! bref le souffle de l'année precedente est tombé !! pour moi c'etait la premiere et la derniere !!!

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j"ai fait la premier volontariat ...mais pas le second ou j'ai abondonné des le regrouemnt d'alger ....

explication

 

la premiere campagne ....je me sentait a l'aise ...un air de liberté flottait dans l'air ...le regroupement d'alger etait fantastique de liberté pendant trois jours ...on mangé dans la meme salle que les ministres ...un melange pas ordinaire ou le president nous donner du : "vous etes mes gardes rouges" ...et on n’arrêtait pas d’embêter les ministre par nos questions ...

des la deuxiemme année .....c'etait froid ...la bureaucratie etait passé par la ...controle tatillon ..affectation de type administatif .....la liberté etait moins presente .......on avait l'impression d'etre des missionnées pour aider les administation locales .....plus qu'autre chose ! bref le souffle de l'année precedente est tombé !! pour moi c'etait la premiere et la derniere !!!

 

- chaque université et Institut a eu en charge une wilaya, ensuite c'était entre étudiants d'aller dans les communes en s'entendant entre eux,

 

- "aider les administrations locales", purée aller assister aux réunions d'APCE pour vérifier et contribuer aux nationalisations des terres des gros propriétaires fonciers absentéistes, vous croyez que c'est pas révolutionnaire cela?

- vous auriez préféré rester à Alger tapper sur l'épaule et manger avec les Ministres. La réalité c'est dans les campagnes avec ces fellahines en haillon. Ils avaient tellement peu vus de citadins venir les soutenir qu'il égorgeaient une chèvre pour nous recevoir dignement.

- alors selon vous c'est quoi le travail réel qu'aurait dû faire les étudiants si ce n'est:

--- nationaliser ceux qui étaient passés à travers les mailles du filet,

--- aider les paysans à travailler ensemble dans une coopérative.

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Le recul de la Révolution s'est accompagné par la mainmise des milieux réactionnaires sur les affaires du pays et de la société. Notre cauchemar, en 1970, était de voir les obscurantistes imposer leurs lois rétrogrades. C'est malheureusement ce qui vient de nous arriver ! Alliés à la nouvelle bourgeoisie affairiste, ils ont affaibli le pays qu'ils ont transformé en immense bazar ! Mais, en même temps, l'esprit révolutionnaire du peuple ne s'est pas essoufflé ! Nous avions accompagné les paysans pauvres et les ouvriers dans leurs luttes historiques ; nous accompagnons le mouvement citoyen, en Kabylie et ailleurs, pour la liberté et la dignité ! Le journaliste en Algérie ne peut être qu'engagé ! Nos aînés ont inventé les premiers titres en y mettant leur foi en l'indépendance, la justice et la liberté.

 

Bravo, quel beau témoignage.

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j’étais étudiant volontaire en 1971 ....

 

ma foi j'en garde de bons souvenirs ......de provincial decouvrant alger ...son université ...l'esprit de mai 68 .....les filles formidables et libres ......

puis direction les aures ....environ de merouana.

bref un bon moi intense de decouverte des gens ....d'autres mentalités ...les chaouis ...des gens formidables !!!

 

ah si je me rappelle aussi avoir parlé avec Houari boumedienne et lui avoir posé la question suivante : monieur le president quelles sont les chance de reuissite de la RA ....sa reponse fut tres drole : pour moi c'est une partie de poker ...je suis sur de la gagner gar j'ai tout les as dans ma manche .....

 

- En effet, il y avait des étudiantes formidables de par leurs idées et leur engagement militant m'a-t-on raconté.

Des étudiantes qui avaient la responsabilité de brigades d'étudiants, des étudiantes qui étaient écoutées par leurs camarades d'amphi, des étudiantes qui étaient écoutées par les agriculteurs qui discutaient pour la première fois d'égal à égal avec des femmes non voilées.

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- En effet, il y avait des étudiantes formidables de par leurs idées et leur engagement militant m'a-t-on raconté.

 

Attends ! y a un truc que je comprend pas là !

tu dis "m'a-t-on raconté"

et dans ton post initial, tu dis :

- les étudiants allaient

- ils étaient affectés

- ils logeaient dans des

- ils recevaient un pécule

- ils étaient acheminés par bus dans les wilayates,

- ils rédigeaient à la fin un rapport,

- ils étaient de véritables commissaires politiques (dans les APCE, ils aidaient à nationaliser les terres; dans les coopératives: ils propageaient la parole révolutionnaire: s'organiser en coopérative, contrer la bourgeoisie et el radj3iya "les forces réactionnaires").

 

Et moi qui croyait que tu avais vécu tout cela... Comment peux-tu parler de choses que tu ignores ??? Maintenant je comprends pourquoi une partie de ce que tu dis dans tes nombreux post est faux...

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Attends ! y a un truc que je comprend pas là !

tu dis "m'a-t-on raconté"

et dans ton post initial, tu dis :

- les étudiants allaient

- ils étaient affectés

- ils logeaient dans des

- ils recevaient un pécule

- ils étaient acheminés par bus dans les wilayates,

- ils rédigeaient à la fin un rapport,

- ils étaient de véritables commissaires politiques (dans les APCE, ils aidaient à nationaliser les terres; dans les coopératives: ils propageaient la parole révolutionnaire: s'organiser en coopérative, contrer la bourgeoisie et el radj3iya "les forces réactionnaires").

 

Et moi qui croyait que tu avais vécu tout cela... Comment peux-tu parler de choses que tu ignores ??? Maintenant je comprends pourquoi une partie de ce que tu dis dans tes nombreux post est faux...

 

T'inquiète khouya. C'est la stricte vérité.

Maintenant, si vous ne voulez pas me croire, libre à vous...

TEMOIGNAGES:

- les coopérateurs devaient enlever la vase d'un canal d'irrigation,

- ils ont enlevé leurs chaussures et mis les pieds dans l'eau et la vase puis avec des pelles ont enlevé la vase,

- on s'est regardé, hésité un instant puis enlevé nos chaussures,

- à un moment, je sens qlq chose à mon orteil, c'était un gros vers de terre ...

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bonsoir

consulte les archives de l'UNJA tu trouveras tout ce que tu cherches.

moi j'ai fait du volontariat, on a débouché des regards dans un bourg de la wilaya de Médea , apres on a mange un bon couscous avec de la viande de mouton , c'etait succulent, la jeunesse,le travail utile, l'algerie profonde,...

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bonsoir

consulte les archives de l'UNJA tu trouveras tout ce que tu cherches.

moi j'ai fait du volontariat, on a débouché des regards dans un bourg de la wilaya de Médea , apres on a mange un bon couscous avec de la viande de mouton , c'etait succulent, la jeunesse,le travail utile, l'algerie profonde,...

 

- ce que je trouve exceptionnel,

- c'est que les étudiants ne se contentaient pas de travail manuel,

- ils aidaient les APCE à nationaliser des terres (rôle politique),

- ils expliquaient aux agriculteurs comment s'organiser en coopérative (rôle aussi politique).

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