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Un dictateur et ses dromadaires au Festival de Cannes


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Première pagaille sur la Croisette, mercredi matin, avant même le coup d'envoi du 65e Festival de Cannes : l'humoriste britannique Sacha Baron Cohen a fait son show en apparaissant en dictateur, le personnage qu'il interprète dans son prochain film, "The Dictator".

 

Inspirée par l'ancien dictateur irakien Saddam Hussein, cette comédie satirique et déjantée réalisée par Larry Charles (sur les écrans français le 20 juin), raconte "l'histoire héroïque d'un dictateur qui a risqué sa vie pour s'assurer que la démocratie n'arrivera jamais dans un pays si amoureusement opprimé", selon la Paramount.

 

Devant des dizaines de photographes de presse, cameramen et badauds rassemblés devant le Carlton, l'un des palaces cannois, Sacha Baron Cohen s'est offert une promenade sur la Croisette à dos de dromadaire aux couleurs du héros du film, et rebaptisé Oussama, provoquant d'importantes difficultés de circulation et mettant les policiers municipaux à rude épreuve.

 

Dans une cohue indescriptible, le faux dictateur s'est installé à la terrasse d'un café de la Croisette, après être descendu de son dromadaire. Agrémenté d'une longue barbe postiche, Sacha Baron Cohen version dictateur s'est ensuite rendu dans une boutique de prêt-à-porter de luxe, toujours suivi par une nuée de journalistes et de curieux.

 

Il en est ressorti avec un foulard orange qu'il a offert aussitôt à son dromadaire loué pour l'occasion par la Paramount.

 

Devant les journalistes, Sacha Baron Cohen a fait dire à son personnage de dictateur "qu'il avait financé la campagne de François Hollande à hauteur de 500.000 euros", avant de saluer "le courageux manque d'action des Nations Unies contre Assad" (NDLR : Bachar el-Assad, président de la Syrie).

 

Le dictateur plus vrai que nature a assuré qu'il n'était pour rien dans la foudre qui a touché mercredi l'avion de François Hollande. "Ce n'est pas moi!", a-t-il déclaré solennellement, en surnommant le nouveau président de la République "Hollandaise".

 

Lors de la dernière cérémonie des Oscars à Hollywood, Sacha Baron Cohen était apparu une première fois en dictateur dans le but de répandre sur le tapis rouge les cendres "de feu son ami Jim Jong-Il", le défunt leader nord-coréen.

 

MSN

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Guest palestine libre!
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Première pagaille sur la Croisette, mercredi matin, avant même le coup d'envoi du 65e Festival de Cannes : l'humoriste britannique Sacha Baron Cohen a fait son show en apparaissant en dictateur, le personnage qu'il interprète dans son prochain film, "The Dictator".

 

Inspirée par l'ancien dictateur irakien Saddam Hussein, cette comédie satirique et déjantée réalisée par Larry Charles (sur les écrans français le 20 juin), raconte "l'histoire héroïque d'un dictateur qui a risqué sa vie pour s'assurer que la démocratie n'arrivera jamais dans un pays si amoureusement opprimé", selon la Paramount.

 

Devant des dizaines de photographes de presse, cameramen et badauds rassemblés devant le Carlton, l'un des palaces cannois, Sacha Baron Cohen s'est offert une promenade sur la Croisette à dos de dromadaire aux couleurs du héros du film, et rebaptisé Oussama, provoquant d'importantes difficultés de circulation et mettant les policiers municipaux à rude épreuve.

 

Dans une cohue indescriptible, le faux dictateur s'est installé à la terrasse d'un café de la Croisette, après être descendu de son dromadaire. Agrémenté d'une longue barbe postiche, Sacha Baron Cohen version dictateur s'est ensuite rendu dans une boutique de prêt-à-porter de luxe, toujours suivi par une nuée de journalistes et de curieux.

 

Il en est ressorti avec un foulard orange qu'il a offert aussitôt à son dromadaire loué pour l'occasion par la Paramount.

 

Devant les journalistes, Sacha Baron Cohen a fait dire à son personnage de dictateur "qu'il avait financé la campagne de François Hollande à hauteur de 500.000 euros", avant de saluer "le courageux manque d'action des Nations Unies contre Assad" (NDLR : Bachar el-Assad, président de la Syrie).

 

Le dictateur plus vrai que nature a assuré qu'il n'était pour rien dans la foudre qui a touché mercredi l'avion de François Hollande. "Ce n'est pas moi!", a-t-il déclaré solennellement, en surnommant le nouveau président de la République "Hollandaise".

 

Lors de la dernière cérémonie des Oscars à Hollywood, Sacha Baron Cohen était apparu une première fois en dictateur dans le but de répandre sur le tapis rouge les cendres "de feu son ami Jim Jong-Il", le défunt leader nord-coréen.

 

MSN

 

Moi ça me rappelle étrangement Kadhafi et sa tente a paris

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Sacha Baron Cohen, un sioniste qui ne rate jamais une occasion pour se foutre de la gueule des musulmans. :puke3:

 

il ne tient qu'aux musulmans de se faire la part belle pour pouvoir en faire autant sur lui...

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Première pagaille sur la Croisette, mercredi matin, avant même le coup d'envoi du 65e Festival de Cannes : l'humoriste britannique Sacha Baron Cohen a fait son show en apparaissant en dictateur, le personnage qu'il interprète dans son prochain film, "The Dictator".

 

Inspirée par l'ancien dictateur irakien Saddam Hussein, cette comédie satirique et déjantée réalisée par Larry Charles (sur les écrans français le 20 juin), raconte "l'histoire héroïque d'un dictateur qui a risqué sa vie pour s'assurer que la démocratie n'arrivera jamais dans un pays si amoureusement opprimé", selon la Paramount.

 

Devant des dizaines de photographes de presse, cameramen et badauds rassemblés devant le Carlton, l'un des palaces cannois, Sacha Baron Cohen s'est offert une promenade sur la Croisette à dos de dromadaire aux couleurs du héros du film, et rebaptisé Oussama, provoquant d'importantes difficultés de circulation et mettant les policiers municipaux à rude épreuve.

 

Dans une cohue indescriptible, le faux dictateur s'est installé à la terrasse d'un café de la Croisette, après être descendu de son dromadaire. Agrémenté d'une longue barbe postiche, Sacha Baron Cohen version dictateur s'est ensuite rendu dans une boutique de prêt-à-porter de luxe, toujours suivi par une nuée de journalistes et de curieux.

 

Il en est ressorti avec un foulard orange qu'il a offert aussitôt à son dromadaire loué pour l'occasion par la Paramount.

 

Devant les journalistes, Sacha Baron Cohen a fait dire à son personnage de dictateur "qu'il avait financé la campagne de François Hollande à hauteur de 500.000 euros", avant de saluer "le courageux manque d'action des Nations Unies contre Assad" (NDLR : Bachar el-Assad, président de la Syrie).

 

Le dictateur plus vrai que nature a assuré qu'il n'était pour rien dans la foudre qui a touché mercredi l'avion de François Hollande. "Ce n'est pas moi!", a-t-il déclaré solennellement, en surnommant le nouveau président de la République "Hollandaise".

 

Lors de la dernière cérémonie des Oscars à Hollywood, Sacha Baron Cohen était apparu une première fois en dictateur dans le but de répandre sur le tapis rouge les cendres "de feu son ami Jim Jong-Il", le défunt leader nord-coréen.

 

MSN

 

 

Ou comment un juif sioniste insulte les arabes et musulmans et que ceux-ci ............ en rigolent !

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Ou comment un juif sioniste insulte les arabes et musulmans et que ceux-ci ............ en rigolent !

 

tu penses que le malaisien, le turc, l'albanais ou le bosniaque se sentira insulte par cette parodie ?

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tu penses que le malaisien, le turc, l'albanais ou le bosniaque se sentira insulte par cette parodie ?

 

Les chameaux et dromadaires ça fait partie du paysage culturel et historique islamique pas seulement arabe !

 

De plus son accoutrement est plus islamo-asiatique qu'arabo-islamique :crazy:

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Ou comment un juif sioniste insulte les arabes et musulmans et que ceux-ci ............ en rigolent !

 

En tout les cas si c'était le contraire, un Arabe, un noire ou un américain qui insulte un juif sioniste, on l'aurait accuser d’être anti-sémite, comme Mel Gibson et Dieudonné :04:

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Je déteste la vulgarité de Sacha Baron Cohen en général. Je trouve ça d'extrême mauvais goût d'appeler son dromadaire oussama et très cruel d'ironiser sur un passé extrêmement proche( et qui d'ailleurs ne s'est pas amélioré) pour les irakiens.

 

J'ai jamais vu aucun de ses films, mais rien que les échos que j'ai eu de Borat étaient très offensant pour les gens du Kazakhstan.

 

Dommage pour lui qu'il ne maîtrise pas l'humour british.

 

 

 

Pareil, à faire de la provoc pour la provoc ce n'est plus drôle

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En tout les cas si c'était le contraire, un Arabe, un noire ou un américain qui insulte un juif sioniste, on l'aurait accuser d’être anti-sémite, comme Mel Gibson et Dieudonné :04:

 

Tout à fait !

 

La liberté d'expression ça marche toujours au détriment des arabes et des musulmans .......

 

Jamais ,au grand jamais , le festival de Cannes n'admettrait un film anti-sioniste ou stigmatisant les juifs ou les dirigeants de ce qu'on appelle par Israël .

 

Jamais !

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