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Pour les rabins celui qui tue un musulman va au paradis


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Un génocide annoncé

 

 

Saleh Al-Naami - Al Ahram Weekly

 

 

 

En d’autres circonstances le scandale aurait éclaté, mais quand ce sont des rabbins influents qui réclament l’annihilation des Palestiniens, le monde reste sans sourciller, écrit Saleh Al-Naami

 

 

« Tous les Palestiniens doivent être tués : hommes, femmes, enfants en bas âge, et même leurs animaux. » C’était l’avis religieux publié il y a une semaine par le Rabbin Yisrael Rosen, directeur de l’institut Tsomet, un institut religieux depuis longtemps fréquenté par des étudiants et des soldats dans les colonies israéliennes de Cisjordanie. Dans un article publié par de nombreux journaux religieux israéliens il y a deux semaines et repris par le journal libéral « Haaretz » le 26 mars, Rosen a affirmé qu’il était évident que la Torah justifiait cette prise de position.

 

Rosen, une autorité pouvant émettre des avis religieux pour les juifs, a écrit que les Palestiniens étaient comme la nation des Amalekites qui avaient attaqué les tribus israélites sur leur route vers Jérusalem après que ces tribus se soient sauvées d’Egypte sous la conduite de Moïse. Il a également écrit que Dieu avait envoyé par le biais de la Torah une loi qui avait autorisé les juifs à massacrer les Amalekites, et que cette loi faisait partie de la jurisprudence juive.

 

L’article de Rosen, qui a fait beaucoup de bruit en Israël, reprenait le texte de loi dans la Torah : « Annihilez les Amalekites du premier au dernier. Tuez-les et prenez leurs biens. Ne montrez aucune pitié. Tuer sans interruption, l’un après l’autre. Ne laisser aucun enfant, ni aucune plante, ni aucun arbre. Tuer leurs animaux, des chameaux jusqu’aux ânes. » Rosen ajoute que les Amalekites ne sont pas une race ou une religion particulière, mais plutôt tout ceux qui détestent les juifs pour des motifs religieux ou nationalistes. Rosen va jusqu’à dire qu’il y aura « des Amalekites tant que il y aura des juifs. A chaque époque les Amalekites se distingeront des autres races pour attaquer les juifs, et ainsi la guerre contre eux doit être générale. » Il milite pour l’application de « la loi pour les Amalekites » et dit que les juifs doivent s’engager à mettre cette loi en application dans tous les domaines parce que c’est « un commandement divin ».

 

Rosen n’hésite pas à définir « les Amalekites à notre époque » comme étant les Palestiniens. Il écrit : « ceux qui tuent des étudiants pendant qu’ils étudient la Torah, et qui envoient des missiles sur la ville Siderot, sèment la terreur dans les coeurs des hommes et des femmes. Ceux qui dansent au-dessus du sang sont les Amalekites, et nous devons répliquer avec haine. Nous devons nous débarrasser de toute trace d’humanité dans la façon de les traiter de sorte que nous sortions victorieux. »

 

Le véritable scandale est que la plupart de ceux qui sont autorisés à émettre des avis religieux pour les juifs soutiennent la prise de position du Rabbin Rosen, comme l’a confirmé le journal « Haaretz ». À la tête de ceux qui sont du même avis se trouve le Rabbin Mordechai Eliyahu, la principale autorité religieuse dans le courant national religieux israélien aujourd’hui, et ancien rabbin en chef d’origine oriental pour Israël. L’opinion de Rosen obtient également l’appui du Rabbin Dov Lior, président du Conseil des rabbins de Judée et Samaria (Cisjordanie), et du Rabbin Shmuel Eliyahu, rabbin en chef de Safed et candidat pour le poste de rabbin en chef d’Israël. Un certain nombre de dirigeants politiques ont également montré de l’enthousiasme pour cette opinion, avec parmi eux Ori Lubiansky, le maire de Jérusalem.

 

Il n’y a aucun doute parmi les observateurs en Israël que l’attentat à Jérusalem il y a trois semaines dans lequel huit étudiants juifs ont été tués dans une école religieuse a été déterminant pour que les autorités juives émettent des avis religieux d’une nature raciste et haineuse. Le jour suivant l’attentat de Jérusalem, un certain nombre de rabbins menés par Daniel Satobsky ont émis un avis religieux invitant la jeunesse juive et « tous ceux qui croient en la Torah » de prendre leur revanche sur les Palestiniens avec toute la hâte possible.

 

Une semaine après l’opération, un groupe des principaux rabbins a émis un avis religieux sans précédent autorisant l’armée israélienne à bombarder des secteurs civils palestiniens. L’avis a été émis par « l’association des rabbins de la terre d’Israël » et déclare que la loi religieuse juive permet le bombardement de zones résidentielles civiles palestiniennes si ces zones sont à l’origine des attaques vers des zones résidentielles juives. L’avis dit également : « quand les résidants des villes entourant des colonies et des centres de population juives tirent des obus en direction des colonies dans le but d’apporter la mort et la destruction, la Torah permet que des obus soient tirés vers les lieux de mise à feu même si les habitants civils sont dans ces zones. »

 

L’avis ajoute que parfois il est nécessaire de répondre immédiatement avec des tirs d’obus sur les zones de lancement, sans donner d’avertissement préalable à la population palestinienne. Il y a une semaine, le Rabbin Eliyahu Kinvinsky, la deuxième autorité dans le courant religieux orthodoxe, a émis un avis religieux interdisant l’embauche d’Arabes, en particulier dans les écoles religieuses.

 

Cet avis religieux succédait à un précédent avis qui avait été publié par le Rabbin Lior interdisant l’embauche d’Arabes et la location d’appartements résidentiels à leur bénéfice dans les quartiers juifs. Afin de favoriser un climat qui permette à des organisations juives extrémistes de continuer à attaquer les citoyens palestiniens, Rabbin Israël Ariel, un des rabbins les plus importants dans le complexe des colonies en Cisjordanie, a récemment émis un avis religieux interdisant que les juifs religieux impliqués dans les attaques contre des Palestiniens soient présentés devant des tribunaux civils israéliens. Selon cet avis, ils doivent exiger à la place d’être présentés devant les cours de justice de la Torah qui suivent la loi religieuse.

 

Le journal « Haaretz » a noté que ce que le Rabbin Ariel essayait de mettre en œuvre par cet avis religieux avait en fait déjà eu lieu. Le premier exemple est qu’une cour de justice dans Kfar Saba avait ordonné la relaxe d’une jeune femme juive appelée Tsevia Teshrael qui avait attaqué un fermier palestinien dans la région centrale de la Cisjordanie. Et il y a des autorités religieuses juives qui glorifient les meurtres et félicitent les terroristes, tels le Rabbin Yitzhaq Ginsburg, un des premiers rabbins en Israël qui a édité un livre dont le titre est « Baruch le héros » en mémoire de Baruch Goldstein qui a commis le massacre de la mosquée Ibrahimi en 1994 où il a ouvert le feu et tué 29 Palestiniens pendant que ceux-ci récitaient la prière de l’aube dans Hébron au sud de la Cisjordanie. Ginsburg estime que son acte était « honorable et glorieux ».

 

Le danger de ces avis religieux réside dans le fait que les autorités religieuses qui les publient jouissent d’une grande estime dans la jeunesse juive religieuse. Et tandis que seulement 28% de la population israélienne se déclare religieuse, plus de 50% de cette même population se définit comme conservatrice et accorde la première importance aux avis publiés par les autorités religieuses juives. Selon une étude réalisée par le département des sciences sociales de l’université de Bar Elon, plus de 90% de ceux qui se définissent comme religieux croient que si les lois de l’Etat et les décisions du gouvernement sont contradictoires avec les avis religieux publiés par des rabbins, ils doivent ignorer les premiers et agirent selon les seconds.

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Guest b10dz
Certains rabbins sont aussi c.ons que certains cheikhs. :mdr::mdr:

D'ailleurs le judaisme est raciste.

 

Alors monsieur le justicier de l'humanité, sa fais près de deux mois que je te vois t'acharner sur l'islam, montre nous ta justice à présent en t'acharnant sur autre chose ! et pendant un délai équivalent bien sur ! ;)

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Critique du judaïsme par une rationaliste juive

 

Critique du judaïsme par une rationaliste juive

 

 

Mariage et relations sexuelles

 

Puisque «la chair des goyim est semblable à celle des ânes et que leur rut est comme celui des étalons», (Ezéchiel 23 20) les relations sexuelles d'un juif marié avec une goya ne sont pas de l'adultère mais de la bestialité.

Selon Maïmonide, toute femme non-juive est considérée comme non purifiée de ses menstrues, esclave, païenne et prostituée (niddah, shiftah, goyah, zonah).

Par conversion elle perd les trois premières marques mais reste toujours zonah (prostituée) pour le restant de ses jours.

Pour une femme, la conversion au judaïsme est assortie de conditions humiliantes: inspection corporelle par trois rabbins après avoir été dénudée lors d'un bain de purification.

On imagine les hurlements médiatiques si l'église catholique se permettait le moindre projet en ce sens.

 

Selon l'Encyclopédie talmudique, le juif qui a des rapports charnels avec la femme d'un Gentil ne mérite pas la peine de mort.

Selon ce qui est écrit: «La femme de ton prochain et non la femme de l'étranger» et le précepte selon lequel «un homme restera fidèle à sa femme» qui est adressé aux Gentils ne s'applique pas au juif parce qu'aux yeux de la Loi il n'y a pas de mariage valide entre les Gentils. Cette interdiction ne s'adresse donc pas au juif.

Cela ne veut pas dire que les rapports sexuels entre un juif et une goya sont permis, bien au contraire. Mais la punition principale est infligée à la goya et doit être exécutée même si celle-ci a été violée par le juif.

Lorsqu'un juif a un coït avec une goya, cette dernière, qu'elle soit une enfant de trois ans ou une adulte, qu'elle soit mariée ou non, et même si elle est une mineure âgée seulement de neuf ans et un jour, par le fait même qu'elle a eu un coït «volontaire» doit être tuée, comme c'est le cas pour une bête, simplement parce qu'elle a occasionné des ennuis au juif.

Cependant celui-ci doit être fouetté et, s'il est un Kohen (membre de la tribu des prêtres), il doit recevoir deux fois plus de coups de fouet parce qu'un Kohen ne peut avoir de rapports sexuels avec une prostituée et toute femme non-juive est présumée être une prostituée.

 

Il est bien entendu qu'un juif ne peut épouser une non-juive.

Les mariages mixtes sont une abomination pour les rabbins.

Il est interdit aux descendants mâles des Kohanim (prêtres) d'épouser des divorcées.

Les mariages célébrés par des autorités civiles en dehors d'Israël, forcément, sont déclarés invalides.

Précisons qu'en Israël le mariage est religieux et les registres sont tenus par la Synagogue.

Qu'en pensent les philosémites laïcards qui baisent les tsitsith (franges) du Grand rabbin Ouaknin de Marseille?

 

«Les enfants nés de mariages invalides sont déclarés illégitimes par les rabbins.

Les rabbins libéraux ne sont pas autorisés à célébrer les mariages en Israël.

Le divorce est interdit à la femme, sauf si elle obtient le consentement écrit de son mari. La veuve doit obtenir l'autorisation de son beau-frère pour se remarier.

Elle peut être amenée à abandonner une partie de son héritage à son beau-frère pour qu'il ne fasse pas usage de son droit de lévirat.

Si elle est mineure, la veuve peut devoir attendre jusqu'à sa majorité pour se remarier. Les enfants nés de relations avec une femme mariée ou d'un mariage civil hors Israël sont considérés comme bâtards et, ayant atteint l'âge adulte, ne sont pas autorisés à se marier selon la loi israélienne.»

 

Droit

 

Le Livre de l'Education paru au XIVème siècle en Espagne expose les 613 préceptes religieux du judaïsme.

Précisons que cet ouvrage très populaire, paru à de nombreuses reprises dans des éditions bon marché, est subsidié par le gouvernement israélien.

C'est ainsi que le juif religieux apprend depuis sa plus tendre enfance au cours de Talmud-Tora que les non-juifs sont comparables aux chiens.

 

Béatrice Philippe, professeur à l'INALCO, Paris, prétend que les juifs de France sont devenus «usuriers malgré eux» au Moyen Age.

Bien sûr, le Talmud interdit formellement le prêt à intérêt, mais cela ne vaut que pour les juifs.

 

*Le précepte 198 ordonne de pratiquer l'usure vis-à-vis des Gentils.

Et le précepte 545 dispose «Nous ne devons prêter de l'argent aux Gentils que moyennant intérêt».

«Cette obligation, précise le commentaire des mitzvot, se fonde sur le principe selon lequel les juifs ne doivent avoir aucune pitié des Gentils.»

 

*Le précepte 219 enjoint au juif de se préoccuper de son prochain et de son argent comme il le ferait pour lui-même. Celui qui aime le prochain comme lui-même ne lui volera pas son argent.

Mais, faut-il le rappeler, le goy n'est pas le prochain du juif.

 

*Le paragraphe 322 traite du devoir de maintenir les Gentils en esclavage.

«Cette obligation repose sur l'évidence que le peuple juif est le meilleur de tous les peuples de la terre, créé pour connaître son Créateur et l'adorer et digne de posséder des esclaves pour le servir».

 

C'est dans la revue des Loubavitch, secte ultra raciste soutenue financièrement par Jacques Chirac lorsqu'il était maire de Paris, que Gilles Kepel a trouvé le concept suivant: «L'écart qui sépare le peuple juif du genre humain n'est pas moindre que l'écart entre l'humain et l'animal.»

 

*Paragraphe 239. L'interdiction de maudire le prochain, de lui donner de mauvais conseils, de le haïr, de le couvrir de honte, de tirer vengeance ne s'applique qu'au juif.

Contre les goyim, en revanche, toutes les mauvaises actions sont vivement recommandées par la Halakha.

 

Bien sûr, toutes ces dispositions sont bien connues des rabbins et des apologistes du judaïsme comme Malka, Dahan, Philippe et Iancu, pour ne parler que de la France.

Mais ces mandarins n'en font jamais état hors des limites de la communauté juive.

En revanche, ils diffament ceux qui portent ces textes à la connaissance des Gentils) et ils se répandent en dénégations où l'art de la tromperie atteint des sommets.

Par exemple, ils affirment, la main sur le coeur et en utilisant des généralités, que le judaïsme attache beaucoup d'importance à la pitié, mais oublient de préciser que celle-ci ne peut s'exercer envers les goyim.

 

Conformément à la Halakha , les juifs ne peuvent désigner un non-juif à un poste où il exercerait une autorité, si petite soit-elle, sur les juifs.

Cette loi particulière s'applique même à ceux qui se sont convertis au judaïsme et ce jusqu'à la dixième génération.

Voit-on la France prendre de pareilles mesures vis-à-vis de Badinter, Joxe, BH Lévy, Levai, Elkabbach et Anne Sinclair?

Les goyim sont présumés être des menteurs congénitaux et ne sont pas habilités à témoigner devant un tribunal rabbinique.

Le Talmud interdit formellement à un juif d'offrir un cadeau à un goy, sauf en affaires où ce cadeau constitue une sorte d'investissement, donc un bénéfice escompté.

 

Il est interdit de rendre au gentil (c'est à dire un non-juif) un bien qu'il a égaré.

La tromperie indirecte en affaires est permise vis-à-vis du goy.

Si, par exemple, un goy commet une erreur de calcul en sa défaveur il n'est pas nécessaire de le lui faire remarquer mais il faut dire «je me fie à votre décompte» afin de prévenir son hostilité s'il se rend compte de son erreur ultérieurement.

La fraude est donc permise vis-à-vis du goy.

Le vol au dépens du goy n'est pas interdit.

C'est la raison pour laquelle très peu de rabbins ont protesté contre les expropriations forcées des Palestiniens parce qu'ainsi on accroissait la puissance juive.

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Alors monsieur le justicier de l'humanité, sa fais près de deux mois que je te vois t'acharner sur l'islam, montre nous ta justice à présent en t'acharnant sur autre chose ! et pendant un délai équivalent bien sur ! ;)

 

Son gourou vient de lui faxer une réponse !

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Pas de gourou moi contrairement à vous. :mdr:

 

Le judaïsme est la secte qui a donné naissance aux deux autres sectes le christianisme et l'islam.

 

On verra combien l'islam et le judaïsme se ressemblent. ;)

 

 

Un gourou désigne communément en Occident un maître à penser, ou plus généralement une personne qui réunit des adeptes.

 

Ce terme est actuellement employé en France pour désigner le leader d'une secte.

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Tu ne m'apprends rien Mahomet, jesus, Moîse sont des gourous.

 

La dissimulation

 

En 1240, saint Louis provoqua, à Paris, la «grande disputaison» au terme de laquelle le Talmud, parce qu'il fourmillait de passages antichrétiens, fut livré aux flammes.

 

Mais en Pologne au XVIIème siècle, parut une édition du Talmud qui contenait tous les passages antichrétiens prohibés précédemment.

Ceux-ci ayant soulevé l'indignation des hébraïsants chrétiens, le synode juif réuni en 1631 en Pologne en prescrivit lui-même le retranchement dans les éditions ultérieures mais en enjoignant de laisser des blancs à la place des passages incriminés et d'y mettre un O, qui avertira les rabbins et les maîtres d'école d'enseigner ces endroits de vive voix seulement.

 

Ailleurs, les expressions «Gentil», «non-juif»,, «étranger», (goy, eino yehudi, nokhri) furent remplacés par les termes «idolâtres», «païen» ou même «Cananéen», ou «Samaritain» pour lesquels il était possible de donner une explication lénifiante et satisfaisante mais que le lecteur juif pouvait aisément reconnaître.

 

Lorsque les attaques redoublaient, la défense devenait plus minutieuse encore.

La censure tsariste devenant plus sévère, tous les euphémismes furent considérés pour ce qu'ils étaient en réalité.

Sur quoi les autorités rabbiniques substituèrent les termes «Arabe» ou «Musulman» ou occasionnellement «Egyptien» en estimant que les autorités ne soulèveraient aucune objection.

 

En même temps, des listes manuscrites d'omissions talmudiques furent mises en circulation qui expliquaient les nouveaux termes et mettaient les omissions en évidence. Parfois, un désaveu général était imprimé dans la page de garde de chaque volume de littérature talmudique déclarant solennellement, parfois sous la foi du serment, que les expressions hostiles étaient en fait adressées aux idolâtres de l'Antiquité, ou encore à des peuples depuis longtemps disparus comme les Cananéens et «non aux peuples parmi lesquels nous vivons».

[Ce genre de serment n'a d'ailleurs aucune valeur pour le juif.

Le seul serment qui l'engage étant celui prêté selon le rite rabbinique, coiffé de la kippa, sans aucune représentation du Christ, sur la Bible hébraïque et en présence d'un rabbin ou d'un juif pieux.

Voir la déposition de Joseph G. Burg au procès de Toronto dans R.H.R. n° 5 de novembre 1991 sous le titre «Un juif révisionniste témoigne à Toronto».]

Inutile de dire qu'il s'agissait de mensonges flagrants.

Après la création de l'Etat d'Israël, dès que les rabbins se sentirent en sécurité, tous les passages agressifs et les expressions injurieuses furent restaurés sans l'ombre d'une hésitation dans les nouvelles éditions.

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Ainsi chacun en Israël peut-il facilement prendre connaissance -- les enfants l'apprennent à l'école -- des passages qui obligent chaque juif passant devant un cimetière chrétien à maudire la mère des défunts.

 

A l'heure actuelle, nombre de docteurs ont non seulement persévéré dans la tromperie mais ont surpassé les vieilles méthodes rabbiniques tant dans l'insolence que dans le mensonge.

En 1962, le code de la loi talmudique, réédité par Maïmonide Mishneh Tora appelé «livre de la Connaissance» qui contient les lois fondamentales et les pratiques de la loi juive a été publié à Jérusalem en édition bilingue, le texte anglais faisant face au texte hébreu.

 

Celui-ci a été restauré dans sa pureté originelle et le commandement selon lequel il faut exterminer le juif infidèle apparaît dans son intégralité: «C'est un devoir de les exterminer de ses propres mains».

La traduction anglaise est édulcorée: «C'est un devoir de prendre des mesures actives pour les détruire».

Mais le texte hébreu poursuit en spécifiant l'exemple type d'infidèles qui doivent être exterminés: «Comme Jésus de Nazareth et ses disciples ... que le nom du méchant (pervers) s'en aille en putréfaction».

Pas un mot de cet anathème n'apparaît dans le texte anglais qui lui fait face.

 

Mais plus significatif, en dépit de la grande diffusion de cet ouvrage parmi les universitaires des pays anglo-saxons, aucune protestation ne s'est élevée contre cette tromperie flagrante.

 

Shahak dénonce la consigne du silence des intellectuels libéraux, des clergés catholique et protestant et de certains cercles marxistes tant aux Etats-Unis qu'en Israël à propos de l'obscurantisme rabbinique qui s'est exercé tout au long de l'histoire à l'encontre des juifs eux-mêmes.

«Autodafés de livres, persécution des écrivains, disputes à propos du pouvoir magique des amulettes».

 

L'auteur analyse le processus de dégénérescence du judaisme classique en Pologne et en Allemagne au XVIIIème siècle notamment, qui aboutit à un fatras de rituels vidés de substance, de superstitions et d'absurdités imposées par un rabbinat hypocrite et vénal.

Remarquons toutefois qu'il y a deux mille ans déjà, le Christ apostrophait les scribes et les Pharisiens hypocrites dans un passage de saint Matthieu qui conserve toute son actualité.

 

La presse israélienne est constamment agitée par les querelles qui opposent les différentes factions religieuses et qui versent souvent dans la trivialité.

Voici les questions qui, selon Shahak, passionnaient les lecteurs en août 1993: les corps des soldats israéliens nés de mère non-juive et tués au combat doivent-ils être inhumés dans un espace ségrégé ou dans un cimetière militaire?

Les associations religieuses qui ont le monopole des enterrements, excepté de ceux des membres des kibboutz, vont-elles encore être autorisées à circoncire les défunts incirconcis et ceci sans l'accord des familles?

L'importation de viande non casher en Israël, officieusement interdite depuis la fondation de l'Etat, sera-t-elle enfin autorisée ou interdite légalement?

 

Shahak jette un éclairage inattendu sur la personnalité de «l'apôtre du judaïsme auprès de l'humanité», le philosophe Martin Buber, celui dont Élie Wiesel, entre autres, célèbre la sagesse hassidique.

L'auteur dénonce en lui l'inspirateur des chefs hassidiques «sanguinaires» (l'expression est de Shahak) dont la philosophie a développé le chauvinisme et la haine du non-juif en Israël.

Selon lui, Buber porte une grande responsabilité dans la propagande hassidique qui incitait les infirmières de Tsahal à refuser de soigner les blessés ennemis.

Dans Hatanya, le livre fondamental du mouvement habbad, l'une des branches les plus importantes du Hassidisme, il est écrit: «... Tous les non-juifs sont des créatures sataniques dans lesquelles il ne peut y avoir absolument rien de bon».

 

Les dix-huit bénédictions

 

Dans les dix-huit bénédictions de la prière du matin (Chemonè esrè) du Rituel de prières, il existe une malédiction spéciale (birkhat ha-minim) dirigée à l'origine contre les chrétiens, les juifs convertis et les juifs hérétiques:

 

1. «Et qu'il n'y ait aucun espoir pour les apostats (meshhummadin) et que tous les chrétiens périssent instantanément.»

 

Cette formule date du Ier siècle, lorsque les chrétiens ne constituaient qu'une petite secte persécutée.

Peu après le XIVème siècle cette formule fut édulcorée en:

2. «Et qu'il n'y ait aucun espoir pour les apostats, et que tous les hérétiques périssent instantanément». Et après de nouvelles pressions:

3. «Et qu'il n'y ait aucun espoir pour les délateurs et que tous les hérétiques périssent instantanément.»

 

Après la création de l'Etat d'Israël, le processus fut inversé et de nombreuses versions du rituel en revinrent ainsi à la deuxième formule qui est aussi prescrite par de nombreux professeurs dans les écoles rabbiniques israéliennes.

Après la Guerre des Six Jours, plusieurs congrégations proches du Gush Emunim ont restauré la version originale uniquement verbalement et prient ainsi quotidiennement pour que les chrétiens disparaissent instantanément.

Comme l'enseignement oral prime, on peut dire que l'exécration a persisté à travers les siècles.

Il est assez piquant que ce processus de réversion ait eu lieu dans la période où l'Eglise catholique sous Jean XXIII modifia les prières du vendredi saint pour les juifs «perfides» qui avaient provoqué le scandale que l'on sait.

L'interprétation rigoureuse de la loi dite «antimissionnaire» de décembre 1977 punit de cinq ans d'emprisonnement celui qui fait du prosélytisme même en offrant une Bible, un chapelet ou une médaille religieuse.

En effet, selon le texte, le don du moindre objet de piété peut être considéré comme «incitation matérielle» à changer de religion

 

Le Talmud (Shabbat 116a) ordonne de brûler publiquement les Évangiles chaque fois que l'occasion s'en présente.

Le 23 mars 1980, un autodafé de plusieurs centaines d'exemplaires du Nouveau Testament a été organisé par les rabbins de Yad Lehakhim, organisation religieuse subventionnée par le ministère israélien des cultes.

 

En novembre 1991, Marc Aron (président du B'naï B'rith de France), s'adressant à Mgr Decourtray, déclara à propos du pèlerinage des B'naï B'rith à Auschwitz: «... nous étions deux cents qui, spontanément, dans le froid glacial de Birkenau, avons dénudé nos bras pour mettre les Thephilim (phylactères) ... et à réciter la prière du matin ...

Nous étions deux cents à allumer la Menorah (chandelier à sept branches), symbole du judaïsme et symbole de notre association et à poser ces bras de lumière sur les grilles du Carmel en signe de paix et de volonté de dialogue.»

 

Ce qui n'a pas empêché les organisations juives d'obtenir d'une Eglise apeurée le déménagement des carmélites hors du site.

Comme elles ont obtenu la suspension du procès en béatification d'Isabelle la Catholique. Il est malgré tout choquant qu'un prince de l'Eglise, déjà connu pour son écœurante servilité, ait ignoré ou feint d'ignorer le contenu antichrétien des prières juives.

 

Comme il est scandaleux que Jean-Paul II ait reçu au Vatican les délégués du B'naï B'rith, organisation maçonnique connue pour son militantisme anticatholique.

 

Au cas où le livre de Shahak parviendrait à franchir les mailles serrées de la censure en France, il serait bon que les ligues antiracistes (MRAP, LICRA, etc.) exerçassent leur ardeur à l'encontre de l'enseignement dispensé dans les Yeshivoth et les cours de Talmud-Thora.

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