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Khadija Benguenna d'AL Jazeera : "La télévision algérienne reflète l’image d’un pays sous-développé"


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La journaliste d’Al Jazeera Khadija Benguenna à El Khabar

« La télévision algérienne reflète l’image d’un pays sous-développé »

« L’absence d’un bureau d’Al Jazeera en Algérie a profité à d’autres parties »

 

 

 

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Elle possède une présence forte qu’on a rarement vu chez les présentatrices d’informations dans le monde arabe, son parcours médiatique s’étend sur deux décennies, durant lesquelles elle s’est déplacée dans de nombreuses stations radio et télévision en Algérie, puis à la radio suisse internationale de Berne, jusqu’à ce qu’elle s’installe à la chaîne Al Jazzera comme présentatrice de programme et d’information. La brillante femme des médias, Khadija Benguenna, ouvre son cœur à El Khabar dans cet entretien pour évoquer de nombreuses questions qui ont trait à la réalité médiatique algérienne et arabe en général.

 

El Khabar : Donnez-nous premièrement plus de précision sur le prix que vous avez remporté, et était-il ouvert à toutes les femmes de médias arabes ?

 

Khadija Benguenna: J’ai reçu le prix des mains de Mary Robinson, l’ex-présidente de l’Irlande à l’hôtel Bordj El Arab à Dubaï, et c’est un prix qui reflète l’importance du rôle joué par la femme des médias à la chaîne d’Al Jazzera dans tous les domaines du travail rédactionnel, technique et sur le terrain. Le prix n’était pas seulement ouvert aux femmes des médias mais aussi à des femmes pionnières dans le domaine des finances, des affaires, de la politique, de l’éducation et autres.

 

El Khabar : Vous avez quitté la télévision algérienne depuis environs 15 ans, comment voyez-vous le monde des médias algérien avec ses deux volets radio et télévisuel ?

 

Khadija Benguenna: D’un point de vue purement professionnel, la télévision algérienne est en faillite professionnellement parlant, mais elle possède des cadres et des compétences qui n’ont pas été exploités de la bonne façon. La télévision algérienne a formé une génération de journalistes professionnels qui ont réussi de part le monde, et je suis fière ici, au Golf, d’être le produit d’une industrie locale algérienne, et je dois beaucoup à la radio et la télévision algériennes. Cependant, je ressens une grande amertume lorsque je vois le niveau qu’a atteint la télévision algérienne. Malheureusement, l’Algérie riche en compétences et en argent est incapable aujourd’hui de trouver une voix médiatique qui reflète son image, sa beauté, sa culture et ses traditions à l’étranger.

Pour ce qui est de la presse écrite, la situation est à mon avis totalement différente, la marge de liberté est plus large et le nombre de journaux en langue arabe et française est considérable, je les suis en permanence sur internet, car ils constituent pour nous, à l’étranger, une fenêtre essentielle sur ce qui se passe au pays, et je souhaite que certains de ces journaux puissent sortir du cadre local et national.

 

El Khabar : La femme des médias tunisienne Kaouthar El Bouchraoui a déclaré récemment que l’information au Maghreb est encore en retard, et elle a pris pour exemple la télévision algérienne ? Partagez-vous son avis ?

 

Khadija Benguenna: Loin des susceptibilités traditionnelles entre nous en tant qu’hommes et femmes des médias maghrébins, il faut reconnaître que cela est vrai. Malheureusement, la télévision algérienne reflète l’image d’un pays sous-développé qui ne convient pas à la place de l’Algérie. Je ne veux pas cracher dans la soupe mais la réalité est douloureuse et il faut la dire pour pouvoir y remédier.

 

El Khabar : Pensez-vous que le refus par l’Algérie d’ouvrir un bureau d’Al Jazeera ici soit une chose positive ou bien le contraire ?

 

Khadija Benguenna: Au contraire, c’est une position on ne peut plus négative. L’absence d’un bureau d’Al Jazeera en Algérie a profité à d’autres parties. Les responsables algériens manquent d’expérience pour traiter avec les médias satellitaires, car leur couverture des évènements ne convient pas au tempérament politique des responsables. Mais comment pourront-ils empêcher les gens de suivre des programmes entiers de YouTube sur internet, qui dépassent de loin le seuil d’Al Jazeera du point de vue de l’audace et de la liberté. Les gens ont aujourd’hui plusieurs autres alternatives médiatiques, et si les responsables du secteur audiovisuel ne font rien pour y remédier, ils seront les grands perdants.

 

El Khabar : Nous avons remarqué que le traitement par Al Jazeera de l’information sécuritaire, précisément en Algérie, est souvent exagéré. Quel est le rôle des Algériens, et vous êtes nombreux, pour rectifier ce traitement ?

 

Khadija Benguenna: L’information sécuritaire présentée par Al Jazeera est souvent rapportée d’une source qu’il s’agisse d’agence de presse, d’un journal, ou de la déclaration directe d’un responsable, d’une personne ou d’un groupe. Dans la tradition d’Al Jazeera, aucune information n’est diffusée que si elle provient de deux sources différentes qui ont veillé à la véracité de l’information, mais il y parfois certaines erreurs, car si Al Jazeera possédait un bureau en Algérie, il serait plus simple de vérifier la crédibilité de l’information.

 

El Khabar

 

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Ce qui me fait rire (ou pleurer plutôt) avec les journalistes algériens qui avaient quitté l'ENTV pour exercer leur talents (et gagner beaucoup de dollar) en Europe et dans les pays du golf, c'est qu'ils jouent zaâma au critiqueurs/moralisateurs alors que quand ils étaient en poste à l'ENTV ils avaient soutenu le pouvoir en place exactement comme le font les journalistes d'aujourd'hui !

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La femme des médias tunisienne Kaouthar El Bouchraoui a déclaré récemment que l’information au Maghreb est encore en retard, et elle a pris pour exemple la télévision algérienne ? Partagez-vous son avis ?

de toute façon, elle avait l'embarras du choix

 

la télévision libyenne n'est pas plus fameuse et la mauritanien (elle existe déjà??)

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Ce qui me fait rire (ou pleurer plutôt) avec les journalistes algériens qui avaient quitté l'ENTV pour exercer leur talents (et gagner beaucoup de dollar) en Europe et dans les pays du golf, est qu'ils jouent zaâma au critiqueurs/moralisateurs alors que quand ils étaient en poste à l'ENTV ils avaient soutenu le pouvoir en place exactement comme le font les journalistes d'aujourd'hui'hui !

 

je ne suis pas si sure, a medi1 sat, il y a la ravissante ex enteviste "leila bouzidi"

et j'ai pas encore vu en elle un esprit critique envers les informations qu'elle présente sur l'algerie, lors des info maghrébines

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je ne suis pas si sure, a medi1 sat, il y a la ravissante ex enteviste "leila bouzidi"

et j'ai pas encore vu en elle un esprit critique envers les informations qu'elle présente sur l'algerie, lors des info maghrébines

 

Peut-être que je me suis mal exprimé. Je voulais dire critiquer la fermeture du champs audio visuel (et l'atteinte aux libertés d'experssion en général) dans les journaux, les interviews, etc. comme le fait Benguenna dans l'interview donnée à El khabar. Quand j'entends par exp. Adelkader Seddah (si je me souviens bien de son nom) parler de démocratie dans les plateaux d'Al Jazeera, ça me donne envie de vomir, car je me souviens toujours de la langue de bois qu'il pratiquait pour défendre le pouvoir quand il était journaliste vedette à l'ENTV !

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Ces journalistes dont tu parles Admino, sont de la génération arabisée , des gens qui étaient complices d'une politique d'exclusion de tous les francisants de la télévision algérienne, cette khadija ne dit pas comment elle a été recrutée, elle a certes du talent mais c'est son physique et ses relations de piston qui l'ont faite présentatrice de JT, elle était une fervente du systeme et du régime. Avant qu'elle parte pour el djazira , c'était une fille moderne qui aurait pu rendre beaucoup de service á l'information objectve, mais depuis qu'elle recoit sur le plateau el kardaoui et tous les integriste de la terre , elle se la joue voilée et pieuse, elle ne dit pas non plus qu'elle a quitté le navire lorsque de nombreux journaliste se faisaient assassiner par les troupes de l'AIS et du GIA. Qu'a t'elle fait pour redorer l'image de l'algérie? a t'elle combattu l'integrisme islamiste qui menacait les femmes et les intellectuel?

a t'elle dénoncé les massacres qui se déroulaient en algérie?

Rien de tout ca et maintenant aprés avoir fait fortune chez les Emirs et les Cheikh, elle vient nous donner des lecons de professionalisme et d'objectivité.

Si elle veut améliorer l'image de l'algérie, elle n'a produire ou revenir en algérie pour que les débutants profitent un peu de ses éxperiences.

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Pour quelques milliers d’euros

 

Nerf de la guerre par excellence, l’argent fait tourner presque toutes les têtes des anciennes vedettes de l’ENTV.

 

Quoi de plus légitime en somme. Les salaires que touchent les journalistes expatriés atteignent parfois des montants vertigineux. Jusqu’à 50 fois plus. Cheniouni affirme percevoir l’équivalent de 4500 euros par mois à Al Jazeera alors qu’à l’ENTV il ne dépassait pas les 20 000 DA (200 euros). Des vedettes comme Lakhdar Berriche et Khadija Benguenna toucheraient — à en croire de bienveillantes discrétions — entre 10 000 et 15 000 euros. Les privilèges de la notoriété et de l’excellence peuvent parfois surprendre par leur aspect démesuré. Khadija Benguenna, qui compte parmi ses précieux fans des membres de la famille royale du Qatar, a été comblée — selon une source proche — par une princesse qui lui aurait offert une rutilante Porsche. Les journalistes de la presse écrite sont eux également de la chasse, avec nettement moins de réussite et d’éclat. Pour certains journalistes de la presse francophone partis en France, l’expérience de l’exil n’a pas été féconde. Au Royaume-Uni, les journalistes de la presse arabophone ont par contre eu plus de veine. Tewfik Rebahi, journaliste à Al Qods Al Arabi, en est de ceux-là.

 

Une Porsche pour Benguenna

 

Ex-journaliste à El Khabar, Tewfik Rebahi s’est recyclé laborieusement au départ dans la presse arabe londonienne avant de voir sa carrière décoller. A propos de la diaspora médiatique établie à l’étranger, il considère qu’il n’y a pas lieu d’abord de parler de compétence algérienne. Un « mythe », la qualifie-t-il. « On n’est pas de bons journalistes parce que l’on est algériens. J’ai des amis marocains, syriens, palestiniens, irakiens qui véhiculent le même mythe. Ils évoquent souvent la ‘‘compétence marocaine, syrienne, irakienne’’, etc. Les Algériens sont généralement appréciés par rapport à un stéréotype : les Mashriqis croient souvent que les Algériens sont moins hypocrites, ou plus honnêtes que les autres. Et ça, ça rapporte un certain respect aux yeux des autres. » Pour peser lourd dans les rédactions des chaînes satellitaires arabes, estime Slimane Boussoufa, il faudrait l’appui des autorités algériennes. « La loi du nombre et l’argument de la maîtrise professionnelle ne suffisent pas », dit-il. « Les journalistes d’autres nationalités avec lesquels nous travaillons sont souvent soutenus par leurs chancelleries respectives. Ce qui n’est pas le cas pour nous », déclare le correspondant à Londres d’Al Hurra. Etoile montante de la chaîne américaine, au même titre que le reporter Mohamed Mokhtari, « envoyé spécial » d’Al Hurra à Nairobi (Kenya), Boussoufa est l’archétype du journaliste globe-trotter. Ancien militant de l’UGEL à l’université d’Alger, collaborateur d’Al Ouaha à Ghardaïa en 1990, il quittera le pays après l’assassinat des figures de proue de ce syndicat estudiantin proche du parti islamiste MSP. Il se réfugie à Marseille où il se fait pour un temps vendeur de tissus avant de rejoindre Londres. Il intègre la chaîne saoudienne MBC en 1994 comme producteur d’émission sportive, ensuite ANN, la chaîne d’information arabe, puis la radio BBC avant de décrocher un contrat avec la Khalifa TV installée à Paris qui en fit son correspondant à Londres jusqu’au naufrage de l’empire Khalifa en 2003. Sa prochaine destination : Washington où il se fait recruter en 2004 avec une dizaine d’autres Algériens par Al Hurra, la voix de l’oncle Sam au Moyen-Orient qui venait tout juste de naître.

 

Aziri M.

Je trouve qu'il a une analyse très interessante qui rejoint les positions d'Admino et de Hograbarakat.

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Je trouve qu'il a une analyse très interessante qui rejoint les positions d'Admino et de Hograbarakat.

 

Merci pour l'article

ça rejoint ce que j'ai toujours pensé de ces journalistes, se sont des carriéristes qui ne sont interessés que par l'argent et les postes, ils se vendent au plus offrants ... hier ils avaient soutenu le pouvoir et incriminé les opposants, aujourd'hui ils se mettent au service des golfeurs et de l'oncle Sam.

 

Et les algériens comme des c.ons sont toujours fiers quand ils voient leur compatriotes journalistes briller dans les télés étrangères, oubliant qu'ils sont tout aussi responsables de leurs malheurs !

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dans le monde entier,vous ne trouvrez pas un seul journaliste qui est tout a fait d'accord avec la ligne editorial du media dont il travaille pour.

 

y a pas de mal a que certain se font de l'argent,tout a fait au contraire c'est tres bien d';enfaire.

 

la difference entre ce qui est legitime et ce qu'il ne l'est pas c'est la differance entre Saddah et Benguenna.

 

Saddah est un opportuniste,Benguenna travaillait a l'E.N.T.V a une epoque ou cette entreprise etait ouverte a tout le monde.

 

je ne vais pas repondre a celui qui prend tous les musulmans pour des terros,car j'ai d'autres chats a foueter.mais envouloir a Benguenna parcequ'elle a rejoint EL jazzyra alors que d'autres journalistes ont trouver la mort me laisse perplexe et sceptik.

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dans le monde entier,vous ne trouvrez pas un seul journaliste qui est tout a fait d'accord avec la ligne editorial du media dont il travaille pour.

 

y a pas de mal a que certain se font de l'argent,tout a fait au contraire c'est tres bien d';enfaire.

 

la difference entre ce qui est legitime et ce qu'il ne l'est pas c'est la differance entre Saddah et Benguenna.

 

Saddah est un opportuniste,Benguenna travaillait a l'E.N.T.V a une epoque ou cette entreprise etait ouverte a tout le monde.

 

je ne vais pas repondre a celui qui prend tous les musulmans pour des terros,car j'ai d'autres chats a foueter.mais envouloir a Benguenna parcequ'elle a rejoint EL jazzyra alors que d'autres journalistes ont trouver la mort me laisse perplexe et sceptik.

 

Perso, je ne lui en veux pas d'être partie ... ce que je reproche à ces journalistes c'est d'avoir été les supports de la propagande du pouvoir quand ils étaient à l'ENTV, ils sont donc tout aussi complice du fiasco dans le quel baigne le pays !

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Perso, je ne lui en veux pas d'être partie ... ce que je reproche à ces journalistes c'est d'avoir été les supports de la propagande du pouvoir quand ils étaient à l'ENTV, ils sont donc tout aussi complice du fiasco dans le quel baigne le pays !

 

 

je parle en connaissance de causes.travailler pour une chaine ne veux pas dire qu'on est d'accord avec la ligne editoriale.

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4 500 Euros/mois, c'est beaucoup ?

 

J'aimerais bien savoir le salaire de David Frost, ou de Barbara Serra, je mets ma main à couper qu'ils touchent au moins 10 fois voire plus le salaire de Cheniouni, ou de Bengana. Même le Canard enchaîné paye mieux ses journalistes :D

 

Pour le reste, je suis totalement d'accord avec orandxb, surtout concernant les journalistes tele, tu as une ligne éditoriale, faut la respecter. Les seuls qui sortent du lot sont des heros qu'on connait, ils ne sont pas nombreux.

 

D'ailleurs, vous vous souvenez de ce journaliste français qui a été viré sur le champs, parce qu'il me semble que c'était après l'assassinat de Amine Gemayel, et il y'avait aussi la mort de je ne sais qui à Monaco, et il avait dit qu'il y'a 2 evenements, un qui n'a aucune influence importante (mort à Monaco), et l'autre a une grande importance.

 

Rouhe tergoude, c'était la mort de Grace Kelly, le mec débute son 13 H " elle n'étais plus trés belle, ni trés jeune, elle ne faisiat réver quasiment personnes, Grace Kelly est morte " :D puis il enchaine " passons aux choses sérieuses" :lol:

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je parle en connaissance de causes.travailler pour une chaine ne veux pas dire qu'on est d'accord avec la ligne editoriale.

 

Il ne s'agit d'une histoire de ligne éditoriale... car dans le cas de l'ETNV il ne s'agit ni plus ni moins que de soutenir le pouvoir et par conséquent, les corrompus, les assassins, les voleurs, les oppresseurs du peuple ...

 

En termes plus simples, Il ne s'agit pas d'être en accord ou en désaccord avec une ligne éditoriale, il s'agit de soutenir ou pas un pouvoir despotique !

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Pour le reste, je suis totalement d'accord avec orandxb, surtout concernant les journalistes tele, tu as une ligne éditoriale, faut la respecter.

 

Donc selon toi, pour ne pas perdre son poste on peut se mettre contre son peuple ?! Et c'est moral ça ?

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La question n'est pas d'être moral ou pas, parce que tu me fait penser à des français qui parlent de la resistance française, ils te disent tous qu'ils seraient resistants dans ce genre de situations, moi ma reponse est "J'espére juste ne pas être collabo dans ce genre de situations, ".

 

Justement on est dans ce cas là, soutenir les oppresseurs c'est collaborer avec eux ... Les choses sont très simple, y a un combat entre le peuple et un pouvoir qui l'opprime ... il faut choisir son camps, le peuple ou le pouvoir !

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je trouve que c'est tres exagere.c'est pas parce qu'on lit un journal televise que l'on est contre son peuple.

 

Quand on fait de la propagande pour un pouvoir qui opprime son peuple ---> être contre son peuple !

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Mais il ne fait que lire un texte, c'est un metier comme d'autres, un peu particulier mais c'est un metier.

 

Tu me fais rire! Il ne s'agit pas de lire un poème ... lire un texte pour défendre les indéfendables, soutenir les voleurs, mettre les algériens les autres contre les autres, ... n'est pas du tout anodin ! On a une bouche et on est responsable de tout ce qui sort de cette bouche devant el 3ibad et devant Dieu !

 

beaucoup de journalistes même dans les pays les plus démocratiques auront fait pareil, d'ailleurs en France on le voit très bien, ils ont un truc encore pire : Ils s'auto-censurent.

 

Ne compares pas la France ou les US où la liberté n'est certes pas100% garantie avec une télé complètement fermée sur son peuple et qui n'a d'équivalent dans le monde que les télés koréenne, cubaine, libyenne ...

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Tu sait admino c'est très compliquer d'impliquer des fonctionnaires dans le soutien a une dictature ou de leur attribuer le rôle d'agent direct de la dictature .

 

Question simple : Tu penses quoi du journaliste qui présente le 20 heures sur l'ENTV ?

Tu lui trouve des excuses, où tu penses comme moi que ce n'est qu'un opportuniste qui est prêt à tout pour garder son poste et avancer dans la carrière.

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Question simple : Tu penses quoi du journaliste qui présente le 20 heures sur l'ENTV ?

Tu lui trouve des excuses, où tu penses comme moi que ce n'est qu'un opportuniste qui est prêt à tout pour garder son poste et avancer dans la carrière.

 

présentateur de profession il n'a pas a discuter du contenu des sujets qu'il doit présenter, y à un autre sujet dans le genre mais plus compliquer " les militaires doivent il discuter les ordres de leur hiérarchie ? " si la réponse est Oui alors dans se cas c'est remettre la sécurité de tous les pays du monde .

 

Le représentant de l'Irak a l'Onu du temps de saddam a échapper a un procès aux USA rien que sur cette "thèse" son avocat a plaider qu'il n'était qu'un fonctionnaire et de ce faite devait obéir aux ordres de ses supérieurs .

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Arrête de lire dans ma pensée toi :D

 

D'ailleurs, pour cela, quand tu suis les plus gros procés de l'histoire, genre celui du Nuremberg, Barbie, TOuvier, ... c'est la chose que tu apprend, on te condamne uniquement quand tu as eu un rôle actif, quand tu as été un initiateur, celui qui a eu l'idée d'un massacre, ...

 

D'ailleurs, le ministre d'nformation irakien a été protégé par les boys en Irak, et il ne faisait pas partie des 40 cartes :D

 

Et la question justement qui se pose, "qu'est ce qu'on fait du chauffeur du train qui amenait les gens vers des camps de concentration" ? :rolleyes:

 

Bein banane ta donner la moitié de la réponse plus haut, les experts juridique qui ont participer a la création du tribunal de Nuremberg sont arriver a la conclusion que les fonctionnaires et le peuple allemand n'était pas responsable, seul ceux qui avait un pouvoir de décision et les chefs avait une responsabilité dans les faits qui devait être juger

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Arrête de lire dans ma pensée toi :D

 

D'ailleurs, pour cela, quand tu suis les plus gros procés de l'histoire, genre celui du Nuremberg, Barbie, TOuvier, ... c'est la chose que tu apprend, on te condamne uniquement quand tu as eu un rôle actif, quand tu as été un initiateur, celui qui a eu l'idée d'un massacre, ...

 

D'ailleurs, le ministre d'nformation irakien a été protégé par les boys en Irak, et il ne faisait pas partie des 40 cartes :D

 

Et la question justement qui se pose, "qu'est ce qu'on fait du chauffeur du train qui amenait les gens vers des camps de concentration" ? :rolleyes:

 

C'est assez dur de prouver que le chauffeur de train savait qu'il emmenait les gens à l'échafaud.

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