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Psychologie Sociale - La soumission à l'autorité


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L’expérience de Milgram est une expérience de psychologie qui a été réalisée entre 1960 et 1963 par le psychologue américain Stanley Milgram.

Milgram a mené une série d’expériences, avec plusieurs variantes, permettant d’estimer à quel point un individu peut se plier aux ordres d’une autorité qu’il accepte, même quand cela entre en contradiction avec son système de valeurs morales et éthiques.

 

La procédure :

 

On fait croire aux participants que l’on réalise une expérience sur la mémoire et que l’on cherche à tester les effets de la punition sur le processus d’apprentissage. Le sujet tire "au hasard" un papier sur lequel est inscrit le Rôle qu’il tiendra durant l’expérience (le tirage au sort est truqué, il sera forcément le professeur). On demande donc au Sujet naïf qui sera obligatoirement dans le rôle du professeur, de faire apprendre des paires de mots (comme « chapeau – ballon ») à son élève qui est en fait un Compère (complice de l’expérimentateur).

 

La consigne :

 

Si l’élève donne une mauvaise réponse, le professeur (sujet naïf) doit lui administrer un choc électrique croissant de 15 volts à chaque erreur et cela de 15 jusqu’à 450 Volts où il est d’ailleurs indiqué « danger ».

Bien sûr, les chocs électriques ne sont pas réels mais ce qui est important c’est qu’ils le sont dans l’esprit du sujet naïf.

 

L’expérimentateur, représentant officiel de l’autorité, vêtu de la blouse grise du technicien, de maintien ferme et sûr de lui, n’a le droit de dire que quelques phrases telles que : "vous devez continuer " ou " il faut continuer" ou "continuez" ou "l’expérience veut que vous poursuiviez"

 

L’expérience de Milgram a montré que 65 % des êtres Humains sont prêts, grâce à des stimuli autoritaires, à tuer des inconnus en connaissance de cause. Tous les participants acceptèrent le principe annoncé et, éventuellement après encouragement, atteignirent les 135 volts. La moyenne des chocs maximaux (niveaux auxquels s’arrêtèrent les sujets) fut de 360 volts.

 

Tous les résultats : Psychologie Sociale - La soumission à l'autorité

 

[DM]x95pi3_electrochocs_webcam[/DM]

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Tu es parti loin, en Islam ce concepte existe (ta3at ouli al amr). Les salafistes qui sont les plus rigoristes n'ont pas participer aux révolution en Tunisie et en Egypte ils avaient appelé à respecter l'autorité en place qui se caractérisait en Ben ali et Moubarek et ils se sont justifier par la religion.

En Arabie Saoudite des hommes de religions ont vites émis des fatwa pour rendre illicites les révolutions et de rappeler que l'obeissance du wali (président, roi) est une obligation dans l'islam.

Plus de developpement plus tard.

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Tu es parti loin, en Islam ce concepte existe (ta3at ouli al amr). Les salafistes qui sont les plus rigoristes n'ont pas participer aux révolution en Tunisie et en Egypte ils avaient appelé à respecter l'autorité en place qui se caractérisait en Ben ali et Moubarek et ils se sont justifier par la religion.

En Arabie Saoudite des hommes de religions ont vites émis des fatwa pour rendre illicites les révolutions et de rappeler que l'obeissance du wali (président, roi) est une obligation dans l'islam.

Plus de developpement plus tard.

 

Les salafistes ..........

Il y a 2 types de salafistes .

 

Les vrais qui se tiennent à une ligne de conduite stricte et ils représentent moins de 10 pour cent.

Les faux (et c'est la majorité) qui obéissent aux dollars Wahabites et décrètent illicites de se rebeller contre l'autorité du moment qu'elle sert les intérêts de l'Amérique et d'"Israel".

 

La vraie ligne rigoriste salafiste c'est d'abord qu'il ne faut jamais se rebeller contre l'autorité en place du moment qu'elle est musulmans et les faux salafistes se sont , par exemple, rebellés contre Kadhafi .

 

En Tunisie et en Egypte , ils ont adopté une position ambiguë , d'une même ambiguïté que celle de l'occident et de l'entité sioniste .

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Guest ameno
L’expérience de Milgram est une expérience de psychologie qui a été réalisée entre 1960 et 1963 par le psychologue américain Stanley Milgram.

Milgram a mené une série d’expériences, avec plusieurs variantes, permettant d’estimer à quel point un individu peut se plier aux ordres d’une autorité qu’il accepte, même quand cela entre en contradiction avec son système de valeurs morales et éthiques.

 

La procédure :

 

On fait croire aux participants que l’on réalise une expérience sur la mémoire et que l’on cherche à tester les effets de la punition sur le processus d’apprentissage. Le sujet tire "au hasard" un papier sur lequel est inscrit le Rôle qu’il tiendra durant l’expérience (le tirage au sort est truqué, il sera forcément le professeur). On demande donc au Sujet naïf qui sera obligatoirement dans le rôle du professeur, de faire apprendre des paires de mots (comme « chapeau – ballon ») à son élève qui est en fait un Compère (complice de l’expérimentateur).

 

La consigne :

 

Si l’élève donne une mauvaise réponse, le professeur (sujet naïf) doit lui administrer un choc électrique croissant de 15 volts à chaque erreur et cela de 15 jusqu’à 450 Volts où il est d’ailleurs indiqué « danger ».

Bien sûr, les chocs électriques ne sont pas réels mais ce qui est important c’est qu’ils le sont dans l’esprit du sujet naïf.

 

L’expérimentateur, représentant officiel de l’autorité, vêtu de la blouse grise du technicien, de maintien ferme et sûr de lui, n’a le droit de dire que quelques phrases telles que : "vous devez continuer " ou " il faut continuer" ou "continuez" ou "l’expérience veut que vous poursuiviez"

 

L’expérience de Milgram a montré que 65 % des êtres Humains sont prêts, grâce à des stimuli autoritaires, à tuer des inconnus en connaissance de cause. Tous les participants acceptèrent le principe annoncé et, éventuellement après encouragement, atteignirent les 135 volts. La moyenne des chocs maximaux (niveaux auxquels s’arrêtèrent les sujets) fut de 360 volts.

 

Tous les résultats : Psychologie Sociale - La soumission à l'autorité

 

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C'est ainsi que l'on explique qu'un militaire peut par exemple commettre les pires atrocités si on lui en donne l'ordre..(mais dans ce cas, ce même militaire est conditionné, drogué, il n'est pas maitre de ses agissements)

il faut aussi souligner que le chiffre de 65% ne tient pas la route, il est basé sur un échantillon plus que limité, et surtout sur des candidats extrêmement influençables!

Une expérience, à mon sens bidon, puisqu'au départ, les candidats sont savamment sélectionnés!

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Guest Anda
L’expérience de Milgram est une expérience de psychologie qui a été réalisée entre 1960 et 1963 par le psychologue américain Stanley Milgram.

Milgram a mené une série d’expériences, avec plusieurs variantes, permettant d’estimer à quel point un individu peut se plier aux ordres d’une autorité qu’il accepte, même quand cela entre en contradiction avec son système de valeurs morales et éthiques.

 

 

 

C'est aussi visible avec l'autorité religieuse (le dogme). Dieu ordonne aux croyants le châtiment corporel et comme Pilate, les exécutants s'en lavent les mains.

 

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C'est ainsi que l'on explique qu'un militaire peut par exemple commettre les pires atrocités si on lui en donne l'ordre..(mais dans ce cas, ce même militaire est conditionné, drogué, il n'est pas maitre de ses agissements)

il faut aussi souligner que le chiffre de 65% ne tient pas la route, il est basé sur un échantillon plus que limité, et surtout sur des candidats extrêmement influençables!

Une expérience, à mon sens bidon, puisqu'au départ, les candidats sont savamment sélectionnés!

 

L'expérience de Milgram n'a pas été menée qu'une seule fois.

Elle a été menée plusieurs fois et dans tous les cas,elle a donnée les mêmes résultats.

Du moment que le gars appuie ne serait-ce qu'une fois sur le bouton censé délivrer une décharge électrique la capacité de caporalisation est démontrée,après ce n'est qu'une affaire de niveau de déclenchement de la remise en cause de l'ordre et ceci dépend des individus.

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Guest ameno
L'expérience de Milgram n'a pas été menée qu'une seule fois.

Elle a été menée plusieurs fois et dans tous les cas,elle a donnée les mêmes résultats.

Du moment que le gars appuie ne serait-ce qu'une fois sur le bouton censé délivrer une décharge électrique la capacité de caporalisation est démontrée,après ce n'est qu'une affaire de niveau de déclenchement de la remise en cause de l'ordre et ceci dépend des individus.

Dans tous les cas ce furent des candidats bien choisis..............
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Guest ameno
Ils étaient pas choisis, ils ont répondu à une annonce sur la mémoire, je crois.

(forcément, on dit jamais vrmt le but de la recherche pour pas créer de biais).

Comme pour le plupart des recherches en psycho, ce sont les "sujets" qui se présentent.

 

Ils (juste des hommes) venaient de tous les milieux sociaux et dans toutes les tranches d'âges.

 

L'expérience a été refaites par je ne sais plus qui avec des femmes et on a pas constaté de différence ho/fe.

Ce que tu dis est juste en effet...sauf qu'une sélection ultérieure sur tests fut opérée parmi les postulants..

Furent retenus les"influençables"..donc à la base ce fut biaisé.

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Tu es parti loin, en Islam ce concepte existe (ta3at ouli al amr). Les salafistes qui sont les plus rigoristes n'ont pas participer aux révolution en Tunisie et en Egypte ils avaient appelé à respecter l'autorité en place qui se caractérisait en Ben ali et Moubarek et ils se sont justifier par la religion.

En Arabie Saoudite des hommes de religions ont vites émis des fatwa pour rendre illicites les révolutions et de rappeler que l'obeissance du wali (président, roi) est une obligation dans l'islam.

Plus de developpement plus tard.

 

salam

 

c'est toi t'es allé loin avec ton HS tout le monde est tombé dedans sauf ameno (que je remercie d'ailleurs)... c'est de la sociologie c'est pas du salafisme purée...

 

ce sont des methodes de maltraitances managériales des méthodes (encore) utilisées aussi bien dans les grosses entreprises, à l'armée, police, syndicats etc etc

 

un coup de tazer dès le matin ça va calmer tout ce beau monde

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salam

 

c'est toi t'es allé loin avec ton HS tout le monde est tombé dedans sauf ameno (que je remercie d'ailleurs)... c'est de la sociologie c'est pas du salafisme purée...

 

ce sont des methodes de maltraitances managériales des méthodes (encore) utilisées aussi bien dans les grosses entreprises, à l'armée, police, syndicats etc etc

 

un coup de tazer dès le matin ça va calmer tout ce beau monde

Ql hors sujet?

Tu parles de la soumission à l'autorité et moi je te dis que la soumission à l'autorité en islam est un dogme.

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Ql hors sujet?

Tu parles de la soumission à l'autorité et moi je te dis que la soumission à l'autorité en islam est un dogme.

 

salam

 

petite rectification, notre soummission à Allah :azwjl: est une ni3ma (faveur) or la soumission à l'autorité selon milgram, t'oblige à te soumettre à des codes spécifiques et imposés qui peuvent parfois aller contre ta (ou la) nature humaine, en effet je dis cela car l'obéissance et la soumission en Allah :azwjl: va toujours dans l'intérêt de l'humain et non vers sa destruction...

 

d'autres part, dans notre deen (dogme) rien n'est fait sous la contrainte, bien au contraire soit tu accomplis avec sincèrité soit tu le fais sous la contrainte et si c'est le cas c'est tout bonnement de l'hypocrisie (mounafiq), c'est assez paradoxal, pour quelqu'un qui se dit croyant, je trouve cela bizarre, comparez des méthodes de kouffars héritiers du monstre mengele à la croyance faut le faire o_O...

 

pour ta gouverne, dans l'Islam, il est autorisé au peuple de se révolter (dès que j'ai le dalil je le poste inshaa Llah), si le peuple a les moyens de renverser le gouverneur et ce, sans effusion de sang... par exemple les révolutions arabes (que tu affectionnes tant) ont fait couler plus de sang de musulmans qu'autres choses (libye, egypte, syrie)... le seul lien que j'arrive à faire c'est que ça ne m'étonnerait pas, que les rebelles aient utilisé ce genre de méthodes pour rameuter le plus de moutons à leur cause....

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