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Femmes algériennes ...


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Merci à tous pour les photos :D Pouvez vous apporter des commentaires pour chacune d'entre elle :)

Cherry ma chérie, pour les tiennes je ne vois que des grenouilles:(

 

Ah bon !! voici le lien des photos

 

The Algerian Museum Online / Le musée de l'Algérie en ligne

 

Oui je connais ou trouver ses photos tu parles... oui très pudiques mais très sensuelles à la fois.. c’était le charme d'antan pudiques et charmeuses à la fois, mais tellement belles

 

oui tout à changé, mais reste des souvenirs des choses partout pour éviter qu on oublie...:)

 

Merci encore je trouve ca sublime, derrière chaque femme un charme inexplicable... c’était ca le belle diversité de l algérienne !

Justement, tu ne m'as pas compris, certaines photos ne sont pas pudiques, je parle des seins nus, oui des Algériennes :confused: j'ai éviter de les poster ici ! :D

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Guest Louva
hassiba-ben-bouali.jpg

 

Témoignages de Zohra Drif sa compagne d’armes

 

Née le 18 janvier 1938 à El-Asnam (aujourd’hui Chlef), Hassiba Ben Bouali y entama ses études primaires, qu’elle poursuivit à l’école Aïn Zerga, à Alger, où ses parents s’étaient installés en 1947. Elle obtient le certificat d’études primaires en 1950 et entre au lycée Pasteur (aujourd’hui annexe de la Faculté Centrale), où elle y étudia jusqu’en deuxième année.

 

De nombreux témoignages la présentent comme une adolescente particulièrement éveillée, curieuse et sensible.

 

C’est ainsi que, par le biais du scoutisme, elle effectue de grandes randonnées à travers le pays et découvre les conditions déplorables de vie de la paysannerie algérienne. L’étalage de l’injustice la révolte profondément.

 

Hassiba Ben Bouali rêvait de devenir infirmière mais elle ne put que s’employer dans un bureau social, où elle complétera sa vision de la situation des Algériens. Sa prise de conscience l’amène à militer dès l’âge de seize ans an sein de l’Union Générale des Etudiants Musulmans Algériens.

 

Dès lors, elle s’impliquera de plus en plus dans le combat nationaliste, et, vers la fin de l’année 1956, elle intégra avec d’autres jeunes filles un des réseaux des fedayins qui se distinguèrent durant la bataille d’Alger. Elle fit ainsi parties d’un groupe chargé de fabriquer des bombes et de les déposer sur les lieux d’opération.

 

Mais les services de renseignement français finirent par recueillir des informations sur ce groupe. L’atelier clandestin de fabrication des bombes est aussitôt investi tandis que de nombreuses arrestations ont lieu. Hassiba Ben Bouali est alors obligée de quitter son domicile et de rejoindre la Casbah, citadelle de la révolution quadrillée par la soldatesque coloniale.

 

C’est à ce moment que la répression à Alger s’accentua. Les autorités françaises voulaient en finir avec les réseaux urbains du FLN, qui semaient la panique dans les milieux des colons et dont les actions spectaculaires jouissaient d’une grande audience internationale.

 

En février 1957, Larbi Ben M’hidi, chef de la zone autonome d’Alger, avait été arrêté et assassiné. D’autres arrestations eurent lieu les mois suivants.

 

Le 8 octobre 1957, Hassiba Ben Bouali se trouvait dans une cache au numéro cinq des la rue des Abderames, en plein coeur de la Casbah, en compagnie d’Ali la Pointe et du petit Omar, âgé de douze ans. A la tombée de la nuit, la maison fut encerclée par les parachutistes français.

 

On somma les trois fedayins de se rendre. Devant leur refus, les soldats français firent sauter la maison. Hassiba Ben Bouali et ses compagnons périrent sons les décombres ainsi que 17 Algériens dont les maisons furent soufflées par l’explosion.

 

Le martyre de Hassiba Ben Bouali devint un motif supplémentaire de la détermination du peuple algérien ainsi qu’une illustration éclatante de la participation de la femme algérienne au combat libérateur.

 

« Physiquement, Hassiba n’avait pas le type mauresque. Elle avait les yeux bleus, très belle fille. Elle avait les cheveux très clairs qu’on a teints en roux avec du henné. Elle s’est transformée en une « fatma » de la casbah avec le pantalon bouffant. Elle était à la Casbah le temps que la filière s’organise pour peut-être ensuite rejoindre la Tunisie. Mais est intervenue la bataille d’Alger… », poursuit Zohra Drif. « Elle était mince mais avait beaucoup d’endurance, car ce n’est pas évident de vivre pendant un an enfermé dans une maison, portant le haïk pour se déplacer. Le danger… Elle avait une capacité d’adaptation incroyable malgré sa provenance d’un milieu bourgeois.

 

Mais cela prouve que nous étions un peuple sans barrière sociale ni différence. Elle avait de la suite dans les idées. ça restait une très jeune fille, très romanesque et idéaliste. » Zohra Drif, qui s’est remise de ses émotions en évoquant Hassiba et ses compagnons morts, a brusquement les yeux embués et la voix ténue. « Quand les paras sont arrivés ce fameux jour au 5, rue des abderames, alors que les frères étaient dans la cache, ils ont pris le mégaphone et ont dit à Hassiba qu’elle pouvait sortir, qu’ils ne lui feront aucun mal. Elle avait le choix. Elle a répliqué : ‘‘Je préfère mourir avec mes frères’’ », murmure d’une voix étranglée Zohra Drif. Hassiba Ben Bouali avait alors 19 ans.

 

- C'est en lisant des histoires ainsi qu'on a vraiment honte du peu qu'on a accompli.

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Guest Tiziri Bleue
Ah bon !! voici le lien des photos

 

The Algerian Museum Online / Le musée de l'Algérie en ligne

 

 

Justement, tu ne m'as pas compris, certaines photos ne sont pas pudiques, je parle des seins nus, oui des Algériennes :confused: j'ai éviter de les poster ici ! :D

 

Ah :04:

Je pense c’était moins moche que celles qu on voit aujourd’hui sur certain site...Moins ' coup de marteau" ( j'appelle ça comme ça):D

 

oui évites sinon tu risques de voir tomber la foudre sur ce topic..:mdr:

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Guest ameno

Ourida MEDDAD - La rose de la révolution Allah Yer7am

 

Assassinée par les soldats français en 1957 à l'âge de 16 ans

La Chahida de la guerre d’ ALGERIE, Ourida MEDDAD, défenestrée par les paras tortionnaires à l’école SARROUY de SOUSTARA le jeudi 29 août 1957 a été victime des tortionnaires Schmitt, Fleutiot et consorts qui ont bafoué et la Déclaration des droits de l'homme et la Convention de Genève.

 

Chahida Ourida Meddad

Ourida+Meddad+%28sur+blogspot%29.JPG

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Guest Tiziri Bleue

Bonjour Louva

 

- C'est en lisant des histoires ainsi qu'on a vraiment honte du peu qu'on a accompli.

 

Pourquoi honte..??

 

Par rapport ce qu'elles ont accomplis...?

Ou

PaR rapport a ton ou notre quotidien qu on accompli ou avons accompliS??

:rolleyes:

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Ah :04:

Je pense c’était moins moche que celles qu on voit aujourd’hui sur certain site...Moins ' coup de marteau" ( j'appelle ça comme ça):D

 

oui évites sinon tu risques de voir tomber la foudre sur ce topic..:mdr:

 

Oh !! je le sais ;)

 

Sinon lorsqu'on lit les biographies de ces grandes femmes, on aperçoit qu'elles sont mortes jeunes, 19 ans, 16 ans, j'admire leurs courages. :confused:

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Guest ameno

La Chahida Malika Gaïd Allah Yer7ham

 

P100828-05.jpg

 

Qui est Malika Gaïd?

 

C´est avant tout une Algérienne, de ces Algériennes avec un caractère trempé qui, reniant le confort relatif d´une vie familiale, renonçant à sa jeunesse ou plutôt la sacrifiant, décide de répondre à l´appel de la liberté pour son pays. Malika Gaïd est une martyre de la guerre d´Algérie née en 1934 à Belcourt et dont la famille est originaire de Timenguache, un village de Beni Yaâla, près de Guenzet, dans la wilaya de Sétif.

 

Elle est une des figures de la résistance des femmes durant la Révolution algérienne. Elle est parmi celles qui ont sacrifié leur jeunesse pour un idéal de liberté, de justice et de dignité. Incorporée dans les rangs de l´ALN en tant qu´infirmière, elle mourut les armes à la main dans une grotte-hôpital dans la région de Iwakouren pres de M´chedallah.

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Guest Tiziri Bleue

Cherry

 

Oh !! je le sais ;)

 

Sinon lorsqu'on lit les biographies de ces grandes femmes, on aperçoit qu'elles sont mortes jeunes, 19 ans, 16 ans, j'admire leurs courages. :confused:

 

 

OUI triste de mourir jeunes, mais tout à leur honneur de l"être pour des grandes causes...Surtout l époque ou elles ont vécues..Bcp de courage

 

On leur doit bcp !

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Guest Louva
Pourquoi honte..??

 

Par rapport ce qu'elles ont accomplis...?

Ou

PaR rapport a ton ou notre quotidien qu on accompli ou avons accompliS??

:rolleyes:

 

- C'est évident non?, honte du glandage qui parasite not' vie alors que d'autres en ont donné un sens à leurs vies :rolleyes: (PS: je ne sais pas ce que les autres ont fait d'extraordinaire, mais je parle pour ma petite personne)

 

- Bonjour :)

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Guest ameno

Bedj Messaouda dite Meriem Allah Yer7am Chahida

 

Bedj Messaouda dite Meriem, l'une des soeurs Bedj. Martyres de la Revolution Algérienne. Ici avec sa soeur..

arton2235-f0b23.jpg

 

C'est l'une des deux jeunes filles bien élevées au sein d'une famille honorable originaire de Laghouat (Algérie) installée a Orleansville (Chlef) où elles sont nées et ont vecu. Leur conduite était appréciée de tous. Messaouda, l'aînée des deux soeurs a pris le maquis en 1956 après l'appel du FLN a la grève des etudiants. Elle rejoint les rangs de l'ALN dans la zone 1 de la wilaya 4 où était acheminée la majeure partie des etudiants grevistes qui avaient opté pour la lutte armée.

 

Elle a traversé les monts de Blida, puis le Zaccar pour se fixer dans le Dahra dans le Djbel Bissa en automne 1956. Elle était la principale animatrice du 1 er service de santé organisé par le Dr Harmouche ( Si Said) aidé par Khatib Youcef ( Si Hassan), plus tard colonel de l'ALN. Courageuse, dynamique , elle n'a jamais failli a sa tâche.

 

Dans le Dahra, elle a laissé le souvenir d'une djoundia qui honore la femme Algérienne. C'est là qu'en 1958, elle tomba au champ d'honneur. Elle a tout abondonné : le confort dans lequel elle vivait, ses études alors qu'elle allait avoir son diplôme de sage femme à Alger. Messaouda était la première femme à Orleanville a rejoindre le maquis. Elle a tout sacrifié pour l'honneur. Elle a choisi la mort pour l'amour et la liberté de son cher pays.

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Guest Tiziri Bleue
- C'est évident non?, honte du glandage qui parasite not' vie alors que d'autres en ont donné un sens à leurs vies :rolleyes: (PS: je ne sais pas ce que les autres ont fait d'extraordinaire, mais je parle pour ma petite personne)

 

- Bonjour :)

 

Ah :mdr:

oui à coté de ses femmes nous sommes de vraies glandeuses je confirme...

et dire qu on se plains pour le moindre bobo :rolleyes:

 

Mais bon l'époque était différente, il fallait ses actions, ses femmes ses hommes, sinon encore aujourd’hui ......:( mon dieu, je préfère pas y penser !

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Guest Tiziri Bleue

Ameno

 

Bedj Messaouda dite Meriem, l'une des soeurs Bedj. Martyres de la Revolution Algérienne. Ici avec sa soeur..

arton2235-f0b23.jpg

 

C'est l'une des deux jeunes filles bien élevées au sein d'une famille honorable originaire de Laghouat (Algérie) installée a Orleansville (Chlef) où elles sont nées et ont vecu. Leur conduite était appréciée de tous. Messaouda, l'aînée des deux soeurs a pris le maquis en 1956 après l'appel du FLN a la grève des etudiants. Elle rejoint les rangs de l'ALN dans la zone 1 de la wilaya 4 où était acheminée la majeure partie des etudiants grevistes qui avaient opté pour la lutte armée.

 

Elle a traversé les monts de Blida, puis le Zaccar pour se fixer dans le Dahra dans le Djbel Bissa en automne 1956. Elle était la principale animatrice du 1 er service de santé organisé par le Dr Harmouche ( Si Said) aidé par Khatib Youcef ( Si Hassan), plus tard colonel de l'ALN. Courageuse, dynamique , elle n'a jamais failli a sa tâche.

 

Dans le Dahra, elle a laissé le souvenir d'une djoundia qui honore la femme Algérienne. C'est là qu'en 1958, elle tomba au champ d'honneur. Elle a tout abondonné : le confort dans lequel elle vivait, ses études alors qu'elle allait avoir son diplôme de sage femme à Alger. Messaouda était la première femme à Orleanville a rejoindre le maquis. Elle a tout sacrifié pour l'honneur. Elle a choisi la mort pour l'amour et la liberté de son cher pays.

 

Ameno

Une question bête stp

connait-on le nombres de femmes mortes à cette époque là pour le pays...??

Tu le connais ce nombre???

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Guest Arts&Crafts

Pourquoi mes messages ne sont pas visibles ? :confused:

je dois attendre 2jours pour les voir:confused:

 

 

 

 

je tiens à remercier Ameno pour le travail qu'il l'a fait , de nous présenter ces femmes courageuses qui ont sacrifié leur jeunesse pour leur cher pays .

 

un plaisir de lire tout ça .

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Guest mounir 19
Le topic aurait du démarrer en montrant les deux extrêmes, l'importation de l'occidentalisation à outrance, et celle des mœurs et tenues venues d'Arabie...

Il eut été plus sain, et surtout, il aurait montré que celui-ci n'était pas à but encore un énième fois de s'attaquer à l'islam...

Les personnes comme tu dis haineuses, ne seraient même pas venues pour intervenir..pour se lâcher sur l'islam comme à leur accoutumée...

 

.............

 

oui ca aurait été bien mais bon comment veux tu que ca se concrétise alors que dès que tu ose les contredire ca te taxe de tous les surnom sans parler des insultes et la meilleur c'est que ca lance des ouilles ouilles en même temps ajib !

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Guest blood-n-sugar
Ah bon !! voici le lien des photos

 

The Algerian Museum Online / Le musée de l'Algérie en ligne

 

 

Justement, tu ne m'as pas compris, certaines photos ne sont pas pudiques, je parle des seins nus, oui des Algériennes :confused: j'ai éviter de les poster ici ! :D

 

Merci pour ce lien Cherry!!! J'apprécie, je viens de regarder une 30aine de pages....

 

Il y a quelque chose qui me surprend: les tenues sont tellement éloignées du hidjeb, djilbeb, niqab que l'on voit aujourd'hui partout. Qu'est-ce qui est arrivé?

Je trouve à toutes ces femmes une prestance, une assurance, une fierté, elles se tiennent droites, se montrent, s'assument, je ne le vois pas dans les photos de société actuelle. Qu'est -ce qui est arrivé?

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Guest ameno
Ameno

Une question bête stp

connait-on le nombres de femmes mortes à cette époque là pour le pays...??

Tu le connais ce nombre???

Personnellement je ne connais pas leur nombre, mais une chose est certaine, sans le courage inouï de nos chères Chahida, connues, comme anonymes, nous ne serions peut-être pas libres aujourd'hui..

Les Femmes Algériennes ont répondu présent par deux fois lorsque notre pays fut en danger....Pour la libération de celui-ci et contre l’obscurantisme du fis..

Elles étaient belles, elles étaient jeunes, et ont choisi de faire le sacrifice de leur vie pour nous..notre pays..Même s'il est imparfait, aimons le de tout notre coeur, nous leur devons au moins cela...

 

Je m'incline devant la mémoire de ces valeureuses jeunes femmes, que nous ne devons jamais oublié, jamais...:confused:

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Guest Louva
.............

 

oui ca aurait été bien mais bon comment veux tu que ca se concrétise alors que dès que tu ose les contredire ca te taxe de tous les surnom sans parler des insultes et la meilleur c'est que ca lance des ouilles ouilles en même temps ajib !

 

- Hafid rabbi* Pourquoi tu rallumes la brèche?

 

* Oui, j'ai dis hafid rabbi, y a un problème?

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Guest ameno
Pourquoi mes messages ne sont pas visibles ? :confused:

je dois attendre 2jours pour les voir:confused:

 

 

 

 

je tiens à remercier Ameno pour le travail qu'il l'a fait , de nous présenter ces femmes courageuses qui ont sacrifié leur jeunesse pour leur cher pays .

 

un plaisir de lire tout ça .

On le leur doit bien.......
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Guest mounir 19
- Hafid rabbi* Pourquoi tu rallumes la brèche?

 

* Oui, j'ai dis hafid rabbi, y a un problème?

 

...........

 

je vais faire semblant de n'avoir rien lu ! :closedeyes:

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Guest Tiziri Bleue

Ameno

 

Personnellement je ne connais pas leur nombre, mais une chose est certaine, sans le courage inouï de nos chères Chahida, connues, comme anonymes, nous ne serions peut-être pas libres aujourd'hui..

Les Femmes Algériennes ont répondu présent par deux fois lorsque notre pays fut en danger....Pour la libération de celui-ci et contre l’obscurantisme du fis..

Elles étaient belles, elles étaient jeunes, et ont choisi de faire le sacrifice de leur vie pour nous..notre pays..Même s'il est imparfait, aimons le de tout notre coeur, nous leur devons au moins cela...

 

Je m'incline devant la mémoire de ces valeureuses jeunes femmes, que nous ne devons jamais oublié, jamais...:confused:

 

Merci Ameno

.. on risque pas, car c'est grâce à ses sacrifices ,qu'aujourd’hui notre " Identité" existe !

 

Merci Ameno du partage :40:

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Guest ameno
Merci Ameno

.. on risque pas, car c'est grâce à ses sacrifices ,qu'aujourd’hui notre " Identité" existe !

 

Merci Ameno du partage :40:

Cultive cette mémoire, transmet la....c'est le plus bel honneur que tu rendras à nos chères Chahidas...:)
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Merci pour ce lien Cherry!!! J'apprécie, je viens de regarder une 30aine de pages....

 

Il y a quelque chose qui me surprend: les tenues sont tellement éloignées du hidjeb, djilbeb, niqab que l'on voit aujourd'hui partout. Qu'est-ce qui est arrivé?

Je trouve à toutes ces femmes une prestance, une assurance, une fierté, elles se tiennent droites, se montrent, s'assument, je ne le vois pas dans les photos de société actuelle. Qu'est -ce qui est arrivé?

 

Avec plaisir, si ça te permet de découvrir juste un tout petit peu l'Algérie, pourquoi pas ? :)

 

Pour ta question, je ne suis pas vraiment une sociologue, je connais pas vraiment la société a cet époque, est ce que ces femmes représentent toutes les femmes de cette époque ? je ne sais pas.

 

Je sais seulement que le hidjab et le djilbab, n'était pas présent a cet époque, pour moi, et je dis bien selon mon opinion, que ces deux phénomène ont plus explosé durant la décennie noire, avec le Fis, l'influence des médias de l'AS, les chaines islamiques, le wahabisme et tout, car comme tu vois en image, ces grandes femmes postés par Ameno, morte pour le pays, aucune d'elles ne portent de djilaba ou niquab, il n y avait pas cette intégrisme qui existe maintenant, c'est les vraies Algériennes, elles sont traditionnelles, ouvertes d'esprit, libres, peut être elles s’habillent comme les occidentales, mais elles étaient algériennes avant tout, ni occidentale ni orientale !

 

Maintenant ce n'était que mon point de vue, j’espère que ça va t'aider un peu a comprendre le pourquoi du changement !

 

Pour les autres qui ne sont pas d'accord avec moi, merci d'ignorer ce post, pour éviter que ça part en flèche :)

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Guest Tiziri Bleue

Ameno

 

Cultive cette mémoire, transmet la....c'est le plus bel honneur que tu rendras à nos chères Chahidas...:)

 

Je fais tout pour.....ça risque pas j oublie..et mon entourage ne le voudrais pas..sourireBiss

 

Pour transmettre, inchallah ça viendra..:)

 

 

 

mERCI encore !

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