Guest mounir 19 Posted June 9, 2012 Partager Posted June 9, 2012 c ceux qui connaissent le moins ou pas du tout l'algerie qui en parlent le plus ........... c'est ce que j'ai remarquer aussi ! :mdr: Citer Link to post Share on other sites
taki 10 Posted June 9, 2012 Author Partager Posted June 9, 2012 Lalla Fadhma N'Soumer Assia Djebar Bienvenue Sephia:) Citer Link to post Share on other sites
Guest mounir 19 Posted June 9, 2012 Partager Posted June 9, 2012 c'est une des raisons pour lesquelles je me suis inscrite ici...Voulant visiter l'Algérie hors des sentiers battus, je voulais me faire une idée de "l'esprit" algérien...c'est en effet sur place et au coeur d'une famille qui acceptera de nous recevoir ( gite, si c'est possible) que je pourrais assouvir mon désir d'en apprendre plus... ............. incha'allah que ca se concrétisera y a pas mieux ... Citer Link to post Share on other sites
taki 10 Posted June 9, 2012 Author Partager Posted June 9, 2012 Hassiba Ben Bouali Fatima Zohra Ardjoun Maissa Bey Citer Link to post Share on other sites
Séphia 896 Posted June 9, 2012 Partager Posted June 9, 2012 le peuple algérien est trés sociable et trés serviable aussi pourvu qu'on le respect je peut dire trés accueillant aussi pour les costumes voila un liens pour que tu puisse voire tout genre de costumes pour femme ou tenue ci tu veut tenue de la femme algérienne traditionel - Recherche Google oh merci Sage des Sages... j'aime beaucoup les tenues traditionnelles, elles ont une histoire à nous raconter... A Taki : Merci Citer Link to post Share on other sites
Le sage des sages 10 Posted June 9, 2012 Partager Posted June 9, 2012 meriem bouatoura Citer Link to post Share on other sites
Guest blood-n-sugar Posted June 9, 2012 Partager Posted June 9, 2012 As, les tenues traditionnelles que tu as postées sont belles, peux-tu nous éclairer un peu sur leurs origines (endroit, histoire, occasion pour les porter) Taki, toutes ces femmes que tu postes, tu peux nous dire 1 mot sur qui elles sont et ce qu'elles ont fait? Merci beaucoup Citer Link to post Share on other sites
Guest Arts&Crafts Posted June 9, 2012 Partager Posted June 9, 2012 HASSIBA BEN BOUALI Née le 18 janvier 1938 à El-Asnam (aujourd'hui Chlef), Hassiba Ben Bouali y entama ses études primaires, qu'elle poursuivit à l'école Aïn Zerga, à Alger, où ses parents s'étaient installés en 1947. Elle obtient le certificat d'études primaires en 1950 et entre au lycée Pasteur (aujourd'hui annexe de la Faculté Centrale), où elle y étudia jusqu’en deuxième année. De nombreux témoignages la présentent comme une adolescente particulièrement éveillée, curieuse et sensible. C'est ainsi que, par le biais du scoutisme, elle effectue de grandes randonnées à travers le pays et découvre les conditions déplorables de vie de la paysannerie algérienne. L'étalage de l'injustice la révolte profondément. Hassiba Ben Bouali rêvait de devenir infirmière mais elle ne put que s'employer dans un bureau social, où elle complétera sa vision de la situation des Algériens. Sa prise de conscience l'amène à militer dès l’âge de seize ans an sein de l’Union Générale des Etudiants Musulmans Algériens. Dès lors, elle s'impliquera de plus en plus dans le combat nationaliste, et, vers la fin de l'année 1956, elle intégra avec d'autres jeunes filles un des réseaux des fedayins qui se distinguèrent durant la bataille d'Alger. Elle fit ainsi parties d'un groupe chargé de fabriquer des bombes et de les déposer sur les lieux d'opération. Mais les services de renseignement français finirent par recueillir des informations sur ce groupe. L'atelier clandestin de fabrication des bombes est aussitôt investi tandis que de nombreuses arrestations ont lieu. Hassiba Ben Bouali est alors obligée de quitter son domicile et de rejoindre la Casbah, citadelle de la révolution quadrillée par la soldatesque coloniale. C'est à ce moment que la répression à Alger s'accentua. Les autorités françaises voulaient en finir avec les réseaux urbains du FLN, qui semaient la panique dans les milieux des colons et dont les actions spectaculaires jouissaient d'une grande audience internationale. En février 1957, Larbi Ben M'hidi, chef de la zone autonome d'Alger, avait été arrêté et assassiné. D'autres arrestations eurent lieu les mois suivants. Le 8 octobre 1957, Hassiba Ben Bouali se trouvait dans une cache au numéro cinq des la rue des Abderames, en plein coeur de la Casbah, en compagnie d'Ali la Pointe et du petit Omar, âgé de douze ans. A la tombée de la nuit, la maison fut encerclée par les parachutistes français. On somma les trois fedayins de se rendre. Devant leur refus, les soldats français firent sauter la maison. Hassiba Ben Bouali et ses compagnons périrent sons les décombres ainsi que 17 Algériens dont les maisons furent soufflées par l'explosion. Le martyre de Hassiba Ben Bouali devint un motif supplémentaire de la détermination du peuple algérien ainsi qu'une illustration éclatante de la participation de la femme algérienne au combat libérateur. Allah yarham Achouhada ! Citer Link to post Share on other sites
Guest ameno Posted June 9, 2012 Partager Posted June 9, 2012 ............... on ne peut se faire une idée du pays via quelque pseudo surtout si derrière c'est derniers il se cache des personnes haineuse complexé ou souffrant d'un complexe d’infériorité entre autres ... y a pas mieux que le sur place et la fréquentation la seulement tu pourra te faire ta propre idée ... Le topic aurait du démarrer en montrant les deux extrêmes, l'importation de l'occidentalisation à outrance, et celle des mœurs et tenues venues d'Arabie... Il eut été plus sain, et surtout, il aurait montré que celui-ci n'était pas à but encore un énième fois de s'attaquer à l'islam... Les personnes comme tu dis haineuses, ne seraient même pas venues pour intervenir..pour se lâcher sur l'islam comme à leur accoutumée... Citer Link to post Share on other sites
Guest ameno Posted June 9, 2012 Partager Posted June 9, 2012 Femmes de Djelfa Citer Link to post Share on other sites
cherry blossom 10 Posted June 9, 2012 Partager Posted June 9, 2012 Une jeune femme juive d'Algérie, Constantine, 1890 Une jeune femme juive d'Algérie, 1880 Une jeune femme Kabyle, 1880 Une jeune femme a Alger 1892 :nopity: Citer Link to post Share on other sites
Guest ameno Posted June 9, 2012 Partager Posted June 9, 2012 Femme de Biskra Femme d'Alger en 1875 Femme Kabyle en 1875 Femme D'un village d'Algérie en 1850 Citer Link to post Share on other sites
Guest Tiziri Bleue Posted June 9, 2012 Partager Posted June 9, 2012 Une jeune femme juive d'Algérie, Constantine, 1890 Une jeune femme juive d'Algérie, 1880 Une jeune femme Kabyle, 1880 Une jeune femme a Alger 1892 :nopity: Bonjour Cherry Une jeune femme Kabyle, 1880 je connais cette photo, je l aime bcp merci du partage, toutes sont magnifiques merci :40: Citer Link to post Share on other sites
Guest ameno Posted June 9, 2012 Partager Posted June 9, 2012 Femme de Biskra en 1895 Femmes des Aures en 1910 femme de la tribu des Ouled Nail, Algérie,1880 Algérienne en 1875 Citer Link to post Share on other sites
Guest Tiziri Bleue Posted June 9, 2012 Partager Posted June 9, 2012 Bonjour Ameno Sublimes photos.. Merci, un plaisir d admirer ca! :40: Citer Link to post Share on other sites
Guest ameno Posted June 9, 2012 Partager Posted June 9, 2012 Sublimes photos.. Merci, un plaisir d admirer ca! :40: Bonjour Sarah.. C'est un plaisir:) Citer Link to post Share on other sites
taki 10 Posted June 9, 2012 Author Partager Posted June 9, 2012 As, les tenues traditionnelles que tu as postées sont belles, peux-tu nous éclairer un peu sur leurs origines (endroit, histoire, occasion pour les porter) Taki, toutes ces femmes que tu postes, tu peux nous dire 1 mot sur qui elles sont et ce qu'elles ont fait? Merci beaucoup Avec plaisir : Lalla fadhma N'Soumer surnommée la Jeanne d'Arc du djurdjura est l’héroïne de la résistance à l'occupation française dans les hautes montagnes de kabylie entre 1850 et 1857, elle affronte avec courage et détermination les armées du maréchal Randon. Sa personnalité s'affirme à l'adolescence quand elle refuse tous les prétendants qui se présentent à elle. Ses parents excédés car voulant à tout prix la marier pour répondre ainsi au dictat de la société de l'epoque (et d'aujoud'hui:D) l'enferment dans un placard pendant quelques jours. elle finit par céder à la pression et epousa son cousin, mais loin d’être docile, elle refusa de consommer le mariage et fut répudiée peu de jours après :D Assia Djebbar écrivaine et réalisatrice Algérienne, auteur de plusieurs romans dont le blanc de l’Algérie, la Femme sans sépulture et loin de Médine . Je te conseille de lire ses oeuvres tu en apprendras bien mieux sur l’Algérie ... « J’écris comme tant d’autres femmes écrivains algériennes avec un sentiment d’urgence, contre la régression et la misogynie. » Fatma Zohra Ardjoun, première femme algérienne general de l'ANP. Citer Link to post Share on other sites
cherry blossom 10 Posted June 9, 2012 Partager Posted June 9, 2012 Bonjour Cherry je connais cette photo, je l aime bcp merci du partage, toutes sont magnifiques merci :40: Avec plaisir, le plus beau c'est la diversité qui existait avant, les juifs et les musulmans (tous les deux Algériens) cohabitaient ensemble, il y a beaucoup de photos de ce genre dans le net, les ouled nail, les kabyles, les moresques, les juifs, la chawis, les algéroises...., toutes différente, chacune ses habits, ses bijoux, on dirait pas le même pays, il y a certaines pas très pudiques, j'évite de les poster, on sait jamais, bref, c'est très beau, je peut dire que trop de choses ont changé ! :confused: Citer Link to post Share on other sites
taki 10 Posted June 9, 2012 Author Partager Posted June 9, 2012 Merci à tous pour les photos :D Pouvez vous apporter des commentaires pour chacune d'entre elle Cherry ma chérie, pour les tiennes je ne vois que des grenouilles:( Citer Link to post Share on other sites
Guest Tiziri Bleue Posted June 9, 2012 Partager Posted June 9, 2012 Cherry Avec plaisir, le plus beau c'est la diversité qui existait avant, les juifs et les musulmans (tous les deux Algériens) cohabitaient ensemble, il y a beaucoup de photos de ce genre dans le net, les ouled nail, les kabyles, les moresques, les juifs, la chawis, les algéroises...., toutes différente, chacune ses habits, ses bijoux, on dirait pas le même pays, il y a certaines pas très pudiques, j'évite de les poster, on sait jamais, bref, c'est très beau, je peut dire que trop de choses ont changé ! :confused: Oui je connais ou trouver ses photos tu parles... oui très pudiques mais très sensuelles à la fois.. c’était le charme d'antan pudiques et charmeuses à la fois, mais tellement belles :o oui tout à changé, mais reste des souvenirs des choses partout pour éviter qu on oublie... Merci encore je trouve ca sublime, derrière chaque femme un charme inexplicable... c’était ca le belle diversité de l algérienne ! Citer Link to post Share on other sites
Guest Louva Posted June 9, 2012 Partager Posted June 9, 2012 - C'est l'impression noir et blanc, ou elles avaient une peau Nickel? :o Citer Link to post Share on other sites
Guest ameno Posted June 9, 2012 Partager Posted June 9, 2012 Hassiba Ben Bouali Allah Yer7am Chouhadas Témoignages de Zohra Drif sa compagne d’armes Née le 18 janvier 1938 à El-Asnam (aujourd’hui Chlef), Hassiba Ben Bouali y entama ses études primaires, qu’elle poursuivit à l’école Aïn Zerga, à Alger, où ses parents s’étaient installés en 1947. Elle obtient le certificat d’études primaires en 1950 et entre au lycée Pasteur (aujourd’hui annexe de la Faculté Centrale), où elle y étudia jusqu’en deuxième année. De nombreux témoignages la présentent comme une adolescente particulièrement éveillée, curieuse et sensible. C’est ainsi que, par le biais du scoutisme, elle effectue de grandes randonnées à travers le pays et découvre les conditions déplorables de vie de la paysannerie algérienne. L’étalage de l’injustice la révolte profondément. Hassiba Ben Bouali rêvait de devenir infirmière mais elle ne put que s’employer dans un bureau social, où elle complétera sa vision de la situation des Algériens. Sa prise de conscience l’amène à militer dès l’âge de seize ans an sein de l’Union Générale des Etudiants Musulmans Algériens. Dès lors, elle s’impliquera de plus en plus dans le combat nationaliste, et, vers la fin de l’année 1956, elle intégra avec d’autres jeunes filles un des réseaux des fedayins qui se distinguèrent durant la bataille d’Alger. Elle fit ainsi parties d’un groupe chargé de fabriquer des bombes et de les déposer sur les lieux d’opération. Mais les services de renseignement français finirent par recueillir des informations sur ce groupe. L’atelier clandestin de fabrication des bombes est aussitôt investi tandis que de nombreuses arrestations ont lieu. Hassiba Ben Bouali est alors obligée de quitter son domicile et de rejoindre la Casbah, citadelle de la révolution quadrillée par la soldatesque coloniale. C’est à ce moment que la répression à Alger s’accentua. Les autorités françaises voulaient en finir avec les réseaux urbains du FLN, qui semaient la panique dans les milieux des colons et dont les actions spectaculaires jouissaient d’une grande audience internationale. En février 1957, Larbi Ben M’hidi, chef de la zone autonome d’Alger, avait été arrêté et assassiné. D’autres arrestations eurent lieu les mois suivants. Le 8 octobre 1957, Hassiba Ben Bouali se trouvait dans une cache au numéro cinq des la rue des Abderames, en plein coeur de la Casbah, en compagnie d’Ali la Pointe et du petit Omar, âgé de douze ans. A la tombée de la nuit, la maison fut encerclée par les parachutistes français. On somma les trois fedayins de se rendre. Devant leur refus, les soldats français firent sauter la maison. Hassiba Ben Bouali et ses compagnons périrent sons les décombres ainsi que 17 Algériens dont les maisons furent soufflées par l’explosion. Le martyre de Hassiba Ben Bouali devint un motif supplémentaire de la détermination du peuple algérien ainsi qu’une illustration éclatante de la participation de la femme algérienne au combat libérateur. « Physiquement, Hassiba n’avait pas le type mauresque. Elle avait les yeux bleus, très belle fille. Elle avait les cheveux très clairs qu’on a teints en roux avec du henné. Elle s’est transformée en une « fatma » de la casbah avec le pantalon bouffant. Elle était à la Casbah le temps que la filière s’organise pour peut-être ensuite rejoindre la Tunisie. Mais est intervenue la bataille d’Alger… », poursuit Zohra Drif. « Elle était mince mais avait beaucoup d’endurance, car ce n’est pas évident de vivre pendant un an enfermé dans une maison, portant le haïk pour se déplacer. Le danger… Elle avait une capacité d’adaptation incroyable malgré sa provenance d’un milieu bourgeois. Mais cela prouve que nous étions un peuple sans barrière sociale ni différence. Elle avait de la suite dans les idées. ça restait une très jeune fille, très romanesque et idéaliste. » Zohra Drif, qui s’est remise de ses émotions en évoquant Hassiba et ses compagnons morts, a brusquement les yeux embués et la voix ténue. « Quand les paras sont arrivés ce fameux jour au 5, rue des abderames, alors que les frères étaient dans la cache, ils ont pris le mégaphone et ont dit à Hassiba qu’elle pouvait sortir, qu’ils ne lui feront aucun mal. Elle avait le choix. Elle a répliqué : ‘‘Je préfère mourir avec mes frères’’ », murmure d’une voix étranglée Zohra Drif. Hassiba Ben Bouali avait alors 19 ans. Citer Link to post Share on other sites
Guest blood-n-sugar Posted June 9, 2012 Partager Posted June 9, 2012 Avec plaisir : Lalla fadhma N'Soumer surnommée la Jeanne d'Arc du djurdjura est l’héroïne de la résistance à l'occupation française dans les hautes montagnes de kabylie entre 1850 et 1857, elle affronte avec courage et détermination les armées du maréchal Randon. Sa personnalité s'affirme à l'adolescence quand elle refuse tous les prétendants qui se présentent à elle. Ses parents excédés car voulant à tout prix la marier pour répondre ainsi au dictat de la société de l'epoque (et d'aujoud'hui:D) l'enferment dans un placard pendant quelques jours. elle finit par céder à la pression et epousa son cousin, mais loin d’être docile, elle refusa de consommer le mariage et fut répudiée peu de jours après :D Assia Djebbar écrivaine et réalisatrice Algérienne, auteur de plusieurs romans dont le blanc de l’Algérie, la Femme sans sépulture et loin de Médine . Je te conseille de lire ses oeuvres tu en apprendras bien mieux sur l’Algérie ... « J’écris comme tant d’autres femmes écrivains algériennes avec un sentiment d’urgence, contre la régression et la misogynie. » Fatma Zohra Ardjoun, première femme algérienne general de l'ANP. Merci Taki!! Lalla fadhma N'Soumer : Je vais faire des recherches sur cette femme, je crois que je l'aime déjà :D Citer Link to post Share on other sites
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