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Souvenir d'enfance ...


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Souvenirs d'enfance ... ( 1ère partie )

 

 

Il arrive à tout un chacun de faire un voyage dans le passé, un flash-back si l'on veut, pour mettre sous les lampions de la mémoire des personnes,hommes ou femmes , des

equipes,des troupes artistiques et autres qui portent en eux des fragments de l'histoire de sa ville natale ...

Et c'est ainsi que la lentille de notre memoire errante aura pour tache d'immortaliser des sequences d'une vie anterieure ,classee

dans le reliquaire de notre éphémeride...Je demanderais aux lecteurs d'excuser l'effusion de mon coeur sur cette irrésistible

vision des choses teintée de sensibilité et d'émotion ,mais a la dimension idealisée , parce qu'incomplète ,inachevée et nourrie

de l'ineffable nostalgie engendrée par les effets d'un bonheur juvenile,simple , fugace et si lointain deja...Et c'est en replacant

cote a cote ces fragments du passé qu'on perçoit assez distintement les images metaphoriques de la convivialité qui

défiait la précarité de la vie d'antan, et le passage inéluctable du temps sur des etres et des choses dont la présence est

promise , de toute éternité, aux inexorables et impitoyables flétrissures ...

Ainsi donc, l'objectif de notre visionneuse se gardera bien d'etaler les tares et les vices des gens, car cela serait de la pure

médisance, mais de s'attarder sur les qualités et les vertus faites de modestie et d'humilité ,qui ont fait leur grandeur et leur

notoriété, meme si ce sont des hommes qui ont choisi de vivre dans la discrétion, et loin des projecteurs de la renommée...

Et justement, mon récit concerne un personnage qui m'a fortement impressionné durant mon enfance ...

A l'epoque ou cet homme était vivant

(Allah yarahmou), je n'étais qu'un gamin et lui deja octogénaire...Nous etions voisins au faubourg Lagraphe, ce quartier

populeux situé au nord-ouest de la ville de Bordj...Lagraphe , juché sur une colline, c'etait ces vieilles maisons aux tuiles rouges dont

la simplicité et la vétusté vous attirent par le contraste qu'elles présentent avec les villas cossues et les édifices flambant

neufs qui poussaient ca et la , temoins d'une volonte délibérée résolument orientée vers la modernité...Il faut dire qu'a l'epoque

Lagraphe c'etait d'abord et avant tout Ain-el-Baylek, point de ralliement de tous,jeunes et vieux...puis c'est les Drayes qui

longent l'oued qui traverse la ville du nord au sud...ensuite c'est la Remonte , enfin Hdjar -Souaci, ces énormes rochers gris

aux alentours desquels se cotoient , agglutinées sur le flanc d'un monticule, de modestes demeures qui n'avaient rien de

luxueux , mais dont les toits ont vu naitre des hommes et des femmes jaloux de la gloire des vertus et du reve de voir leur

patrie liberée des chaines de la tyrannie , de l'ignorance et de la misere...

Ce penchant nostalgique qui me caracterise m'amène à m'abandonner aux souvenirs évanescents de cette enfance que j'ai

passée au milieu de ces gens humbles mais o combien affables , modestes et généreux! Des souvenirs emportés par les

écumes de l'oubli et les vicissitudes du temps sont venus , tels des épaves , s'échouer sur les rivages brumeux de ma mémoire.

Dans ce quartier ou j'ai laissé une partie de moi-meme, j'ai cotoyé des gens de bien, et ou la vie s'ecoulait tellement quiète et

tellement paisible que, dans un instant de méditation, je me prenais a m'interroger sur cette détermination des gens a donner tant

d'importance a l'education patriotique de leurs enfants, au respect des valeurs qui donnent toutes leurs forces a la société...J'avais fini

par comprendre que c'est l'impact positif de la Revolution sur les mentalités et les comportements...car il est juste de dire que

la révolution de Novembre avait eu le mérite d'éveiller une conscience

populaire anesthésiée, et a transformé chez les gens jusqu'a leur mode de pensée: de la confiance a la suspiscion...de la

passivité a la détermination...de la résignation a l'insoumission et de l'humiliation a la révolte...

 

================ A SUIVRE [/COLOR] =========================

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Guest D. ESSERHANE

@J O U D

 

.................................(recadré)

 

-------------------PREMIÈRE PARTIE---------------------------

 

 

Il arrive à tout un chacun de faire un voyage dans le passé, un flash-back si l'on veut, pour mettre sous les lampions de la mémoire des personnes,hommes ou femmes , des équipes,des troupes artistiques et autres qui portent en eux des fragments de l'histoire de sa ville natale ...Et c'est ainsi que la lentille de notre mémoire errante aura pour tache d'immortaliser des séquences d'une vie antérieure ,classée dans le reliquaire de notre éphéméride.

 

Je demanderais aux lecteurs d'excuser l'effusion de mon cœur sur cette irrésistible vision des choses teintée de sensibilité et d'émotion ,mais a la dimension idéalisée , parce qu'incomplète, inachevée et nourrie de l'ineffable nostalgie engendrée par les effets d'un bonheur juvénile,simple , fugace et si lointain déjà.

 

Et c'est en replaçant cote à cote ces fragments du passé qu'on perçoit assez distinctement les images métaphoriques de la convivialité qui défiait la précarité de la vie d'antan, et le passage inéluctable du temps sur des êtres et des choses dont la présence est promise , de toute éternité, aux inexorables et impitoyables flétrissures ...

 

Ainsi donc, l'objectif de notre visionneuse se gardera bien d’étaler les tares et les vices des gens, car cela serait de la pure médisance, mais de s'attarder sur les qualités et les vertus faites de modestie et d'humilité ,qui ont fait leur grandeur et leur notoriété, même si ce sont des hommes qui ont choisi de vivre dans la discrétion et loin des projecteurs de la renommée.

 

Et justement, mon récit concerne un personnage qui m'a fortement impressionné durant mon enfance ...

 

A l’époque où cet homme était vivant (Allah yarahmou), je n'étais qu'un gamin et lui déjà octogénaire...Nous étions voisins au faubourg Lagraphe, ce quartier populeux situé au nord-ouest de la ville de Bordj. Lagraphe, juché sur une colline, c’était ces vieilles maisons aux tuiles rouges dont la simplicité et la vétusté vous attirent par le contraste qu'elles présentent avec les villas cossues et les édifices flambant neufs qui poussaient ça et la, témoins d'une volonté délibérée résolument orientée vers la modernité...

 

Il faut dire qu'a l’époque Lagraphe c’était d'abord et avant tout, Ain-el-Baylek, point de ralliement de tous, jeunes et vieux. Puis c'est les Drayes qui longent l'oued qui traverse la ville du nord au sud. Ensuite c'est la Remonte. Enfin Hdjar -Souaci, ces énormes rochers gris aux alentours desquels se côtoient, agglutinées sur le flanc d'un monticule, de modestes demeures qui n'avaient rien de luxueux, mais dont les toits ont vu naître des hommes et des femmes jaloux de la gloire des vertus et du rêve de voir leur patrie libérée des chaines de la tyrannie, de l'ignorance et de la misère...

 

Ce penchant nostalgique qui me caractérise m'amène à m'abandonner aux souvenirs évanescents de cette enfance que j'ai passée au milieu de ces gens humbles, mais, o combien affables , modestes et généreux! Des souvenirs emportés par les écumes de l'oubli et les vicissitudes du temps sont venus, tels des épaves, s'échouer sur les rivages brumeux de ma mémoire.

 

Dans ce quartier où j'ai laissé une partie de moi-même, j'ai côtoié des gens de bien, et ou la vie s’écoulait tellement quiète et tellement paisible que, dans un instant de méditation, je me prenais à m'interroger sur cette détermination des gens à donner tant d'importance à l’éducation patriotique de leurs enfants, au respect des valeurs qui donnent toutes leurs forces à la société...

 

J'avais fini par comprendre que c'est l'impact positif de la Révolution sur les mentalités et les comportements, car il est juste de dire que la révolution de Novembre avait eu le mérite d'éveiller une conscience populaire anesthésiée, et a transformé chez les gens jusqu’à leur mode de pensée: de la confiance à la suspicion, de la passivité à la détermination, de la résignation à l'insoumission et de l'humiliation à la révolte...

 

A suivre

Youd

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Merci, je ne m'en lasserai jamais de te lire

 

Bonjour D.ESSERHANE ...

Merci infiniment pour l'insigne honneur dont tu me gratifies ... J'ai lu quelques uns de tes écrits sur recommandation d'une amie du forum : ils sont remarquables en tous points de vue ...

Merci aussi pour avoir recadré mon texte "souvenir d'enfance " , car je suis un néophyte en matière de manipulation de l'outil informatique ...

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Guest D. ESSERHANE
Bonjour D.ESSERHANE ...

Merci infiniment pour l'insigne honneur dont tu me gratifies ... J'ai lu quelques uns de tes écrits sur recommandation d'une amie du forum : ils sont remarquables en tous points de vue ...

Merci aussi pour avoir recadré mon texte "souvenir d'enfance " , car je suis un néophyte en matière de manipulation de l'outil informatique ...

 

Oh, tu sais, je n'ai jamais fait de littérature, Youd, mais, j'aime, lorsque je m'ennuie, raconter des histoires, parfois, sans queue, ni tête, souvent pour noyer mes soucis et ne pas faire autre chose de plus ennuyeux. En les remontant, un peu plus tard, j'ai toujours l'impression que je suis lamentable et qu'il me manque assez de talent pour la littérature. Je suis toujours stagné dans mon style de flic.

 

En effet, en te lisant, j'ai l'agréable sensation que j'ai en face des yeux, un roman épistolaire digne des grands maitres. Tu as le don d'écrire. Je crois que tu as raté ta vocation d'écrivain.

 

Ne me remercie pas Youd. J'ai recadré tes écrits, parce qu'ils me plaisaient, c'était tout.

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@J O U D

 

.................................(recadré)

 

-------------------PREMIÈRE PARTIE---------------------------

 

 

Il arrive à tout un chacun de faire un voyage dans le passé, un flash-back si l'on veut, pour mettre sous les lampions de la mémoire des personnes,hommes ou femmes , des équipes,des troupes artistiques et autres qui portent en eux des fragments de l'histoire de sa ville natale ...Et c'est ainsi que la lentille de notre mémoire errante aura pour tache d'immortaliser des séquences d'une vie antérieure ,classée dans le reliquaire de notre éphéméride.

 

Je demanderais aux lecteurs d'excuser l'effusion de mon cœur sur cette irrésistible vision des choses teintée de sensibilité et d'émotion ,mais a la dimension idéalisée , parce qu'incomplète, inachevée et nourrie de l'ineffable nostalgie engendrée par les effets d'un bonheur juvénile,simple , fugace et si lointain déjà.

 

Et c'est en replaçant cote à cote ces fragments du passé qu'on perçoit assez distinctement les images métaphoriques de la convivialité qui défiait la précarité de la vie d'antan, et le passage inéluctable du temps sur des êtres et des choses dont la présence est promise , de toute éternité, aux inexorables et impitoyables flétrissures ...

 

Ainsi donc, l'objectif de notre visionneuse se gardera bien d’étaler les tares et les vices des gens, car cela serait de la pure médisance, mais de s'attarder sur les qualités et les vertus faites de modestie et d'humilité ,qui ont fait leur grandeur et leur notoriété, même si ce sont des hommes qui ont choisi de vivre dans la discrétion et loin des projecteurs de la renommée.

 

Et justement, mon récit concerne un personnage qui m'a fortement impressionné durant mon enfance ...

 

A l’époque où cet homme était vivant (Allah yarahmou), je n'étais qu'un gamin et lui déjà octogénaire...Nous étions voisins au faubourg Lagraphe, ce quartier populeux situé au nord-ouest de la ville de Bordj. Lagraphe, juché sur une colline, c’était ces vieilles maisons aux tuiles rouges dont la simplicité et la vétusté vous attirent par le contraste qu'elles présentent avec les villas cossues et les édifices flambant neufs qui poussaient ça et la, témoins d'une volonté délibérée résolument orientée vers la modernité...

 

Il faut dire qu'a l’époque Lagraphe c’était d'abord et avant tout, Ain-el-Baylek, point de ralliement de tous, jeunes et vieux. Puis c'est les Drayes qui longent l'oued qui traverse la ville du nord au sud. Ensuite c'est la Remonte. Enfin Hdjar -Souaci, ces énormes rochers gris aux alentours desquels se côtoient, agglutinées sur le flanc d'un monticule, de modestes demeures qui n'avaient rien de luxueux, mais dont les toits ont vu naître des hommes et des femmes jaloux de la gloire des vertus et du rêve de voir leur patrie libérée des chaines de la tyrannie, de l'ignorance et de la misère...

 

Ce penchant nostalgique qui me caractérise m'amène à m'abandonner aux souvenirs évanescents de cette enfance que j'ai passée au milieu de ces gens humbles, mais, o combien affables , modestes et généreux! Des souvenirs emportés par les écumes de l'oubli et les vicissitudes du temps sont venus, tels des épaves, s'échouer sur les rivages brumeux de ma mémoire.

 

Dans ce quartier où j'ai laissé une partie de moi-même, j'ai côtoié des gens de bien, et ou la vie s’écoulait tellement quiète et tellement paisible que, dans un instant de méditation, je me prenais à m'interroger sur cette détermination des gens à donner tant d'importance à l’éducation patriotique de leurs enfants, au respect des valeurs qui donnent toutes leurs forces à la société...

 

J'avais fini par comprendre que c'est l'impact positif de la Révolution sur les mentalités et les comportements, car il est juste de dire que la révolution de Novembre avait eu le mérite d'éveiller une conscience populaire anesthésiée, et a transformé chez les gens jusqu’à leur mode de pensée: de la confiance à la suspicion, de la passivité à la détermination, de la résignation à l'insoumission et de l'humiliation à la révolte..

 

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2ème partie

 

Souvenirs d'enfance : Sagesse et perspicacité d'un vieillard...

 

Parmi toutes les figures qui me sont pourtant toutes si chères pour m'avoir été familières , un vieil homme donc occupait une place de

choix dans mon petit univers d'enfant : c'était 3ammi Tahar auquel on adjoignait toujours le qualificatif "zemmouri" , par référence à son village d'origine...Je ne saurais oublier ce personnage qui n'est plus de ce monde...

Je garde en mémoire l'image statique d'un homme assis dans un vieux fauteuil ,au coin de son garage ou il vendait du bois et du charbon...

Il portait toujours une gandoura blanche, un pantalon large , une chemise et un burnous très fin ...c'etait sa tenue des quatre saisons , qu'il pleuve ou

qu'il vente...En dépit de son age avancé , 3ammi Tahar jouissait d'une excellente santé ...

On lisait tant de bonté dans ses yeux et sur tout son visage grassouillet ,au teint blanc ,avec deux fossettes sur les joues...Les rides qui sillonnaient sa

figure étaient disposées avec tant de grace qu'un artiste peintre en eut aussitot fait son profit...Elles laissaient deviner une vie calme et sereine , la

vie que menaient chez nous les gens de la vieille roche, simples et modestes

meme dans l'opulence...Sa bonne santé, il la tenait,disait-il, d'abord des longues années qu'il avaient passées aux Ponts et Chaussées comme ouvrier..

Des dizaines de fois il avait du faire le trajet a pied Zemmourah -Bordj aller et retour( 30 km) , lorsque le camion qui servait à transporter les ouvriers était en panne : les absences n'étant pas tolérées par l'administration coloniale...

L'homme n'etait pas du genre a mentir, sa profonde foi et la piété dont il était profondément imprégné le lui interdisaient...Il devait , en outre, sa bonne

santé a son régime alimentaire strict...En effet, 3ammi Tahar était un adversaire acharné de la goinfrerie et avait en horreur les bafreurs qui ne

vivaient que pour manger...Etant de la vieille race, il dépensait avec parcimonie et se contentait d'un repas frugal quelles qu'en fussent les

circonstances...Très estimé , et fortement respecté ,3ammi Tahar qui était

pourtant analphabete, avait cette capacité de discerner des qualités imperceptibles, des rapports anodins et des vélleités insoupconnées...

Pourvu d'un bon sens sanctifié , il était en mesure d'apporter un jugement sain a propos de situations conflictuelles complexes...

C''est pourquoi les gens faisaient appel a son arbitrage pour trancher des problèmes et dissiper des malentendus entre des familles , des voisins ou des

couples en désaccord...Il avait toujours l'oreille attentive et le sourire gracieux et savait poser les questions qu'il faut pour disséquer les réponses

des uns et des autres , inciter les antagonistes à la sagesse et parvenir , en définitive a déméler l'echeveau du desaccord et à reconcilier les deux parties.

Cet homme doué d'ingéniosité et d'un sens du discernement avéré , avait la capacité de résoudre des problèmes d'héritage complexes en ayant recours à une représentation arborescente des membres de la famille , qu'il réalisait à meme le sol , au moyen d'un bout de craie : le partage des biens est effectué avec précision , conformémént à la loi divine ... De temps à autre ,

instinctivement, et d'un geste serein qui donnait une fausse impression de nonchalance, 3ammi Tahar portait jusqu'à ses narines son pouce et son index

joints pour renifler profondément une pincée de tabac qu'il conservait dans une corne de bélier ...De sa main droite , il égrenait , machinalement et en

permanence, son chapelet qui ne le quittait jamais...

Je dois dire que , passer des moments en compagnie de cet homme hors du commun, c'était avoir la certitude de cotoyer la sagesse et de s'abreuver à

la source pure de la morale et de la foi...Toutes ses paroles étaient soigneusement enveloppées dans un respect immuable ,une sérénité qui

conféraient a ses propos un caracteère solennel et rassurant à la fois...

3ammi Tahar , tel que l'avais connu, insistait beaucoup sur la fidélite aux promesses et aux engagements, sur l'eloignement et le mépris pour la

la vengeance et l'étalage des défauts d'autrui...Il incitait ses interlocuteurs au respect du voisinage, et au soulagement des infortunés et des mal lotis...

Très attaché aux valeurs ancestrales , il faisait souvent référence, pour etayer ses propos , aux hadiths du prophète Mohamed (QLSSSL) qu'il

bénissait en toutes circonstances ...

 

Passer sous silence les immenses qualités humaines et morales de cet homme m'a paru une injure a la sagesse , a la modestie et à la discrétion des

comportements vertueux...N'ayant été ni un imam ni un érudit, 3ammi Tahar ,

ce vieil homme qui n'avait jamais connu les bancs de l'école , est un modèle de sagesse , de pureté et de grandeur d'ame...

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Guest Tiziri Bleue

Bonsoir Joud

 

Je comprends pourquoi ce souvenir d enfance t'es si cher...

Rencontrer un homme tel que 3ammi Tahar, n'est pas banal ..Il a su laisser dans ta mémoire et cœur sont admirable sagesse et sa façon de voir la vie, et aimer Dieu..

 

Tu me rappelle avec ton souvenirlorsque mon grand père (Allah yarahmou), nous il racontait le soir au coin du feu ses souvenirs....Quand c'est beaux et si sincère et sentant le vécu..Notre mémoire et sensibilité ne peut oublier...

 

 

Merci Joud

J'ai beaucoup aimé

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Très bel hommage Joud que tu fais à 3ammi Tahar, on n'oublie pas ce genre de personnage.

Et tu auras toujours quelque chose qui te le rappellera....un lieu, un mot ou une situation donnée.

Si tu as d'autres souvenirs à partager, je les lirais avec joie :)

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Guest NAZOO

merci Joud pour le partage de tes souvenirs d'enfance quelle chance tu as eu de cotoyer un homme tel que 3ammi Tahar rabbi yarahmou

 

c'est quand je lis ou j'entends des histoires comme celle ci que je suis réellement triste de ne pas avoir connu mes grands-pères rabbi yarhamhoum

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