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Le Maroc Kollabore avec le régime sioniste


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Un militant de gauche m'a averti de cette forme de Kollaboration insidieuse entre le Maroc (président en exercice du comité Al Quds censé protéger Jérusalem des visées impériales sionistes) et le Maître et seigneur de la Ligue arabe, j'ai nommé Israël.

 

"20 etudiants/tes MAROCAINS MUSULMANS font un sejour culturel et touristique a travers Israel, rencontrent des gens de tous les horizons, posent des questions, s'informent..."

 

Je donne raison à ce militant, car il est évident que ces cobayes du "dialogue" entre le loup et l'agneau n'iront certainement pas visiter le MUR qui sépare cyniquement les paysans de leurs terres tout en grignotant 10% supplémentaires de terres palestiniennes, les confiscations de terres, les routes réservées aux colons juifs, les humiliations aux barrages, les arrestations arbitraires, l'augmentation constante de la colonisation, les ratonnades par des colons surarmés contre les habitants, les incendies de mosquées, la terreur des habitants de Hébron...

 

Publié par Dé-manipulations

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Avec un gouvernement "islamiste" , le Makhzen pourra mieux faire passer la pilule (de la normalisation) ....:mdr::mdr:

 

le MAKHNEZ tu veux dire...:D:D

Sa sent le roussi pour momo donc il essaye multiplier les rapprochement avec l’extérieur pour protéger sa couronne....:confused:

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Comment collaborer avec le mouvement sioniste qui, dès le début, a reconnu la nécessite d'expulser les palestiniens. LIRE:

 

Face à ces voix marginales, raillées avec condescendance — des « belles âmes », des utopistes qui ne tiennent pas compte des réalités monstrueuses de l'Arabe (mais qui, de par leur existence même, peuvent s'avérer utiles, pour ceux qui les méprisent, à « démontrer » la nature humaniste de l'entreprise israélienne) —, face à ces voix plus souvent encore vilipendées avec agressivité (des « traîtres », des « déserteurs en temps de guerre », dixit le général Dan Haloutz en 2003), la vision ethniciste va, à l'inverse, influencer en profondeur non seulement les mentalités communes en Israël, mais aussi leurs représentations intellectuelles. Au congrès sioniste de Baie, en 1905, le délégué Ytzhak Epstein déclarait déjà : « Nous avons oublié un petit détail. Il y a, sur notre terre bien aimée, une nation entière, qui l'occupe depuis des centaines d'années et n'a jamais envisagé de la quitter. Nous sommes en train de commettre une grave erreur psychologique. [...] Tandis que nous éprouvons un amour très sincère pour la terre de nos ancêtres, nous oublions que la nation qui y vit aujourd'hui possède un cœur sensible et une âme aimante1. » Cet « oubli » initial est au cœur même de la fabrication de l'image de l'autre et de la conviction que sa « nature » est la source même de son comportement, soumis ou agressif, et que cette nature est une « constante culturelle » intrinsèque, indépendante de l'interaction avec l'immigrant juif (ou la puissance coloniale occupante), puis avec le citoyen israélien.

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