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MS Ladoz je ne peux pas discuter avec toi , tu es un populiste , les femmes et les enfants qui sont mort ils sont avec el quaida :confused::confused:

PS : t'as commencé à te documenter sur la Corée du nord ?

 

Ces femmes et enfants seraient toujours en vie si les Obama , Nethanyahu , Sarkozy (et maintenant Hollande) , Cameron , Al Seoud , l'éléphant moustachu du Qatar n'avaient pas envoyé ces terroristes en Syrie .

 

L'armée Syrienne fait tout ce qu'elle peut pour éviter ce genre de situations , autrement elle aurait carrément rasé ces zones rebelles , et rien ne prouve que les civils dont tu parles n'aient pas été assassinés par Al Qaida .

 

PS: Qu'est-ce que la Corée du Nord vient faire là-dedans?

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Ces femmes et enfants seraient toujours en vie si les Obama , Nethanyahu , Sarkozy (et maintenant Hollande) , Cameron , Al Seoud , l'éléphant moustachu du Qatar n'avaient pas envoyé ces terroristes en Syrie .

 

L'armée Syrienne fait tout ce qu'elle peut pour éviter ce genre de situations , autrement elle aurait carrément rasé ces zones rebelles , et rien ne prouve que les civils dont tu parles n'aient pas été assassinés par Al Qaida .

 

PS: Qu'est-ce que la Corée du Nord vient faire là-dedans?

 

La Corée Du Nord sera la prochaine cible des révolutions populaire contre les dictateurs tes amis ;)

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Guest mounir 73
Ces femmes et enfants seraient toujours en vie si les Obama , Nethanyahu , Sarkozy (et maintenant Hollande) , Cameron , Al Seoud , l'éléphant moustachu du Qatar n'avaient pas envoyé ces terroristes en Syrie .

 

L'armée Syrienne fait tout ce qu'elle peut pour éviter ce genre de situations , autrement elle aurait carrément rasé ces zones rebelles , et rien ne prouve que les civils dont tu parles n'aient pas été assassinés par Al Qaida .

 

PS: Qu'est-ce que la Corée du Nord vient faire là-dedans?

 

toujours aussi têtu Latoz ! :D

 

la dératisation est en court ! :mdr:

 

[YOUTUBE]?v=qVwMp0ddjsQ&feature=player_embedded[/YOUTUBE]

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Syrie: l'armée progresse à Alep

 

L'armée syrienne a pris le contrôle de la route menant à l'aéroport international d'Alep, rapporte vendredi la chaîne de télévision locale Surya."L'armée régulière a nettoyé les zones adjacentes à la route de l'aéroport des terroristes armés", indique la chaîne.Dans le même temps, de violents combats se poursuivent dans le quartier de Seïf al-Dawla à Alep. Les troupes loyalistes mènent également le "nettoyage définitif" dans les quartiers de Salaheddine et de Soukkari, où opèrent toujours des tireurs d'élite anti-Assad.

 

D'après le professeur de l'Université américaine de Beyrouth Timor Goksel interviewé par RIA Novosti, l'opposition syrienne a provoqué des combats à Alep dans l'espoir de pousser l'Occident à "une ingérence extérieure directe" en cas de pertes importantes parmi la population civile."Toutefois, cela n'a pas eu lieu. D'autre part, ils espéraient que les habitants de la ville rejoindraient peut-être les rangs de l'opposition. Mais cela n'a pas eu lieu non plus", a-t-il expliqué."L'Armée syrienne libre (opposition, ndlr) est incapable de défendre ses positions à Alep. Elle (…) sera contrainte de reculer d'Alep vers le nord pour y reprendre les tactiques de guérilla", a estimé l'interlocuteur de l'agence."Les autorités syriennes ne peuvent pas se permettre de perdre Alep. La perte d'Alep signifierait la perte du pays tout entier", a conclu M.Goksel.

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À Alep, la situation des rebelles « se dégrade de jour en jour » (Pierre Piccinin)

 

Par Guy Delorme, le 18 août 2012 InfoSyrie

 

À Alep, les rebelles sont acculés partout, et décimé quotidiennement. L’issue de la bataille n’est plus douteuse, si jamais elle l’a été….

 

Ce samedi les forces syriennes attaquaient toujours vigoureusement les positions ennemies dans l’ensemble du pays. Mais concentrons nous sur la « reine des batailles », Alep.

 

L’armée attaque à Alep, et aussi dans la région nord

 

Dans son édition du 17 août Sana rend compte de la destruction d’un groupe dans le quartier de Souleymanieh et d’un autre dans celui d’al-Kallaseh. Une autre opération sur le souk de Seil al-Dawleh, particulièrement disputé ces tout derniers jours, a causé la mort de plusieurs activistes, dont des étrangers.

En ce qui concerne les environs de la ville, et particulièrement la zone comprise entre Alep et la frontière turque où les rebelles ont pris pied dans plusieurs villes – Al-Bab, Azaz, Marea, Anadan -, I-Télé a diffusé ce matin des images – fournies par les rebelles – de l’attaque d’un convoi de l’armée progressant vers le poste-frontière de Bab al-Hawa, occupé voici un mois par un groupe de djihadistes internationaux : un rebelle réglementairement barbu explique que deux « brigades » ont attaqué le convoi. On distingue sur la route plusieurs blindés ; un engin blindé transport de troupes est détruit, et le convoi semble avoir dû rebrousser chemin. Mais cet incident est la preuve que l’armée n’a pas renoncé à la reconquête des positions perdues dans ce secteur. Par ailleurs la ville d’Azaz aurait à nouveau été bombardée ce samedi matin, si l’on en croit l’OSDH.

Voici le journal des événements de la télévision syrienne du 17 août, avec une longue intervention d’un envoyé spécial qui fait état de progrès de l’armée à Alep :

 

Et puis cette autre vidéo montrant la destruction d’une colonne motorisée ASL, dans un endroit non précisé, mais probablement dans la région d’Alep, vu que des incidents de cette nature y ont été fréquents ces derniers jours :

 

LiveLeak.com - ONE OF THE BEST VIDEOS FROM SYRIA

 

 

 

La stratégie victorieuse de l’armée, vue par P. Piccinin

 

Et puis l’on reparle ici de Pierre Piccinin, jeune universitaire belge qui avait défrayé la chronique, notamment celle d’Infosyrie, par sa volte-face sur la Syrie : d’articles et interventions critiques envers la désinformation, l’année dernière, Piccinin était passé, suite à un séjour dans une prison syrienne (suite elle-même à ses visites à l’ASL près de Homs), à une position radicalement anti-Bachar, allant jusqu’à prêcher en faveur d’une intervention militaire contre la Syrie, tout en présentant l’ASL, sinon les groupes islamistes, sous un jour flatteur et flatté.

 

Si l’on peut questionner son instabilité politique (psychologique) on ne mégotera pas à Piccinin son implication : il était, jusqu’au 16 août au soir, à Alep, au milieu de ses amis rebelles, et il a adressé le 17 un long article au site du grand quotidien belge Le Soir. D’où il ressort que la situation militaire se dégrade pour l’ASL, « prise en tenaille » par les forces gouvernementales.

 

Piccinin faisait équipe avec un journaliste du quotidien italien La Stampa et un ami photographe. Il est arrivé à Alep en juillet, dès les débuts des affrontements, et s’est établi dans le quartier de Tarik al-Bab, en bordure est d’Alep et au sud de Hanano. Quartier bombardé au moment de son départ.

 

Piccinin donne un aperçu de la stratégie de l’armée, telle qu’il a cru la déceler : elle « investit progressivement par l’ouest les zones insurgées qui couvraient la moitié sud-est de la ville« . D’où l’attaque initiale, à partir du 20 juillet, contre Salaheddine. L’armée, explique-t-il encore, est en train de « compartimenter les quartiers tenus par l’ASL en occupant les artères principales qui les délimitent, sans se risquer à systématiquement combattre dans les rues secondaires« . De cette manière, les insurgés ne peuvent recevoir aucun renforts, aucun réassortiment en munitions. De cette façon aussi, l’armée évite des pertes. Dans le même temps, les quartiers ainsi encerclés sont pilonnés par l’artillerie, les hélicoptères et les avions de combat.

 

Cette stratégie est simple, mais, assure Pïccinin, elle « porte ses fruits » : « La situation se dégrade de jour en jour pour les rebelles » constate-t-il. Piccinin confirme la chute non seulement de Salaheddine mais du quartier mitoyen de Seif al-Dawla. Depuis deux jours (donc le 14 août) précise l’universitaire belge, l’armée s’est attaquée aux quartiers de l’est et du sud-est de la ville. Et notamment celui de Tarik al-Bab où Piccinin et ses compagnons avaient trouvé refuge dans l’hôpital Dar al-Shifaa.

 

Le dernier couloir

 

« Hier soir (le 16 août)… le bombardement (sur Tarik al-Bab) est devenu si intense que les médecins nous ont enjoint de quitter l’endroit tant que la route restait ouverte« . Car, et c’est un point intéressant, même si nombre d’ASL sont pris au piège des quartiers, il subsiste un « couloir » d’entrée et de sortie dans Alep, contrôlé par les rebelles, et qui justement passe par Tarik al-Bab. Mais ajoute Piccinin, l’armée s’efforce de fermer cette issue, et les mitraillages permanents d’hélicoptères rendent tout déplacement « de plus en plus compliqué« .

 

La suite de l’article de Pierre Piccinin est consacré au récit de son exfiltration d’Alep, dans un véhicule de l’ASL, lui-même engagé dans une colonne motorisée. Il décrit l’état « proche de la panique » de leurs chauffeurs et accompagnateurs, pourtant miliciens, et dit que chacun était prêt à gicler de la voiture à la première alerte, d’autant qu’un hélicoptère a un moment survolé le groupe. Mais l’appareil a rebroussé chemin en direction d’Alep, et Picinn et ses collègues ont pu passer la tranquillement la nuit du 16 au 17 dans une villa des environs transformée en une sorte de QG du « Conseil militaire d’Alep » : une vingtaine d’ASL y ont partagé avec leurs « invités » un « dîner aux chandelles ».

 

La – ou les – directions de l’ASL rejetée par les combattants d’Alep

 

L’occasion pour Piccinin d’interroger des cadres ASL. Là, c’est un peu de la langue de bois, avec le récit édifiant des débuts héroïques et artisanaux de l’ASL, des précisions sur l’organisation de celle-ci à Alep. Et tout de même la confirmation du rejet part ces combattants de l’autorité théorique du colonel Riad al-Asaad – qui « ne représente rien » selon eux.

 

Et le « Haut conseil militaire » animé par un quarteron de généraux déserteurs, et rivaux d’al-Asaad, ne trouve pas d’avantage grâce à leurs yeux : « Ils veulent s’octroyer des titres et des honneurs militaires sans faire eux-mêmes de sacrifices. Les gens n’en veulent pas » affirment les interlocuteurs de Piccinin. Qui qualifient encore la prétention du général Ahmd al-Cheick, chef de ce « Haut conseil militaire », de commander à « 60% » des combattants de terrain de mensonge pur et simple. Des mensonges qu’ont docilement gobés et répercutés nos média français professionnels. Quant à nous, quand nous écrivions, voici des mois, sur ce site que l’ASL était largement une fiction militaire, et que son état-major ne représentait que lui-même, nous ne nous trompions donc pas beaucoup !

 

Les hôtes d’une nuit du professeur d’histoire belge refusent de parler de leur financement par les Golfistes ou les Européens, mais laissent planer le doute sur une aide de la France. Ils revendiquent 15 000 combattants sur Alep et toute sa région, ce qui est certainement un chiffe « embelli ». 90% d’entre eux seraient des civils entrés dans la lutte armée, et là on peut penser que c’est plausible. Sur la question des groupes islamistes radicaux, les ASL alépins disent ne pas être d’accord avec eux, mais constatent qu’ils recrutent car ils disposent d’armes et de moyens.

 

Al-Qaïda, les dihadistes ? « Il y en a de plus en plus » reconnaissent les ASL alépins

 

Et interrogés sur les partisans d’al-Qaïda, ils répondent : « Il y en a de plus en plus« . Et expriment leur rejet de ces groupes infiltrés en Syrie « pour servir l’agenda d’autres pays » (une expression utilisée aussi quotidiennement par le gouvernement syrien !). Et là le rôle des Séoudiens est évoqué. Et nos rebelles de s’en prendre aussi aux Américains et à leur projet de « Nouvel Ordre mondial« . Dont ces jeunes gens sont, pour l’heure, les alliés objectifs !

 

Les déclarations qu’ils font encore quant à l’appui secret de Washington, de Londres et de Paris à Bachar al-Assad marquent d’ailleurs les limites de leur lucidité politique.

 

L’article et la soirée de Piccinin se terminent sur l’arrivée au QG d’un émissaire d’Alep/Salaheddine : les rebelles n’ont plus de munitions et plus assez d’effectifs, l’armée avance partout – seuls 20% de Saif al-Dawle seraient encore tenus par les insurgés – et « l’ASL ne pourra probablement pas tenir le coup« . Encore quelque heures, et un colonel de l’ASL fait son apparition, l’air sombre. Il accepte de dire quelque mots à Piccinin : « La bataille d’Alep est mal engagée… L’ASL subit quotidiennement de lourdes pertes« .

 

Apparemment, Pierre Piccinin a ensuite regagné Alep par le même couloir qu’à l’aller…

 

Ci-dessous, le lien vers l’article de Piccinin :

 

Carnets : les rebelles pris en tenaille à Alep - lesoir.be

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Les forces loyales encerclent la ville nettoient et sécurisent doucement mais surement .

Les rats dont les vivres doivent surement commencer à s'amenuiser vont être , inchallah , exterminés !

 

PS: Que les autorités Algériennes refusent de rapatrier les corps des terroristes Algériens tués là-bas !

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Cécilia dit :

20 août 2012 à 3 h 42 min

 

Cependant, le journal en arabe est plus complet pour ce dimanche 19 août:

 

- la prière

- la visite du premier ministre à quelques hôpitaux, centre de Baramkeh pour l’électricité. « Nous avons de réserves en médicaments pour dix mois au moins et pour six mois au moins pour d’autres catégories » dit le premier ministre.

- visite du ministre de la défense aux soldats blessés.

- visite du ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche à deux hôpitaux universitaires à Damas, la Maternité et al-Mouwassat.

- visite du maire de Homs à l’hôpital miltaire et à la prison central.

- diner de réconciliation entre les habitants de Homs.

 

Alep

 

Très beau Reportage avec les soldats et les habitants d’Alep :

 

- opérations continuent à Sayef al-Dawla, al-Azamiya.

- la mosquée al-Huda libérée de terroristes qui l’ont utilisée comme dépôt d’armes et médicaments, creusant même à l’intérieur pour pouvoir sortir plus facilement.

- « les habitants d’Alep sont formidables, leur aide est plus que précieuse », dit un soldat.

 

les habitants

 

- ces gens-là, ils nous ne ressemblent pas, ils ne s’habillent pas comme nous.

- dans la mosquée, ils ne prêchent pas comme nous, ils appellent à la haine et aux meurtres.

- on dirait des Afghanes !

- Maudis soit l’émir de Qatar et Erdugan !

- que Dieu nous protège notre armée arabe syrienne ! dit un autre.

- nous sommes en sécurité depuis que l’armée est là! Dieu merci ! dit un autre Alépin.

- Certains Alépins embrassent des soldats.

- des enfants heureux saluent, serrent la main aux soldats, les embrassant aussi.

 

‫????? ???????? ??????? ????? 19 8 2012‬‎ - YouTube

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propagande de mauvaise qualite, d'inspiration typiquement sovietique. Ca me rapelle le ministre de l'information irakien qui niait la presence des americains a bagdad... Les pays arabes ex-socialistes devraient comprendre qu'il y a des centaines de milliers de videos sur youtube et que toute personne avec des yeux et un cerveau ne peut nier la realite du terrain...

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propagande de mauvaise qualite, d'inspiration typiquement sovietique. Ca me rapelle le ministre de l'information irakien qui niait la presence des americains a bagdad... Les pays arabes ex-socialistes devraient comprendre qu'il y a des centaines de milliers de videos sur youtube et que toute personne avec des yeux et un cerveau ne peut nier la realite du terrain...

 

Justement les vidéos mais m^me les médias occidentaux (voir Arte et Libé) montrent que l'ASL torturent leurs prisonniers et que les Alépins ne veulent plus de l'Asl. Quant à ces vidéos on voit l'armée syrienne qui continue à combattre les groupes de l'ASL.

La vérité est là.

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propagande de mauvaise qualite, d'inspiration typiquement sovietique. Ca me rapelle le ministre de l'information irakien qui niait la presence des americains a bagdad... Les pays arabes ex-socialistes devraient comprendre qu'il y a des centaines de milliers de videos sur youtube et que toute personne avec des yeux et un cerveau ne peut nier la realite du terrain...

 

et alors ?

 

tu crois peut-être que l'ASL (et qu'est-ce que l'ASL ? personne n'est capable de dire ce qu'ils veulent pour la syrie) ne fait pas de propagande ?

 

il n y a pas d'un coté les bons et de l'autre la mauvais. les deux parties sont capables de provoquer un carnage

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Syrie: le navire espion Oker fait des vagues en Allemagne

 

Mots clés : Oker, Syrie, Allemagne, BND

Par David Philippot Mis à jour le 23/08/2012 Figaro

Le navire se trouve pour le moment dans l'est de la Méditerranée, dans le port
de Cagliari, en Sardaigne.

Le navire se trouve pour le moment dans l'est de la Méditerranée, dans le port

de Cagliari, en Sardaigne. Crédits photo : dpa/abaca

 

Recommander

Si sa mission officielle est de prendre part jusqu'en décembre à la mission Finul de surveillance du cessez-le-feu au Liban-Sud, la frégate Oker pourrait être amenée à patrouiller plus au nord, au large des côtes syriennes.

 

Pour l'heure, la frégate Okercroise quelque part dans l'est de la Méditerranée, après ravitaillement dans le port de Cagliari, en Sardaigne. Sa mission officielle est de prendre part jusqu'en décembre à la mission Finul de surveillance du cessez-le-feu au Liban-Sud. Mais sa route pourrait l'amener à patrouiller plus au nord, au large des côtes syriennes. Ses grands yeux et ses grandes oreilles pourraient bien s'y révéler plus utiles. La fiche technique du bâtiment nous apprend que ce navire de 83,5 m n'est pas équipé d'armement lourd.

 

Son pouvoir de nuisance est ailleurs: dans son équipement en matériel électromagnétique et élecro-optique dissimulé sous son radôme gris marine. Mieux: grâce à une technique «unique au monde» jalousement gardée secrète, le bâtiment peut détecter des mouvements de troupe jusqu'à 600 kilomètres à la ronde. Largement suffisant pour espionner jusqu'à Alep ou Damas, même pour un bateau naviguant dans les eaux internationales.

 

Son intervention aurait dû rester la plus discrète possible. Elle a été éventée par un agent du Bundesnachrichtendienst (BND), l'équivalent de la DGSE en Allemagne, qui a vanté au journal Bild «sa fierté de voir l'Allemagne apporter un concours important à la chute du président Assad».

Armée «parlementaire»

 

D'autres agents du BND sont stationnés sur la base de l'Otan d'Adana, en Turquie. Ils écoutent les lignes téléphoniques et surveillent les télécommunications sur les champs de bataille. Des contacts sont établis avec l'entourage direct d'Assad. «Aucun service occidental ne dispose de meilleures sources d'informations sur la Syrie que le BND», se félicite un membre des services secrets américains. Les données sont ensuite transmises au quartier général des services extérieurs près de Bonn, avant d'être analysées pour les besoins du gouvernement. Les précieux messages sont relayés vers les alliés américains et britanniques chargés de les ventiler vers d'autres pays «amis». «Nous bénéficions des informations transmises par les services turcs», affirmait ce week-end un rebelle syrien dans le Sunday Times.

 

Par ricochet, ces informations sur les activités secrètes de la frégate ont fait des vagues jusqu'à Berlin. Le démenti d'un porte-parole de la Bundesmarine sur le qualificatif de «navire espion» n'a convaincu personne. Pas davantage que les explications du porte-parole du ministre de la Défense sur «une mission routinière de reconnaissance en Méditerranée». L'opposition a dénoncé une «implication directe de l'Allemagne dans les opérations de guerre», alors que la Bundeswehr est une armée dite «parlementaire» et qu'aucun mandat ne lui a été délivré par le Bundestag pour opérer en Syrie.

 

Hans-Christian Ströbele, des Grünen, membre de la commission de contrôle du Bundestag (PKG), est monté au créneau pour réclamer des explications au gouvernement. Notamment sur le point de savoir pourquoi sa commission, compétente pour les opérations extérieures, n'a pas été informée de la mission précise du Oker.

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La réponse ne pouvait pas être aussi claire.. Poutine manœuvre à merveille :rolleyes:

La Russie poursuivra sa coopération avec la Syrie

 

" La Russie ne renoncera pas à la coopération économique et commerciale avec la Syrie. Cela a été déclaré dans un commentaire du ministère des Affaires étrangères de Russie relatif à la possibilité d'octroi d'un crédit à Damas.

 

« Les sanctions unilatérales adoptées par certains pays contre la Syrie ne sont pas une raison d'arrêter les programmes économiques russo-syriens », souligne le document.

 

La coopération économique et scientifico-technique avec la Syrie se fait dans le pétrole, le gaz, l'énergie, les transports et l'agriculture. « La coopération financière et les investissements, l'octroi de crédits compris, ne sont pas une exception », stipule le commentaire du ministère des Affaires étrangères. "

 

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La réponse ne pouvait pas être aussi claire.. Poutine manœuvre à merveille :rolleyes:

La Russie poursuivra sa coopération avec la Syrie

 

" La Russie ne renoncera pas à la coopération économique et commerciale avec la Syrie. Cela a été déclaré dans un commentaire du ministère des Affaires étrangères de Russie relatif à la possibilité d'octroi d'un crédit à Damas.

 

« Les sanctions unilatérales adoptées par certains pays contre la Syrie ne sont pas une raison d'arrêter les programmes économiques russo-syriens », souligne le document.

 

La coopération économique et scientifico-technique avec la Syrie se fait dans le pétrole, le gaz, l'énergie, les transports et l'agriculture. « La coopération financière et les investissements, l'octroi de crédits compris, ne sont pas une exception », stipule le commentaire du ministère des Affaires étrangères. "

 

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Merci pour ces infos.

Il y a plusieurs fronts:

- militaires,

- économiques,

- médiatiques,

- idéologiques.

 

Cet accord permettra de résister sur le plan économique.

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Merci pour ces infos.

Il y a plusieurs fronts:

- militaires,

- économiques,

- médiatiques,

- idéologiques.

 

Cet accord permettra de résister sur le plan économique.

 

De rien Zoubir..

 

C'est notre monde d'aujourd'hui..

 

Personnellement, j'étais loin de me douter que la Syrie était assise sur l'un des plus grands gisements de Gaz au monde !

 

Tout s'explique dès lors, économiquement : Libye, Syrie..etc.

 

Pour le reste, on ne s'attendait pas à moins de l'axe du mal..

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  • 2 weeks later...
Je croyais que les médias étaient sionistes faudrait savoir ! Quand c'est une info qui vous arrange c'est un bon média, quand ça l'est pas c'est un média sioniste, vous êtes comiques

 

Ils ne peuvent plus mentir, au bout d'un moment ça devient tros gros, donc ils rapportent des nouvelles tièdes mi-figue mi-raisin

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Je croyais que les médias étaient sionistes faudrait savoir ! Quand c'est une info qui vous arrange c'est un bon média, quand ça l'est pas c'est un média sioniste, vous êtes comiques

 

les médias ne peuvent cacher toute la réalité. Et il faut savoir qu'il y a des luttes au sein des rédactions. Il y a des journalistes honnêtes qui essaient de donner l'information vraie.:41:

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Un article qui montre que l'armée nationale syrienne est en trai n de mettre K.O les djihadistes.

L'armée syrienne engagée dans la guerre urbaine à Alep le 06.09.12 | 11h17 | mis à jour le 06.09.12 | 15h22

 

diaporama Dans un appartement de l'ouest d'Alep, le général syrien regarde sur son Ipad...

Dans un appartement de l'ouest d'Alep, le général syrien regarde sur son Ipad une carte Google Earth où apparaît chaque pâté de maisons du quartier de Seif al-Dawla.

ImprimerPDF Envoyer à un ami Partager Dans un appartement de l'ouest d'Alep, le général syrien regarde sur son Ipad une carte Google Earth où apparaît chaque pâté de maisons du quartier de Seif al-Dawla.

Sur une table de salon, sont posés des talkies-walkies pris aux rebelles avec lesquels il peut écouter leurs conversations et d'autres appareils de communication pour rester en contact avec ses officiers sur le terrain.

"Avance jusqu'au bloc 4 mais n'ouvre pas le feu sur ta droite, car j'ai envoyé une autre équipe de ce côté pour les prendre en tenaille et je ne voudrais pas que vous vous tiriez dessus", lance le chef des opérations pour l'ouest d'Alep.

Crâne dégarni, flegmatique, ce général de la garde républicaine, une unité d'élite, est chargé d'une partie des quartiers les plus difficiles de la ville.

"Nous devons reprendre aux terroristes les secteurs qu'ils détiennent en évitant au maximum de détruire la ville et de toucher la population civile pour qu'elle reste de notre côté. Cela nécessite du doigté", explique cet officier supérieur de 53 ans.

Sur d'autres fronts, comme Homs (centre), l'initiative revenait d'abord à l'artillerie puis l'infanterie occupait le terrain.

A Alep, grande métropole du nord, l'armée est en revanche engagée pour la première fois dans une véritable guerre urbaine, où elle doit grignoter un pâté de maison, une rue ou un carrefour. Artillerie, chars et hélicoptères viennent seulement en appui.

"Nous sommes divisés en groupes d'une quarantaine d'hommes extrêmement mobiles, munis d'armes automatiques, de roquettes antichars", explique un colonel à Seif al-Dawla.

"Nous avons face à nous des terroristes qui ont recours aux tireurs embusqués et aux engins explosifs. Il faut d'abord les déloger des immeubles puis désamorcer les bombes pour considérer que le terrain est propre".

Depuis le début de la révolte en mars 2011, le régime de Bachar al-Assad assimile les combattants rebelles à des "terroristes" soutenus par l'étranger.

A cela s'ajoute la guerre du renseignement. Chaque camp utilise des habitants pour espionner le camp adverse. A Sayyed Ali, un quartier du centre, trois habitants rudoient un homme errant avec un sac d'ordures. Il "avoue" rapidement travailler pour les rebelles et pour avoir la vie sauve, donne immédiatement la position de ses "commanditaires".

L'armée a envoyé début août dans la deuxième ville du pays ses unités d'élite: la garde républicaine pour reprendre le flanc ouest et les forces spéciales, pour le centre. Ces dernières ont pris il y a deux semaines le quartier chrétien de Jdeidé, dans la vieille ville et ont avancé vers la place Sayyed Ali, qu'elles grignotent aux rebelles.

L'armée cherche à asphyxier les insurgés en tronçonnant la ville et en bombardant quotidiennement les lignes d'approvisionnement de l'extérieur de la métropole.

"Le vent a tourné en faveur de l'armée"

Affable, le général ne doute pas une seconde de sa "victoire" prochaine. Pour lui, le plus dur a été accompli avec la prise le 9 août de Salaheddine et la conquête samedi de hauteurs de Seif al-Dawla, deux quartiers stratégiques de l'ouest.

Selon lui, il reste à conquérir les hauteurs d'Izaa, dominant l'ouest et toujours aux mains des rebelles, et le quartier de Soukkari (sud-ouest). L'offensive sur l'est de la ville est pour plus tard. "Les rebelles n'avancent plus et le vent a tourné en faveur de l'armée avec la reconquête de Salaheddine".

Construit de manière anarchique avec des petites ruelles et des immeubles de cinq à six étages, ce terrain idéal pour un combat de rues a été repris en une semaine par les militaires.

C'est par ce quartier que les rebelles se sont infiltrés au départ. Selon un officier des services de sécurité, beaucoup sont venus avec femmes et enfants, en cachant des armes et en prétextant fuir les combats à Idleb (nord-ouest). "Par pitié, nous les avons laissés entrer sans même les fouiller".

L'autre explication, c'est la trahison du général Mohammad Maflah, chef des renseignements militaires d'Alep. "Il leur a donné les clefs de la ville", explique cet officier. Le général déserteur, qui s'est enfui deux semaines avant l'offensive rebelle, semble avoir été tué avant d'avoir franchi la frontière turque.

Pour le général, l'explication est plus simple: "Nous les avons laissés entrer car il est plus facile de les tenir au même endroit plutôt que de courir partout après eux".

"Ils étaient au moins 7.000, nous en avons tué 2.000. Il y a des Syriens venus du nord et de la campagne alépine mais beaucoup sont des étrangers: Tchétchènes, Turcs, Afghans, Libyens et Tunisiens", explique t-il en montrant des papiers d'identité de Turcs.

Ce général, qui se dit laïque, dénonce l'"aveuglement" de la France et d'autres pays occidentaux qui soutiennent selon lui les mouvements islamistes dans la région. "Ne comprennent-ils pas que nous sommes la dernière digue qui empêchera la vague islamiste d'engloutir l'Europe ?".

 

 

AFP

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