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Le Maroc produit 50% de son sucre, nous 0%.


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Bravo à nos voisins qui en moyenne produisent 45 à 50% de leurs besoins en sucre à l'aide de betteraves à sucre et canne à sucre.

Nous on ne produit que 0%. Mr Rebrab de Cevital ne fait qu'importer de la matière brute pour faire du sucre raffiné.

 

950 000 tonnes de sucre, 79% de nos besoins seront importés en 2012 !

 

La tonne de sucre est à 667 dollars sur le marché international. Les importations des deux premiers mois sont en hausse de 25.2% en valeur. La charge de compensation devrait atteindre 5 milliards de DH, soit 500 millions de plus qu'en 2011.

Maroc sucre

 

Les Marocains, c’est bien connu, sont de gros consommateurs de sucre. Avec une moyenne de 35 kg par habitant et par an, leur consommation est largement supérieure à la moyenne mondiale qui est de l’ordre de 20 kg. Outre les problèmes de santé (le diabète, notamment) que génère ce niveau de consommation, les finances de l’Etat sont également malmenées, en raison de la compensation dont bénéficie ce produit. Bien plus, quand la nature s’en mêle, comme c’est le cas aujourd’hui avec l’absence de précipitations, ou bien quand ces mêmes précipitations occasionnent des dégâts pour la récolte, comme ce fut le cas en 2009/2010 où 7 000 hectares de betteraves et 900 hectares de cannes à sucre avaient été inondés, l’importation, qui devient alors incontournable, ajoute sa part dans le déficit du commerce extérieur.

Pour l’année 2012, Cosumar prévoit en effet d’importer 950 000 tonnes de sucre brut, un niveau en hausse de 11,2% par rapport à 2011. Cette augmentation du volume du sucre (brut) importé s’explique, selon les responsables de Cosumar, d’un côté par les conditions climatiques défavorables, notamment le gel qui a affecté les plantations de canne à sucre dans les régions du Gharb et du Loukkos, et, de l’autre côté, l’évolution des besoins du Maroc en sucre qui devaient augmenter de l’ordre de 2% (+ 25 000 tonnes) à 1,2 million de tonnes.

Avec des cours du sucre toujours élevés, la facture risque, de nouveau, de peser lourd tant sur les charges de compensation, donc les finances publiques, que sur la balance commerciale. Le lundi 19 mars, en effet, la tonne de sucre cotait à 667,3 dollars, en hausse de 11% par rapport au mois de janvier 2011, et quasiment en stagnation (+0,04%) sur un an. Or, l’année dernière justement, les cours du sucre atteignaient des niveaux stratosphériques. Autrement dit, il n’y a pas d’accalmie à ce niveau.

 

La production locale couvre habituellement 40 à 45% des besoins

Sur les deux premiers mois de cette année, les importations de sucre se sont élevées à 1,06 milliard de DH, en hausse de 25,2% par rapport à la même période de 2011. A ce rythme, la facture à la fin de l’exercice pourrait dépasser les 6 milliards de DH, contre 4,8 milliards en 2011. Conséquemment, les charges de compensation pour ce produit, qui étaient de quelque 4,5 milliards de DH en 2011, atteindraient les 5 milliards de DH.

C’est que la consommation du sucre à travers le monde augmente sans cesse, alors que la production ne suit pas toujours, ou alors une partie de cette production se trouve détournée vers la fabrication de biocarburant, comme c’est le cas au Brésil, principal producteur de sucre.

Pourtant, sur la saison allant d’octobre 2011 à septembre 2012, la production mondiale de sucre devrait enregistrer un excédent de 4,2 millions de tonnes à 172,3 millions de tonnes, par rapport à une demande qui, elle, s’élève à plus de 168 millions de tonnes. Mais, d’une part, l’offre brésilienne, comme déjà indiqué, est amputée d’une partie destinée à la fabrication de l’éthanol, et, d’autre part, des investisseurs ont désormais pénétré ce marché, y introduisant ce qui est déjà en vigueur dans le marché pétrolier, c’est-à-dire la spéculation sur ce produit. Et puis, il faut le souligner, ce léger excédent de la production sur la consommation est venu après deux années (entre 2008 et 2010) de fort déficit et tout juste un fragile équilibre en 2011 avec un excédent de 843 000 tonnes.

Il se trouve qu’au Maroc, où la production locale ne couvre habituellement que 40 à 45% des besoins, les mauvaises conditions climatiques obligent Cosumar à recourir à l‘importation aussi bien pour satisfaire correctement la demande que pour maintenir le niveau requis des stocks de sécurité.

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bonjour zoubir

c'est vrai , notre voisin de l'ouest produit son sucre a 45 pc .

et pourtant notre usine de Guelma a démarre bien avant.

LES IMPORTATEURS NE PEUVENT ILS PAS DEVENIR PRODUCTEURS ET FAIRE TRAVAILLER LES JEUNES ???

Pourquoi ne pensent ils qu'a eux meme et leurs progenetures.

l'Algerie a 50 ans , combien faut il encore pour devenir majeurs?

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bonjour zoubir

c'est vrai , notre voisin de l'ouest produit son sucre a 45 pc .

et pourtant notre usine de Guelma a démarre bien avant.

LES IMPORTATEURS NE PEUVENT ILS PAS DEVENIR PRODUCTEURS ET FAIRE TRAVAILLER LES JEUNES ???

Pourquoi ne pensent ils qu'a eux meme et leurs progenetures.

l'Algerie a 50 ans , combien faut il encore pour devenir majeurs?

 

 

 

ils ne pensent qu'a eux meme car la loi le leur permet , tout simplement!

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bonjour zoubir

c'est vrai , notre voisin de l'ouest produit son sucre a 45 pc .

et pourtant notre usine de Guelma a démarre bien avant.

LES IMPORTATEURS NE PEUVENT ILS PAS DEVENIR PRODUCTEURS ET FAIRE TRAVAILLER LES JEUNES ???

Pourquoi ne pensent ils qu'a eux meme et leurs progenetures.

l'Algerie a 50 ans , combien faut il encore pour devenir majeurs?

 

Bonjour Clairvoyant.

Oui, c'est une erreur de dépendre à 100% de l'étranger pour le sucre.

Pourquoi ne pas essayer de produire de la canne à sucre et créer de petits ateliers de production de sucre.

Le processus est relativement simple.

Des privés devraient essayer sans demander l'aide de l'Etat.

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Guest Frontalier
Bonjour Clairvoyant.

Oui, c'est une erreur de dépendre à 100% de l'étranger pour le sucre.

Pourquoi ne pas essayer de produire de la canne à sucre et créer de petits ateliers de production de sucre.

Le processus est relativement simple.

Des privés devraient essayer sans demander l'aide de l'Etat.

 

Ouvrez les frontières et laisser les agriculteurs marocains travailler la terre en Algérie...

 

modernisons Thakhammaste et Thachawwalte...

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Guest Algérois
Ouvrez les frontières et laisser les agriculteurs marocains travailler la terre en Algérie...

 

modernisons Thakhammaste et Thachawwalte...

 

N'en rajoute pas une couche s'il te plaît, deja qu'on a des difficultés avec les sujets aberrants de zoubir qui n’arrête pas d’étaler son ignorance sur la production agricole en Algérie.

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Guest jagellon

ya Zoubir l'arnaque des barons Hamiani et Rebrab est grande, tout le monde la connait mais persone n'a osé bouger le petit doigt.

L'Algérie n'est pas un pays producteur de sucre mais il en exporte...

C'est à cause du raffinage. Cevital importe de la matière première subventionnée par l'état, la raffine puis la réexporte au prix fort...

Tu veux améliorer la production de sucre en Algérie? Engage des spetnaz pour éliminer Rebrab et consort.

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ya Zoubir l'arnaque des barons Hamiani et Rebrab est grande, tout le monde la connait mais persone n'a osé bouger le petit doigt.

L'Algérie n'est pas un pays producteur de sucre mais il en exporte...

C'est à cause du raffinage. Cevital importe de la matière première subventionnée par l'état, la raffine puis la réexporte au prix fort...

Tu veux améliorer la production de sucre en Algérie? Engage des spetnaz pour éliminer Rebrab et consort.

 

- vous avez raison, Rebrab importe avec les devises du peuple de la matière brute qu'il raffine,

- des spetnaz? Bouhhhh, on a mieux que ça. Stena bark que les jeunes i nawdhouha. Yaw, si ceux qui nous gouvernent ne lâchent pas du lest, tzagatt 3alihoum! Faut que nos spetnaz se lèvent, mais sans fawdha, sans casse. Il faut un mouvement de protestation organisé.

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Guest Frontalier
N'en rajoute pas une couche s'il te plaît, deja qu'on a des difficultés avec les sujets aberrants de zoubir qui n’arrête pas d’étaler son ignorance sur la production agricole en Algérie.

 

Moi je suis sérieux...

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Ouvrez les frontières et laisser les agriculteurs marocains travailler la terre en Algérie...

 

modernisons Thakhammaste et Thachawwalte...

 

Moi je laisserais bien rentrer:

- les agronomes et techniciens marocains,

- les investisseurs marocains en agriculture.

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N'en rajoute pas une couche s'il te plaît, deja qu'on a des difficultés avec les sujets aberrants de zoubir qui n’arrête pas d’étaler son ignorance sur la production agricole en Algérie.

 

Merci d'argumenter au lieu de diffamer. Vous y gagnerez en hauteur de vue.

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Guest Bright
Ouvrez les frontières et laisser les agriculteurs marocains travailler la terre en Algérie...

 

modernisons Thakhammaste et Thachawwalte...

 

Ben Oui , la culture du Cannabis en premier .

 

On préfère mourir de faim :p

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C'est à cause du monopole dont bénéficie un certain Rebrab !

 

Oui, c'est une honte.

Il achète la matière brute avec des devises.

Si c'était un vrai patriote il essayerait de développer la culture de la betterave sucrière.

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Guest Frontalier
Merci khouya pour ce document. Meziane.

 

Il paraît que nos anciens substituaient le sucre par des dattes pour boire du thé...le sucre était une denrée rare et chère...Les Anglais se sont enrichis en vendant du sucre aux Marocains...Ils arrivaient avec leurs bateaux au port de Tétouan (Tittawin)...Des caravanes du sud du Maroc faisaient le voyage à Tittawin pour en procurer...

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Il paraît que nos anciens substituaient le sucre par des dattes pour boire du thé...le sucre était une denrée rare et chère...Les Anglais se sont enrichis en vendant du sucre aux Marocains...Ils arrivaient avec leurs bateaux au port de Tétouan (Tittawin)...Des caravanes du sud du Maroc faisaient le voyage à Tittawin pour en procurer...

 

Il y a bcp à gagner avec les dattes.

On pourrait en extraire un sirop de sucre pour les industries agro-alimentaire.

Que font nos ingénieurs?

 

ps: un grand bravo aux agriculteurs et techniciens Marocains pour la maîtrise de la culture de la canne à S et de la betterave à S.

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Guest Anda
Il ne faut pas jeter la pierre aux agriculteurs pauvres du Rif. Il faut leur proposer des cultures de substitution.

 

Il faut, il faut, il faut, il faut, il faut, il faut...il faut surtout que tu la fermes andouille :crazy:

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