Jump to content

Où danser la Zumba à Alger?


Recommended Posts

Danser comme à Rio

 

le 13.07.12 El Watan

 

Voilà les vacances. El Watan Week-end a testé pour vous les meilleurs bons plans de l’été. Cette semaine, on se dépense !Faire du sport et s’amuser sur des musiques d’été, c’est le principe de la zumba. El Watan Week-End a testé pour vous cette danse venue d’Amérique latine.

 

«Tu vas voir, c’est génial, on s’amuse beaucoup, rien à voir avec la gym !» Mes amies, ma famille, tout le monde est unanime : la zumba serait une révolution pour celles qui veulent faire du sport. Je suis dubitative. Les salles qui sentent la sueur, les heures passées sur un tapis à travailler abdominaux ou fessiers, c’est démotivant et je déteste ça. Au téléphone, on m’explique : «La zumba est une danse qui mélange des mouvements de salsa, de merengue, de rumba, de différentes danses latines, mais aussi de breakdance ou de danse-africaine.»

 

Sur le principe, ça me plaît. On me prévient : «Prenez une bouteille d’eau !» Le jour du cours, j’arrive un peu en avance pour éviter les problèmes de stationnement. Surprise, il y a un parking. L’employé me propose de garer mon véhicule. J’entre dans le bâtiment. Je me change dans les vestiaires, équipés de douches très propres. Une paire de bonnes baskets, un pantalon de sport et un tee-shirt. La salle de danse est spacieuse et lumineuse. De grands miroirs d’un côté, de grandes fenêtres de l’autre. Nous sommes une trentaine. La plus jeune est lycéenne, la plus âgée est à la retraite.

 

Mouvements sensuels

 

La prof. «J’ai oublié la musique», lance-t-elle embarrassée. La bande originale d’un cours de zumba est normalement constituée de morceaux de salsa, de reggaetton ou d’autres musiques chaleureuses et dynamiques. Car le plus important, c’est le tempo. C’est raté pour cette fois. Une participante part chercher quelques disques dans sa voiture. La musique commence. On se croirait plus dans une boîte de nuit que dans les rues de Rio de Janeiro, mais toute la salle semble enthousiaste. On commence par marcher sur place en rythme puis on se met à sauter. Les mouvements sont assez simples pour le moment. Un pas à gauche, un pas à droite. On ajoute les bras. L’échauffement se termine à peine, je suis déjà essoufflée. Pas le temps de se reposer, on enchaîne. Il n’y a pas d’exercices, mais une vraie chorégraphie. On se déhanche, on tourne sur nous-mêmes, on a l’impression d’être sur une piste de danse. Il fait de plus en plus chaud, tout le monde transpire à grosses gouttes, mais avec le sourire. Quand la musique monte, la prof lance : «Allez, les filles, lâchez-vous !» Les mouvements deviennent sensuels. La salle crie et tape des mains, toujours en rythme. C’est très plaisant.

 

Plus de souffle

 

Je regarde l’horloge, un peu inquiète. Je n’ai plus de souffle et pourtant, je ne suis qu’à la moitié du cours. Les chorégraphies se compliquent. La prof ne prend pas le temps de détailler. Mais je suis la musique. C’est d’ailleurs ce qui m’étonne. D’ordinaire, quand je suis fatiguée lors d’une séance de sport, je m’arrête. Sauf que là, la musique me pousse au-delà de mes limites. Je continue à sauter, à avancer, je crie et je claque des mains en rythme. Et quand la prof nous propose quelques mouvements de danse africaine plutôt suggestifs, tout le monde éclate de rire et mine de rien, les muscles de nos cuisses travaillent. Lorsque l’heure de cours se termine, ma bouteille d’eau est vide. Je suis rouge, à bout de souffle et trempée de sueur, mais souriante. Je ne me suis pas ennuyée un seul instant. Je me suis amusée et je me suis dépassée. Si en plus c’est bon pour la santé, alors j’y retournerai.

 

Où faire de la zumba ? Gym Zaaf Club, Hydra, Alger. Cours pour femmes

450 DA la séance libre 1400 DA l’abonnement mensuel Renseignements : 021 60 77 89.

Yasmine Saïd

Link to post
Share on other sites

bonjour ZOUBIR

 

quel amour pour le journal de la Françalgérie de BELHOUCHET !

 

un ex FLN qui sur ordre avait déserté le navire pour devenir, avec l'argent du DRS et la publicité des mafieux , patron de journal bien introduit auprès des organes de presse fransaouis. Eradicateur, il a largement bénéficié des faveurs de KHALIFA pour continuer à servir les génocidaires.

 

l'heure est donc à la zumba .

 

pour le cinquantenaire de la commémoration de la fête pourquoi chercher ?

 

tout a commencé par Sidi FRAJ et s'y poursuit.

 

Sidi FAIRE Ruche où des abeilles amassent leur miel en Suisse.

Link to post
Share on other sites

Join the conversation

You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.

Guest
Répondre

×   Pasted as rich text.   Paste as plain text instead

  Only 75 emoji are allowed.

×   Your link has been automatically embedded.   Display as a link instead

×   Your previous content has been restored.   Clear editor

×   You cannot paste images directly. Upload or insert images from URL.

×
×
  • Create New...