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1956: Lettre du FLN aux Israélites d'Algérie


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Lettre aux Israélites d'Algérie

 

Quelque part en Algérie, le 1er octobre 1956

Le Front de libération nationale

 

(publié par Libre Algérie, 5-18 juin 2000)

A Monsieur le Grand Rabbin,

A Messieurs les membres du Consistoire israélite,

Aux élus et à tous les responsables de la communauté israélite d'Algérie,

Monsieur le Grand Rabbin,

Messieurs et chers compatriotes,

 

Le Front de libération nationale (FLN), qui dirige depuis deux ans la révolution anticolonialiste pour la libération nationale de l'Algérie, estime que le moment est venu où chaque Algérien d'origine israélite, à la lumière de sa propre expérience, doit sans aucune équivoque prendre parti dans cette grande bataille historique.

 

C'est aujourd'hui un fait notoire que la guerre de reconquête imposée au peuple algérien s'est définitivement soldée par un double échec militaire et politique.

 

Les généraux français eux-mêmes avec, à leur tête, le maréchal Juin, ne cachent plus l'impossibilité de venir à bout de la Révolution algérienne invincible.

 

Le gouvernement français, dans sa recherche actuelle d'une solution politique devenue inévitable, veut encore voler sa victoire au peuple algérien en poursuivant la pratique insensée de manouvres grossières, vouées dès maintenant à un échec retentissant.

 

L'essentiel de ces manoeuvres consiste à tenter d'isoler même partiellement le FLN en portant atteinte à l'unanimité nationale anticolonialiste désormais indestructible.

 

Vous n'ignorez pas, chers compatriotes, que le FLN, inspiré par une foi patriotique élevée et lucide, a déjà réussi à ruiner la diabolique politique de division qui s'est traduite dernièrement par le boycottage de nos frères commerçants mozabites, et qui devait s'étendre à l'ensemble des commerçants israélites.

 

Cette double tentative que nous avons étouffée dans l'oeuf était, comme par le passé, ourdie par la haute administration et mise en application par une poignée d'aventuriers escrocs au service de la police.

 

Les policiers mouchards et contre-terroristes assassins ont été exécutés non en raison de leur confession religieuse, mais uniquement parce qu'ennemis du peuple.

 

Le FLN, représentant authentique et exclusif du peuple algérien, considère qu'il est aujourd'hui de son devoir de s'adresser directement à la communauté israélite pour lui demander d'affirmer d'une façon solennelle son appartenance à la nation algérienne

 

Ce choix clairement affirmé dissipera tous les malentendus et extirpera les germes de la haine entretenus par le colonialisme français. Il contribuera en outre à recréer la fraternité algérienne brisée par l'avènement du colonialisme français.

 

Depuis la Révolution du 1er Novembre 1954, la communauté israélite d'Algérie, inquiète de son sort et de son avenir, a été sujette à des fluctuations politiques diverses.

 

Au dernier congrès mondial juif de Londres, les délégués algériens, contrairement à leurs coreligionnaires de Tunisie et du Maroc, se sont prononcés, à notre grand regret, pour la citoyenneté française.

 

Ce n'est qu'après les troubles colonialo-fascistes du 6 février, au cours desquels ont réapparu les slogans anti-juifs, que la communauté israélite s'est orientée vers une attitude neutraliste.

 

Par la suite, à Alger notamment, un groupe d'Israélites de toutes conditions a eu le courage d'entreprendre une action nettement anticolonialiste, en affirmant son choix raisonné et définitif pour la nationalité algérienne.

 

Ceux-là n'ont pas oublié les troubles anti-juifs colonialo-racistes qui, sporadiquement, se sont poursuivis en pogroms sanglants jusqu'au régime infâme de Vichy.

 

La communauté israélite se doit de méditer sur la condition terrible que lui ont réservée Pétain et la grosse colonisation : privation de la nationalité française, lois et décrets d'exception, spoliations, humiliations, emprisonnements, fours crématoires, etc.

 

Avec le mouvement Poujade et le réveil du fascisme qui menace, les juifs risquent de connaître de nouveau, malgré leur citoyenneté française, le sort qu'ils ont subi sous Vichy.

 

Sans vouloir remonter bien loin dans l'histoire, il nous semble malgré tout utile de rappeler l'époque où, en France, les juifs, moins considérés que les animaux, n'avaient même pas le droit d'enterrer leurs morts, ces derniers étant enfouis clandestinement la nuit n'importe où, en raison de l'interdiction absolue pour les juifs de posséder le moindre cimetière.

 

Exactement à la même époque, l'Algérie était le refuge et la terre de liberté pour tous les Israélites qui fuyaient les inhumaines persécutions de l'inquisition.

 

Exactement à la même époque, la communauté israélite avait la fierté d'offrir à sa patrie algérienne non seulement des poètes, des commerçants, des artistes, des juristes, mais aussi des consuls et des ministres.

 

Si le peuple algérien a regretté votre silence, il a apprécié la prise de position anticolonialiste des prêtres catholiques, comme ceux notamment des zones de guerre de Montagnac et de Souk Ahras, et même de l'archevêché qui, pourtant, dans un passé récent, s'identifiait encore à l'oppression coloniale.

 

C'est parce que le FLN considère les Israélites algériens comme les fils de notre patrie qu'il espère que les dirigeants de la communauté juive auront la sagesse de contribuer à l'édification d'une Algérie libre et véritablement fraternelle.

 

Le FLN est convaincu que les responsables comprendront qu'il est de leur devoir et de l'intérêt bien compris de toute la communauté israélite de ne plus demeurer «au-dessus de la mêlée», de condamner sans rémission le régime colonial français agonisant, et de proclamer leur option pour la nationalité algérienne.

 

Salutations patriotiques.

 

Moi Naïm, 24 ans, futur rabbin d’Algérie

vendredi 13 juillet 2012.

 

L’Algérie, pour laquelle ils ont participé à la libération, est leur patrie. Avec les Algériens, ils partagent tout à l’exception de... la religion. Eux, ce sont les juifs d’Algérie. Aujourd’hui, ils continuent encore de se cacher pour mieux vivre. Portrait d’un jeune qui a choisi de sortir de son silence.

 

Je n’ai que 24 ans. Mais j’ai déjà passé l’essentiel de ma vie à me cacher. A cacher mon secret, celui de ma famille, de mes semblables. Je suis Algérien. Avec mes concitoyens, je partage le ciel, la mer, la terre, les joies et les tristesses. Mais pas la religion. Aujourd’hui, après des études de droit, je pars à l’étranger pour intégrer une école hébraïque afin d’approfondir mes connaissances et me spécialiser dans l’étude du culte nord-africain et du judaïsme algérien en particulier. Je voudrais devenir le futur rabbin d’Algérie pour qu’enfin, un jour, nous puissions célébrer la foi en hachem sur cette terre, en liberté, dans la sérénité et dans le partage, en respectant les lois de la République et du vivre-ensemble.

 

Je m’appelle Naïm et je suis juif toshavim. Je suis né un certain été 1988 à Alger. Il faisait beau. Rien n’indiquait que l’automne allait prendre un dramatique tournant dans la vie tourmentée de mon pays. Malgré cela, ma famille a toujours refusé de quitter l’Algérie et est restée liée à son histoire depuis des siècles. En 1962, alors que de nombreux juifs partaient dans la précipitation, emportés par les bruits qui couraient selon lesquels les juifs seraient tous « massacrés », mon grand-père décida de rester. « Ici, c’est notre terre. Elle a vu naître tes parents et tes aïeuls et nous n’avons nulle part où aller », répétait-il à chaque discussion.

 

Mes parents étaient bien tentés de faire leur alya en Israël, mais mon grand-père les en a dissuadés. « En 1963, Israël avait interdit aux Algériens de faire l’alya comme les autres juifs du monde. Le procès intenté au judaïsme algérien et aux juifs d’Algérie en 1963 à Jérusalem était une honte et un mépris envers nous. Sous prétexte que nous n’avons pas fait l’alya en masse et que nous étions particuliers. Mais nous sommes fiers d’être ce que nous sommes. Il ne faut rien espérer des autres. Faisons confiance à nos frères algériens. Promets-moi de rester ici coûte que coûte, mon fils », disait-il à mon père.

 

Engagement

 

Mon grand-père, à l’époque commerçant à Znikat Laârayass dans La Basse Casbah, aidait ses frères moudjahidine. Son frère s’était même engagé dans l’Armée de libération nationale. C’est un chahid. Aujourd’hui encore, les vieux et les vieilles de La Casbah se souviennent de l’engagement de ma famille dans la Révolution. La France nous a causé du tort, car elle nous a assimilés puis francisés par ce sordide décret Crémieux*. « La France interdisait à nos frères juifs d’être enterrés sur son sol. Avec ce décret, elle voulait nous séparer de nos frères musulmans et nous mettre dans l’embarras », expliquait doctement mon grand-père. Il portait l’Algérie dans son cœur et ne voyait pas d’autres cieux que celui d’Alger. Il était fier d’être Algérien et n’acceptait aucune autre appellation, refusant les étiquettes « juifs d’Algérie », « juifs d’origine algérienne » ou encore « communauté israélite ou juive d’Algérie ».

 

Il aimait lamhadjab, zlabia et makrout. El Hadj El Anka égayait ses jours et ses soirées. Le chaâbi était sa musique favorite et Edmond Yafil, un de ses grands amis. Mon père, lui, était un homme discret qui avait tout le temps peur. C’était un fonctionnaire ambitieux qui, malheureusement, fut écarté des hautes fonctions de l’Etat à cause de son appartenance juive, découverte après de longues enquêtes d’éligibilité faites par les services de sécurité. Il ne nous a rien appris du halakha. Je me souviendrai toujours de cette anecdote. J’avais 6 ans et un jour que je l’accompagnais à la pêcherie, nous sommes passés devant la grande mosquée de Sahat Echouhada. Des barbus étaient en train de manifester devant la grande mosquée. Je contemplais cette magnifique mosquée blanche, ses ornements, quand soudain, j’aperçus des étoiles à six branches : « Regarde cette étoile, elle est bizarre, elle a six branches !, elle ressemble à celle accrochée au mur de ta chambre ! » « Un jour, tu comprendras, mon fils ! », me lança mon père, le regard fuyant, après un long moment de silence.

 

Pas comme les autres

 

Je me souviens de l’école, des premières leçons d’alphabet arabe. Puis des cours d’éducation islamique. Nous commencions à réciter Echahada et la Fatiha. Quelque chose d’inhabituel à mes oreilles. La tonalité était la même, mais les mots étaient différents de ceux que ma mère utilisait pour prier le soir ou le jour de shabbat. Le soir, à table, ma mère me sentit perturbé. Elle me posa des questions, mais je ne pus rien lui dire. J’attendais le moment où je la verrai s’asseoir et prier devant une bougie. C’est à ce moment-là que je compris que ma mère ne récitait pas le Coran et parlait bien une autre langue que l’arabe. Elle faisait son dafayoumi. Devant mon silence obstiné, me croyant hanté par un esprit, elle décida de me soigner avec la parole de Dieu. Elle récita des dafa et jeta de l’eau partout jusqu’à ce que je craque et que je lui raconte : « A l’école, nous avons appris le Coran et comment faire la prière. Mais je t’ai observée et tu ne faisais pas ce qu’on nous dit de faire à l’école ! » Elle resta stupéfaite puis éclata en sanglots : « Nous ne sommes pas comme les autres ! Nous sommes juifs, mon fils ! Que Dieu te protège ! »

 

La mise en garde

 

De la petite fenêtre de ma chambre, je contemplais le ciel. Chema Béni Israël, Adonai Elohenou, Adonaie’had (peuple d’Israël : Adonai est notre seul dieu, Adonai est un). C’est notre echahada, à nous, les juifs. Je me suis mis à prier Dieu aux côtés de ma mère. La foi est devenue la priorité de mon existence. Ma mère avait pris le soin de me mettre en garde : je ne devais jamais révéler mon appartenance religieuse. Surtout en cette période. Le 23 janvier 1994, mon oncle maternel nous rendit visite pour nous annoncer le meurtre de Raymond Louzoum. Un opticien juif d’origine tunisienne de l’actuelle rue Didouche Mourad, lâchement assassiné en face de la librairie des Beaux-Arts. Mon père rentra précipitamment de son travail. Il passa la soirée à discuter avec ma mère. Je l’entendais crier : « Non ! Je reste ici ! Je n’irai nulle part ailleurs ! »

 

Mon oncle revint quelques jours plus tard et m’emmena à la synagogue. Enfin, disons plutôt un local aménagé en lieu de prière. Pendant les années 1990, les juifs d’Algérie étaient obligés de se faire encore plus discrets. C’était risqué en cette période sanglante de l’Algérie. Nous avions l’habitude de prier dans une petite mosquée où l’imam nous avait permis de le faire pour shabbat. J’appris quelques années plus tard que les autorités étaient au courant et qu’elles surveillaient les lieux pour notre sécurité. Nous n’étions pas nombreux et étions dépourvus des accessoires nécessaires à notre office. Mon oncle m’initiait et m’enseignait la tradition juive selon le rite des grands rabbins algériens.

 

Protection

 

Le 22 janvier 2005, l’avocat Joseph Belaïche fut assassiné. Alger devint morose. Les nouvelles d’assassinats d’intellectuels, de journalistes et d’artistes nous parvenaient chaque jour. Mon oncle reçut la visite de terroristes à son domicile, à Saint-Eugène, qui lui demandèrent de payer la fidya. « Et nous te laisserons tranquille », ne cessaient-ils de lui dire. A force de pression, malgré la résistance de ma mère, nous avons fini par quitter Alger pour Oran. Des gens que je ne connaissais pas étaient venus à la maison pour discuter avec mon père. Mon oncle me révéla quelques années plus tard qu’il s’agissait des autorités sécuritaires. Elles nous avaient conseillé de quitter Alger et de dire aux voisins que nous partions pour l’étranger. D’après mon oncle, les autorités ne voulaient justement pas de ce scénario.

 

« Ils ne veulent pas voir les juifs quitter massivement leur pays. Ils se soucient de notre situation et font tout pour nous protéger », me confiait-il. Cet été-là, nous nous sommes donc installés dans un nouvel appartement en plein centre d’Oran. Je découvris alors combien nous formions une grande communauté ! Le reste de ma famille nous avait suivi. Les consignes restaient les mêmes : nous ne devions rien dévoiler. Après un détachement, mon père fut embauché dans l’administration locale. Ma mère, quant à elle, ne sortait plus, sauf pour rendre visite à la famille et aux amis. Nous avons passé beaucoup de temps à Beni Saf, où mon oncle possédait une maison en bord de mer. Chez lui, on faisait shabbat et j’assistai à ma première hayloula. Un moment magique et plein d’émotion. Ma mère me disait : « Ce sont nos traditions, nous devons les vivre pleinement et tu dois les perpétuer à la gloire de Dieu. »

 

 

(...)

Zouheir Aït Mouhoub - EL WATAN

 

Suite (plus bas) dans le forum.

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Merci Zoubir8 pour cet apport historique,cela confirme ce que je disais á certains juifs d'algérie(dans un autre topic) qui croient que les juifs ont été chassé de leur patrie par le FLN et que c'est Boumediene qui en est l'instigateur aprés l'indépendance. Cette lettre du FLN aux juifs est une preuve que le choix leur a été proposé ou d'opter pour la nationalité algérienne et condanner le colonialisme ou bien ils choisissaient la france et de ce fait ils devaient quitter le pays.

Cet appel du FLN est un démenti pour les thèses de Busch qui veut faire des juifs qui ont vécu dans les pays arabes, un peuple de réfugié au mème titre que le peuple palestinien qui a été chassé de force de sa terre.

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Merci Zoubir8 pour cet apport historique,cela confirme ce que je disais á certains juifs d'algérie(dans un autre topic) qui croient que les juifs ont été chassé de leur patrie par le FLN et que c'est Boumediene qui en est l'instigateur aprés l'indépendance. Cette lettre du FLN aux juifs est une preuve que le choix leur a été proposé ou d'opter pour la nationalité algérienne et condanner le colonialisme ou bien ils choisissaient la france et de ce fait ils devaient quitter le pays.

Cet appel du FLN est un démenti pour les thèses de Busch qui veut faire des juifs qui ont vécu dans les pays arabes, un peuple de réfugié au mème titre que le peuple palestinien qui a été chassé de force de sa terre.

 

Ce que tu oublie de dire c'est que les juifs algériens, sont avant tout des Algériens ! comme toi et moi ! Certes, beaucoup d'entre eux ont préféré adopter la nationalité française, mais l'écrasante majorité sont restés en Algérie où ils n'ont même pas le droit de revendiquer leur exisentence, si ce n'est pas quelques symboles, ils sont les fondateurs du WAT et CSC (regarder les couleurs de ces équipes), à tout va je dirai que 30% de la population algérienne est juive !

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Ce que tu oublie de dire c'est que les juifs algériens, sont avant tout des Algériens ! comme toi et moi ! Certes, beaucoup d'entre eux ont préféré adopter la nationalité française, mais l'écrasante majorité sont restés en Algérie où ils n'ont même pas le droit de revendiquer leur exisentence, si ce n'est pas quelques symboles, ils sont les fondateurs du WAT et CSC (regarder les couleurs de ces équipes), à tout va je dirai que 30% de la population algérienne est juive !

 

J'ai toujours dit que les juifs d'algérie étaient des algériens á part entière comme toi et moi, je parlais de ceux qui ont choisi la france avant at aprés l'indépendance et qui viennent maintenant se faire passer pour des victimes qu'on a chassé de chez eux.

Quand tu dis que 30% d'entre eux sont restés au pays, je trouve que c'est trés éxagéré . Il ya une semaine ou deux, s'est tenu le congré des juifs d'algérie en Israel et j'ai entendu leur porte parole dire qu'en 1962 , le nombre de juifs ayant quitté l'algérie était de 1 million et que cette communauté était profondément sioniste et a beaucoup aidé Israel, c'était pour répondre aux reproches qu'on leur fait en israel pour le fait de s'etre installé en france au lieu d'israel.

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J'ai toujours dit que les juifs d'algérie étaient des algériens á part entière comme toi et moi, je parlais de ceux qui ont choisi la france avant at aprés l'indépendance et qui viennent maintenant se faire passer pour des victimes qu'on a chassé de chez eux.

Quand tu dis que 30% d'entre eux sont restés au pays, je trouve que c'est trés éxagéré . Il ya une semaine ou deux, s'est tenu le congré des juifs d'algérie en Israel et j'ai entendu leur porte parole dire qu'en 1962 , le nombre de juifs ayant quitté l'algérie était de 1 million et que cette communauté était profondément sioniste et a beaucoup aidé Israel, c'était pour répondre aux reproches qu'on leur fait en israel pour le fait de s'etre installé en france au lieu d'israel.

 

Je parle de la population actuelle d'Algérie, 30% est d'origine juive ! C'est pas un chiffre officiel, mais à voir certains noms de famille, surtout dans les régions de Tlemcen et Constantine, ça met la puce à l'oreille ! L'intégrisme chez nous est ce qu'il est alors ces personnes n'osent pas dire qu'elles sont juives, maintenant leurs enfants ne le savent même pas !

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Tu peux en citer quelques noms de ces familles juives? A part les Benchicou,les Hannounj j'en connais pas d'autres. Je pense que tu éxagères en disant que 30% des algériens sont juifs. Et puis l'integrisme islamiste et nationaliste n'a pas lésé que les juifs, il n'ya pas trés lomgtemps meme les kabyles n'osaient pas parler kabyle ou affirmer leur identité c'est pas pour autant qu'ils se sont tu, c'est le cas de tous les autres algériens qui ne se reconnaissent pas dans ce projet de société exclusivement arabo musulman.

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Tu peux en citer quelques noms de ces familles juives? A part les Benchicou,les Hannounj j'en connais pas d'autres. Je pense que tu éxagères en disant que 30% des algériens sont juifs. Et puis l'integrisme islamiste et nationaliste n'a pas lésé que les juifs, il n'ya pas trés lomgtemps meme les kabyles n'osaient pas parler kabyle ou affirmer leur identité c'est pas pour autant qu'ils se sont tu, c'est le cas de tous les autres algériens qui ne se reconnaissent pas dans ce projet de société exclusivement arabo musulman.

 

Benchicou ça n'a rien de juif je te signale, tient "ZERHOUNI" ça c'est juif !

Les kabyles ne se sont jamais arrêté de parler kabyle, même dans les pires années de répression aveugle ils sont restés debout ! Autrement cette langue qui a souffert de 132 ans de colonialisme aura disparu ! Les arabes n'ont pas porté préjudice au berbère comme l'a fait le colon français ! L'Arabisation forcée a commencé en 1890 (à peu près) et a été poursuivies au lendemain de l'indépendance !

Vouloir cantonner l'Algérie dans le spectre de l'arabo islamisme est horrible, parce que ce pays est bien plus riche, large et divers que ça !

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Hogra

 

Merci Zoubir8 pour cet apport historique,cela confirme ce que je disais á certains juifs d'algérie(dans un autre topic) qui croient que les juifs ont été chassé de leur patrie par le FLN et que c'est Boumediene qui en est l'instigateur aprés l'indépendance. Cette lettre du FLN aux juifs est une preuve que le choix leur a été proposé ou d'opter pour la nationalité algérienne et condanner le colonialisme ou bien ils choisissaient la france et de ce fait ils devaient quitter le pays.

Cet appel du FLN est un démenti pour les thèses de Busch qui veut faire des juifs qui ont vécu dans les pays arabes, un peuple de réfugié au mème titre que le peuple palestinien qui a été chassé de force de sa terre.

 

oui, les Algériens Juifs étaient avant tout des Algériens et ils étaient dans LEUR pays.

Dommage la politique du mossad pour, comme en Irak, les faire venir en Israël.

 

Moi Naïm, 24 ans, futur rabbin d’Algérie

 

vendredi 13 juillet 2012. El Watan

 

L’Algérie, pour laquelle ils ont participé à la libération, est leur patrie. Avec les Algériens, ils partagent tout à l’exception de... la religion. Eux, ce sont les juifs d’Algérie. Aujourd’hui, ils continuent encore de se cacher pour mieux vivre. Portrait d’un jeune qui a choisi de sortir de son silence.

 

Je n’ai que 24 ans. Mais j’ai déjà passé l’essentiel de ma vie à me cacher. A cacher mon secret, celui de ma famille, de mes semblables. Je suis Algérien. Avec mes concitoyens, je partage le ciel, la mer, la terre, les joies et les tristesses. Mais pas la religion. Aujourd’hui, après des études de droit, je pars à l’étranger pour intégrer une école hébraïque afin d’approfondir mes connaissances et me spécialiser dans l’étude du culte nord-africain et du judaïsme algérien en particulier. Je voudrais devenir le futur rabbin d’Algérie pour qu’enfin, un jour, nous puissions célébrer la foi en hachem sur cette terre, en liberté, dans la sérénité et dans le partage, en respectant les lois de la République et du vivre-ensemble.

 

Je m’appelle Naïm et je suis juif toshavim. Je suis né un certain été 1988 à Alger. Il faisait beau. Rien n’indiquait que l’automne allait prendre un dramatique tournant dans la vie tourmentée de mon pays. Malgré cela, ma famille a toujours refusé de quitter l’Algérie et est restée liée à son histoire depuis des siècles. En 1962, alors que de nombreux juifs partaient dans la précipitation, emportés par les bruits qui couraient selon lesquels les juifs seraient tous « massacrés », mon grand-père décida de rester. « Ici, c’est notre terre. Elle a vu naître tes parents et tes aïeuls et nous n’avons nulle part où aller », répétait-il à chaque discussion.

 

Mes parents étaient bien tentés de faire leur alya en Israël, mais mon grand-père les en a dissuadés. « En 1963, Israël avait interdit aux Algériens de faire l’alya comme les autres juifs du monde. Le procès intenté au judaïsme algérien et aux juifs d’Algérie en 1963 à Jérusalem était une honte et un mépris envers nous. Sous prétexte que nous n’avons pas fait l’alya en masse et que nous étions particuliers. Mais nous sommes fiers d’être ce que nous sommes. Il ne faut rien espérer des autres. Faisons confiance à nos frères algériens. Promets-moi de rester ici coûte que coûte, mon fils », disait-il à mon père.

 

Engagement

 

Mon grand-père, à l’époque commerçant à Znikat Laârayass dans La Basse Casbah, aidait ses frères moudjahidine. Son frère s’était même engagé dans l’Armée de libération nationale. C’est un chahid. Aujourd’hui encore, les vieux et les vieilles de La Casbah se souviennent de l’engagement de ma famille dans la Révolution. La France nous a causé du tort, car elle nous a assimilés puis francisés par ce sordide décret Crémieux*. « La France interdisait à nos frères juifs d’être enterrés sur son sol. Avec ce décret, elle voulait nous séparer de nos frères musulmans et nous mettre dans l’embarras », expliquait doctement mon grand-père. Il portait l’Algérie dans son cœur et ne voyait pas d’autres cieux que celui d’Alger. Il était fier d’être Algérien et n’acceptait aucune autre appellation, refusant les étiquettes « juifs d’Algérie », « juifs d’origine algérienne » ou encore « communauté israélite ou juive d’Algérie ».

 

Il aimait lamhadjab, zlabia et makrout. El Hadj El Anka égayait ses jours et ses soirées. Le chaâbi était sa musique favorite et Edmond Yafil, un de ses grands amis. Mon père, lui, était un homme discret qui avait tout le temps peur. C’était un fonctionnaire ambitieux qui, malheureusement, fut écarté des hautes fonctions de l’Etat à cause de son appartenance juive, découverte après de longues enquêtes d’éligibilité faites par les services de sécurité. Il ne nous a rien appris du halakha. Je me souviendrai toujours de cette anecdote. J’avais 6 ans et un jour que je l’accompagnais à la pêcherie, nous sommes passés devant la grande mosquée de Sahat Echouhada. Des barbus étaient en train de manifester devant la grande mosquée. Je contemplais cette magnifique mosquée blanche, ses ornements, quand soudain, j’aperçus des étoiles à six branches : « Regarde cette étoile, elle est bizarre, elle a six branches !, elle ressemble à celle accrochée au mur de ta chambre ! » « Un jour, tu comprendras, mon fils ! », me lança mon père, le regard fuyant, après un long moment de silence.

 

Pas comme les autres

 

Je me souviens de l’école, des premières leçons d’alphabet arabe. Puis des cours d’éducation islamique. Nous commencions à réciter Echahada et la Fatiha. Quelque chose d’inhabituel à mes oreilles. La tonalité était la même, mais les mots étaient différents de ceux que ma mère utilisait pour prier le soir ou le jour de shabbat. Le soir, à table, ma mère me sentit perturbé. Elle me posa des questions, mais je ne pus rien lui dire. J’attendais le moment où je la verrai s’asseoir et prier devant une bougie. C’est à ce moment-là que je compris que ma mère ne récitait pas le Coran et parlait bien une autre langue que l’arabe. Elle faisait son dafayoumi. Devant mon silence obstiné, me croyant hanté par un esprit, elle décida de me soigner avec la parole de Dieu. Elle récita des dafa et jeta de l’eau partout jusqu’à ce que je craque et que je lui raconte : « A l’école, nous avons appris le Coran et comment faire la prière. Mais je t’ai observée et tu ne faisais pas ce qu’on nous dit de faire à l’école ! » Elle resta stupéfaite puis éclata en sanglots : « Nous ne sommes pas comme les autres ! Nous sommes juifs, mon fils ! Que Dieu te protège ! »

 

La mise en garde

 

De la petite fenêtre de ma chambre, je contemplais le ciel. Chema Béni Israël, Adonai Elohenou, Adonaie’had (peuple d’Israël : Adonai est notre seul dieu, Adonai est un). C’est notre echahada, à nous, les juifs. Je me suis mis à prier Dieu aux côtés de ma mère. La foi est devenue la priorité de mon existence. Ma mère avait pris le soin de me mettre en garde : je ne devais jamais révéler mon appartenance religieuse. Surtout en cette période. Le 23 janvier 1994, mon oncle maternel nous rendit visite pour nous annoncer le meurtre de Raymond Louzoum. Un opticien juif d’origine tunisienne de l’actuelle rue Didouche Mourad, lâchement assassiné en face de la librairie des Beaux-Arts. Mon père rentra précipitamment de son travail. Il passa la soirée à discuter avec ma mère. Je l’entendais crier : « Non ! Je reste ici ! Je n’irai nulle part ailleurs ! »

 

Mon oncle revint quelques jours plus tard et m’emmena à la synagogue. Enfin, disons plutôt un local aménagé en lieu de prière. Pendant les années 1990, les juifs d’Algérie étaient obligés de se faire encore plus discrets. C’était risqué en cette période sanglante de l’Algérie. Nous avions l’habitude de prier dans une petite mosquée où l’imam nous avait permis de le faire pour shabbat. J’appris quelques années plus tard que les autorités étaient au courant et qu’elles surveillaient les lieux pour notre sécurité. Nous n’étions pas nombreux et étions dépourvus des accessoires nécessaires à notre office. Mon oncle m’initiait et m’enseignait la tradition juive selon le rite des grands rabbins algériens.

 

Protection

 

Le 22 janvier 2005, l’avocat Joseph Belaïche fut assassiné. Alger devint morose. Les nouvelles d’assassinats d’intellectuels, de journalistes et d’artistes nous parvenaient chaque jour. Mon oncle reçut la visite de terroristes à son domicile, à Saint-Eugène, qui lui demandèrent de payer la fidya. « Et nous te laisserons tranquille », ne cessaient-ils de lui dire. A force de pression, malgré la résistance de ma mère, nous avons fini par quitter Alger pour Oran. Des gens que je ne connaissais pas étaient venus à la maison pour discuter avec mon père. Mon oncle me révéla quelques années plus tard qu’il s’agissait des autorités sécuritaires. Elles nous avaient conseillé de quitter Alger et de dire aux voisins que nous partions pour l’étranger. D’après mon oncle, les autorités ne voulaient justement pas de ce scénario.

 

« Ils ne veulent pas voir les juifs quitter massivement leur pays. Ils se soucient de notre situation et font tout pour nous protéger », me confiait-il. Cet été-là, nous nous sommes donc installés dans un nouvel appartement en plein centre d’Oran. Je découvris alors combien nous formions une grande communauté ! Le reste de ma famille nous avait suivi. Les consignes restaient les mêmes : nous ne devions rien dévoiler. Après un détachement, mon père fut embauché dans l’administration locale. Ma mère, quant à elle, ne sortait plus, sauf pour rendre visite à la famille et aux amis. Nous avons passé beaucoup de temps à Beni Saf, où mon oncle possédait une maison en bord de mer. Chez lui, on faisait shabbat et j’assistai à ma première hayloula. Un moment magique et plein d’émotion. Ma mère me disait : « Ce sont nos traditions, nous devons les vivre pleinement et tu dois les perpétuer à la gloire de Dieu. »

 

A la maison, nous parlions l’arabe et le français à force de fréquenter la « communauté » où mon oncle était un des animateurs. Oran était un havre de paix. J’apprenais l’hébreu dans une école clandestine, puis le judéo-arabe, si bizarre et si poétique, puis la Torah. Je vivais alors pleinement ma judaïté. Mais entre mes parents, les tensions étaient de plus en plus visibles. Le doute prit le dessus. Ils se séparèrent et mon père se convertit à l’islam. A la rentrée, je repris le chemin de l’école avec le sentiment d’avoir été abandonné par mon père. Il m’avait caché que j’étais juif.

 

Conversion

 

Je peux comprendre, mais il a trahi la halakha. A l’école, il m’était difficile de faire face à tant de haine, de mépris et à la négation de tout ce qui est juif. J’appris le Coran malgré moi, même si je respecte cette religion et son enseignement divin, ses valeurs de tolérance et de cohabitation entre les peuples. Mais l’école algérienne forme des xénophobes, des antisémites. Combien de fois ai-je entendu : « Les juifs sont honnis par Dieu. » Ils sont « mauvais », « mécréants », « hypocrites », « sales ». « C’est une épreuve parmi d’autres, un sacrifice mon fils », me disait ma mère, qui a toujours été d’un grand soutien. Elle respectait beaucoup ses concitoyens et vivait pleinement son algérianité.

 

Un jour, j’ai osé avouer à un camarade de classe ma religion, mais il ne m’a pas pris au sérieux. Pour lui, il était inconcevable que je sois juif. Grâce à ma foi en hachem, j’ai pu passer bien des épreuves, car je continuais, le soir, à fréquenter l’école hébraïque. En réalité, à l’image de la synagogue, cette école avait été ouverte « clandestinement » par le descendant d’une famille de rabbins d’Algérie. On entrait dans ce garage aménagé par une porte discrète située dans une impasse. Un membre de notre communauté faisait le guet et surveillait les lieux. Nos réunions ressemblaient aux réunions secrètes de certaines confréries ! « Nous devons nous protéger. Nous n’agissons pas en secret, mais la situation du pays ne nous permet pas de nous exposer. Il y a trop de dangers. Restez toujours éveillés et discrets », répétait sans cesse notre prof. En 1999, lorsque le président Bouteflika a été élu, un clin d’œil dans son discours a redonné espoir aux juifs d’Algérie.

 

Réunions secrètes

 

Tante Sarah, Enrico, des hommes d’affaires… allaient enfin pouvoir revenir. Je me souviens avoir vu ma mère pleurer et avoir prié pour que Bouteflika soit béni. Et puis le rêve tourna au cauchemar. Après une campagne haineuse dirigée à notre encontre, Bouteflika fit marche arrière sous les pressions. Nous avons continué à garder le silence, à prier en cachette et à accepter des compromis parfois contraires à notre religion. Comme ce jour où j’ai assisté aux funérailles d’un « vieux » de notre communauté. Discrétion oblige, la dépouille fut amenée la nuit, au cimetière de Tlemcen, dans une ambulance accompagnée d’un fourgon de police, contraire à la tradition juive.

 

Cet homme, qui a longtemps soutenu la lutte de Libération nationale, méritait mieux que cela. Cette scène restera gravée à jamais dans ma mémoire. Quand internet est arrivé à la maison, toutes mes premières recherches concernaient l’histoire des juifs d’Afrique du Nord. Je découvris la spécificité du judaïsme algérien, ses pratiques, ses particularités. Je me suis abonné aux cours de paracha, à l’enseignement de la sefer torah. Le site zlabia.com (site officiel de la communauté juive algérienne en Algérie et à l’étranger) me compte parmi les éléments les plus actifs. Je me suis fait plein d’amis juifs en Algérie et à l’étranger, à qui, aujourd’hui toujours, je dis combien je crois en mon pays, pour lequel je nourris beaucoup d’espoir et d’ambition. Je prie hachem matin et soir pour que l’Algérie reconnaisse enfin ses enfants, sa pluralité. Pour qu’elle respecte, comme elle l’a toujours fait, ses minorités, sans distinction. L’Algérie appartient à tous les Algériens. Amen.

 

*En 1870, le décret Crémieux accorde d’office la citoyenneté française à 35 000 juifs d’Algérie. Dans la foulée, les colons originaires d’Europe sont aussi francisés. Les musulmans d’Algérie sont maintenus dans leur statut d’indigène.

 

Zouheir Aït Mouhoub - EL WATAN

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  • 8 months later...
Ce que tu oublie de dire c'est que les juifs algériens, sont avant tout des Algériens ! comme toi et moi ! Certes, beaucoup d'entre eux ont préféré adopter la nationalité française, mais l'écrasante majorité sont restés en Algérie où ils n'ont même pas le droit de revendiquer leur exisentence, si ce n'est pas quelques symboles, ils sont les fondateurs du WAT et CSC (regarder les couleurs de ces équipes), à tout va je dirai que 30% de la population algérienne est juive !

 

30% juifs et 69% chrétiens , et 1% de musulmans cher ami?????

certes il avait des juifs algériens et il ya encore de juifs algériens ,mais la plus part ont choisi la France donc comme les harkis ne sont plus algeriens.

je serai d'accord avec toi de dire des nombreux juifs ont aider le FLN.

même des chrétiens l'ont fait.

 

ne joue pas avec des chiffre qui tu va chercher dans des site comme le MAK,ou kabyle.com!

je suis kabyle et la ou j'habite il ya 20000 habitants 2 seulement sont chrétiens et le pire sont chrétiens sans aucun rapport avec le bible!!!!

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Je parle de la population actuelle d'Algérie, 30% est d'origine juive ! C'est pas un chiffre officiel, mais à voir certains noms de famille, surtout dans les régions de Tlemcen et Constantine, ça met la puce à l'oreille ! L'intégrisme chez nous est ce qu'il est alors ces personnes n'osent pas dire qu'elles sont juives, maintenant leurs enfants ne le savent même pas !

 

la ville de constantine plus au moins 200000 habitant , telmcen 150000!

l'algériens 35 million.

supposent que les 100% des constantinois et du telmcani sont juifs ou d'origine juifs , on sera très loin de 30%, meme de 5%

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Tu peux en citer quelques noms de ces familles juives? A part les Benchicou,les Hannounj j'en connais pas d'autres. Je pense que tu éxagères en disant que 30% des algériens sont juifs. Et puis l'integrisme islamiste et nationaliste n'a pas lésé que les juifs, il n'ya pas trés lomgtemps meme les kabyles n'osaient pas parler kabyle ou affirmer leur identité c'est pas pour autant qu'ils se sont tu, c'est le cas de tous les autres algériens qui ne se reconnaissent pas dans ce projet de société exclusivement arabo musulman.

 

d'abord il ne faut pas dire kabyle , c'est du berbere qu'il s'agit.

ensuite on dit pas ils ont pas osé! , c'est vraiment cracher sur ceux que l'injustice de la dictature algérienne a fait contre ceux qui ce sont battu pour l'identité berbere, donc celle de la plus part des algeriens.

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Je pense que les Juifs d'Algérie ont eu la clairvoyance suffisante en optant pour la nationalité française.

 

Il est temps de dire que l'indépendance de l'Algérie a été une grave erreur, pour la simple et bonne raison que la riche caste de colons a été remplacée par une Nomenklatura dont les méfaits ont été 100 fois plus dévastateurs. On peut reprocher beaucoup de choses aux colons, sauf le fait qu'il aient profondément aimé l'Algérie. Je ne peux pas en dire autant de la Nomenklatura.

 

Lisez plutôt :

 

50 ans après l'indépendance, le paradis que les pieds noirs quitté, la mort dans l'âme, a été transformé en enfer par un régime corrompu et vomi par le peuple. Un enfer que les jeunes, par centaines, quittent en Boat people, bravant au péril de leurs vies les dangers de la mer.

 

Un demi-siècle après l'indépendance, le Consulat de France à Alger croule sous les demandes de réintégration dans la nationalité Française (100 000 par an), et des dizaines milliers d'Algériens sont chaque année naturalisés en France, qui par mariage, qui par résidence, qui par filiation, ...

 

Les Israëlites d'Algérie, aussi bien que les 50 000 notables musulmans naturalisés Français auxquels je rends hommage, ont certainement fait le bon choix.

 

Si l'Algérie était restée Française, jamais les médiocres gueux du genre de Abdelaziz Belkhadem, Boudjerra Soltani, et autres Khaled Bounedjma n'auraient droit de cité. Dans l'Algérie de Bouteflika, ils ont droit à la une des JT de l'ENTV.

 

Les députés musulmans de l'Algérie Française étaient tous issus des grandes familles algériennes: des gens nobles, aisés, raffinés et éduqués. Une élite !

 

Allez voir qui siège aujourd'hui dans l'APN ... des gueux et des bédoins débarqués de leurs douars, affamés et assoiffés d'avantages, prêts à vendre leur âme au diable pour un centime de plus.

 

Alors, de grâce, regardons les choses de façon lucide !

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Guest KRATOS
Je pense que les Juifs d'Algérie ont eu la clairvoyance suffisante en optant pour la nationalité française.

 

Il est temps de dire que l'indépendance de l'Algérie a été une grave erreur, pour la simple et bonne raison que la riche caste de colons a été remplacée par une Nomenklatura dont les méfaits ont été 100 fois plus dévastateurs. On peut reprocher beaucoup de choses aux colons, sauf le fait qu'il aient profondément aimé l'Algérie. Je ne peux pas en dire autant de la Nomenklatura.

 

Lisez plutôt :

 

50 ans après l'indépendance, le paradis que les pieds noirs quitté, la mort dans l'âme, a été transformé en enfer par un régime corrompu et vomi par le peuple. Un enfer que les jeunes, par centaines, quittent en Boat people, bravant au péril de leurs vies les dangers de la mer.

 

Un demi-siècle après l'indépendance, le Consulat de France à Alger croule sous les demandes de réintégration dans la nationalité Française (100 000 par an), et des dizaines milliers d'Algériens sont chaque année naturalisés en France, qui par mariage, qui par résidence, qui par filiation, ...

 

Les Israëlites d'Algérie, aussi bien que les 50 000 notables musulmans naturalisés Français auxquels je rends hommage, ont certainement fait le bon choix.

 

Si l'Algérie était restée Française, jamais les médiocres gueux du genre de Abdelaziz Belkhadem, Boudjerra Soltani, et autres Khaled Bounedjma n'auraient droit de cité. Dans l'Algérie de Bouteflika, ils ont droit à la une des JT de l'ENTV.

 

Les députés musulmans de l'Algérie Française étaient tous issus des grandes familles algériennes: des gens nobles, aisés, raffinés et éduqués. Une élite !

 

Allez voir qui siège aujourd'hui dans l'APN ... des gueux et des bédoins débarqués de leurs douars, affamés et assoiffés d'avantages, prêts à vendre leur âme au diable pour un centime de plus.

 

Alors, de grâce, regardons les choses de façon lucide !

 

ça sent l'ancien agent de l'OAS a plein né.

alors cher ancien colon, pourquoi la majorité des colons ont participé activement aux massacres de plusieurs algériens ? pourquoi ces mêmes colons refusaient le droit à l'éducation aux algériens ? le droit aux soins ? pourquoi ces mêmes colons avaient refusé la nationalité française à la majorité des algériens les traitants de dêchets ? pourquoi ces mêmes colons avaient dépouillé ces mêmes algériens de leurs terres, de leurs honneur et de leurs vie ? pourquoi ces mêmes colons avaient initié l'extermination identitaire des algériens ?

des questions comme ça j'en ai encore un million mais je préfère me taire car ne vous déplaise l'algérie est libre. cette même algérie vous a oublié alors tounez la page et chercher vous une vie.

:)

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Cher Kratos,

 

J'aimerais d'abord vous signaler que je ne suis pas pied noir mais simplement descendant d'une grande famille algérienne. Mon arrière-grand père était député de la IVème République. Il a défendu les intérêts de l'Algérie avec vigueur tout le long de sa carrière. Et je me sens héritier de sa noblesse d'âme, une denrée qu'il n'est pas besoin de chercher chez les minables députés de l'APN.

 

Loin de moi l'idée d'idéaliser l'époque Française, car beaucoup était encore à faire et beaucoup d'erreurs ont été commises. Mais il est certain que si les chouhadas pouvaient sortir de leurs tombes pour voir ce qu'est devenu l'Algérie, ils n'auraient jamais pris les armes.

 

Un pays qui met en avant dans ses JT des personnes dont le QI est moins développé que celui d'un oiseau n'est pas un pays qui se respecte.

 

Dois-je vous rappeler que toutes les questions que vous posez concernant l'éducation et la santé sont encore d'actualité, dans un pays riche de milliards de dollars.

 

Votre discours est de toute façon caduque pour la simple et bonne raison qu'une écrasante majorité d'algériens ne rêvent que d'une seule chose : un VISA !

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Guest KRATOS
Cher Kratos,

 

J'aimerais d'abord vous signaler que je ne suis pas pied noir mais simplement descendant d'une grande famille algérienne. Mon arrière-grand père était député et sénateur de la IVème République. Il a défendu les intérêts de l'Algérie avec vigueur tout le long de sa carrière. Et je me sens héritier de sa noblesse d'âme, une denrée qu'il n'est pas besoin de chercher chez les minables députés de l'APN.

 

Loin de moi l'idée d'idéaliser l'époque Française, car beaucoup était encore à faire et beaucoup d'erreurs ont été commises. Mais il est certain que si les chouhadas pouvaient sortir de leurs tombes pour voir ce qu'est devenu l'Algérie, ils n'auraient jamais pris les armes.

 

Un pays qui met en avant dans ses JT des personnes dont le QI est moins développé que celui d'un oiseau n'est pas un pays qui se respecte.

 

Dois-je vous rappeler que toutes les questions que vous posez concernant l'éducation et la santé sont encore d'actualité, dans un pays riche de milliards de dollars.

 

Votre discours est de toute façon caduque pour la simple et bonne raison qu'une écrasante majorité d'algériens ne rêvent que d'une seule chose : un VISA !

 

je n'ai pas le temps pour répondre à votre propagande AOSite mais j'y reviendrai :)

 

en ce qui concerne juste le dernier point, dois je vous rappeler que l'algérien avait besoin de VISA pour circuler dans sa ville. le colon français s'était même permis d'interdire la circulation d'un algérien sur sa terre.

 

enfin, l'algérien peut demander un visa justement parce qu'il est libre de le faire alors qu'avant il devait demander la permission pour se soigner. enfin, pourquoi l'algérien doit il demander un visa pour la france alors que cette dernière s'était installé pendant plus de 130 ans sans s'y être invitée. la colonisation a stoppé tout développement de l'algérie et là vous nous sortez le refrain habituel (ah vos dirigeants vous volent, ....). si vous vouliez que l'algérie se développe il ne fallait pas tout simplement y venir.

 

vous matérialisez à vous seul l'hypocrisie française : la superiorité de l'homme blanc qui pouvait régler les problèmes des indigènes, ces mêmes indigènes qui ne sont pas capables de construire un pays.

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Ce que tu oublie de dire c'est que les juifs algériens, sont avant tout des Algériens ! comme toi et moi ! Certes, beaucoup d'entre eux ont préféré adopter la nationalité française, mais l'écrasante majorité sont restés en Algérie où ils n'ont même pas le droit de revendiquer leur exisentence, si ce n'est pas quelques symboles, ils sont les fondateurs du WAT et CSC (regarder les couleurs de ces équipes), à tout va je dirai que 30% de la population algérienne est juive !

 

sans source ni preuve moi je disais des américains :rolleyes:

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Cher Kratos,

 

J'aimerais d'abord vous signaler que je ne suis pas pied noir mais simplement descendant d'une grande famille algérienne. Mon arrière-grand père était député de la IVème République. Il a défendu les intérêts de l'Algérie avec vigueur tout le long de sa carrière. Et je me sens héritier de sa noblesse d'âme, une denrée qu'il n'est pas besoin de chercher chez les minables députés de l'APN.

 

Loin de moi l'idée d'idéaliser l'époque Française, car beaucoup était encore à faire et beaucoup d'erreurs ont été commises. Mais il est certain que si les chouhadas pouvaient sortir de leurs tombes pour voir ce qu'est devenu l'Algérie, ils n'auraient jamais pris les armes.

Un pays qui met en avant dans ses JT des personnes dont le QI est moins développé que celui d'un oiseau n'est pas un pays qui se respecte.

 

Dois-je vous rappeler que toutes les questions que vous posez concernant l'éducation et la santé sont encore d'actualité, dans un pays riche de milliards de dollars.

 

Votre discours est de toute façon caduque pour la simple et bonne raison qu'une écrasante majorité d'algériens ne rêvent que d'une seule chose : un VISA !

je vais juste répondre sur ca!

avant de parler de chouhada , il faut d'abord savoir c quoi un chahid!

un chahid est un terme coranique pour designer un musulman qui se sacrifié au nom d'ALLAH.

donc les chouhada algerien sont mort avant tout pour ALAH.

au contrairement a ce que tu crois ,les chouhadas algériens s'ils sortent de leurs tombes ,c'est juste pour se sacrifier une 2emme fois.

la France ni aucun peut leur offrir ce que Allah leurs offre.

et le malheur algérien aujourd'hui il est du en partie à la France , qui a placer avec la complicité du clan d'Oujda des sous officier de l'armée française a des postes clefs , qui sont n'est autres que certaine généraux ,aujourd'hui.

je suis petit fils de chahid et fils de moudjahed.

donc c'est une fierté pour moi d'avoir un grand père chahid.

et si tu as lu mes commentaires , je ne crois pas que tu pourrais trouver un formiste qui s'acharne contre la dictature comme moi!!!!

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quelle bêtise !!

la grande bêtise des juifs algériens c'est quand ils ont accepté la nationalité française dans les premières années de la colonisation barbare de la France, cette dernière a créé des conflits entre algériens, le pire c'est que ces conflits vivent toujours en Algérie grâce à les porteurs du projet français en Algérie, boumedien a réussi de jeté quelques uns derrière la mer mais le problème c'est que mazel bazef des gens qui portent leur visus, lazem nahiwhom gaà.

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Cher Kratos,

 

Oui, je vous le confirme, des indigènes analphabètes sont en effet incapables de gérer un pays comme l'Algérie. N'ont-ils pas eu 50 ans pour montrer de quoi ils étaient capables ? Comment évaluez vous les résultats, dîtes-moi ?

 

Comptez vous gérer le pays avec un Belkhadem qui prêche pour l'arabisation et qui place ses enfants dans les meilleures écoles occidentales, ou avec un licencié en langue arabe comme Boudjerra Soltani, qui déclarait brillamment hier, je cite "Bouteflika est en fait candidat à un 1er mandat car nous avons une nouvelle constitution" ?

 

Comptez-vous aller de l'avant avec un imposteur comme Bouteflika, le "maquisard" des grands déserts maliens ! A propos, où en sont les réformes économiques, dîtes-moi ? remarquez-vous une stratégie en vue pour employer l'argent du pétrole dans autre chose que l'importation de nourriture ?

 

Eh bien, que vous le vouliez ou pas, du temps de la France, les gens avaient plus de joie de vivre qu'aujourd'hui. Que de personnes âgées me parlent de la nostalgie du "wakt França" quand chaque chose était à sa place, que les rues étaient propres et sentaient le jasmin.

 

Voyez les départements d'outre-mer aujourd'hui, voyez vous les gens se plaindre d'être Français ?

 

Il est certain qu'en qualité de territoire d'outre-mer, l'Algérie aurait évolué vers un modèle où tous les citoyens seraient égaux en droit, comme c'est le cas aujourd'hui pour la Martinique, Guadeloupe, Guyane et Réunion. L'évolution vers plus de droits pour tout le monde était fatal.

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donc c'est une fierté pour moi d'avoir un grand père chahid. et si tu as lu mes commentaires , je ne crois pas que tu pourrais trouver un forumiste qui s'acharne contre la dictature comme moi!!!!

 

Cher Ulacsmah,

 

J'ai le plus grand respect pour les martyrs qui se sont sacrifiés pour leurs idées. Sans doute, pensaient-ils sincèrement que l'indépendance allait ouvrir de nouvelles perspectives à l'Algérie. Je crains qu'ils ne soient en train de se retourner dans leurs tombes, tant ce pays a subi de mal. Leur combat a été trahi de la pire manière qui soit.

 

Je crois aussi que la France a manqué de clairvoyance en n'offrant pas les mêmes droits pour tous, afin de promouvoir l'assimilation, ce que réclamait avec force la classe politique algérienne depuis les années 1920.

 

Malheureusement, à son indépendance, l'Algérie a été prise en otage par une minorité nuisible, sans stratégie d'avenir pour le pays, pire, sans la moindre compétence pour faire face aux nombreux défis. Ceci emmène le pays droit au mur et les symptômes d'un grand malaise sont déjà là : je donnais l'exemple dramatique des boat people ... un comportement extrême qui reflète qu'un point de non-retour a été atteint.

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Cher Kratos,

 

J'aimerais d'abord vous signaler que je ne suis pas pied noir mais simplement descendant d'une grande famille algérienne. Mon arrière-grand père était député de la IVème République. Il a défendu les intérêts de l'Algérie avec vigueur tout le long de sa carrière. Et je me sens héritier de sa noblesse d'âme, une denrée qu'il n'est pas besoin de chercher chez les minables députés de l'APN.

J’avoue que je ne suis pas convaincu par cette présentation mais par contre ce que je sais est que les dirigeants de l’OAS furent des députés justement refusant au peuple algérien leur droit le plus légitime : la liberté. Il est clair que les députés de l’APN ne sont qu’une bande de profiteurs mais ils n’ont rien à envier à ceux de la France. Et contrairement aux députés de la IV république, ils n’ont pas attesté de lois faisant une hiérarchisation sociale d’un peuple faisant des colons les maîtres et des colonisés des bêtes. Ces députés de l’APN ne brandissaient pas les droits de l’homme pour assouvir un peuple au service de l’homme blanc. Il y a tellement à dire sur ces minables mais je suis sûr que je vous apprends rien :)

 

Loin de moi l'idée d'idéaliser l'époque Française, car beaucoup était encore à faire et beaucoup d'erreurs ont été commises.

 

 

Cette phrase résume tout le mépris de l’homme blanc envers les indigènes. Vous avez l’audace de comparez des millions de morts à des erreurs. Je n’ai pas à vous rappelez que cette algérie-française fut plus française qu’algérienne, une simple ignominie à la vie du peuple algérien. Des enfants n’ont pas connu leurs pères car les seigneurs, que vous représentez parfaitement, les avaient exécutés comme des vulgaires animaux dont la vie ne résume qu’à l’assouvissement à l’homme blanc. Des hommes avaient perdu leurs terres, leur honneur, leurs vies, et vous vous permettez d’appeler ces crimes des erreurs. La colonisation française en algérie résume à elle seule la barbarie brute au vu des massacres voire les génocides orchestrés dans toute impunité, mais votre vision, à géométrie variable, des droits de l’homme, vous amène à vous consterner devant la situation déplorable du tibet et à commettre les pires crimes de l’humanité : l’hypocrisie dans toute sa splendeur.

 

Mais il est certain que si les chouhadas pouvaient sortir de leurs tombes pour voir ce qu'est devenu l'Algérie, ils n'auraient jamais pris les armes.

 

Vous vous permettez même de parler au nom des chouhadas, ceux qui vous ont combattu pour la liberté de leurs frères et sœurs, ceux qui se sont sacrifié pour que l’algérie revienne aux algériens, en les comparants à de vulgaires marchands d’esclaves ayant peut être acceptés la soumission de leur peuple. Il est évident que vous n’êtes qu’un pauvre nostalgique du mépris et de l’abaissement, mais sachez, et je vous le dis en toute connaissance de cause, et l’histoire l’a confirmé, ces braves vous auront combattu et chassé de notre terre même s’ils devaient revenir de la mort. L’algérie a conquis sa liberté au prix du sang. Le peuple algérien aurait sacrifié un million de chouhadas pour permettre à un algérien de respirer le souffle de la liberté. Alors de grâce, évitez de salir les mémoires de nos pères, car vous êtes à l’origine du drame le plus abominable et meurtrier de notre pays.

 

Un pays qui met en avant dans ses JT des personnes dont le QI est moins développé que celui d'un oiseau n'est pas un pays qui se respecte.

 

L’algérie n’a aucunement besoin de votre respect et au encore moins de votre sympathie. Toutefois, j’ai l’impression que la télévision française est entrain de suivre l’exemple de l’algérienne. Alors, avant de venir nous donner des conseils, il faudrait peut être balayer chez vous.

 

Dois-je vous rappeler que toutes les questions que vous posez concernant l'éducation et la santé sont encore d'actualité, dans un pays riche de milliards de dollars.

 

Vous avez tendance à l’oublier voire à ne pas accepter que l’algérie soit un pays libre, et de ce fait, ce pays n’a aucunement besoin de vous rendre des comptes ni même accepter votre ingérence. Alors, occupez vous des problèmes de la France et laissez les problèmes de l’algérie aux algériens. Je vous rappelle que l’algérie n’a fait que régresser durant les 132 ans de colonisation durant laquelle elle ne fut considérée que comme un réservoir de ressources humaines et naturelles pour le bien-être de l’homme blanc. Alors, de grâce, évitez de formuler ce genre de remarques, car vous oubliez que vous êtes irrévocablement coupables de ces tares et vous ne disposez d’aucune légitimité pour critiquer. Toutefois, je me permets de vous rappeler que votre cher gouvernement avait couru pour nous vendre ses services. Alors, vous devriez remercier l’algérie qui offre du travail à vos concitoyens au lieu de vous ériger comme donneur de leçon.

 

Votre discours est de toute façon caduque pour la simple et bonne raison qu'une écrasante majorité d'algériens ne rêvent que d'une seule chose : un VISA !

 

Cher monsieur, contrairement à vous, je ne véhicule aucune propagande et encore moins un discours honteux et malsain tel que le votre. Je vous rappelle qu’on se trouve dans un forum algérien et j’invite tout forumeur à réagir pour que la vérité puisse éclater. Pour revenir au VISA, contrairement à la propagande FN, la majorité des algériens quittent l’algérie pour continuer leurs études et acquérir un savoir (80000 visas étudiants). Certes, il y en a qui le quittent par détresse et amertume mais ils gardent toujours le souvenir de leur terre. Et techniquement, cela devrait vous faire de voir autant d’algériens histoire de maintenir votre mépris et votre complexe d’homme blanc.

PS : alors aieou, vous venez déverser votre haine dans un autre forum algérien. Sachez une chose, votre propagande n’aura aucun effet sur ce forum qui regorge d’algériens connaissant parfaitement leur histoire et vouent un amour sans limite à leur pays. De plus, mon grand père avait réussi à vous botter les fesses pour vous dégager de notre terre, alors je me dois de l’honorer en faisant la même chose en combattant votre obscurantisme Ad vitam aeternam.

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Cher Kratos,

 

Oui, je vous le confirme, des indigènes analphabètes sont en effet incapables de gérer un pays comme l'Algérie. N'ont-ils pas eu 50 ans pour montrer de quoi ils étaient capables ? Comment évaluez vous les résultats, dîtes-moi ?

 

Comptez vous gérer le pays avec un Belkhadem qui prêche pour l'arabisation et qui place ses enfants dans les meilleures écoles occidentales, ou avec un licencié en langue arabe comme Boudjerra Soltani, qui déclarait brillamment hier, je cite "Bouteflika est en fait candidat à un 1er mandat car nous avons une nouvelle constitution" ?

 

Comptez-vous aller de l'avant avec un imposteur comme Bouteflika, le "maquisard" des grands déserts maliens ! A propos, où en sont les réformes économiques, dîtes-moi ? remarquez-vous une stratégie en vue pour employer l'argent du pétrole dans autre chose que l'importation de nourriture ?

 

Selon la conception colonialiste, que vous défendez, l’indigène est de facto analphabète et l’homme blanc, dans sa grande humanité et humanisme, se doit de conquérir les terres de ce dernier, de gré et préférablement de force, pour lui apporter la bonne parole. Alors, vous pouvez jouer sur les mots mais votre nauséabonde mépris est palpable même au travers mon écran.

Les capacités des dirigeants algériens ne regardent uniquement que le peuple algérien. Alors, votre suffisance, vous laissant penser que vous êtes aptes à juger ce qui est bien pour les algériens, n’a pas sa raison d’être. Je vous rappelle que ces dits dirigeants n’ont trouvé l’occasion d’accéder au pouvoir qu’à travers le passé colonial qu’avait vécu l’algérie. Il ne faut surtout pas oublier le rôle de la France, particulièrement lors de la mascarade d’evian, pour maintenir des ripoux à la tête de l’algérie pour continuer à spolier les richesses de ce pays. Les choses se sont compliquées par la suite, certes, mais il empêche que le peuple algérien retrouvera son bien. Il a bien chassé les colonialistes français qui croyaient que l’algérie leur appartenait alors il en fera de même pour ces harkis. Enfin, je vous rappelle que vous n’êtes pas algérien et par conséquent il est inutile de discuter avec vous des dirigeants dans mon pays. Votre sentiment de supériorité s’érigera comme une brume qui vous cachera que l’algérie n’est pas française et par conséquent les valeurs que vous défendez hypocritement ne sont aucunement applicables dans mon pays. Alors contentez vous d’évaluer la perfidie de vos dirigeants qui ne condamnent que timidement l’incompétence de nos dirigeants tant que ça sert la France.

 

Eh bien, que vous le vouliez ou pas, du temps de la France, les gens avaient plus de joie de vivre qu'aujourd'hui. Que de personnes âgées me parlent de la nostalgie du "wakt França" quand chaque chose était à sa place, que les rues étaient propres et sentaient le jasmin.

Il est clair qu’il y avait une grande joie de vivre dans les rues de l’algérie-française mais bizarrement seuls les français pouvaient en jouir. Le pauvre algérien se devait avoir un visa de circulation lui permettant de retrouver sa famille après avoir travaillé comme un esclave au service des colons. Le pauvre algérien devait se faire à l’idée que ses enfants ne pourront jamais acquérir de l’instruction car les députés français avaient admis que les fils d’indigènes comme leurs progénitures ne disposaient pas de capacités intellectuelles leurs permettant de prétendre à des études supérieures ; des études qui leurs auraient appris que l’homme est fait pour être libre. Le pauvre algérien devait assister au massacre de sa famille et dire amen. Je peux encore vous citer un million d’exemples mais je sais bien que je ne vous apprends rien. Alors, de grâce, arrêtez vos mensonges car vous ne dupez personne.

 

Voyez les départements d'outre-mer aujourd'hui, voyez vous les gens se plaindre d'être Français ?

Quand je vois les départements d’outre-mer, je vois surtout le taux de chômage le plus important de France. Je vois aussi la région disposant du minimum en termes d’infrastructures médicales, pédagogique, sociales et économiques. Je vois aussi que ces hommes ne sont valorisés par la métropole que lors de leurs succès sportifs. Je vois aussi que tous les ministres chargés de ces départements étaient des blancs de la métropole. Je vois aussi le combat d’aimé césair. Je vois aussi les visites des politiques qu’en période éléctorale. Je vois surtout les calédoniens qui refusent de chanter la marseillaise car ils ne se voient aucunement comme des français. Mais surtout, je vois l’algérie libre et personnellement je préfère parfum de la liberté que celui du jasmin.

Il est certain qu'en qualité de territoire d'outre-mer, l'Algérie aurait évolué vers un modèle où tous les citoyens seraient égaux en droit, comme c'est le cas aujourd'hui pour la Martinique, Guadeloupe, Guyane et Réunion. L'évolution vers plus de droits pour tout le monde était fatal.

 

Les colons avaient signé un concorda qui attestait des mêmes droits que tu viens de citer. Pourtant, aucun d’eux n’avait été respecté. Alors, ce genre de fourberies coloniales ne m’intéresse aucunement surtout lorsqu’elles sont promises par un homme qui voudrait vivre comme maître sur les terres des autres. Et entre nous, je préfère avoir des droits sur une terre libre que de me contenter de ce que m’offrir le colon.

 

Une question pour vous monsieur aieou : comment pouvez vous croire qu’un algérien puisse accepter de vivre sous le joug du colon français ? pourquoi penses tu que tu sois plus privilégié que les algériens pour jouir de la liberté ?

Ah fourberie quand tu nous tiens :)

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Cher Ulacsmah,

 

J'ai le plus grand respect pour les martyrs qui se sont sacrifiés pour leurs idées. Sans doute, pensaient-ils sincèrement que l'indépendance allait ouvrir de nouvelles perspectives à l'Algérie. Je crains qu'ils ne soient en train de se retourner dans leurs tombes, tant ce pays a subi de mal. Leur combat a été trahi de la pire manière qui soit.

 

Je crois aussi que la France a manqué de clairvoyance en n'offrant pas les mêmes droits pour tous, afin de promouvoir l'assimilation, ce que réclamait avec force la classe politique algérienne depuis les années 1920.

 

Malheureusement, à son indépendance, l'Algérie a été prise en otage par une minorité nuisible, sans stratégie d'avenir pour le pays, pire, sans la moindre compétence pour faire face aux nombreux défis. Ceci emmène le pays droit au mur et les symptômes d'un grand malaise sont déjà là : je donnais l'exemple dramatique des boat people ... un comportement extrême qui reflète qu'un point de non-retour a été atteint.

 

personnellement, je crois surtout que la france n'aurait jamais du colonisé l'algérie et qu'elle se devait respecter les droits de l'homme qui faisaient sa fierté. mais, j'ai l'impression que ce sont les droits de l'homme blanc.

 

merci de vous inquiétez pour l'algérie, même si ça ne vous regarde pas, mais sachez que l'algérie a donné naissance à des hommes qui sauront quoi faire de leur pays. et, nous n'avons aucunement besoin d'un homme qui se travestit sur le net pour assouvir ses besoins de colonialisme.

 

Abyssus abyssum invocat

:)

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