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Une première historique : un Tunisien jugé pour avoir "violé" une femme par téléphone

jeudi 24 avril 2008 - 08h51, par Randa Al Fayçal

 

 

Il s’agit d’une première qui suscite la pitié, l’ironie mais aussi des interrogations sur la sclérose qui frappe certaines sociétés. Le tribunal de Sousse, en Tunisie, doit juger une affaire inédite : un homme d’une trentaine d’année est poursuivi pour avoir violé une jeune femme de 20 ans, sans jamais la rencontrer.

 

Il s’agit d’une « relation amoureuse fictive » qui s’est déroulée par téléphone. Sur leur portable, les deux amoureux se sont retrouvés, pendant plusieurs heures, à converser d’une façon très intime, souligne le quotidien « Al-Quds Al Arabi » dans son édition du 24 avril. Citant le journal tunisien « Assarih » (le Franc), le quotidien ajoute que « cette relation s’est développée au point que la jeune femme, prise par une excitation suprême, s’est livrée à des actes qui lui ont fait perdre sa virginité ». Sa famille a porté plainte contre son interlocuteur qui se retrouve devant le tribunal. Le médecin légiste a confirmé que la jeune femme a perdu sa virginité, mais son rapport insiste sur « l’absence de toute trace d’une relation sexuelle ».

 

Pour l’avocate de la victime de ce « viol virtuel », sa cliente a été victime de ses propres sentiments. Mais l’affaire prend de l’ampleur, puisque le code pénal tunisien, et sans doute toutes les législations du monde, se retrouvent démunis face à une telle problématique. Le quotidien tunisien « Assarih », qui a révélé l’affaire, reconnait les lacunes du système judiciaire et les difficultés que rencontrent les juges pour trancher dans cette affaire inédite. Car, « paradoxalement, bien que tous les ingrédients d’un viol soient réunis, la jeune femme semble consentante, et son violeur était physiquement absent ». Un véritable casse-tête pour les juges tunisiens qui constatent « les résultats du viol (perte de virginité) mais ne peuvent pas conclure à un viol par manque de preuves », souligne de son côté le site « Elaph.com ».

 

Les lecteurs qui ont commenté cette affaire sur « Elaph.com » sont partagés. Certains ironisent en se demandant « comment se prénommera l’enfant qui naîtra de cette relation à distance ? », alors que d’autres estiment que « la fille n’avait que raccrocher son téléphone, si elle n’était pas consentante ». Une troisième catégorie de lecteurs se lamente sur le sort du jeune homme, accusé à tort d’un viol qu’il n’a pas commis. Plusieurs autres commentaires mettent en exergue les traditions sclérosées de la société arabe en général, et estiment que « la fille est avant tout victime des privations que lui imposent les traditions et la famille »... D’autres n’hésitent pas à attribuer cette « décadence morale de la fille » à la mauvaise utilisation des moyens modernes de communication. Enfin, certains engagent « la responsabilité de l’Occident » et de la volonté de certains à imiter les traditions occidentales importées par internet et par les télévisions satellitaires...

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  • 2 weeks later...
  Clouseau said:
Un coup a vous effrayez de répondre au tél :chut: :D

 

C'est pas un viol

... c'est un depucelage

... virtuel

... faut croire que le mec

... n'a pas de materiel pour ca

... ou alors c'est une femelle deguisee

... en mec

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  saoura said:
c'est quoi ces bétises?

c'est pas un viol car le viol implique une pénétration vaginale sous contrainte alors que c'est pas le cas dans cette histoire.

 

Imaginons

... qu'elle se soit

... mise le zigouzi

... dans sa zimba

... c'aurai ete une

... masturbation telephonique

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Guest Aube
  Ryhana said:
Une première historique : un Tunisien jugé pour avoir "violé" une femme par téléphone

jeudi 24 avril 2008 - 08h51, par Randa Al Fayçal

 

 

Il s’agit d’une première qui suscite la pitié, l’ironie mais aussi des interrogations sur la sclérose qui frappe certaines sociétés. Le tribunal de Sousse, en Tunisie, doit juger une affaire inédite : un homme d’une trentaine d’année est poursuivi pour avoir violé une jeune femme de 20 ans, sans jamais la rencontrer.

 

Il s’agit d’une « relation amoureuse fictive » qui s’est déroulée par téléphone. Sur leur portable, les deux amoureux se sont retrouvés, pendant plusieurs heures, à converser d’une façon très intime, souligne le quotidien « Al-Quds Al Arabi » dans son édition du 24 avril. Citant le journal tunisien « Assarih » (le Franc), le quotidien ajoute que « cette relation s’est développée au point que la jeune femme, prise par une excitation suprême, s’est livrée à des actes qui lui ont fait perdre sa virginité ». Sa famille a porté plainte contre son interlocuteur qui se retrouve devant le tribunal. Le médecin légiste a confirmé que la jeune femme a perdu sa virginité, mais son rapport insiste sur « l’absence de toute trace d’une relation sexuelle ».

 

Pour l’avocate de la victime de ce « viol virtuel », sa cliente a été victime de ses propres sentiments. Mais l’affaire prend de l’ampleur, puisque le code pénal tunisien, et sans doute toutes les législations du monde, se retrouvent démunis face à une telle problématique. Le quotidien tunisien « Assarih », qui a révélé l’affaire, reconnait les lacunes du système judiciaire et les difficultés que rencontrent les juges pour trancher dans cette affaire inédite. Car, « paradoxalement, bien que tous les ingrédients d’un viol soient réunis, la jeune femme semble consentante, et son violeur était physiquement absent ». Un véritable casse-tête pour les juges tunisiens qui constatent « les résultats du viol (perte de virginité) mais ne peuvent pas conclure à un viol par manque de preuves », souligne de son côté le site « Elaph.com ».

 

Le délire!!!

 

Qu'est-ce qui prouve les faits?

 

Si ça se trouve, ce gars n'a rien à voir dans cette histoire...

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Guest SmiChou
  Zombretto said:
Imaginons

... qu'elle se soit

... mise le zigouzi

... dans sa zimba

... c'aurai ete une

... masturbation telephonique

 

J'aime l'Ocean Pacifique

Ca m'fait quelque chose de magique :mdr:

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  saoura said:
Ah non moi qui a vecu ds années à Oran, j'ai jamais entendu ça mise à part chah et chayala et surtout hambouk:mdr::mdr:

 

Sauf que toi

... tu connais le langage

... des chnabryias qui ont

... envahi Oran en 1962

... apres que les vrais Oranais

... aient effectue un repli strategique

... vers Marseille, Alicante et Haifa

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Guest SmiChou
  hlouwa said:
a partir d'aujourd'hui je ne répond plus au appel masqué:mdr::mdr::mdr: :mdr::mdr::mdr::mdr::mdr::mdr::mdr:

 

y'en a bcp: qui n'ont ps fait leur contrat ;)

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  saoura said:
ah oui moi je suis pas de cette génération, d'ailleurs à Oran, je n'ai jamais croisé un vrai Oranais, ils sont tous des faux!

Ceci dit j'en ai connu un couple de pied noir de la 3eme génération qui tienne toujours un business à Oran, une rareté !

 

Mes parents

... ont quitte Oran

... ma mere en 1961

... mon pere en 1964

... je suis ne loin d'Oran

... mais je me considere

... comme Oranais

... il y a encore pas mal

... de pieds noirs a Oran

... et parmi eux quelques familles

... etablies a Oran de puis le 16eme siecle

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  Aube said:
Le délire!!!

 

Qu'est-ce qui prouve les faits?

 

Si ça se trouve, ce gars n'a rien à voir dans cette histoire...

 

pour moi, l explication la plus logique est qu elle ai couché avec le gars, ayant peur de ses parents, car probablment elle a du usr d'autres choses pour faire l chose avec lui, peut etre a t elle décuché ou encor je ne sais tro quoi.

par ailleurs, je pense que le médecin légiste qui se pense savoir faire la difference entre uné pénétration vrai et une improvisée par les moyens de bords, chapeau!! car je ne croit pas un traitre mot; je crois qu on peut seuleument dire dans le cadre d un examen médicale, si eventuellement viol il y a ou pas , en recherchan es signes d traumatisme, mais si la personne est consantente, et ce qq soit le moyen utilisé, je oute qu on puisse dire si il y a eu un réel raport ou pas. pour résumé le légiste a du faire la chose avec la fille:mdr::mdr::mdr::mdr::mdr:

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Guest b10dz
  Ryhana said:
Aux dernières nouvelles, les juges ont preferés attendre la naissance de l'enfant:

serait-ce un Nokia ou un Samsung ?

 

:mdr:

 

Ps: c'est du n'importe quoi cette histoire ! :D

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  saoura said:
Pas mal, j'irai pas jusque là, mais en tout cas j'en connaissaient quelques uns.

Connais tu par exemple qui tenait le magasin de nougat du centre ville rue khmisti ?

 

Il y a une rue

... qui portait le nom

... du grand-pere de ma mere

... jusqu'en 1962

... pour les pieds-noirs restes a Oran

... mes parents les connaissent

... presque tous

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