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Mr REBRAB mit en cause dans El Watan.


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ps: titre, lire "mis en cause". Cela doit être due à l'hypoglycémie en ces jours de ramadhan...

Vif débat ces jours ci dans les colonnes d'El Watan suite à la mise en cause de l'origine des fonds ayant permis de lancer CEVITAL.

 

Mise au point

Quand un débat tourne au dénigrement

 

le 12.08.12 | 59 réactions

El Watan

 

Vous avez publié, dans votre édition du 26 juillet 2012, sous le titre «C’est la mode en Algérie de dénigrer la période étatique», un article signé de M. N. Boukharouba. Dans son texte, l’auteur se livre à des accusations diffamatoires à mon encontre et y puise la justification de sa position doctrinale.

 

Je me demande pourquoi l’auteur de l’article se garde de me citer nommément alors qu’il a tout fait pour que le lecteur me reconnaisse. Je me pose surtout la question de la finalité de son attaque contre le secteur privé national productif et celle d’avoir voulu le faire à travers le dénigrement de ma personne, sans même faire l’effort de prendre connaissance de mon réel parcours d’entrepreneur.

L’auteur profère en effet, de graves accusations à mon encontre et selon lesquelles l’essor de Cevital, le groupe dont je suis le fondateur, trouverait son fondement dans des «crédits de l’Etat généreusement alloués» qu’il n’aurait «jamais remboursés» et qu’il jouirait de «monopoles très lucratifs».

 

Comme toute entreprise, Cevital recourt parfois, pour les besoins de son développement, au crédit bancaire. Il s’agit de crédits de banques publiques. Ainsi, Metalsider (qui a précédé Cevital) a sollicité, à la fin des années 1980, un crédit auprès de la BNA pour l’accompagner dans la réalisation du projet sidérurgique de Larbaa déjà réalisé à 75% sur fonds propres et grâce au cash-flow de l’entreprise Profilor, que j’avais créée en 1975. Après constat de visu de l’avancement du projet, la BNA a accordé à Metalsider un crédit de 50 millions de dinars pour l’acquisition d’équipements supplémentaires pour compléter les installations du complexe.

Ce crédit a été intégralement remboursé en respectant l’échéancier établi par la BNA. De plus, et en raison de la dévaluation ultérieure du dinar algérien, nous avons remboursé plus de 450 millions de dinars pour compenser les pertes de change. Le groupe Cevital, monsieur Boukharouba, n’a aucune dette envers l’Etat ou envers une banque publique.

 

Au contraire, par sa contribution fiscale, le groupe alimente régulièrement les caisses de l’Etat. Deuxième exportateur, il est aussi deuxième contribuable après Sonatrach. Outre l’emploi de dizaines de milliers de collaborateurs, les richesses créées par le groupe sont ainsi réparties : 59% en impôts et taxes, 40% en investissements et 1% en dividendes distribués aux actionnaires.

S’agissant de monopole, rappelons à M. Boukharouba que cette situation ne peut se produire que dans le cas où la loi réserve à une entreprise l’exclusivité de fabriquer ou de commercialiser un produit sur un marché donné. Ce n’est pas le cas de Cevital qui opère dans un contexte de marché ouvert. Il faut faire la différence entre un monopole et une position de leader ! Le groupe peut, en effet, sans disposer d’un monopole, occuper une position dominante dans certains secteurs.

 

Dans l’huile de table, par exemple, cette position a été acquise à la faveur d’importants investissements qui ont permis au groupe Cevital d’atteindre une taille et un niveau de productivité de standards internationaux. Cet avantage industriel lui a permis de se hisser au niveau de deuxième exportateur national, après Sonatrach, tout en assurant au marché national des produits aux meilleurs coûts avec un niveau de qualité parmi les meilleurs au monde. Cevital a ainsi pu renforcer sa position concurrentielle vis-à-vis des importateurs, des autres producteurs nationaux, de la multinationale saoudienne (Savola) installée en Algérie, tout en fournissant au consommateur algérien un choix comparable à celui des Européens des prix difficiles à battre. Grâce à cela, Cevital est aussi compétitif à l’exportation.

C’est la philosophie qui guide les projets de développement de Cevital : faire passer l’Algérie de position d’importateur net à celle d’exportateur. Comme aujourd’hui dans le sucre, l’huile, le verre plat et demain dans l’électroménager, le groupe entend valoriser les avantages concurrentiels de l’Algérie. Il est incompréhensible que l’Algérie ne soit pas déjà exportateur dans le ciment, l’industrie pétrochimique, la sidérurgie, l’industrie pharmaceutique, etc.

 

Les confrontations d’idéologies cachant souvent des confrontations d’intérêts inavoués, Cevital n’entend pas intervenir dans un débat doctrinal. Elle se contente d’assurer son utilité sociale et son efficacité économique dans le contexte national qu’elle appelle à s’améliorer. C’est à cela que son expérience et la mienne devraient être appréciées. Afin de lui permettre de se faire une idée dénuée de préjugés idéologiques ou sectaires, je me ferai un plaisir de faire parvenir à M. Boukharouba l’ouvrage de Taïeb Hafsi qui relate mon itinéraire de 40 ans d’efforts et d’embûches. Il y apprendra, par ailleurs, que «le père de sa connaissance» n’a jamais été mon employeur mais un des clients de mon cabinet d’expertise comptable.

En matière de choix économiques, pour moi le maître-mot du débat devrait être celui de la compétitivité et non pas de camper sur des positions doctrinales qui ne feront que cliver davantage les Algériens entre eux.

 

C’est en s’éloignant des controverses qui n’ont plus cours aujourd’hui que les débats pourront éclairer l’opinion sur les vrais enjeux du pays. C’est un impératif majeur, car l’Algérie a déjà perdu trop de temps et traîne en queue de peloton dans la plupart des classements internationaux. En misant sur nos atouts compétitifs, nous avons encore la possibilité de redresser la situation et de remettre l’économie algérienne sur les rails d’une croissance soutenue. Mais il faut le faire sans délai!

 

J’observe, pour terminer, que, pour des gens pratiques comme moi l’expérience historique a tranché la question : si l’opérateur public reste pertinent pour certains objectifs et dans certaines circonstances, la pratique a établi le rôle incontournable de l’initiative privée et de la liberté d’entreprendre dans le développement économique et social des nations. Nous regrettons beaucoup les propos de M. Boukharouba. Heureusement, beaucoup d’universitaires algériens, loin des professionnels de l’invective, apportent aujourd’hui leurs contributions au débat sur la relance de l’économie algérienne et les moyens de donner à notre pays une vraie ambition industrielle. Un débat peut être contradictoire, mais n’a pas besoin pour cela d’utiliser l’injure et la désinformation.

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Ça va améliorer la situation économique du pays en cassant cevital? Parce que aujourd'hui, en ce se sent bien après avoir cassé le groupe khalifa et on se sent très bien en ayant donné un coup de frein a tonic.

Merci aux illuminés et chiens de service !

Crève moi un œil ! demandait l'algérien au génie qui offrait le double à son compagnon de tout ce que le premier demandait !

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Ça va améliorer la situation économique du pays en cassant cevital? Parce que aujourd'hui, en ce se sent bien après avoir cassé le groupe khalifa et on se sent très bien en ayant donné un coup de frein a tonic.

Merci aux illuminés et chiens de service !

Crève moi un œil ! demandait l'algérien au génie qui offrait le double à son compagnon de tout ce que le premier demandait !

 

et oui on attend toujours les eclaircisements sur khalifa .

a a cassé un groupe industriel parceque on a trouvé des transferts clandestins de devises.pour payer les eleves pilotes en angleterre .

a ce compte il faudrait emprisonner tous les proprietaires de voitures .tous ont fait du taffice de devises pour acquérir des voitures

ceux qui on cassé khalifa devraient passer en cour pour crime economique .20.000 salariés sacrifiés.

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et oui on attend toujours les eclaircisements sur khalifa .

a a cassé un groupe industriel parceque on a trouvé des transferts clandestins de devises.pour payer les eleves pilotes en angleterre .

a ce compte il faudrait emprisonner tous les proprietaires de voitures .tous ont fait du taffice de devises pour acquérir des voitures

ceux qui on cassé khalifa devraient passer en cour pour crime economique .20.000 salariés sacrifiés.

 

On ne saura jamais pourquoi ce groupe a été démantelé comme on ne saura jamais qui sont les donneurs d'ordre de l'assassinat de boudiaf.

Pour le peuple algérien, Il existe un tas de question qui resteront sans réponses tant que nous aurons des tuteursqui n'ont aucun compte à rendre à personne!

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bonsoir

Le jour ou il plantera du Soja , du tournesol et du Mais , Rebrab démontrera ses bonnes intentions d'investisseur reel.

Quant a la transformation , c'est bien mais c'est insuffisant.

Bon Courage pour ce Grand Monsieur. Un vrai Homme.

 

Il existe ds agriculteurs qui peuvent produire du soja ou du mais. L'état doit prendre des mesures incitatives pour encourager les producteurs et limiter les importations de ces produits. Chacun son métier.

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bonsoir

Le jour ou il plantera du Soja , du tournesol et du Mais , Rebrab démontrera ses bonnes intentions d'investisseur reel.

Quant a la transformation , c'est bien mais c'est insuffisant.

Bon Courage pour ce Grand Monsieur. Un vrai Homme.

 

J'espère qu'il arrivera à se présenter à la mort de Bouteflika!!

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MERCI CEVITAL et LONGUE VIE

 

ps: titre, lire "mis en cause". Cela doit être due à l'hypoglycémie en ces jours de ramadhan...

Vif débat ces jours ci dans les colonnes d'El Watan suite à la mise en cause de l'origine des fonds ayant permis de lancer CEVITAL.

 

Mise au point

Quand un débat tourne au dénigrement

 

le 12.08.12 | 59 réactions

El Watan

 

Vous avez publié, dans votre édition du 26 juillet 2012, sous le titre «C’est la mode en Algérie de dénigrer la période étatique», un article signé de M. N. Boukharouba. Dans son texte, l’auteur se livre à des accusations diffamatoires à mon encontre et y puise la justification de sa position doctrinale.

 

Je me demande pourquoi l’auteur de l’article se garde de me citer nommément alors qu’il a tout fait pour que le lecteur me reconnaisse. Je me pose surtout la question de la finalité de son attaque contre le secteur privé national productif et celle d’avoir voulu le faire à travers le dénigrement de ma personne, sans même faire l’effort de prendre connaissance de mon réel parcours d’entrepreneur.

L’auteur profère en effet, de graves accusations à mon encontre et selon lesquelles l’essor de Cevital, le groupe dont je suis le fondateur, trouverait son fondement dans des «crédits de l’Etat généreusement alloués» qu’il n’aurait «jamais remboursés» et qu’il jouirait de «monopoles très lucratifs».

 

Comme toute entreprise, Cevital recourt parfois, pour les besoins de son développement, au crédit bancaire. Il s’agit de crédits de banques publiques. Ainsi, Metalsider (qui a précédé Cevital) a sollicité, à la fin des années 1980, un crédit auprès de la BNA pour l’accompagner dans la réalisation du projet sidérurgique de Larbaa déjà réalisé à 75% sur fonds propres et grâce au cash-flow de l’entreprise Profilor, que j’avais créée en 1975. Après constat de visu de l’avancement du projet, la BNA a accordé à Metalsider un crédit de 50 millions de dinars pour l’acquisition d’équipements supplémentaires pour compléter les installations du complexe.

Ce crédit a été intégralement remboursé en respectant l’échéancier établi par la BNA. De plus, et en raison de la dévaluation ultérieure du dinar algérien, nous avons remboursé plus de 450 millions de dinars pour compenser les pertes de change. Le groupe Cevital, monsieur Boukharouba, n’a aucune dette envers l’Etat ou envers une banque publique.

 

Au contraire, par sa contribution fiscale, le groupe alimente régulièrement les caisses de l’Etat. Deuxième exportateur, il est aussi deuxième contribuable après Sonatrach. Outre l’emploi de dizaines de milliers de collaborateurs, les richesses créées par le groupe sont ainsi réparties : 59% en impôts et taxes, 40% en investissements et 1% en dividendes distribués aux actionnaires.

S’agissant de monopole, rappelons à M. Boukharouba que cette situation ne peut se produire que dans le cas où la loi réserve à une entreprise l’exclusivité de fabriquer ou de commercialiser un produit sur un marché donné. Ce n’est pas le cas de Cevital qui opère dans un contexte de marché ouvert. Il faut faire la différence entre un monopole et une position de leader ! Le groupe peut, en effet, sans disposer d’un monopole, occuper une position dominante dans certains secteurs.

 

Dans l’huile de table, par exemple, cette position a été acquise à la faveur d’importants investissements qui ont permis au groupe Cevital d’atteindre une taille et un niveau de productivité de standards internationaux. Cet avantage industriel lui a permis de se hisser au niveau de deuxième exportateur national, après Sonatrach, tout en assurant au marché national des produits aux meilleurs coûts avec un niveau de qualité parmi les meilleurs au monde. Cevital a ainsi pu renforcer sa position concurrentielle vis-à-vis des importateurs, des autres producteurs nationaux, de la multinationale saoudienne (Savola) installée en Algérie, tout en fournissant au consommateur algérien un choix comparable à celui des Européens des prix difficiles à battre. Grâce à cela, Cevital est aussi compétitif à l’exportation.

C’est la philosophie qui guide les projets de développement de Cevital : faire passer l’Algérie de position d’importateur net à celle d’exportateur. Comme aujourd’hui dans le sucre, l’huile, le verre plat et demain dans l’électroménager, le groupe entend valoriser les avantages concurrentiels de l’Algérie. Il est incompréhensible que l’Algérie ne soit pas déjà exportateur dans le ciment, l’industrie pétrochimique, la sidérurgie, l’industrie pharmaceutique, etc.

 

Les confrontations d’idéologies cachant souvent des confrontations d’intérêts inavoués, Cevital n’entend pas intervenir dans un débat doctrinal. Elle se contente d’assurer son utilité sociale et son efficacité économique dans le contexte national qu’elle appelle à s’améliorer. C’est à cela que son expérience et la mienne devraient être appréciées. Afin de lui permettre de se faire une idée dénuée de préjugés idéologiques ou sectaires, je me ferai un plaisir de faire parvenir à M. Boukharouba l’ouvrage de Taïeb Hafsi qui relate mon itinéraire de 40 ans d’efforts et d’embûches. Il y apprendra, par ailleurs, que «le père de sa connaissance» n’a jamais été mon employeur mais un des clients de mon cabinet d’expertise comptable.

En matière de choix économiques, pour moi le maître-mot du débat devrait être celui de la compétitivité et non pas de camper sur des positions doctrinales qui ne feront que cliver davantage les Algériens entre eux.

 

C’est en s’éloignant des controverses qui n’ont plus cours aujourd’hui que les débats pourront éclairer l’opinion sur les vrais enjeux du pays. C’est un impératif majeur, car l’Algérie a déjà perdu trop de temps et traîne en queue de peloton dans la plupart des classements internationaux. En misant sur nos atouts compétitifs, nous avons encore la possibilité de redresser la situation et de remettre l’économie algérienne sur les rails d’une croissance soutenue. Mais il faut le faire sans délai!

 

J’observe, pour terminer, que, pour des gens pratiques comme moi l’expérience historique a tranché la question : si l’opérateur public reste pertinent pour certains objectifs et dans certaines circonstances, la pratique a établi le rôle incontournable de l’initiative privée et de la liberté d’entreprendre dans le développement économique et social des nations. Nous regrettons beaucoup les propos de M. Boukharouba. Heureusement, beaucoup d’universitaires algériens, loin des professionnels de l’invective, apportent aujourd’hui leurs contributions au débat sur la relance de l’économie algérienne et les moyens de donner à notre pays une vraie ambition industrielle. Un débat peut être contradictoire, mais n’a pas besoin pour cela d’utiliser l’injure et la désinformation.

 

S'il y a bien un goupe industriel algérien à encourager et à aider pour s'épanouir davantage c'est bien CEVITAL. C'est par la qualité de ses produits que ce groupe s'est imposé sur le marché national. CEVITAL à l'inverse de l'ancienne SOGEDIA respecte le consommateur algérien en mettant à sa disposition des produits aux normes internationales, depuis l'emballage jusqu'au contenu. Avec CEVITAL, le temps des bouteilles d'huile anonymes, sans nom, sans étiquette, sans coordonnées du producteur, qui fuient est bel et bien révolu. C'est pourquoi, j'applique le principe du consommateur allemand qui dit: à qualité égale j'achète le produit national. J'invite tous les algériens à appliquer ce principe. En agissant ainsi, nous lutterons contre le chomage et nous renforcerons les capacités de production (hors hydrocarbures) nationales privées et publiques et par voie de conséquence notre indépendance économique. MERCI CEVITAL et LONGUE VIE.

Un algérien qui aime son pays.

CORDIALEMENT.

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Si quelqu'un travaille,crée de l'emploi, respecte la qualité et l'environnement, respecte aussi la législation du travail , il faut l'encourager.

les vrais investisseurs se comptent sur les doigts d'une main.

il faut encourager cette personne. et lui faciliter la tache, c'est du bon sens.

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Si quelqu'un travaille,crée de l'emploi, respecte la qualité et l'environnement, respecte aussi la législation du travail , il faut l'encourager.

les vrais investisseurs se comptent sur les doigts d'une main.

il faut encourager cette personne. et lui faciliter la tache, c'est du bon sens.

 

Moi je ne l"encourage pas, peut être pour quelqu'un qui démarre lui il est assez grand pour le faire lui même et gagne assez pour n'en avoir que faire de ces encouragements on peut a la base lui souhaiter une longue vie mais c'est tout.

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bonsoir

Le jour ou il plantera du Soja , du tournesol et du Mais , Rebrab démontrera ses bonnes intentions d'investisseur reel.

Quant a la transformation , c'est bien mais c'est insuffisant.

Bon Courage pour ce Grand Monsieur. Un vrai Homme.

 

Ces trois plante sont à semer au mois de mars. Leur cycle a lieu donc au cours de l'été. L'Algérie doit cultiver des espèces végétales qui poussent au moment où il y a des pluies.

 

Pour les oléagineux, mr Rebrab devrait planter du colza en priorité et du carthame et aussi du cawcaw.

 

Car triturer des graines importées n'est que de l'import-import déguisé.

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Il existe ds agriculteurs qui peuvent produire du soja ou du mais. L'état doit prendre des mesures incitatives pour encourager les producteurs et limiter les importations de ces produits. Chacun son métier.

 

Exact, CEVITAL doit s'approvisionner chez des agriculteurs Algériens. Au Maroc 40% en moyenne de l'huile et du sucre sont produits localement. Nous avec Cevital c'est 0%.

 

Qu'on donne à nos agriculteurs des graines de colza.

Qu'on en amène clandestinement s'il le faut pour casser le monopole des Barons de l'huile.

ps: vous pouvez recevoir 1 kg de graines de colza en écrivant à des agriculteurs français, des coopératives, des sociétés de semences ou au Cetiom.

 

Idem pour le colza et le tournesol.

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Ça va améliorer la situation économique du pays en cassant cevital? Parce que aujourd'hui, en ce se sent bien après avoir cassé le groupe khalifa et on se sent très bien en ayant donné un coup de frein a tonic.

Merci aux illuminés et chiens de service !

Crève moi un œil ! demandait l'algérien au génie qui offrait le double à son compagnon de tout ce que le premier demandait !

 

Khouya, il ne s'agit pas de le casser.

Il s'agit de lui demander de s'approvisionner en Algérie.

1- les moulins de Cevital pressent des graines de colza qui arrivent par bateaux entiers,

2-des agronomes Algériens ont réalisés des essais. On trouve même ces résultats en ligne sur le Net.

Memoire Online - Etude du comportement de trois varietes de colza ...

http://www.memoireonline.com/.../m_Etude-du-comportement-de-trois-var...

Etude du comportement de trois varietes de colza (brassica napus) dans les conditions ... oléagineuses en système de production diversifiés en Algérie, Edition l'LT. ... BOYELDIOU J. (1991): Produire des grains oléagineux et protéagineux, ...

3- ce qui est demandé à Mr REBRAB c'est d'économiser les devises en achetant des graines en Algérie en Dinar et de donner du travail à nos agriculteurs. C'est tout. S'il fait cela, on pourra dire que c'est un héros. Le groupe Benamor le fait déjà avec la tomate industrielle.

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S'il y a bien un goupe industriel algérien à encourager et à aider pour s'épanouir davantage c'est bien CEVITAL. C'est par la qualité de ses produits que ce groupe s'est imposé sur le marché national. CEVITAL à l'inverse de l'ancienne SOGEDIA respecte le consommateur algérien en mettant à sa disposition des produits aux normes internationales, depuis l'emballage jusqu'au contenu. Avec CEVITAL, le temps des bouteilles d'huile anonymes, sans nom, sans étiquette, sans coordonnées du producteur, qui fuient est bel et bien révolu. C'est pourquoi, j'applique le principe du consommateur allemand qui dit: à qualité égale j'achète le produit national. J'invite tous les algériens à appliquer ce principe. En agissant ainsi, nous lutterons contre le chomage et nous renforcerons les capacités de production (hors hydrocarbures) nationales privées et publiques et par voie de conséquence notre indépendance économique. MERCI CEVITAL et LONGUE VIE.

Un algérien qui aime son pays.

CORDIALEMENT.

Vous oubliez une chose fondamentale:

- Sogedia et Cevital opèrent de la même façon,

- elles commandent des cargaisons de graines de soja,

- elles les triturent dans des moulins,

- bon, c'est vrai que Cevital propose de plus belles bouteilles,

- mais ne pas oublier que ces graines sont achetées en pétrodollars,

- si la France dit, je ne vend plus, c'en est fini,

- il faut produire une partie de ces graines LOCALEMENT,

- Allah ghaleb, mais il faut le dire Cevital ne fait que de l'import-import.

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moi je ne vis pas en Algérie , je ne connais pas ce monsieur , il peut etre un honnête homme , je n'ai aucun préjugé sur lui .

mais quand j'essaye de voire ça fortune et en combien de temps il a bati ,

on est on droit de se poser des questions , c'est aussi ça la démocratie, et l’état de droit ,

dans n'importe quelle pays on monde on se pose des question , dans pays comme les usa , grande Bretagne France Allemagne , c'est des contrôles fiscaux et des enquêtes parlementaires , et si la personne est clean , tant mieux et si elle a quelque chose a se reprocher , que justice soit faite

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moi je ne vis pas en Algérie , je ne connais pas ce monsieur , il peut etre un honnête homme , je n'ai aucun préjugé sur lui .

mais quand j'essaye de voire ça fortune et en combien de temps il a bati ,

on est on droit de se poser des questions , c'est aussi ça la démocratie, et l’état de droit ,

dans n'importe quelle pays on monde on se pose des question , dans pays comme les usa , grande Bretagne France Allemagne , c'est des contrôles fiscaux et des enquêtes parlementaires , et si la personne est clean , tant mieux et si elle a quelque chose a se reprocher , que justice soit faite

 

Stop khouya

je m'arrête de vous lire dès la deuxième ligne

s'il veut être un honnête homme,

il fait travailler des Algériens

en triturant au moins 30% de graines oléagineuses algériennes

oua salam

car sinon profiter des pétrodollars de la Nation pour faire son bussinness, moi je me dis "balek fiha chouffa".

- il reçoit par cargaisons entière des bateaux remplies de ces graines

- le premier réflexe de tout Algérien normalment constitué serait d'en prendre une poignée de les semer dans son jardin pour voir si cela pousse chez nous. C'est le minimum. Vu qu'il est instruit, il pourrait en faire charger deux sacs dans la voiture d'un agronome et lui dire va faire pousser cela dans un champs.

- la situation économique du pays est trop grave pour excuser de hauts responsables de malgouvernance. Ya kouya quelqu'un qui se fait des millions avec l'argent de la Nation, il doit être impeccable

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je ne sais pas je ne connais pas ce monsieur Rabrab , je t'assure que c'est la première fois que j'entend parler , et le peu de chose que je connais sur la l'Algérie me vient de google ,

moi je parle juste de maniéré général , en disant que c'est légitime de se poser des question sur des grosses fortunes qui se construisent en un temps record , dans les grande démocraties et les états de droits on se pose des questions et et on enquête ce qui est naturel

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je ne sais pas je ne connais pas ce monsieur Rabrab , je t'assure que c'est la première fois que j'entend parler , et le peu de chose que je connais sur la l'Algérie me vient de google ,

moi je parle juste de maniéré général , en disant que c'est légitime de se poser des question sur des grosses fortunes qui se construisent en un temps record , dans les grande démocraties et les états de droits on se pose des questions et et on enquête ce qui est naturel

 

- moi aussi je ne le connais pas

- je ne le connais que par la presse

- mais, il importe des graines oléagineuse avec des petrodollars de l'Etat

- et il presse ces graines et vend l'huile aux Algériens,

- pourquoi n'a-t-il jamais eu l'idée de donner une poignée de graines à un agriculteur en lui disant essayez de voir si cela pousse dans votre champ à Béjaia?

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Peut etre que c'est interdit de semer du soja ou du colza.

que dit la législation algerienne sur ce point sensible?

 

Non, ce n'est pas interdit.

Pourquoi cela le serait?

C'est libre.

Je conseille de se débrouiller un kilo de graines de colza. C'est comme avoir 10 oliviers tout de suite.

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Il a beau être arnaqueur, mafieux, ... Il est loin derrière d'autres barrons qui produisent ZEROOOOOOOOOOO et qui ne sont jamais attaqués, ils sont couverts (entre autres des importateurs de produits oléagineux tous prêts)

 

N'oubliez pas que Rien n'est clair dans les affaires, les prises de marchés chez nous (j'éviterai de m'étaler parce qu'ici je vois des gens qui idéalisent, qui ne savent rien de la réalité du pays, juste ce qui est véhiculé de beaux discours, ...) :rolleyes: (Donc les normalement c'est comme ça ... normalement il doit faire ça ... ce doit être manié avec prudence)

 

Donc faut pas s'attendre à des transactions et des pratiques très clean, tout le monde se soumet à un certain diktat! (il y a juste des mafieux médiocres et des mafieux compétents)

 

C'est vraiment bizarre qu'on ne s'attaque qu'à lui en tout cas! De sources super fiables, je peux vous dire que sur le plan fiscal, c'est quelqu'un avec qui on espère grignoter un max! Un contrôleur m'a dit qu'on lui demandait les factures les plus futiles et insensées (En Algérie), il les sortait! Ce n'est pas le cas d'un autre établissement qui est resté long temps couvert avant de couler ...

 

Sinon, pour les semences de Colza et de Tournesol, ce n'est pas spécialement une bonne idée! Moi, je suis catégoriquement contre planter ces espèces (sachant que derrière il y a monsanto, on va bien nous polluer nos terres avec des OGM, nous rendre dépendants d'une autre manière plus sournoise et plus dangereuse, on va voir disparaître les oliviers ou autres cultures) Déjà avec le blé, c'est la cata!

 

Soit qu'on réoriente notre consommation vers l'utilisation d'huile d'olive, de beurre ( on investit dans ces créneaux), soit on encourage les autres cultures (locales), avec l'argent on importe le Colza!

Voilà, faut pas banaliser la culture de ces espèces! Il y a la malheureuse expérience même des américains eux mêmes! Ce n'est pas interdit par la loi, juste que c'est soumis soit-disons à des analyses phytosanitaires!

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Je peux rajouter quelque chose ?

C'est peut être futile, mais ce peut être utile!

Rebrab ne sponsorise pas El-Watan, mais Liberté, c'est même son journal je crois, non ? :D (Je sais que c'est insignifiant comparé à d'autres intérêts plus majeurs, mais bon c'est bien de le rappeler)

 

Je rajoute un meaculpa à cette partie, puisque je n'avais pas lu la réponse de Rebrab, je croyais que c'était l'article de Boukherrouba ( me suis contenté du titre de l'article que j'ai lu auparavant) ! Du coup, mon raisonnement est tiré par les veuches! :rudolph:

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Pour répondre au deux topics sur Si Rabrab en meme temps. Le peché originel de Monsieur Rabrab est de narguer son monde, qu'il fasse comme tout les truands ouydaregue lekhli9a ta3ou 3lina.

 

 

LE sucre... Qui ignore que ce filon a de tout temps été une chasse gardé. comment pourrait-on croire que le gars s'est accaparé le marché à ses puissants détenteurs de façon loyale?

 

... défiscalisation de 2 produits dont il a le monopole

 

...

 

Le plus groupe privé algérien est le symbole du mal qui gangrène ce pays

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