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les dessous de la guerre de liberation


Guest aladin1000

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Guest aladin1000
Des informations sur la guerre de libération commence à sortir. En effet, des personnes bien placer commence à dire qu'une parti de l'histoire de la guerre de libération à été réécrite aux profits de certaines personnes.

à vrai dire,pourtant fan d'histoire ,j'ai jamais pu comprendre cette partie-là de notre histoire,c'est pourquoi j'ai créé ce post afin que tout le monde puisse donner son point de vue sur la question.

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Y a un très bon bouquin d'une jeune chercheure algérienne sur l'ANP et la vision des français qu'on avait avec des témoignages d'anciens moudjhaidines de la Wilaya 3 sur la guerre. Je ne me rappelle plus son nom c'est Aït quelque chose, mais évidemment elle a dû le publier en France

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Guest aladin1000
Y a un très bon bouquin d'une jeune chercheure algérienne sur l'ANP et la vision des français qu'on avait avec des témoignages d'anciens moudjhaidines de la Wilaya 3 sur la guerre. Je ne me rappelle plus son nom c'est Aït quelque chose, mais évidemment elle a dû le publier en France

 

le nom de l’écrivaine si c'est possible stp.

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Justement je ne m'en rappelle plus c'est Aït quelque chose et avec ça on ne sera pas très avancé tu me diras :mdr:

 

Je pense que tu doit parlé de Salima Aït Mohamed qui est une journaliste, écrivain, poète, conférencière et calligraphe algérienne née le 30 avril 1969 à Ath Eurvah (Kabylie).

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que connaissez-vous vraiment de la guerre de libération? à part ce que racontent les gens de Al Yatima.

 

d'une part.....on a pas besoin de connaître autre chose!! on ne veut pas se faire polluer par les versions des traîtres et des criminels.

 

d'autre part.....Peu importe, la guerre de libération est loin derrière nous, et ce n'est pas à des incultes et des ignares à en parler mais à des historiens.

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L’enseignement de la Guerre de libération nationale (1954 - 1962), dans les anciens et nouveaux manuels algériens d’histoire. Un enjeu pour l’affirmation d’une culture de la citoyenneté 1

 

La Guerre de libération nationale (1954-1962) constitue en Algérie un événement fondateur de l’État national qui émerge à l’indépendance du pays, et occupe donc une place particulière dans l’élaboration d’une histoire nationale et de son enseignement. Nous essaierons de présenter les caractéristiques de cet enseignement à travers une lecture des anciens et nouveaux manuels d’histoire en ciblant les représentations en compétition au sein de l’État et de la société sur les rapports au passé précolonial et colonial ainsi qu’aux enjeux du présent. Ce sera le cas notamment pour ceux inhérents à l’émergence d’une culture de la politique et de la citoyenneté.

La Guerre de libération nationale (1954-1962) qui allait clore la période de colonisation française en Algérie (1830-1962), constitue sans doute le fait majeur dans la structuration de la conscience nationale en Algérie, et est considérée comme le principal événement fondateur de l’Etat national qui émerge avec l’indépendance du pays. C’est ce qui explique que les programmes officiels d’enseignement de l’histoire dans le pays la mettent particulièrement en exergue, en lui assignant une place de choix par rapport à d’autres séquences de l’histoire nationale et même universelle. Différentes générations de programmes et de manuels scolaires se sont succédées non sans quelques tâtonnements, de la date de proclamation de l’indépendance à nos jours. Deux d’entre elles retiendront ici notre attention : celle liée à la période dite d’Ecole fondamentale qui va de 1976 à 2002 (avec parfois des aménagements apportés surtout depuis les années 1990), et celle qui commence en 2002 après qu’une commission nationale de réforme du système éducatif (CNRSE) a planché durant l’année 2000 sur des propositions de réforme du système éducatif algérien.

2Nous ajouterons enfin que si dans l’ancien système nous avions affaire à un manuel officiel unique pour chacune des classes, le principe pour les nouveaux programmes est de permettre un choix entre plusieurs propositions de manuels. La mesure n’est cependant pas encore généralisée, en histoire notamment où nous en sommes toujours au manuel unique par année d’enseignement.

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Je pense que tu doit parlé de Salima Aït Mohamed qui est une journaliste, écrivain, poète, conférencière et calligraphe algérienne née le 30 avril 1969 à Ath Eurvah (Kabylie).

 

 

 

Non ce n'est pas elle, c'est une jeune qui a fait sa thèse dans le sud de la France si ma mémoire est bonne

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d'une part.....on a pas besoin de connaître autre chose!! on ne veut pas se faire polluer par les versions des traîtres et des criminels.

 

mais, tu ne parle que pour toi l'ami.

 

d'autre part.....Peu importe, la guerre de libération est loin derrière nous, et ce n'est pas à des incultes et des ignares à en parler mais à des historiens.

 

ceux qui ont fait l'histoire du manuel scolaire , sont peut être des incultes ignares.

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que connaissez-vous vraiment de la guerre de libération? à part ce que racontent les gens de Al Yatima.

Il est tout a fait clair que l'esprit de novembre 54 ainsi que les recommandations du congre de la soummam ont été pour leur grande partie si ce n'est en majorité détournés la preuve c'est qu'il y a eu une guerre entre les différents chefs et tendances qui existaient sur le terrain de l'époque, cette guerre fratricide s'est soldée par la confiscation de l'indépendance des son entrée en vigueur un certain 5 juillet 1962

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UN BON LIVRE A LIRE

 

que connaissez-vous vraiment de la guerre de libération? à part ce que racontent les gens de Al Yatima.

 

Si vous voulez avoir une idée juste et sans parti pris sur beaucoup de faits historiques sur notre GUERRE DE LIBERATION NATIONALE, je vous conseille le livre écrit par Mansour RAHAL qui s'intitule '' LES MAQUISARDS ''.

Monsieur Mansour RAHAL est un lycéen qui a rejoint le maquis en 1956 à l'occasion de la grève des étudiants de l'époque.

c'est un jeune de l'ouest algérien qui, après une formation accélérée sur les transmissions a été affecté à l'est du pays dans la wilaya des Aurès. il y a combattu jusqu'à l'indépendance. il a eu l'occasion, comme responsable de la station radio au PC de cette wilaya de cotoyer de nombreux hauts responsables de la révolution et de connaitre de nombreux secrets.

L'indépendance acquise, il a quitté l'armée et regagné la vie civile.

BONNE LECTURE.

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que connaissez-vous vraiment de la guerre de libération? à part ce que racontent les gens de Al Yatima.

 

Il est désolant d'assister , ces derniers temps, à un spectacle devenu , à la longue , agaçant : des empoignades à couteaux tirés entre les frères de maquis d'hier , devenus ennemis jurés , 50 ans après le recouvrement de l'indépendance...De très graves révélations sont ainsi faites par le biais des chaines satellitaires et des manchettes de journaux , d'ou fusent les accusations , les invectives , les menaces etc...meme nos héros , que nous avons si fièrement glorifiés , n'ont pas échappé à cette folie qui s'est emparée de ceux qui ont eu l'insigne honneur de braver les forces de l'OTAN pour libérer le pays ...Des noms de héros illustres , naguère adulés , sanctifiés , portés au pinacle de l'honneur , sont étrangement trainés dans la boue , avilis , dépréciés ... Est-ce cette histoire -là que ces messieurs veulent léguer aux générations futures ? Nos héros n'ont aucune corrélation mythologique : ils sont le pur produit d'une réalité douloureuse et font figure d'archétypes dans l'histoire universelle , c'est pourquoi nul ne doit s'arroger le droit de souiller leurs mémoires , car ils ont payé le lourd tribut en sacrifiant leur vie pour cette patrie ...

L'histoire , pour etre écrite objectivement, doit etre confiée à des historiens , dont le regard restera toujours porté sur le passé et la restitution de celui-ci , faisant appel au souvenir , donc à la mémoire...Le problème se complique dès qu'il entreprend de décrypter les mentalités : le souvenir devient flou , voire dénaturé quand il a traversé des lustres sans l'avoir mis sous les faisceaux de la mémoire ...Il peut etre magnifié , voire mythifié , mais il peut aussi se perdre dans les refoulements mémoriels ...Or, pour ce qui est de notre histoire à nous, nous n'en sommes qu'au stade de l'analyse des faits qui ont marqué son parcours : qu'en est-il de sa restitution? L'historien , quant à lui, aura beau faire un travail de professionnel, le récit qu'il propose n'est-il pas lui aussi imprégné de ses convictions , de sa formation, de sa culture ? L'histoire se veut etre une science , mais elle n'est et ne sera jamais exacte ...car fluctuante selon celui qui la raconte et celui qui l'écrit...

Notre histoire a été faite par le peuple ..il en est l'artisan et l'acteur principal ...et c'est à lui seul qu'incombe le role de la restituer en toute objectivité , loin de toute immixtion des appareils du pouvoir ...il aura pour but de retracer fidèlement l'historiographie crédible de l'itinéraire d'un peuple et la chronologie des évènements qui rythmèrent son existence , dans sa quète de recouvrement de sa souverainté ...l'historien veillera à la transcrire fidèlement ...c'est pourquoi , elle doit etre dépassionnée et sereine ...

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Guest aladin1000
Il est désolant d'assister , ces derniers temps, à un spectacle devenu , à la longue , agaçant : des empoignades à couteaux tirés entre les frères de maquis d'hier , devenus ennemis jurés , 50 ans après le recouvrement de l'indépendance...De très graves révélations sont ainsi faites par le biais des chaines satellitaires et des manchettes de journaux , d'ou fusent les accusations , les invectives , les menaces etc...meme nos héros , que nous avons si fièrement glorifiés , n'ont pas échappé à cette folie qui s'est emparée de ceux qui ont eu l'insigne honneur de braver les forces de l'OTAN pour libérer le pays ...Des noms de héros illustres , naguère adulés , sanctifiés , portés au pinacle de l'honneur , sont étrangement trainés dans la boue , avilis , dépréciés ... Est-ce cette histoire -là que ces messieurs veulent léguer aux générations futures ? Nos héros n'ont aucune corrélation mythologique : ils sont le pur produit d'une réalité douloureuse et font figure d'archétypes dans l'histoire universelle , c'est pourquoi nul ne doit s'arroger le droit de souiller leurs mémoires , car ils ont payé le lourd tribut en sacrifiant leur vie pour cette patrie ...

L'histoire , pour etre écrite objectivement, doit etre confiée à des historiens , dont le regard restera toujours porté sur le passé et la restitution de celui-ci , faisant appel au souvenir , donc à la mémoire...Le problème se complique dès qu'il entreprend de décrypter les mentalités : le souvenir devient flou , voire dénaturé quand il a traversé des lustres sans l'avoir mis sous les faisceaux de la mémoire ...Il peut etre magnifié , voire mythifié , mais il peut aussi se perdre dans les refoulements mémoriels ...Or, pour ce qui est de notre histoire à nous, nous n'en sommes qu'au stade de l'analyse des faits qui ont marqué son parcours : qu'en est-il de sa restitution? L'historien , quant à lui, aura beau faire un travail de professionnel, le récit qu'il propose n'est-il pas lui aussi imprégné de ses convictions , de sa formation, de sa culture ? L'histoire se veut etre une science , mais elle n'est et ne sera jamais exacte ...car fluctuante selon celui qui la raconte et celui qui l'écrit...

Notre histoire a été faite par le peuple ..il en est l'artisan et l'acteur principal ...et c'est à lui seul qu'incombe le role de la restituer en toute objectivité , loin de toute immixtion des appareils du pouvoir ...il aura pour but de retracer fidèlement l'historiographie crédible de l'itinéraire d'un peuple et la chronologie des évènements qui rythmèrent son existence , dans sa quète de recouvrement de sa souverainté ...l'historien veillera à la transcrire fidèlement ...c'est pourquoi , elle doit etre dépassionnée et sereine ...

 

tout-à-fait c'est pourquoi j'ai ouvert ce topic,pour que chacun apporte son témoignage,celui d'un ami,d'un proche qui a vécu cette période de notre histoire,de faire la lumière sur des zones d'ombre qu'on fait souvent semblant de ne pas voir, de casser des tabous qu'on nous a imposé depuis l'enfance.

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Il est désolant d'assister , ces derniers temps, à un spectacle devenu , à la longue , agaçant : des empoignades à couteaux tirés entre les frères de maquis d'hier , devenus ennemis jurés , 50 ans après le recouvrement de l'indépendance...De très graves révélations sont ainsi faites par le biais des chaines satellitaires et des manchettes de journaux , d'ou fusent les accusations , les invectives , les menaces etc...meme nos héros , que nous avons si fièrement glorifiés , n'ont pas échappé à cette folie qui s'est emparée de ceux qui ont eu l'insigne honneur de braver les forces de l'OTAN pour libérer le pays ...Des noms de héros illustres , naguère adulés , sanctifiés , portés au pinacle de l'honneur , sont étrangement trainés dans la boue , avilis , dépréciés ... Est-ce cette histoire -là que ces messieurs veulent léguer aux générations futures ? Nos héros n'ont aucune corrélation mythologique : ils sont le pur produit d'une réalité douloureuse et font figure d'archétypes dans l'histoire universelle , c'est pourquoi nul ne doit s'arroger le droit de souiller leurs mémoires , car ils ont payé le lourd tribut en sacrifiant leur vie pour cette patrie ...

L'histoire , pour etre écrite objectivement, doit etre confiée à des historiens , dont le regard restera toujours porté sur le passé et la restitution de celui-ci , faisant appel au souvenir , donc à la mémoire...Le problème se complique dès qu'il entreprend de décrypter les mentalités : le souvenir devient flou , voire dénaturé quand il a traversé des lustres sans l'avoir mis sous les faisceaux de la mémoire ...Il peut etre magnifié , voire mythifié , mais il peut aussi se perdre dans les refoulements mémoriels ...Or, pour ce qui est de notre histoire à nous, nous n'en sommes qu'au stade de l'analyse des faits qui ont marqué son parcours : qu'en est-il de sa restitution? L'historien , quant à lui, aura beau faire un travail de professionnel, le récit qu'il propose n'est-il pas lui aussi imprégné de ses convictions , de sa formation, de sa culture ? L'histoire se veut etre une science , mais elle n'est et ne sera jamais exacte ...car fluctuante selon celui qui la raconte et celui qui l'écrit...

Notre histoire a été faite par le peuple ..il en est l'artisan et l'acteur principal ...et c'est à lui seul qu'incombe le role de la restituer en toute objectivité , loin de toute immixtion des appareils du pouvoir ...il aura pour but de retracer fidèlement l'historiographie crédible de l'itinéraire d'un peuple et la chronologie des évènements qui rythmèrent son existence , dans sa quète de recouvrement de sa souverainté ...l'historien veillera à la transcrire fidèlement ...c'est pourquoi , elle doit etre dépassionnée et sereine ...

 

 

je me suis régalé de te lire.

 

mais, je trouve que même si je partage pratiquement ta position, nous ("nous" parce que je la partage) serons confrontés à des problèmes qui ne sauraient être réglés par le peuple seulement. je suis sur moi ainsi qu'une grande partie d'Algériens, qu'une grande partie des faits de la guerre d'Algérie, et même bien avant celle-ci, ont été occulté délibérément. c'est pour dire que, quoi qu'on fasse, plusieurs pages de notre Histoire ont été gommées grossièrement et réécrite à la va vite pour servir des intérêts personnels...les intérêts d'une élite minoritaire.

 

cependant, la vérité n'a jamais été l'ultime solution...j'ai peur de ce que nous pourrions découvrir si on pouvait tout savoir de notre passé.

 

et puis, l'histoire est écrite par les vainqueurs comme on le dit trop souvent...pour que le peuple Algérien écrive sa propre histoire, celle dont il a été l'acteur principale, le figurant mais pas le scénariste...il faudrait qu'il...gagne.

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