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Programme spatial Algérien: Les réussites et les casseroles


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Pour parler du programme spatial algérien, il faut remonter le temps, tout commence dans les années 70 avec la création de l’Institut National de Géodésie.

Ce dernier se transformera en CENTRE NATIONAL DES TECHNIQUE SPATIALE, en 1988, il commence a collaborer avec le CNES français et la NASA notamment dans l’exploitation d’images satellites provenant de SPOT et LANDSAT, par la suite le principal projet du CNTS fut de développer le premier satellite algérien ALSAT.

Le projet fut officiellement lancé en 1998 et ce malgré les difficultés de l’époque (manque de financement, difficultés à collaborer avec les agences étrangères, troubles sécuritaires …) , après cela le CNTS signera en 2000 un accord pour développer le premier satellite Algérien avec le Britannique Surrey Satellite Technology Limited SSTL. Une équipe de 11 jeunes ingénieurs algérien a été choisi pour bénéficier du transfert de technologie auprès des britanniques, ces derniers travailleront pendant 2 ans, et deux satellites seront réaliser, le premier entièrement par les britannique et qui a été lancé le 28 novembre 2002 par une fusée Russe COSMOS, tandis que le second réalisé en parallèle par les algériens se trouve encore aujourd’hui en statique dans les locaux de l’agence spatiale Algérienne ASAL.

ALSAT 1

Le microsatellite ALSAT 1A, de 100kg est basée sur la plateforme MICROSAT100 développée par le SSTL, il évolue en orbite basse a 687km d’altitude, et bénéficie d’une caméra d’un résolution moyenne de 32 mètres, ce dernier était intégré dans le programme britannique DMC (DISASTER MONITORING CONSTELATION ) comprenant en plus du satellite Algérien des satellites Britanniques Turques, Nigérians et Chinois, aujourd’hui cette constellation en est à sa 2eme génération avec des satellites à résolution supérieur. L’engin spatial Algérien avait une durée de vie initiale de 5ans, finalement il restera opérationnel jusqu'en 2009, ce qui constitue un véritable sucées pour un cout global de 15 millions de $, comprenant le know how, les 2 satellites, la station de réception des données, le lancement du satellite et la prime d’assurance.

Après ce lancement réussi, il fut décidé de créer AGENCE SPATIAL ALGERIENNE dans laquelle le CNTS fut intégré, et un programme spatial national est lancé avec une enveloppe de prés d’un milliards de $ sur une période de 15 ans, comprenant le lancement de 8 satellites dont au moins un satellite de télécommunication en orbite géostationnaire, et la création d’une unité d’intégration de satellites, la formation d’ingénieurs et docteurs spécialisés dans le domaine spatial, et le développement de l’industrie de sous-traitance dans le domaine spatial.

Néanmoins quelques problèmes apparurent, le premier fut dés le retour des ingénieurs formés en Angleterre, ces derniers étaient revenus au pays avec dans leurs cartons le projet d’un autre micro satellite développé par leurs soins et bénéficiant d’une meilleure résolution, ainsi que d’un nano satellite de 10kg. Malgré cela ces derniers se heurteront à la bureaucratie ambiante, ces derniers lassés finiront par quitter le pays les uns après les autres, pour faire la richesse de firmes européennes et américaines. Une perte de savoir faire faire chèrement payé par l’Algérie. Autre souci, le projet de l’unité de développement de petit satellite qui doit être érigé à Bir el Djir à Oran prend un retard énorme.

ALSAT 2A

Finalement après quelques années de retard, le programme ASAL décide de lancer le programme ALSAT2 en 2005. Cette fois-ci le contrat est signé avec EADS ASTRIUM et sa branche française en février 2006. Le contrat porte sur l’acquisition de 2 satellites ALSAT 2A et 2B a haute résolution (2.5metres), basés sur la plateforme ASTROSAT100/MYRIADE qui est elle-même basée sur la plateforme du SSTL MICROSAT100, de deux station de réception au sol en bande X et S, l’une se trouvant à Oran l’autre à Ouargla, un transfert de technologie avec la formation de 25 ingénieurs, qui devront par la suite assurer l’intégration du 2B en Algérie.

A l’origine le satellite devait être réalisé et lancé en deux ans, finalement il aura fallu 4ans pour le réaliser et projeter le 1er satellite qui a été lancé par une fusée indienne PSLV le 12 juillet 2010. Tandis que le statut du 2B c’est une opacité complète, par ailleurs l’agence spatial entretient le floue concernant le cout financier du programme. Une estimation reste possible en comparant avec le Vietnam qui a aussi signé avec EADS pour l’acquisition d’un satellite comparable a celui de l’Algérie avec transfert de technologie et lancement. Le pays asiatique a payé la bagatelle de 55 millions d’euro soit approximativement 110 millions pour l’Algérie.

Si le satellite ALSAT2 apporte une véritable aide pour le pays en matière de aménagement du territoire, dans le domaine agricole minier et dans le domaine de la défense national, il apparait tout comme dans l’affaire des hélicoptères de la présidence, qu’ EADS a de nouveau caché des information sur la provenance de certains éléments vitaux du satellite, en particulier ceux d’origine israélienne. Le système de contrôle d’altitude, comprenant le magnétomètre, le système inertiel et les rétro-moteur avec le réservoir d’hydrazine, tout ces systèmes sont fourni par la division TAMAM de IAI (ISRAELI AEROSPACE INDUSTRY), tandis que la caméra haute résolution du nom de NAOMI «New AstroSat Optical Modular Instrument » est fourni par la branche allemande de EADS ASTRIUM.

 

Pied de nez Israélien

Image Satellite Israélienne

Ce que peu de gens savent, c’est que a peine 2 jours après le lancement de ALSAT 2A des photos de la base aérienne de Oum El Bouaghi prise le jour même du lancement de notre satellite, par le satellite espion israélien EROS B ont été largement diffusés sur Internet.

On y voit en détail les infrastructures de cette base aérienne ainsi que plusieurs avions de combat SU 30MKA, ce qui a été perçu comme étant un avertissement et une menace claire à l’endroit de l’Algérie. Quid de réponses du côté Algérien pour ce message à peine crypté.

En attendant le lancement de Alsat 2B, nous espérons que les responsables prennent réellement conscience de l’importance stratégique de ce type d’outil pour l’indépendance et la sécurité nationale, en rappelant qu’il existe plusieurs firmes en Europe et ailleurs aptes à fournir des solution appropriés dans ce domaine et à moindre cout.

KOKO150

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Néanmoins quelques problèmes apparurent, le premier fut dés le retour des ingénieurs formés en Angleterre, ces derniers étaient revenus au pays avec dans leurs cartons le projet d’un autre micro satellite développé par leurs soins et bénéficiant d’une meilleure résolution, ainsi que d’un nano satellite de 10kg. Malgré cela ces derniers se heurteront à la bureaucratie ambiante, ces derniers lassés finiront par quitter le pays les uns après les autres, pour faire la richesse de firmes européennes et américaines. Une perte de savoir faire faire chèrement payé par l’Algérie. Autre souci, le projet de l’unité de développement de petit satellite qui doit être érigé à Bir el Djir à Oran prend un retard énorme.

 

Ce régime de vampires ne permettra jamais à l'algérie de se développer.Faut pas rêver....:mad:

 

Il faut une révolution pacifique comme une grêve générale par exemple pour libérer notre pays de ces sang-sues infectes...:eek:

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On ne peut rien attendre de gens " incultes" comme ouyahya, louh, belaiz, benbouzid, Bouteflika etc qui sont toujours fiers de ne pas savoir utiliser l'ordinateur et le mobile.

Il n'y a qu'à voir les sites web des institutions et l'importance accordée au débit internet confié à benhammadi Moussa, le plus jeune des apparatchiks qui ont sclérosé l'Algérie.

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On ne peut rien attendre de gens " incultes" comme ouyahya, louh, belaiz, benbouzid, Bouteflika etc qui sont toujours fiers de ne pas savoir utiliser l'ordinateur et le mobile.

Il n'y a qu'à voir les sites web des institutions et l'importance accordée au débit internet confié à benhammadi Moussa, le plus jeune des apparatchiks qui ont sclérosé l'Algérie.

 

ola!oie! attends c'est sérieux ça!!!????????? :eek::eek::confused:

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On ne peut rien attendre de gens " incultes" comme ouyahya, louh, belaiz, benbouzid, Bouteflika etc qui sont toujours fiers de ne pas savoir utiliser l'ordinateur et le mobile.

Il n'y a qu'à voir les sites web des institutions et l'importance accordée au débit internet confié à benhammadi Moussa, le plus jeune des apparatchiks qui ont sclérosé l'Algérie.

 

T'as raison....Sauf qu'ils sont là, nous narguant, rigolant à notre figure et aux commandes pour longtemps si le peuple ne se réveille pas.....:gun_smilie:

Ces pourris sont des gens indignes, sans fierté ni honneur.Ils savent que le peuple les execre mais ils ne veulent pas s'en aller...Skara disent-ils...En fait sachez bandes de pourris que l'histoire vous remettra à votre place favorite, la fosse septique....;)

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