samir1964 10 Posted August 30, 2012 Partager Posted August 30, 2012 ”L’administration électronique”, ce thème a été au centre des débats, hier, au Centre de presse d’El Moudjahid, dans le cadre d’une rencontre organisée conjointement avec le ministère de la Poste et des Technologies de l’Information et de la communication. Émergence de la société du savoir Le Dr Mekraoui Maâmar, conseiller du ministre de la Poste et des Technologies de l’Information et de la communication, a rappelé, lors de son intervention, les grands axes du programme e-Algérie 2013, qui postule à une émergence de la société algérienne du savoir et de la connaissance. Il y a, à travers, ce document une volonté politique clairement affichée et nettement exprimée pour que les meilleurs choix technologiques soient faits. Ils engagent l’avenir. S’agissant de l’administration électronique, on a parlé de transparence pour la fourniture d’un service de qualité, de gain de temps et d’argent et porter tous ces acquis sur l’ensemble du territoire. Stratégie d’accès à internet L’orateur a évoqué les problèmes posés, à savoir l’élaboration d’une stratégie nationale d’accès à internet, du point de vue du contenu, des équipements, la ligne téléphonique, les investissements à consentir, infrastructures de transport de données, équipements techniques et les logiciels, les équipements informatiques). M. Mekraoui a rappelé qu’un avant-projet de loi sur la société de l’information était en phase d’élaboration. Pour le représentant du ministre, la modernisation de l’administration exige des contenus locaux, le développement de petites entreprises pour le contenu et les mesures fiscales qui accompagnent ce développement. Une meilleure qualité de vie L’administration électronique postule à une meilleure qualité de vie, à une meilleure productivité, la promotion de la recherche et du développement. La modernisation, relève l’orateur, c’est l’introduction des TIC dans l’administration publique, de nouveaux modes d’organisation et de travail, un service en ligne pour répondre aux attentes des citoyens. Le travail a nécessité la mise en place d’un cadre institutionnel cohérent, un cadre de coopération et une mutualisation des moyens et des ressources. L’administration électronique est vue comme un outil qui permet un développement cohérent et facilite la vie au citoyen. Intervenant à la suite de M. Mekraoui Maâmar, Mme Abada, représentante du ministère des Travaux publics, a fait le bilan des actions menées au sein du département des travaux publics où l’intranet a été introduit, dit-elle, en 2003, qui a pris en charge un certain nombre d’applications liées à l’activité du secteur. L’administration des travaux publics électronique opérationnelle Appels d’offres, gestion des projets, gestion des marchés, gestion des bases de données, ouvrages, la gestion des professions et des agréments, les ports, aéroports, routes, les demandes de financement. M. Hocini, directeur au ministère de la Poste et des TIC, chargé de la société du savoir, a rappelé le travail de coordination qui est aujourd’hui entrepris avec les autres ministères pour alimenter la mise en place de l’administration électronique en lui donnant d’abord une assise. L’administration électronique, dans l’esprit des représentants du ministère de la Poste et des TIC, c’est un instrument et un outil qui s’intègre dans une démarche globale de modernisation. C’est un moyen pour rassurer et qui cible en toute sécurité le citoyen. Dans le débat, les intervenants ont eu à répondre aux interrogations des participants, sur l’expérience menée au sein du ministère de l’Intérieur, cela va dans le sens de la modernisation de l’administration et des collectivités locales. Il y a un travail louable qui se fait. A propos de Ousratic, M. Mekraoui relève que l’opération n’a pas atteint les objectifs escomptés. On a construit, sur la base de l’expérience, une nouvelle version qui est lancée et qui s’inspire des meilleures conditions dans le monde. L’originalité de cette démarche, c’est la segmentation. On a commencé par l’éducation, les professions libérales, les entreprises et, enfin, le citoyen. Un fonds d’aide à l’émergence de la société du savoir M. Mekraoui a parlé de fonds d’aide à l’émergence de la société de l’information et de la communication et a affirmé que des résultats sont perceptibles. C’est un ambitieux projet, dit-il, on sent qu’il y a des progrès. A propos du contenu, le représentant du ministère de la Poste et des TIC relève qu’il y a nécessité d’avoir des sites dynamiques, mise à niveau et à la maintenance assurée. A l’avenir, les sites seront présentés en deux langues (nationale et français). Livre numérique, question de droit Sur un livre numérique, il y a plusieurs aspects à régler et notamment la question si cruciale du droit d’auteur, fait remarquer M. Hocini. La problématique se pose là au niveau règlementaire pour que soit protéger ceux qui mettent en ligne, le contenu, une loi est en préparation pour protéger le contenu. Le ministère a donné la priorité au contenu A propos du travail qui est mené dans la réalisation de l’administration électronique, c’est vrai, note M. Mekraoui que le ministère de la Poste et des TIC est la locomotive mais il est vital qu’il y ait l’adhésion de tous. Trois projets font l’objet d’une prise en charge, les réseaux pour le haut débit, les textes règlementaires, et le contenu, nous travaillons sur ces trois paramètres, relève M. Mekraoui. Un projet de loi sur la société du savoir en préparation Pour l’orateur, la loi sur la société de l’information va régler beaucoup de problèmes, à propos du contenu, de la propriété intellectuelle notamment. S’agissant des réseaux, le représentant du ministère a souligné que le département travaillait avec Algérie Télécom à ce sujet. Il y a des efforts qui se déploient. L’on constate beaucoup de progrès qui sont en cours. Le réseau pose problème, c’est vrai. Il date de 20 ans et n’est pas adapté. Algérie Télécom a entrepris la mise à niveau de ce réseau. Revenant sur le Forum qui a eu lieu, récemment, à El-Aurassi en présence du ministre de la Poste et des TIC. État des lieux M. Mekraoui a rappelé qu’il y a eu un état des lieux du travail qui a été effectué dans les départements ministériels qui ont pris de l’avance. Il a cité le ministère de la Justice qui a développé un guichet unique, le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, celui des Travaux publics ; le ministère de l’Industrie dans lesquels beaucoup d’efforts ont été faits, le ministère de la Poste et des TIC qui a ouvert un portail accessible au citoyen. Des expériences internationales européennes, notamment ont été exposées, et, celle d’un cabinet conseil international qui a travaillé sur l’administration électronique au Maroc et à présent en Tunisie. Impact économique, social, culturel sur le citoyen Il a été conclu que l’administration électronique a un impact économique et social, sur le citoyen. A été posée la question de savoir quels sont les raccourcis possibles pour aller très vite à l’administration électronique, les écueils et erreurs à éviter, les éléments de la réussite. L’agent public, quel est son rôle ? Il s’agit d’un élément essentiel, il a un rôle moteur à jouer. Ont été évoquées aussi des questions se rapportant à la sécurité et à l’interopérabilité, la coopération locale et extérieure. Un programme conforme aux orientations présidentielles Les recommandations du Forum ont été dévoilées par M. Mekraoui qui rappelle qu’on été réaffirmés les objectifs du programme E-Algérie 2013, qui a été établi conformément aux orientations du Président de la République. Des prix seront décernés aux meilleures administrations et autres. Des mesures fiscales sont envisagées pour encourager les développements, les médias seront mis à contribution pour le volet sensibilisation, l’accélération du parachèvement des réseaux locaux a été rappelée comme impératif. Le cout d’accès à l’internet revient encore très cher Sur le cout d’accès à l’internet, M. Mekraoui qui répondait à une question posée dans le débat, a relevé que le réseau coûte effectivement très cher. On n’arrive pas à mutualiser. Les couts d’exploitation sont élevés, se pose la question de la rentabilité des investissements. Si on arrive, affirme M. Mekraoui, à mettre un réseau fournisseur des fournisseurs, il sera possible de diminuer les couts d’exploitation. Algérie Télécom met en place un réseau fournisseur des fournisseurs. Il faut un contenu local, car pour l’heure, c’est surtout de l’extérieur que vient l’essentiel de l’information. Il y a une satisfaction qu’il faut relever, celle de voir de jeunes développeurs se lancer dans le contenu, en proposant des solutions. Il faut rassembler tous ces efforts pour développer à grand débit. Citer Link to post Share on other sites
Bourourou 11 Posted August 30, 2012 Partager Posted August 30, 2012 Bla bla bla .... loi sur l'information... bla bla bla .... Mme abada gestion de projets , Excel et Word, sont un problème national...bla bla bla .... La loi sur l'information va régler le problème de l'Internet en Algérie. Mais ils pensent endormir qui avec ces arguments? Ou est la 3G ,ou est la4G ? Qu'est que c'est que ça ? Ce n'est même pas de la langue de bois ça! C'est du remplissage et c'est pour affirmer leur existence malgré les élections ratés de mai! Citer Link to post Share on other sites
leparisien 10 Posted August 30, 2012 Partager Posted August 30, 2012 et re blabla blabla bla blabla Ya rab el karim qui va les croire? Citer Link to post Share on other sites
KEYBOARDZAPPER 6 451 Posted August 30, 2012 Partager Posted August 30, 2012 En effet c'est le grans buzz du bla bla... il devrait commencé par faire baisser les prix des abonnement internet s'ils veulent que la peuple soit connecté... en occident on surf a 50 et 100 méga/bites...algerie telecom offre 1 mega sur papier et 500kb effectifs... Citer Link to post Share on other sites
samy89 82 Posted August 31, 2012 Partager Posted August 31, 2012 En effet c'est le grans buzz du bla bla... il devrait commencé par faire baisser les prix des abonnement internet s'ils veulent que la peuple soit connecté... en occident on surf a 50 et 100 méga/bites...algerie telecom offre 1 mega sur papier et 500kb effectifs... Et encore ça c’était du haut débit, maintenant c'est le très haut débit. Citer Link to post Share on other sites
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