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Que faut-il vraiment faire des islamistes?


Guest Algérois

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Guest Algérois

On ne peut pas jeter tous les islamistes à la mer. Ni les refouler dans le désert: c'est là qu'ils se multiplient. Pourtant, il faut bien trouver une solution.

 

Que faire des islamistes? La réponse devient urgente pour tout le monde, en Occident, chez soi, dans la vie quotidienne ou dans la vie des idées et des théories politiques.

 

A l’évidence, on ne peut pas s’en passer pour faire une révolution: ils sont les seuls à mourir pour une idée et à user du martyre et du sacrifice du corps.

 

Du coup, ils sont une force «armée» et un argument de guerre. Ils sont aussi nombreux et partout: du coup, on ne peut pas fonder un consensus social et politique sans les associer, les inviter, les écouter ou partager avec eux.

 

On ne peut pas non plus les éliminer tous, les exterminer, les mettre tous en prison, les torturer dans un sous-sol ou à Guantanamo. On ne peut pas les jeter à la mer, tous, comme Ben Laden, ni les refouler dans le désert où, justement, ils se reproduisent.

 

Les dictatures arabes s’y sont essayées, mais n’ont réussi qu’à leur donner le statut de la victime absolue et à en exacerber la violence et les radicalismes.

 

Mais en même temps, le printemps arabe dans certains pays le prouve de plus en plus, malheureusement: on ne peut pas leur faire confiance, les admettre, les «démocratiser», ou gouverner avec eux.

 

Leur projet est exclusif. Ce n’est pas celui de la démocratie, mais celui du califat. Sous une forme ou une autre. Sous un discours ou un autre. Avec un timing ou un autre.

 

Faire confiance, pas vraiment! Se méfier, sûrement!

 

Avec le meurtre atroce de l’ambassadeur américain à Benghazi, en Libye, et les photos horribles de son corps exposé comme une relique macabre, Hillary Clinton s’est écriée, histoire de se demander comment une ville que les Etats-Unis ont contribué à sauver du massacre peut faire ça.

 

Fausse question, car fausse optique. L’Occident a cru, lui aussi, que les islamistes sont les victimes de la dictature. Alors qu’ils en sont le produit, la bombe à retardement, le reliquat.

 

Pendant des décennies, les régimes arabes ont encouragé les barbus tout en pourchassant les progressistes. Cela se passe partout, sous la forme de manipulations ou sous forme de deal entre pouvoir conservateur, mosquées et cheikhs.

 

En Algérie, le deal est visible à l’œil nu: le projet de la plus grande mosquée d’Afrique remplace celui du plus grand pays d’Afrique. Le Front islamique du Salut n’aurait pas rêvé de mieux.

 

Du coup, les islamistes sont là, se reproduisent, se multiplient, deviennent de plus en plus nombreux et de plus en plus ambitieux et imposent leur credo aux Algériens, leurs habits, idées, rites et conceptions.

 

Leur mouvement se bipolarise entre politiques patients et hystériques armés. Qu’en faire donc?

 

Dilemme à tous les niveaux

 

Les dictateurs disaient, sournoisement, qu’il faut contenir les islamistes et les tuer. Du coup, en encourageant le mouvement à devenir important, ils consolidaient leur argumentaire de base selon lequel «la dictature est nécessaire pour la stabilité».

 

Les Occidentaux ont cru pouvoir les assimiler ou les rééduquer au pragmatisme: si on les aide, si on les écoute, si on les associe, ils vont finir par rejoindre l’humanité.

 

Les progressistes se disent qu’il faut lutter contre: si on les isole, si on démantèle leur idéologie, si on les met à nu, le peuple perdra confiance en eux et ils finiront par se résorber dans la nature du sable.

 

Mais entretemps, ce peuple de l’au-delà, avance, tue, conquiert, confisque. La raison? Evidente: la formation, l’école, la matrice.

 

Il y a dans le monde arabe une matrice idéologique qui continue de former les islamistes au berceau, à l’école, sur les chaînes de télévision, dans la communication, dans la rue et les mosquées, pendant qu’on croit les endiguer.

 

Le monde réfléchit à l’islamiste comme produit en fin de processus et pas à l’origine de ce mal du siècle: les écoles, les livres, les fatwas.

 

Le monde arabe continue de produire des islamistes à la base, partout et avec de l’argent. Les idées des wahabites et autre ancêtres du crime, se répandent, pénètrent les murs et les têtes.

 

Il faut assécher leur source

 

Partout dans le monde arabe on continue de glisser de la loi vers la fatwa, de l’élu par les urnes vers l’imam par le ciel, de la Constitution vers la charia, de l’école vers la récitation.

 

C’est cette source qu’il faut assécher si on veut éviter un empire théologique dans quelques décennies.

 

Sans cela, sans un effort dans la formation, les idéologies, l'éducation, cela ne sert à rien et on se retrouvera toujours avec la même question dans cinquante ans: que faire des islamistes?

 

Pendant que le monde cherche, les élites religieuses en Arabie saoudite ou en Iran continuent de publier, d’expliquer, de convertir, de répandre leurs avis, idéologies et conception du monde. Cela va vite.

 

Il n’y pas de distance ni de temps à perdre en procédures entre une fatwa à la Mecque et une tête d’adolescent au Sahel.

 

On le voit et vit partout: cette idéologie a de l’argent, des écoles, des circuits et se répand. Nos enfants ne croient plus à la vie mais à sa gratuité.

 

Les islamistes remontent le temps de plus en plus vite et ceux qui ne veulent pas le faire comme eux, sont tués, lapidés, enterrés ou excommuniés.

 

Il faut s’attaquer à la source pas à l’effet. Mais là, l’Occident autant que les dictatures arabes, est dans la complicité: chaque pouvoir arabe a ses islamistes qu’il gère, évite, encourage ou essaye de cacher.

 

Les Etats-Unis aussi: il n’y a qu’à voir leur cécité sur l’Arabie saoudite: source de pétrole et matrice des kamikazes.

 

Kamel Daoud

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Que penses-tu de l'article ?

 

Un réalisme décriant clairement la souche de la peste islamiste de facon net et objective. Ce n'est pas le premier ni le dernier article auquel Kamel Daoud évoque les choses de manieres cru, frappant et si vérédique !

 

En ce qui concerne cette idéologie en question, il faut donner un peu plus de maturité aux memes peuples dont les disciples de l'Islamisme en sont issus voir plutot un laboratoire se reproduire (comme en Algérie) pour en témoigner de la virulence de cette peste. Biensur, faire chuter ces monarchies maléfiques du Golfe qui nourissent directement et indirectement ce SIDA de l'humanité.

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ça me rappelle un cousin qui, un jour s est bourrée de graines de fenugrec ... sa mère a cru qu il a perdu la boussole lorsqu il désigna les petits papillons motifs sur sa couette comme des terroristes venant l égorger :mdr:

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Guest mounir 73

un jour ils comprendront qu'ils ne font pas face a des personnes mais plutôt a quelque chose qui les dépasses de loin une chose qui ne meurent pas qui na pas de frontières qui na pas de nationalité qu'aucune langues n'handicape ...:D

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On ne peut pas jeter tous les islamistes à la mer. Ni les refouler dans le désert: c'est là qu'ils se multiplient. Pourtant, il faut bien trouver une solution.

 

Que faire des islamistes? La réponse devient urgente pour tout le monde, en Occident, chez soi, dans la vie quotidienne ou dans la vie des idées et des théories politiques.

 

A l’évidence, on ne peut pas s’en passer pour faire une révolution: ils sont les seuls à mourir pour une idée et à user du martyre et du sacrifice du corps.

 

Du coup, ils sont une force «armée» et un argument de guerre. Ils sont aussi nombreux et partout: du coup, on ne peut pas fonder un consensus social et politique sans les associer, les inviter, les écouter ou partager avec eux.

 

On ne peut pas non plus les éliminer tous, les exterminer, les mettre tous en prison, les torturer dans un sous-sol ou à Guantanamo. On ne peut pas les jeter à la mer, tous, comme Ben Laden, ni les refouler dans le désert où, justement, ils se reproduisent.

 

Les dictatures arabes s’y sont essayées, mais n’ont réussi qu’à leur donner le statut de la victime absolue et à en exacerber la violence et les radicalismes.

 

Mais en même temps, le printemps arabe dans certains pays le prouve de plus en plus, malheureusement: on ne peut pas leur faire confiance, les admettre, les «démocratiser», ou gouverner avec eux.

 

Leur projet est exclusif. Ce n’est pas celui de la démocratie, mais celui du califat. Sous une forme ou une autre. Sous un discours ou un autre. Avec un timing ou un autre.

 

Faire confiance, pas vraiment! Se méfier, sûrement!

 

Avec le meurtre atroce de l’ambassadeur américain à Benghazi, en Libye, et les photos horribles de son corps exposé comme une relique macabre, Hillary Clinton s’est écriée, histoire de se demander comment une ville que les Etats-Unis ont contribué à sauver du massacre peut faire ça.

 

Fausse question, car fausse optique. L’Occident a cru, lui aussi, que les islamistes sont les victimes de la dictature. Alors qu’ils en sont le produit, la bombe à retardement, le reliquat.

 

Pendant des décennies, les régimes arabes ont encouragé les barbus tout en pourchassant les progressistes. Cela se passe partout, sous la forme de manipulations ou sous forme de deal entre pouvoir conservateur, mosquées et cheikhs.

 

En Algérie, le deal est visible à l’œil nu: le projet de la plus grande mosquée d’Afrique remplace celui du plus grand pays d’Afrique. Le Front islamique du Salut n’aurait pas rêvé de mieux.

 

Du coup, les islamistes sont là, se reproduisent, se multiplient, deviennent de plus en plus nombreux et de plus en plus ambitieux et imposent leur credo aux Algériens, leurs habits, idées, rites et conceptions.

 

Leur mouvement se bipolarise entre politiques patients et hystériques armés. Qu’en faire donc?

 

Dilemme à tous les niveaux

 

Les dictateurs disaient, sournoisement, qu’il faut contenir les islamistes et les tuer. Du coup, en encourageant le mouvement à devenir important, ils consolidaient leur argumentaire de base selon lequel «la dictature est nécessaire pour la stabilité».

 

Les Occidentaux ont cru pouvoir les assimiler ou les rééduquer au pragmatisme: si on les aide, si on les écoute, si on les associe, ils vont finir par rejoindre l’humanité.

 

Les progressistes se disent qu’il faut lutter contre: si on les isole, si on démantèle leur idéologie, si on les met à nu, le peuple perdra confiance en eux et ils finiront par se résorber dans la nature du sable.

 

Mais entretemps, ce peuple de l’au-delà, avance, tue, conquiert, confisque. La raison? Evidente: la formation, l’école, la matrice.

 

Il y a dans le monde arabe une matrice idéologique qui continue de former les islamistes au berceau, à l’école, sur les chaînes de télévision, dans la communication, dans la rue et les mosquées, pendant qu’on croit les endiguer.

 

Le monde réfléchit à l’islamiste comme produit en fin de processus et pas à l’origine de ce mal du siècle: les écoles, les livres, les fatwas.

 

Le monde arabe continue de produire des islamistes à la base, partout et avec de l’argent. Les idées des wahabites et autre ancêtres du crime, se répandent, pénètrent les murs et les têtes.

 

Il faut assécher leur source

 

Partout dans le monde arabe on continue de glisser de la loi vers la fatwa, de l’élu par les urnes vers l’imam par le ciel, de la Constitution vers la charia, de l’école vers la récitation.

 

C’est cette source qu’il faut assécher si on veut éviter un empire théologique dans quelques décennies.

 

Sans cela, sans un effort dans la formation, les idéologies, l'éducation, cela ne sert à rien et on se retrouvera toujours avec la même question dans cinquante ans: que faire des islamistes?

 

Pendant que le monde cherche, les élites religieuses en Arabie saoudite ou en Iran continuent de publier, d’expliquer, de convertir, de répandre leurs avis, idéologies et conception du monde. Cela va vite.

 

Il n’y pas de distance ni de temps à perdre en procédures entre une fatwa à la Mecque et une tête d’adolescent au Sahel.

 

On le voit et vit partout: cette idéologie a de l’argent, des écoles, des circuits et se répand. Nos enfants ne croient plus à la vie mais à sa gratuité.

 

Les islamistes remontent le temps de plus en plus vite et ceux qui ne veulent pas le faire comme eux, sont tués, lapidés, enterrés ou excommuniés.

 

Il faut s’attaquer à la source pas à l’effet. Mais là, l’Occident autant que les dictatures arabes, est dans la complicité: chaque pouvoir arabe a ses islamistes qu’il gère, évite, encourage ou essaye de cacher.

 

Les Etats-Unis aussi: il n’y a qu’à voir leur cécité sur l’Arabie saoudite: source de pétrole et matrice des kamikazes.

 

Kamel Daoud

 

Prison et/ou psychothérapie vu que la pédagogie et l'éducation c'est cramé (trop tard...)...

Depuis les lois d'amnistie (qui va à l'encontre de comment fonctionne l'appareil psychique humain), le gouvernement et le président ont clairement flingué le peuple algérien encore pour des décennies avec tout ce que cela impliquera en regard de son réel potentiel malheureusement (avancée à pas de fourmi, contrôle mental du peuple pour conserver le pouvoir et privilèges inéquitablement répartis, sociopathie, problématique identitaire...)...A mons sens, ils ont toujours pas réalisé l'erreur monumentale et gravissime qui leur retomberont un jour sur le coin de la gueule! :eek:

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L'islamisme tel qu'on le conçoit à l'heure actuelle à travers ses différentes branches est une création occidentalo-sioniste visant à derwichiser les arabo-musulmans et leur faire oublier toute notion de nation .

Toute la nébuleuse islamiste est issue de deux branches Anglo-Américaines : la première est celle des FM Egyptiens (avec notamment les protocoles d'Al Bana et le "djihadisme" de Sayed Qotb) et la seconde est celle du Wahabisme avec ses excroissances Salafistes .

Mr Ladoz dira que s'ils n'existaient pas , il aurait fallu les inventer :mdr::mdr: tellement ils ont rendu de services à l'Amérique et "Israël" !!!

 

Ce qu'on doit en faire ? :mdr::mdr::mdr:

 

:w00t2::w00t2::w00t2:

 

PS : Ne pas confondre islamisme avec respect des valeurs islamiques .

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un jour ils comprendront qu'ils ne font pas face a des personnes mais plutôt a quelque chose qui les dépasses de loin une chose qui ne meurent pas qui na pas de frontières qui na pas de nationalité qu'aucune langues n'handicape ...:D

 

Hou la !!! c'est quoi ça ? Ma parole on est en plein science fiction ou quoi :crazy:

Y 'aurait pas eu de dictature ton islamisme n'aurait jamais existait.

 

«une chose qui les dépasse de loin...» Non mais franchement je t'avais dis que vous voulez remplacer dieu sur terre :(

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Y a pas de nations ni de frontières en Islam espèce d'inculte

 

Bourricot !

 

 

C'est justement ce raisonnement absurde et rétrograde qui est la première constante fondamentale ayant mené l'occident à téléguider la création du mouvement des frères musulmans et du Wahabisme .

 

Ce n'est pas l'islam qui dit qu'il n y a pas de nations ou de frontières mais ces interprétations ridicules de l'islam que l'occident et "Israël" cherchent à propager au sein des populations musulmanes .

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Bourricot !

 

 

C'est justement ce raisonnement absurde et rétrograde qui est la première constante fondamentale ayant mené l'occident à téléguider la création du mouvement des frères musulmans et du Wahabisme .

 

Ce n'est pas l'islam qui dit qu'il n y a pas de nations ou de frontières mais ces interprétations ridicules de l'islam que l'occident et "Israël" cherchent à propager au sein des populations musulmanes .

 

 

 

T'y connais rien le simplet, l'Islam est universel et s'adresse à tous les peuples et ne reconnait ni Etats ni frontières qui sont des concepts géopolitiques bien postérieurs ce n'est pas une interprétation c'est dans le Coran :crazy: Si il y a eu des Califats aussi vastes c'est pas pour rien tête de nave

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T'y connais rien le simplet, l'Islam est universel et s'adresse à tous les peuples et ne reconnait ni Etats ni frontières qui sont des concepts géopolitiques bien postérieurs ce n'est pas une interprétation c'est dans le Coran :crazy: Si il y a eu des Califats aussi vastes c'est pas pour rien tête de nave

 

N'importe quoi !!!!

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L'islamisme se nourrit de l'injustice, de la dictature, de la pauvreté et surtout bien sur de l'inculture et tout cela résulte d'une situation de crise extrême ou comme elle a été décrite chez nous crise multidimensionnelle.

Pour neutraliser l'islamisme il aurait fallu couper l'herbe sous les pieds de cette doctrine en instaurant une réelle démocratie sur des bases solides seulement le régime algérien n'a jamais eu l'intention de procéder a une transition démocratique pour preuve toutes les reformes ( justice, administration et éducation ) dont bouthef en a parle au tout début de son premier mandat sont restées des voeux pieux donc la volonté d'un changement profond et réel n'existe pas .

Conclusion : on maintient le statuquo pour que le régime puisse utiliser l'islamisme comme épouvantail juste pour pour ce maintenir et la vie continue.

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N'importe quoi !!!!

 

 

 

Mais tu sors d'où toi ma parole :crazy: L'Islam n'est pas universel et ne s'adresse pas à tous les peuples quels que soient leurs nationalités ? Pourquoi il y a toujours eu une lutte pour un Califat unique justement pour régir tous les musulmans le simplet

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Mais tu sors d'où toi ma parole :crazy: L'Islam n'est pas universel et ne s'adresse pas à tous les peuples quels que soient leurs nationalités ? Pourquoi il y a toujours eu une lutte pour un Califat unique justement pour régir tous les musulmans le simplet

 

Cite nous un seul verset du coran ou il est dit "pas de nation , pas de frontières"

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Guest mounir 73
Hou la !!! c'est quoi ça ? Ma parole on est en plein science fiction ou quoi :crazy:

Y 'aurait pas eu de dictature ton islamisme n'aurait jamais existait.

 

«une chose qui les dépasse de loin...» Non mais franchement je t'avais dis que vous voulez remplacer dieu sur terre :(

 

épargne moi tes salades de beau matin ! :D

au faite ta fait ton adoration matinal de ton dieu demoncratie ? :D

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Cite nous un seul verset du coran ou il est dit "pas de nation , pas de frontières"

 

 

Mais t'y connait rien ma parole c'est pas possible, les frontières et les nations sont des concepts qui n'existent pas en Islam, l'Islam a vocation a assurer l'unicité de tous les musulmans sur tous les territoires, c'est une religion universaliste, ça va rentrer dans ton ptit crâne ?

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Mais t'y connait rien ma parole c'est pas possible, les frontières et les nations sont des concepts qui n'existent pas en Islam, l'Islam a vocation a assurer l'unicité de tous les musulmans sur tous les territoires, c'est une religion universaliste, ça va rentrer dans ton ptit crâne ?

 

Tout comme le téléphone mobile et Internet :mdr::mdr:

 

L'islam donc les interdirait puisqu'iles ne figurent pas sur le coran? :mdr::mdr:

 

Quel crétin !

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Tout comme le téléphone mobile et Internet :mdr::mdr:

 

L'islam donc les interdirait puisqu'iles ne figurent pas sur le coran? :mdr::mdr:

 

Quel crétin !

 

 

Mais t'es vraiment un débile toi, si il y a eu un Califat pendant plus de 1300 ans pour commander les croyants sur tous les territoires musulmans c'est que le concept de Nation a été transcendé depuis le début de l'Islam. C'est bien pour ça que les islamistes ont toujours été opposés aux nationalisme arabes qui enfermaient les musulmans dans des frontières nationales. C'est trop compliqué pour toi tout ça, laisse tomber va jouer aux billes

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Mais t'es vraiment un débile toi, si il y a eu un Califat pendant plus de 1300 ans pour commander les croyants sur tous les territoires musulmans c'est que le concept de Nation a été transcendé depuis le début de l'Islam. C'est bien pour ça que les islamistes ont toujours été opposés aux nationalisme arabes qui enfermaient les musulmans dans des frontières nationales. C'est trop compliqué pour toi tout ça, laisse tomber va jouer aux billes

 

Le concept de l'état nation et celui des frontières sont "nouveaux" .

Y avait-il des frontières entre l’Arabie Saoudite et le Yémen à l'époque ?

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Le concept de l'état nation et celui des frontières sont "nouveaux" .

Y avait-il des frontières entre l’Arabie Saoudite et le Yémen à l'époque ?

 

 

3 plombes pour comprendre un concept aussi simple :crazy: Ca n'a pas de sens l'Arabie saoudite et le Yémen n'existaient pas en tant que tels à l'époque, ce sont les grecs qui ont appelé l'Arabie déserte ou heureuse pour faire le distinguo avec la Mésopotamie

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3 plombes pour comprendre un concept aussi simple :crazy: Ca n'a pas de sens l'Arabie saoudite et le Yémen n'existaient pas en tant que tels à l'époque, ce sont les grecs qui ont appelé l'Arabie déserte ou heureuse pour faire le distinguo avec la Mésopotamie

 

Bon Ducon !

 

Le Coran ne pouvait parler implicitement (donc autoriser ou interdire en tant que tel) quelque chose qui n'existait matériellement pas à l'époque .

 

Le guignol que tu es (et avec toi les clowns islamistes) dit que l'islam interdit les frontières et les nations alors qu'elles n'existaient pas à l'époque .

 

 

Mr Ladoz n'a pas à se casser la tête avec toi !

 

Sorry about your damn luck !!

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