belkarem 228 Posted October 5, 2014 Partager Posted October 5, 2014 l'un des grand stratege égyptien le general chadsly .maitre d'oeuvre du coup de bar Lev ....dans ses mémoires raconte comment ... le sort de la guerre aurai pu changé ...si seulement ca aurait duré quelques jours de plus avant l'intervention des deux super puissance les USA et l' URSS ..qui ont imposer le cessez le feu .. l'armée égyptienne ..coupé de ses arrières mais encor avec assez de puissance de feu pour foncer facilement vers Tel aviv ..et de l'autre coté une partie des commandos d'elite israeliens capable d'aller au caire ... la theorie de chadly c'etait ....laissons les faire ..quelque soit la force de l'ennemi il est incapable de controler le cair et ses environ ...par contre nous a tel aviv ....c'est possible et dans tout les cas la paix aurait ete fait dans d'autre conditions et non seulement le sinai ..mais tout les territoires arabes ! Sadate en a décidé autrement .....et le cessez le feu a eu lieu sauvant israel et permi le recouvrement du sinai par l'ecgypte .. pour l'ecgypte ce fut une victoire ......pour les arabes ....une presque defaite ....car la victoire aurait du etre plus belle ....helas les americains et les russes en ont decidé autrement ! Citer Link to post Share on other sites
belkarem 228 Posted October 5, 2014 Partager Posted October 5, 2014 ces événements je les ai suivis en direct ...et un peu plus tard par des temoignages de gens ayant fait la campagne ....j'etais dans un etats d'esprit m'amenant a tout lire sur l'evenement ...a chaud et un peu plus plus tard ! une conclusion s'est imposée a moi ....israel aurait pu etre battue sans l'intervention des russes et des americains ....ca aurait sans doute fini par un carnage ....mais la donne israel aurai changé de face ! Citer Link to post Share on other sites
ohanet 10 Posted October 5, 2014 Partager Posted October 5, 2014 Les dlounouds égyptiens ont franchi la ligne bar lev en utilisant des solutions inédites telles des lances à eau pour briser le rempart de sable. Ils ont munis l'infanterie de missiles anti-chars Sager. Mieux ils ont réussi à maintenir le secret de l'opération. Deux heurs avant l'opération, des oldats égyptiens jouaient au fooot à proximité du canal. La télé montrait l'état major égyptien partant en avion pour le pélerinage la Mecque (en fait l'avion a fait demi tour et s'est posé sur une base militaire). Bravo Misr!:mdr:Malgre tout ca, ils ont perdu la guerre et eviter encore une fois d'etre jetes a la mer, alors pourquoi tu celebres la defaite, pour celebrer, il faut d'abord vaincre Citer Link to post Share on other sites
Guest George Bish Posted October 5, 2014 Partager Posted October 5, 2014 l'un des grand stratege égyptien le general chadsly .maitre d'oeuvre du coup de bar Lev ....dans ses mémoires raconte comment ... le sort de la guerre aurai pu changé ...si seulement ca aurait duré quelques jours de plus avant l'intervention des deux super puissance les USA et l' URSS ..qui ont imposer le cessez le feu .. l'armée égyptienne ..coupé de ses arrières mais encor avec assez de puissance de feu pour foncer facilement vers Tel aviv ..et de l'autre coté une partie des commandos d'elite israeliens capable d'aller au caire ... la theorie de chadly c'etait ....laissons les faire ..quelque soit la force de l'ennemi il est incapable de controler le cair et ses environ ...par contre nous a tel aviv ....c'est possible et dans tout les cas la paix aurait ete fait dans d'autre conditions et non seulement le sinai ..mais tout les territoires arabes ! Sadate en a décidé autrement .....et le cessez le feu a eu lieu sauvant israel et permi le recouvrement du sinai par l'ecgypte .. pour l'ecgypte ce fut une victoire ......pour les arabes ....une presque defaite ....car la victoire aurait du etre plus belle ....helas les americains et les russes en ont decidé autrement ! bel témoignage monsieur Belkarem, ca explique tout. dommage qu'un président ait décidé autrement, je me rappelle que ce genéral Saad el-Shazly fut convié à s'exiler en algerie après la guerre. c'était un grand homme. un grand stratège sans aucun doute. bravo au coup de maitre des egyptiens. Citer Link to post Share on other sites
Zoubir8 174 Posted October 5, 2014 Author Partager Posted October 5, 2014 La réduction de la ligne Bar-Lev Dès les premières heures du conflit, des détachements de fantassins et de commandos égyptiens tentent de prendre d'assaut les dix-sept fortins de la ligne Bar-Lev occupés par les 436 soldats israéliens de la 116e bri*gade d'infanterie de réserve de Jérusalem et par plusieurs dizaines d'appelés du Nahal. Les soldats égyptiens arrivent au contact des points d'appui, tirent de brèves rafales, se déplacent rapidement dans les tran*chées et terminent leur assaut à la grenade, voire au lance-flammes. Les garnisons opposent une résistance acharnée. Dans plusieurs cas, les com*bats sont féroces et se terminent par de véritables corps à corps. À l'aube 1. Saad el Shazli, op. cit. p. 186 et 187. 2. Ibid. du 7 octobre, huit fortins sont capturés (Orkal, Lahtzanit, Drora, Ktouba, Mifreket, Lakekan, Zidon et Litouf). À 10 heures, l'état-major israélien autorise les garnisons isolées à évacuer leurs positions, ou, le cas échéant, j. se rendre. Quatre fortins sont ainsi évacués et deux autres contraints à la reddition pendant les 48 heures suivantes (Hizayon, Pourkan, Matzmed, Botzer, Mafzeah et Nissan). Parmi les survivants qui tentent de rejoindre les lignes israéliennes, nombreux sont ceux qui sont capturés par les Égyptiens. Durant la nuit du 7 au 8 octobre, le général israélien Ariel Sha-ron. commandant la 143e division blindée de réserve, planifie une opéra*tion de secours mettant en œuvre l'une de ses brigades, afin de permettre l'évacuation des fortins situés dans son secteur. Cette opération n'est cependant pas avalisée par ses supérieurs, ceux-ci l'estimant trop risquée au regard de son enjeu limité '. Le 9 octobre, en début d'après-midi, les Égyptiens capturent le fortin dominant Ras Missalah, verrouillant ainsi leur dispositif au sud. Seuls deux fortins restent encore aux mains des Israéliens. Le premier, identifié sous le nom de code Masrek, est situé à Port Tewfik, en face de Suez, sur une presqu'île reliée à la terre par une bande de terre de six mètres de large. Sa garnison, commandée par le lieutenant Shlomo Ardinest, est composée de 42 hommes. Celle-ci endure des tirs de barrage incessants et tient tête pendant une semaine aux assauts répétés des commandos égyp*tiens. Ce n'est que le 13 octobre à midi qu'elle se rend, sous le contrôle de représentants de la Croix-Rouge. Il ne lui reste plus alors qu'une poignée de combattants valides. Le second fortin, connu sous la dénomination de Budapest, est situé à l'extrême nord de la ligne Bar-Lev, en bordure de la Méditerranée, à une dizaine de kilomètres de la position retranchée égyptienne de Port-Fouad. Commandée par le capitaine Motti Ashkenazi2, sa garnison ne compte que 18 hommes. Dès le déclenchement des hostilités, celle-ci doit faire face à l'attaque d'une colonne d'une trentaine de blindés et de plusieurs Jeep équipées de canons sans-recul. La garnison parvient à repousser l'assaut en infligeant à l'adversaire de lourdes pertes : une cinquantaine de 1. Ariel Sharon, Mémoires, Stock, 1990, p. 350 à 357 ; c'est à cette occasion que le général Sharon entre en conflit pour la première fois de la guerre avec ses supérieurs, notamment avec le général Shmuel Gonen, commandant du front Sud. À partir de ce moment, les deux hommes ne vont plus cesser de s'opposer, entretenant une véritable crise de commandement qui aura un impact important sur le déroulement des opérations. 2. Après la guerre, Motti Ashkenazi deviendra l'un des plus virulents porte-parole du mouvement de protestation tendant à mettre en cause la responsabilité du ministre de la défense Moshé Dayan et à réclamer sa démission ; Jacques Derogy, op. cit. p. 25 et 26 ; Moshé Dayan exerce de son côté son droit de réponse dans son autobiographie, op. cit. p. 572 et 573. soldats, 7 chars et 8 blindés légers. Simultanément, un commando amphi*bie venu de Port-Fouad débarque à un kilomètre et demi à l'est du fortin, l'isolant complètement. Les tentatives israéliennes pour rétablir le lien avec celui-ci échouent. La garnison, bien que harassée par de fréquents bombardements d'artillerie et d'aviation, repousse plusieurs attaques ennemies. Finalement, durant la nuit du 9 au 10 octobre, sous la pression croissante des contre-attaques israéliennes menées par des colonnes de secours, les commandos égyptiens sont obligés de décrocher, rejoignant Port-Fouad avec leurs canots à moteur. Dans la matinée du 10 octobre, les Israéliens parviennent à désenclaver Budapest. Ils sont néanmoins obligés d'affecter une précieuse brigade mécanisée dans cette zone pour assurer le contrôle effectif de cette partie septentrionale du front. Budapest constitue en définitive le seul fortin de la ligne Bar-Lev a ne pas avoir été capturé par les Égyptiens. Trois jours après le déclenchement de l'offensive, l'état-major général égyptien peut s'estimer comblé. Ses pertes ont été minimes et l'essentiel de ses objectifs a été atteint : une solide tête de pont a été établie le long de la rive orientale du Canal, la ligne Bar-Lev a été réduite et de lourdes pertes ont été infligées à l'adversaire. Durant l'assaut, les Égyptiens ne se sont heurtés qu'à une opposition sporadique. Ils ne déplorent la perte que de 208 soldats tués, alors même que l'état-major égyptien s'attendait à subir des pertes avoisinant les 10 000 tués et les 15 000 blessés. Le géné*ral Shazli n'hésite pas à qualifier la traversée de « succès total » ^ II peut donc envisager la suite des opérations avec sérénité. Citer Link to post Share on other sites
ohanet 10 Posted October 5, 2014 Partager Posted October 5, 2014 La réduction de la ligne Bar-Lev Dès les premières heures du conflit, des détachements de fantassins et de commandos égyptiens tentent de prendre d'assaut les dix-sept fortins de la ligne Bar-Lev occupés par les 436 soldats israéliens de la 116e bri*gade d'infanterie de réserve de Jérusalem et par plusieurs dizaines d'appelés du Nahal. Les soldats égyptiens arrivent au contact des points d'appui, tirent de brèves rafales, se déplacent rapidement dans les tran*chées et terminent leur assaut à la grenade, voire au lance-flammes. Les garnisons opposent une résistance acharnée. Dans plusieurs cas, les com*bats sont féroces et se terminent par de véritables corps à corps. À l'aube 1. Saad el Shazli, op. cit. p. 186 et 187. 2. Ibid. du 7 octobre, huit fortins sont capturés (Orkal, Lahtzanit, Drora, Ktouba, Mifreket, Lakekan, Zidon et Litouf). À 10 heures, l'état-major israélien autorise les garnisons isolées à évacuer leurs positions, ou, le cas échéant, j. se rendre. Quatre fortins sont ainsi évacués et deux autres contraints à la reddition pendant les 48 heures suivantes (Hizayon, Pourkan, Matzmed, Botzer, Mafzeah et Nissan). Parmi les survivants qui tentent de rejoindre les lignes israéliennes, nombreux sont ceux qui sont capturés par les Égyptiens. Durant la nuit du 7 au 8 octobre, le général israélien Ariel Sha-ron. commandant la 143e division blindée de réserve, planifie une opéra*tion de secours mettant en œuvre l'une de ses brigades, afin de permettre l'évacuation des fortins situés dans son secteur. Cette opération n'est cependant pas avalisée par ses supérieurs, ceux-ci l'estimant trop risquée au regard de son enjeu limité '. Le 9 octobre, en début d'après-midi, les Égyptiens capturent le fortin dominant Ras Missalah, verrouillant ainsi leur dispositif au sud. Seuls deux fortins restent encore aux mains des Israéliens. Le premier, identifié sous le nom de code Masrek, est situé à Port Tewfik, en face de Suez, sur une presqu'île reliée à la terre par une bande de terre de six mètres de large. Sa garnison, commandée par le lieutenant Shlomo Ardinest, est composée de 42 hommes. Celle-ci endure des tirs de barrage incessants et tient tête pendant une semaine aux assauts répétés des commandos égyp*tiens. Ce n'est que le 13 octobre à midi qu'elle se rend, sous le contrôle de représentants de la Croix-Rouge. Il ne lui reste plus alors qu'une poignée de combattants valides. Le second fortin, connu sous la dénomination de Budapest, est situé à l'extrême nord de la ligne Bar-Lev, en bordure de la Méditerranée, à une dizaine de kilomètres de la position retranchée égyptienne de Port-Fouad. Commandée par le capitaine Motti Ashkenazi2, sa garnison ne compte que 18 hommes. Dès le déclenchement des hostilités, celle-ci doit faire face à l'attaque d'une colonne d'une trentaine de blindés et de plusieurs Jeep équipées de canons sans-recul. La garnison parvient à repousser l'assaut en infligeant à l'adversaire de lourdes pertes : une cinquantaine de 1. Ariel Sharon, Mémoires, Stock, 1990, p. 350 à 357 ; c'est à cette occasion que le général Sharon entre en conflit pour la première fois de la guerre avec ses supérieurs, notamment avec le général Shmuel Gonen, commandant du front Sud. À partir de ce moment, les deux hommes ne vont plus cesser de s'opposer, entretenant une véritable crise de commandement qui aura un impact important sur le déroulement des opérations. 2. Après la guerre, Motti Ashkenazi deviendra l'un des plus virulents porte-parole du mouvement de protestation tendant à mettre en cause la responsabilité du ministre de la défense Moshé Dayan et à réclamer sa démission ; Jacques Derogy, op. cit. p. 25 et 26 ; Moshé Dayan exerce de son côté son droit de réponse dans son autobiographie, op. cit. p. 572 et 573. soldats, 7 chars et 8 blindés légers. Simultanément, un commando amphi*bie venu de Port-Fouad débarque à un kilomètre et demi à l'est du fortin, l'isolant complètement. Les tentatives israéliennes pour rétablir le lien avec celui-ci échouent. La garnison, bien que harassée par de fréquents bombardements d'artillerie et d'aviation, repousse plusieurs attaques ennemies. Finalement, durant la nuit du 9 au 10 octobre, sous la pression croissante des contre-attaques israéliennes menées par des colonnes de secours, les commandos égyptiens sont obligés de décrocher, rejoignant Port-Fouad avec leurs canots à moteur. Dans la matinée du 10 octobre, les Israéliens parviennent à désenclaver Budapest. Ils sont néanmoins obligés d'affecter une précieuse brigade mécanisée dans cette zone pour assurer le contrôle effectif de cette partie septentrionale du front. Budapest constitue en définitive le seul fortin de la ligne Bar-Lev a ne pas avoir été capturé par les Égyptiens. Trois jours après le déclenchement de l'offensive, l'état-major général égyptien peut s'estimer comblé. Ses pertes ont été minimes et l'essentiel de ses objectifs a été atteint : une solide tête de pont a été établie le long de la rive orientale du Canal, la ligne Bar-Lev a été réduite et de lourdes pertes ont été infligées à l'adversaire. Durant l'assaut, les Égyptiens ne se sont heurtés qu'à une opposition sporadique. Ils ne déplorent la perte que de 208 soldats tués, alors même que l'état-major égyptien s'attendait à subir des pertes avoisinant les 10 000 tués et les 15 000 blessés. Le géné*ral Shazli n'hésite pas à qualifier la traversée de « succès total » ^ II peut donc envisager la suite des opérations avec sérénité.Frappe le nah,ils ont perdu la guerre du kippour, hizbollah a fait mieux que tous les egyptiens:D:D Citer Link to post Share on other sites
Zoubir8 174 Posted December 25, 2014 Author Partager Posted December 25, 2014 Frappe le nah,ils ont perdu la guerre du kippour, hizbollah a fait mieux que tous les egyptiens:D:D Hezbollah mérite un total respect. Mais critiquer les djounouds égyptiens et leurs officiers est un manque de savoir vivre et d'analyse. Ils ont percé la ligne militaire israélienne Bar-Lev jugée infranchissable en développant des stratégies nouvelles. Gloire éternelle à ces héros. Citer Link to post Share on other sites
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