La vieille nostalgique.

[Guest Didine RAYAN]

Une vieille dame dont le marié a été rappelé à Dieu depuis une décennie, est devenue, au fil des ans, une vraie mélancolique au point qu’elle a perdu le sens du langage, bref le désir de vivre.

 

Se sentant la tristesse de sa mère, le fils prit la peine de faire présenter celle-ci chez un toubib.

 

Pendant qu'elle se faisait ausculter par le médecin, le fils resta impatient dans la salle d’attente et lorsque celle-ci sortie du cabinet médical, dit à son fils que le toubib voulait lui parler.

 

Je suis désolé, votre mère n’a absolument rien. Elle est superbement bien, ce qu’il lui faut, c’est un mari. Débrouillez-vous alors à lui trouver un homme de 6O ans.

 

Arrivés à la maison, la mère s’enquit : Tu sais maintenant l’objet de mon malaise ? Et le fils de lui rétorquer : Oui. – Et alors qu’est-ce que tu attends ? Vos désirs sont des ordres, maman et fila droit sur le marché.

 

Le soir, il rentra tard la nuit, trouva sa mère sur le perron qui lui demanda : Bonne nouvelle j’espère? – Non maman, j’ai tout fait, j’ai passé tous le coins et recoins, je n’ai trouvé que des jeunes de 3O, je suis désolée maman, vraiment désolée.

 

Et la mère de lui dire : T’fais pas cette tête là, alors deux de 3Oans et le problème est résolu pour moi une fois pour toute.

[Guest ferria]

je te félicite merci

[Aphrodite 10]

:mdr::mdr:

 

Merci!

[liberté 10]

Une vieille dame dont le marié a été rappelé à Dieu depuis une décennie, est devenue, au fil des ans, une vraie mélancolique au point qu’elle a perdu le sens du langage, bref le désir de vivre.

 

Se sentant la tristesse de sa mère, le fils prit la peine de faire présenter celle-ci chez un toubib.

 

Pendant qu'elle se faisait ausculter par le médecin, le fils resta impatient dans la salle d’attente et lorsque celle-ci sortie du cabinet médical, dit à son fils que le toubib voulait lui parler.

 

Je suis désolé, votre mère n’a absolument rien. Elle est superbement bien, ce qu’il lui faut, c’est un mari. Débrouillez-vous alors à lui trouver un homme de 6O ans.

 

Arrivés à la maison, la mère s’enquit : Tu sais maintenant l’objet de mon malaise ? Et le fils de lui rétorquer : Oui. – Et alors qu’est-ce que tu attends ? Vos désirs sont des ordres, maman et fila droit sur le marché.

 

Le soir, il rentra tard la nuit, trouva sa mère sur le perron qui lui demanda : Bonne nouvelle j’espère? – Non maman, j’ai tout fait, j’ai passé tous le coins et recoins, je n’ai trouvé que des jeunes de 3O, je suis désolée maman, vraiment désolée.

 

Et la mère de lui dire : T’fais pas cette tête là, alors deux de 3Oans et le problème est résolu pour moi une fois pour toute.

 

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