Jump to content

Jean-Luc Delarue: confidences de son père


Recommended Posts

Les consignes sont claires. Tout le monde sera en blanc. La feuille de route de chacun a été transmise par Arnaud Gachy, l’homme de confiance de Jean-Luc Delarue, celui entre les mains de qui il a remis son destin. Ce samedi 12 mai à Sauzon, commune de Belle-Ile-en-Mer, Jean-Luc épouse Anissa Khelifi. Ils se sont rencontrés en janvier 2011, avant que l’enfant terrible de la télé ne se lance dans son tour de France antidrogue. Dix mois plus tard, Jean-Luc annonce, d’abord aux siens puis à la France entière, qu’il est malade. « Il m’a appelé de l’hôpital, raconte Jean-Claude, son père. Il était très agité, il m’a dit : “Je suis venu pour des examens et on m’a diagnostiqué deux cancers. Le pronostic vital est engagé.” Sur le moment, je n’ai pas voulu y croire. Mais quand je l’ai vu quelques semaines plus tard, j’ai été frappé par sa maigreur. C’est lui qui m’a consolé. Il voulait se battre, il voulait aller mieux. »

 

Jean-Luc et son père n’ont pas toujours eu des rapports simples, « comme ceux d’un père et son fils », commente sobrement Jean-Claude. Mais cette fois, Jean-Luc a besoin de lui. Depuis sa rencontre avec Anissa, il a décidé de suivre une nouvelle voie. Celle d’une vie meilleure, débarrassée de la drogue et de l’alcool. « Quand j’allais chez lui, rue Bonaparte, dit son père en souriant, je buvais un verre de vin dans un bar, avant de le rejoindre. Il n’y avait que de l’eau à table. » Amoureux, Jean-Luc espère retrouver une image en s’achetant une conduite. Il est décidé à faire des efforts pour lui-même et pour les siens.

 

Au début de l’année 2012, avec Anissa, il se rend à la boutique que tient Patricia, la compagne de son père, rue Jacob. D’origine malgache, elle importe des tissus de son pays. Elle s’est spécialisée dans la broderie et la décoration d’intérieur. Jean-Claude y a mis toutes ses économies. Son fils a compris l’importance de ce projet pour son père. Lui qui n’a jamais brillé par son goût de la famille force sa nature. Il contemple les étoffes, hésite à commander une nappe pour son « mariage oriental » prévu à l’automne 2012 et renonce finalement. Les deux couples se retrouvent ensuite chez Jean-Luc, rue Bonaparte, pour prendre un thé, discuter. Dans le vaste appartement aux murs blancs où trônent des œuvres de Paul McCarthy, Jean-Luc confie à son père qu’il envisage, un jour, de se convertir à l’islam, car Anissa est musulmane. « Mais Jean-Luc n’était pas intéressé par la religion, affirme ce dernier. J’irai même jusqu’à dire qu’il s’en fichait pas mal. »

 

Jean-Luc était si heureux d'avoir son fils auprès de lui

 

Dans un coin de la cuisine, Anissa papote avec l’une de ses amies, présente ce jour. « Elles étaient là, se souvient Jean-Claude, mais elles ne parlaient pas beaucoup. » Le père et le fils évoquent aussi un épineux problème : la venue de Jean, 5 ans, le fils de Jean-Luc, au mariage de son père. Elisabeth, la mère du garçon, ne tient pas vraiment à sa présence à la cérémonie. Mais Jean-Luc le souhaite profondément. Il est convenu que Jean-Claude et Patricia accompagneront l’enfant. « Nous sommes arrivés le vendredi 11 mai à Belle-Ile, raconte Jean-Claude. Jean-Luc était si heureux d’avoir son fils auprès de lui. Il souhaitait que sa maison soit avant tout celle de Jean. »

 

Belle-Ile, c’est son havre de paix, depuis plus de vingt ans. Il s’y rend en hélicoptère. Autour de sa propriété, *aucune clôture ; le terrain de 30 hectares ne s’y prête guère… Pour atteindre son repaire, il faut parcourir un long chemin à travers la lande. La fameuse pointe des Poulains est à moins de 2 kilomètres, le village de Sauzon à cinq minutes en voiture. A l’inverse de ses voisins, Jean-Luc n’a pas conservé sa couleur locale à sa maison. Entièrement rénovée, elle est très moderne d’esprit : trois niveaux, 479 mètres carrés de surface au sol, et surtout une vue splendide sur la côte rocheuse et la mer. Un petit escalier mène à la plage de Port Blanc, peu fréquentée en général, encore moins à cette période de l’année. En France, un malade peut légalement demander une dérogation pour que son mariage civil soit célébré à domicile. Très connu des habitants de Sauzon, et apprécié, JLD n’a eu aucun mal à obtenir cette autorisation. Pour éviter les photos volées, il a engagé un service de sécurité. Les mariés doivent se retrouver sur la plage pour échanger leurs consentements, face à la mer.

 

Malheureusement, le samedi 12 au matin, le vent souffle fort. Il fait beau mais froid. La décoratrice, choisie par Jean-Luc et Anissa, décide de tout organiser à l’intérieur de la maison, au niveau inférieur qui donne sur la terrasse. « Nous n’étions pas très nombreux, raconte Jean-Claude Delarue, 70 personnes au maximum. J’étais le seul parent présent. » La mère de Jean-Luc n’a pas été conviée – ils ne se sont pas adressé la parole depuis très longtemps, et les parents de la mariée ne sont pas là non plus. Jean-Luc a invité son frère, Philippe, dont il s’est rapproché depuis peu, ainsi que ses demi-frères du côté de sa mère, David et Thomas. Anissa est enchantée que ses deux sœurs participent à la fête, notamment celle qui vit à *Istanbul, elles ne se voient pas souvent. Arnaud Gachy, le fidèle de Réservoir Prod, est bien évidemment là, ainsi que le galeriste Kamel Mennour, le couturier Azzedine Alaïa, l’avocate de Jean-Luc, Christopher Baldelli, l’actuel patron de RTL, que l’animateur a rencontré lorsque celui-ci dirigeait les programmes de France 2. Tous connaissent son état de santé.

Le jour du mariage, malgré les fleurs blanches, les sourires, l'atmosphère est pesante

Depuis décembre, Jean-Luc a enchaîné les séances de chimiothérapie, les séjours à l’hôpital et les retours à la maison. Il a confié son extrême fatigue, son besoin de repos. « Mais il ne s’épanchait pas beaucoup, déplore aujourd’hui son père. Il était très pudique dans son combat. C’était difficile de lui poser des questions sur son état réel. » Le jour du mariage, l’assemblée est frappée par l’extrême pâleur du marié. Malgré les fleurs blanches, les invités habillés en blanc, les sourires, l’atmosphère est pesante. « La loi impose que la porte de la maison soit ouverte pendant le mariage, explique Jean-Claude. Et que tout le monde soit debout. Je me suis demandé si ce n’était pas pour vérifier que le marié était *encore en vie… » Jean-Luc, au bras d’Anissa, *approche lentement de l’officier de mairie. Une fois l’union officialisée, ému, il prend la parole. « Anissa est la seule femme de ma vie », dit-il. Jean-Claude, lui, n’apprécie guère ce propos, déplacé en présence de son petit-fils… « On voyait qu’il était épuisé, raconte-t-il. Il a pris sur lui. Il a dû partir se reposer trois fois pendant le vin d’honneur, après la noce. » Avant le dîner, les invités se retirent à leur hôtel pour permettre au nouveau marié de se revigorer.

 

Le soir, tous se retrouvent au Café de la Cale, un excellent restaurant de l’île. Bruno, le patron, connaît bien Jean-Luc, un fidèle du lieu. Il vient y lire les journaux, seul, le matin. Il y déjeune avec ses amis ou y dîne avec Anissa. La décoratrice engagée par les jeunes mariés a proposé d’intervenir pour mettre plus de gaieté dans la salle. Mais le patron a refusé net : « M. Delarue aime La Cale dans son jus », avec ses tables rouges et sa décoration maritime. « Nous occupions tout le restaurant, raconte Jean-Claude Delarue. Jean-Luc était dans la partie gauche avec la famille d’Anissa, nous, sa famille, étions dans la partie droite. Quand il est arrivé, il nous a salués les uns après les autres. Seul… » Ce soir-là, on n’a pas dansé à La Cale. Et Jean-Claude Delarue ignorait qu’il ne reverrait son fils qu’une seule fois.

 

Le lendemain, les invités rentrent à Paris. Tous sauf Jean, qui veut absolument rester avec son père. Jean-Claude se laisse convaincre. Il regagne la capitale avec Patricia, mais sans son petit-fils. Quand Elisabeth Bost récupère son fils, le jeudi suivant, elle est sonnée. Jean chante à tue-tête une comptine qu’on lui a apprise à Belle-Ile : « Elisabeth elle est bête, Elisabeth elle est bête… » Jean-Claude s’en veut : « Je regrette tellement de ne pas avoir tapé du poing sur la table. J’aurais dû rester à Belle-Ile avec eux. » Le samedi 19 mai, il reçoit un SMS de son fils. Jean-Luc lui demande de venir le voir à l’hôpital Beaujon de Clichy où il a été admis en urgence, à la stupéfaction *générale. « Je suis arrivé dans sa chambre, il était très faible, encore plus maigre que la semaine précédente. Anissa disposait d’un lit pour dormir auprès de lui. Il ne disait toujours pas grand-chose de son état de santé. J’étais prêt à venir le voir tous les jours si nécessaire. » En quittant le centre hospitalier, Jean-Claude Delarue tombe sur l’amie d’Anissa, qu’il avait croisée quelques mois plus tôt, rue Bonaparte. Ils échangent quelques banalités, font des vœux pour que JLD gagne sa bataille contre le cancer. En réalité, Jean-Claude vient, sans le savoir, de dire adieu à son fils.

 

« Pendant les semaines suivantes, nous avons échangé pas mal de SMS. Il y avait beaucoup de tendresse et d’amour dans ces textes. Mais, petit à petit, mes messages sont restés sans réponse. » Au début, Jean-Claude Delarue ne prend pas ombrage de ce dialogue compliqué. Il est habitué au caractère complexe de son fils. L’homme de télé est un pro de la communication, mais dans le privé, il ne veille pas sur ses relations familiales. « Par exemple, dit son père, nous ne passions pas Noël ensemble. C’était ainsi. J’ai participé à des soirées qu’il donnait chez lui. Je connaissais le peu de goût qu’il avait pour les réunions familiales ou les fêtes d’anniversaire. Nous pouvions rester des semaines sans nous voir ou nous parler. Avec le métier qu’il faisait, c’était presque normal. » Mais bientôt, alors qu’il sait son fils très malade, cette communication aléatoire le fait enrager.

 

« Je n’ai pas pu lui parler de vive voix le jour de son anniversaire. Je me suis décidé à joindre M. Gachy pour prendre de ses *nouvelles. Je voulais savoir si je pouvais lui rendre visite. Il m’a répondu que mon fils était trop fatigué pour me recevoir ou me répondre. Et je l’ai cru. » De leur côté, Anissa et Jean-Luc consultent les meilleurs médecins pour lutter contre le cancer. Une prétendue erreur de dosage lors d’une chimiothérapie à l’Hôpital américain de Neuilly les a incités à se tourner vers d’autres établissements. Après Beaujon, Jean-Luc se rend à Lausanne, rencontre un nouveau spécialiste. Il aurait aussi fait un séjour au Val-de-Grâce. En vérité, peu de gens sont au courant de son état de santé réel. Plus il sent la fin inéluctable, plus il écarte ses proches. Anissa et Arnaud Gachy sont ses seuls confidents. « Quand j’avais mon petit-fils, Jean, auprès de moi, poursuit Jean-Claude, je laissais un message à Jean-Luc pour lui dire qu’on était ensemble, qu’on pensait à lui. J’espérais que ça lui ferait du bien, que ça l’aiderait. Mais dans le fond, je n’ai jamais su ce qu’il ressentait. Début juillet, j’étais très agacé. J’ai décidé de ne pas donner signe de vie, de faire ma mauvaise tête pour obtenir une réaction. Je pensais encore qu’il s’en sortirait. »

Jean-Luc Delarue ne voulait pas laisser sa femme affronter seule les inéluctables jalousies

 

Au même moment, la rumeur du décès de Jean-Luc se répand dans Paris. Mais l’animateur ne réplique pas, ne communique pas. Arnaud Gachy monte au créneau, une seule fois, pour démentir une information qui circule sur Twitter. En réalité, Jean-Luc organise déjà sa fin de vie. A son avocate, il remet un testament. La moitié de sa fortune reviendrait à son épouse, l’autre moitié à son fils. Pour être certain qu’Anissa soit à l’abri, il lui a offert une société au capital de 10 000 euros, fondée le 15 février 2012 (lendemain de la Saint-Valentin), nommée L’atelier de Belle-Ile, et domiciliée rue Bonaparte à Paris. Raison sociale : « commerce d’horlogerie et de bijouterie ». La maison de Belle-Ile reviendrait à Jean. Anissa garderait l’appartement parisien, et Arnaud Gachy serait le prochain patron de Réservoir Prod. Jean-Luc Delarue possédait aussi d’autres sociétés, telle Happy Hour, fondée en 2000, et six autres entreprises, plus petites, moins importantes que Réservoir Prod. Il avait aussi de l’argent en banque et de nombreuses œuvres d’art de grande valeur. Que va devenir ce patrimoine ? Jean-Luc Delarue ne voulait pas laisser la femme qu’il aime affronter seule les inéluctables jalousies, les récriminations familiales et les questionnements plus ou moins sincères.

 

Jean-Claude Delarue s’interroge : « Les choix faits pour le soigner ont-ils été judicieux ? » En tout cas, à partir de début juillet, Jean-Luc ne répond plus aux SMS, aux appels ou aux messages. Est-ce sa volonté ? Est-il dans l’incapacité de répondre ? Le 11 août, il entre de nouveau à l’Hôpital américain de Neuilly. Anissa partage une fois encore sa chambre, aux tons roses, située au rez-de-chaussée du service de stomatologie. Le cancer s’est généralisé et Jean-Luc sait que ses jours sont comptés. Pris de remords, Jean-Claude craque, le 16 août, et lui envoie un SMS : « Je ne t’ai pas vu depuis très longtemps. Est-ce que tu crois que c’est maintenant possible ? J’aimerais beaucoup. Papa. » Jean-Luc répond le 22 : « Trop fatigué par le traitement pour te voir cette semaine papa. Je reviens vers toi. Je t’embrasse. Ton fils. »

 

Selon le certificat de décès, Jean-Luc s’éteint le jeudi 23 août à 10 h 20 à l’Hôpital américain de Neuilly. Peu de gens le savent : Anissa et ses sœurs, ainsi qu’Arnaud Gachy. Dans ses dernières volontés, Jean-Luc aurait exigé que, le moment venu, son épouse puisse reposer auprès de lui. Selon une source médicale, Anissa aurait décidé de l’inhumer selon le rite musulman. Elle aurait fait venir un imam à l’Hôpital américain, qui l’aurait converti sur son lit de mort, après son décès, ce qu’elle démentira par la suite. Son corps est ultérieurement transféré dans une maison funéraire du boulevard Ménilmontant, attenante au cimetière du Père-Lachaise. C’est là qu’il pourrait avoir été veillé selon le rite funéraire *musulman, dans trois draps blancs. Le vendredi 24 au matin, moins de vingt-quatre heures après son décès, Jean-Luc *Delarue est enterré dans l’un des discrets carrés musulmans de l’immense cimetière parisien de Thiais, à quelques kilomètres de l’aéroport d’Orly. Les Pompes funèbres de Neuilly organisent les funérailles auxquelles aucun membre de la famille du défunt n’assiste. La tombe est recouverte d’une dalle de béton anonyme, afin d’accueillir ultérieurement un monument. Le personnel du cimetière est sermonné : *discrétion absolue. Personne n’est autorisé à communiquer sur le déroulement des obsèques. Et la sépulture doit rester inconnue.

Link to post
Share on other sites

Jean-Claude Delarue: “Quand j'ai appris la mort de mon fils, Jean-Luc est déjà enterré”

 

Seul hic, rien ne se passe comme prévu. Le vendredi 24, l’information du décès de Jean-Luc circule. Son père reçoit un appel d’un journaliste d’Europe 1 et croit d’abord à une fausse rumeur. Il tente d’entrer en contact avec Arnaud Gachy. Ce dernier appelle Philippe Delarue pour lui confirmer la triste nouvelle. « Je pensais qu’il était mort dans la nuit, voire dans la matinée, reprend Jean-Claude. Je pensais qu’ils auraient pu m’avertir, mais qu’ils devaient être *débordés. En fait, Jean-Luc était déjà enterré. » Coups de téléphones ignorés, SMS sans réponse, la famille Delarue est abandonnée à son angoisse. « M. Gachy a fini par m’envoyer un message pour me dire qu’un événement aurait lieu au Père-Lachaise et qu’il me préviendrait des détails. » Là *encore, seul Philippe est prévenu et chargé de transmettre les précisions aux siens. « M. Gachy parle des dernières volontés de Jean-Luc, dit Jean-Claude. Mais personne n’a vu un papier… Il nous a simplement dit que Jean-Luc refusait que sa mère et la mère de son fils viennent à ses obsèques. Mais qu’il souhaitait la présence de son fils. »

 

Le mercredi 29 à 9 h 30, Jean n’est pas là, sa mère en a décidé autrement. Jean-Claude, Patricia, Philippe, David et Thomas se retrouvent au Père-Lachaise pour « un moment de recueillement » en hommage à Jean-Luc. « On nous avait donné rendez-vous au niveau des concessions provisoires, pas très loin du funérarium, raconte Jean-Claude. Il y avait six tombes anonymes et, sur l’une d’elles, un portrait de Jean-Luc. Pas de cercueil, pas d’urne, pas de bénédiction… Anissa était là avec ses sœurs, elle ne nous a pas salués. M. Gachy non plus. La moindre des choses aurait été qu’ils me présentent leurs condoléances ! » Trois personnes prennent la parole : Kamel Mennour lit un texte, ainsi qu’un proche d’Anissa. En une vingtaine de minutes, l’affaire est terminée. « Nous nous sommes recueillis devant rien, regrette Jean-Claude. A partir de là, j’ai vraiment commencé à me poser des questions. Je voulais savoir où était le corps de mon fils. »

 

Le père de Jean-Luc n'est pas le bienvenu à l'hommage à son fils

 

Qui manipule qui ? Jean-Luc avait-il sciemment décidé d’exclure sa famille ? Avait-il conscience de ce qu’il faisait et des dispositions qui seraient prises ? Elisabeth Bost et Jean-Claude Delarue ont demandé une copie du dossier médical afin d’essayer de comprendre. « Comme toujours, raconte un proche de Jean-Luc, cette situation est impossible à gérer dans la sérénité. Il est facile de faire passer Anissa pour une sorcière et les membres de la famille pour des martyrs. Jean-Luc était un personnage complexe. Il avait des problèmes personnels à régler. Son absence totale de relations avec sa mère est tout de même étonnante. Et son testament n’a pas encore été ouvert… »

 

Aujourd’hui, Anissa Khelifi et Arnaud Gachy sont « *entrés en guerre » contre Jean-Claude Delarue. Ce dernier est accusé de fouiller, de poser trop de questions. Il a été informé qu’il n’était « pas le bienvenu » à l’hommage à Jean-Luc, le 24 septembre, au siège de Réservoir Prod. *Elisabeth Bost, locataire d’un appartement à Paris (qui n’a pas été acheté par Jean-Luc comme cela a été écrit), veut avant tout protéger Jean, qui aura bientôt 6 ans. Mais leur quotidien pourrait être à l’avenir troublé par des communiqués, des interventions dans les médias, des interprétations variables et des *batailles d’avocats. Jean-Luc Delarue était certes un homme compliqué, à la fois discret, secret et très exposé. Mais il n’aurait pas souhaité cela. Cette fois, ça ne se discute pas.

 

Enquête Rose-Laure Bendavid Paris Match

Link to post
Share on other sites

Je ne sais ce que vous en pensez mais moi ce mec ne m'inspire pas confiance, je le vois comme un charognard qui fait tout ça pour soutirer des sous de l'héritage de son fils auquel il n'a pas droit.

On dirait que ça l'emmerde que Anissa raffle la moitié de l'héritage et il n'hésite pas à sous-entendre que son fils n'avait pas toute sa tête quand il a dicté son testament, c'est pathétique!

Link to post
Share on other sites
j'ai lu en diagonale, rien que le petit détail, genre, on a affaire à des "musulmans" (j'ai du boire mon vin dans la bar en bas.....LOL), ne m'a pas donné envie d'aller plus loin....je sais pas, si tu viens chez moi, il n'y aura pas de tête de veau.....est-ce que mes invités vont bouffer de la tête de veau avant de venir chez moi? LOL

 

Il faut bien qu'il ait gain de cause, quitte à jouer cette carte de la méchante musulmane qui a manipulé son fils

Link to post
Share on other sites

Join the conversation

You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.

Guest
Répondre

×   Pasted as rich text.   Paste as plain text instead

  Only 75 emoji are allowed.

×   Your link has been automatically embedded.   Display as a link instead

×   Your previous content has been restored.   Clear editor

×   You cannot paste images directly. Upload or insert images from URL.

×
×
  • Create New...