dihya.roufi 10 Posted October 9, 2012 Partager Posted October 9, 2012 ..ou la theorie du genre :lorsqu'on m'en a parlé la premiere fois ,je n'ai pas voulu croire que des décideurs dans le monde pouvaient tomber aussi bas dans leur travail de déstruction programmée et voulue de notre société.des dégénérés qui ont le pouvoir. 'la théorie du genre' (qui est née aux etats-unis) est actuellement en phase d'application aussi bien en europe qu' aux etats-unis par le biais de textes de lois et des procédures diverses sur le plan pratique (comme l'introduction de chapitres dans les manuels scolaires depuis 2011,en france ,malgré l'opposition religieuse et les nombreuses signatures des parents ) .résumé de la théorie : 'l'individu devient homme ou femme sous la pression de la société et non par des facteurs biologiques.ainsi donc ,si on enléve cette contrainte sociale ,il devient libre de ses choix ' .conséquences de cette théorie : -l'homosexualité devient une normalité...ainsi que tous les choix imaginables et inimaginables!! -les parents ne sont plus désignés en tant que pére ou mére (donc du genre feminin ou masculin) mais sur l'etat civil ,ils seront désignés en tant que 'gender 1' et 'gender 2' -les programmes de déconstruction du genre masculin ou feminin commencent tres tôt ,depuis la créche pour les enfants et par le biais de toutes les promotions mediatiques et les phenomenes de mode pour arriver à la conclusion de brouiller la notion de femme et homme.(comme la mode des mannequins androgynes par exemples) -un travail de déconstruction de tout ce qui peut freiner la promotion de cette theorie (religion(aussi bien christianisme qu'islam) ,famille ,fidelité...) je poste quelques videos d'intervention sur cette theorie qui me choque énormement ,parcequ'elle est contre l'equilibre de l'humanité ,la cohésion de la société et qu'elle est imposée aux gens par des moyens sournois.en même temps on arrive à comprendre la raison de beaucoup d'actions menées par un extrémisme qui se veut un modéle à importer. [YOUTUBE]unUH_sKKSo0[/YOUTUBE] Citer Link to post Share on other sites
dihya.roufi 10 Posted October 9, 2012 Author Partager Posted October 9, 2012 un entretien radiophonique ,assez explicatif : Emission sur la « théorie du gender » Citer Link to post Share on other sites
dihya.roufi 10 Posted October 9, 2012 Author Partager Posted October 9, 2012 une parodie magnifique sur le sujet : [YOUTUBE]09Tdy5UmIM4[/YOUTUBE] Citer Link to post Share on other sites
djallalnamri 10 Posted October 9, 2012 Partager Posted October 9, 2012 intéressant ... si l'oms a décrété l'homosexualité non-pathologique ... ce n'est pas par hasard Citer Link to post Share on other sites
Guest vuqaruy Posted October 9, 2012 Partager Posted October 9, 2012 Maintenant je sais ou sang&sucre m a sorti cette histoire de l homosexualité chez les animaux ... tous les animaux ... alos que dans mon entourage y a plus de bêtes que d humains et je n ai constaté ce phénomène que chez l âne et que celui-ci ... :mdr: Citer Link to post Share on other sites
Egomis 12 Posted October 9, 2012 Partager Posted October 9, 2012 A mon avis, celà n'est pas nouveau... De manière indirecte, c'est déjà adopté et programmé par les ... protocoles des sages de sion... Il me semble avoir lu que toutes ces fadaises de droits de l'homme, de la femme, de la piérre et de l'arbre y découlent.... Leurs buts: détruire les fondements culturelles et cultuelles des société pour mieux les asservir.... Comment!? En favorisant le vice et la perversité.... sous couvert de droit ... Citer Link to post Share on other sites
dihya.roufi 10 Posted October 9, 2012 Author Partager Posted October 9, 2012 Aux fous ! La théorie du « gender » dans les manuels scolaires ! 28 mai 2011 La « théorie du gender [genre, en français] » est une élucubration idéologique née il y a quelques décennies, et qui prétend que masculinité et féminité ne sont que des constructions sociales, auxquelles il faut donc s’attaquer, en niant les spécifités et différences sexuelles qui permettent une nécessaire complémentarité (plus de détails sur cette « théorie » dans cette émission). Ce délire idéologique et ses corollaires font désormais partie des manuels scolaires destinés aux lycéens ! Le Système, actuellement représenté par l’UMP, nous prépare une société de gens très mal dans leur peau… Plus d’informations dans ce texte de Pierre-Olivier Arduin. Inscrite officiellement dans les nouveaux programmes de SVT de Première (S, L et ES), la doctrine du gender fera désormais partie de l’enseignement obligatoire des lycées français à partir de la rentrée 2011 Le gender nie la complémentarité naturelle entre les sexes S’il fallait désigner un seul nom pour illustrer la doctrine du gender, ce serait assurément celui de la philosophe américaine Judith Butler qui viendrait immédiatement à l’esprit. L’ouvrage qu’elle a publié aux Etats-Unis en 1990 – Gender Trouble : Feminism and the subversion of Identity – demeure le modèle incontournable des programmes universitaires anglo-saxons sur la question . De l’autre côté de l’Atlantique, aucun campus digne de ce nom n’est dépourvu de son département de gender studies. Toutefois, cette théorie n’aurait pu acquérir l’influence qu’elle exerce aujourd’hui sur la scène internationale sans la tenue en 1995 de la Conférence des Nations-Unies de Pékin sur la femme qui en a fait le cadre porteur d’une société nouvelle où les comportements sexuels seraient enfin débarrassés de leurs « archaïsmes moraux et religieux », comprenez chrétiens. Derrière le concept de gender se cache en effet une idéologie qui nie la différence sexuelle et la complémentarité naturelle entre l’homme et la femme. Le mot sexe qui renvoie trop à une détermination objective et naturelle est remplacé par celui de genre où féminin et masculin sont des constructions socioculturelles purement arbitraires qu’il est possible de défaire. Le gender qui fait déjà l’objet d’un enseignement obligatoire à Science-Po sera également au menu des cours de Sciences de la Vie et de la Terre (SVT) dans toutes les classes de première à partir de la prochaine rentrée. Le ministère de l’Education l’a en effet inclus dans le module « Féminin/Masculin » au programme de cette matière et plus particulièrement dans les nouveaux chapitres « Devenir homme ou femme » et « Vivre sa sexualité », qui prendront place après la partie consacrée à la « Maîtrise de la procréation » (Bulletin officiel spécial n. 9 du 30 septembre 2010, Thème 3-A). Avertie la semaine dernière par le lycée saint Joseph de Draguignan (Dominicaines du Saint-Esprit) qui venait de recevoir les tout nouveaux manuels de SVT des classes de 1ere L et ES issus de cette réforme (Nathan, Bordas et Belin), la commission bioéthique en lien avec l’Observatoire sociopolitique du diocèse de Fréjus-Toulon a pu mesurer la gravité des changements opérés par le ministère de l’Education nationale par rapport aux précédents programmes. De même, la direction diocésaine de l’enseignement catholique a été immédiatement alertée. Défaire la « matrice hétérosexuelle » de la société D’une manière générale, les chapitres en question sont une attaque en règle contre la loi morale naturelle, rejetant toute signification anthropologique et éthique à la différence naturelle des sexes. « Dans ce nivelage, la différence corporelle, appelée sexe, est minimisée, tandis que la dimension purement culturelle, appelée genre, est soulignée au maximum et considérée comme primordiale (…) Selon cette perspective anthropologique, la nature humaine n’aurait pas en elle-même des caractéristiques qui s’imposeraient de manière absolue : chaque personne pourrait se déterminer selon son bon vouloir, dès lors qu’elle serait libre de toute prédétermination liée à sa constitution essentielle » . Pour le gender en effet, l’homme et la femme n’ont pas de dynamisme naturel qui les pousserait l’un vers l’autre, seuls les conditionnements sociaux rendraient compte de cette soi-disant inclination. A l’appui de cette thèse, Nathan cite ce texte hautement contestable : « Les sociétés forgent des modèles et des normes associés au féminin et au masculin. Dès le plus jeune âge, chacun va inconsciemment être imprégné par un schéma identitaire auquel il doit se conformer pour être accepté et reconnu par le groupe social. Ces attitudes sont tellement intériorisées que nous reproduisons les stéréotypes sans nous en rendre compte » (p.190). Le gender promeut une anthropologie alternative refusant que la différence sexuelle inscrite dans le corps possède naturellement un caractère identifiant pour la personne. Bordas fait lui aussi découler la prédominance de l’hétérosexualité du contexte culturel et social dans lequel nous baignons : « « Si dans un groupe social il existe une très forte valorisation du couple hétérosexuel et une forte homophobie, la probabilité est grande que la majorité des jeunes apprennent des scénarios hétérosexuels » (p. 182). Pour illustrer leur démonstration, les manuels citent l’existence dans d’autres espaces culturels de « troisièmes genres », « ni homme ni femme », comme les Hijras en Inde (Belin, p. 145) ou les Mahu en Polynésie (Bordas, p. 176). Une fois inculqué aux élèves que la différence des rôles assignés à l’homme et à la femme dans une société donnée est produite par la culture, il est loisible de s’affranchir du modèle hétérosexuel et de relativiser l’inclination naturelle vers l’autre sexe. Ne s’agit-il pas de dissocier la société de sa matrice hétérosexuelle comme le préconise Judith Butler ? Le gender dissocie identité sexuelle et orientation sexuelle Conséquence logique du raisonnement, l’orientation sexuelle est clairement déconnectée de l’identité sexuelle, l’homosexualité ou la transsexualité relevant de la liberté souveraine des individus. L’hétérosexualité n’a en aucun cas le privilège de l’universalité : « Je peux être un homme et être attiré par les femmes. Mais je peux aussi me sentir 100% homme viril et être attiré par les hommes. Et je peux être une femme attirée par les hommes ou une femme attirée par les femmes » (Belin, p. 133). Bordas fait état d’« une étude récente qui montre bien l’influence du contexte culturel et social : à Hambourg en 1970, dans les années de la révolution sexuelle, 18% des adolescents avaient des activités homosexuelles alors qu’en 1990, avec le SIDA et les changements culturels, ils n’étaient plus que 2% » (p. 182). L’homosexualité serait donc élue d’autant plus facilement que la société l’accueillera « sans discrimination » (Nathan, p. 181). Les bases biologiques du plaisir sexuel D’une manière générale, c’est la sexualité humaine qui est totalement « désacralisée » au fil des pages. La masturbation, martèle Belin, jadis encouragée dans l’Antiquité, n’est devenue un « péché » qu’avec « l’avènement du monothéisme en Occident ». Heureusement, depuis les années 70 elle est à nouveau considérée « comme une activité sexuelle normale » (p. 139). Le même éditeur fait d’ailleurs de cette pratique un critère de puberté ou indicateur de maturité sexuelle (p. 132). Mais surtout, les nouveaux programmes font dépendre l’activité sexuelle de l’activation du « système de récompense » présent dans le cortex cérébral des primates hominoïdes (chimpanzé, bonobo, homme). Contrairement aux autres mammifères (mouton, rat,…) dont le comportement sexuel est contrôlé essentiellement par les hormones, la sexualité humaine est la résultante d’un circuit de récompense commandé par des aires cérébrales selon le schéma suivant : désir – action – satisfaction. L’évolution chez l’animal a abouti à une diminution de la dépendance hormonale au profit d’un contrôle cérébral devenu prépondérant chez l’homme. Pour Nathan, « le système de récompense fournit la motivation à notre comportement dans l’attente d’une gratification. Le comportement sexuel est ainsi guidé par la recherche du plaisir attendu » (p. 195). Son collègue Belin cite les propos d’un chercheur en neurosciences et sexologie : « Au cours de l’évolution, l’influence des hormones et des phéromones diminue tandis que l’influence de la cognition et du système de récompense cérébral augmente. Libérées des contraintes hormonales, les activités sexuelles peuvent exister dans de nombreuses situations qui n’ont plus aucun rapport avec la reproduction. Les récompenses cérébrales, perçues comme sensations érotiques intenses, deviendraient le principal facteur à l’origine des activités sexuelles » (p. 137). Pour ce chercheur, le système de récompense présent dans notre cerveau permet un comportement érotique essentiellement fondé sur « la maximalisation du plaisir ». Dissocier sexualité et procréation Ce modèle d’explication induit deux conséquences majeures sur le plan anthropologique. Premièrement, le cortex cérébral étant le support des fonctions cognitives de l’être humain (Nathan, p. 197), elles-mêmes modelées par le contexte culturel et éducatif de la société, l’idéologie du gender est « validée » sur le plan scientifique dans un raccourci saisissant. Nous adoptons certains comportements stéréotypés parce que notre cerveau a été stimulé depuis la plus petite enfance par des messages véhiculés par la société. Scientifiquement, l’hétérosexualité n’est pas une réalité fondatrice des relations humaines mais la conséquence de l’imprégnation du milieu social sur la composante cognitive de notre cortex. Les primates hominoïdes et singulièrement l’homme ayant dissocié leur comportement sexuel de la fonction de reproduction, la « maitrise technique de la procréation » est en quelque sorte un « produit culturel » qui s’inscrit nécessairement dans le cadre explicatif de la théorie de l’évolution. La procréation doit être radicalement désolidarisée de la sexualité. Les droits à la contraception, à l’avortement et à la procréation artificielle sont bien les nouveaux impératifs catégoriques de la ®évolution culturelle en cours, ceux qui permettront aux individus d’exercer un pouvoir effectif sur leurs corps sans lequel il n’y a pas de remise en cause possible des « valeurs traditionnelles ». N’est-ce pas les « féministes du gender » qui ont forgé dans les années 90 le concept de « santé reproductive » ? Aussi les trois manuels que nous avons pu étudier insistent-ils tous sur l’IVG médicamenteuse et la contraception d’urgence – dont la nouvelle pilule du lendemain EllaOne occupe déjà une place de choix –, qui sont autant de moyens de contrôler chimiquement la fonction de reproduction (cf. Nathan, p. 178). On l’a compris, le gender est particulièrement difficile à contrer intellectuellement. Vous aurez beau accumuler des arguments fondés sur la nature et la raison, vos adversaires vous rétorqueront qu’ils ne sont que la résultante de facteurs culturels, et qu’ils vous semblent d’autant plus évidents qu’ils ont une position hégémonique dans la société. Le langage de l’amour vrai Experte en humanité, l’Eglise a pris la mesure depuis la Conférence de Pékin de la désintégration de l’ordre éthique et politique véhiculé par cette doctrine. Dans un document remarquable signé par celui qui n’était encore que le cardinal Ratzinger, elle nous rappelle que « le masculin et le féminin se révèlent comme faisant ontologiquement partie de la création », qu’il existe des « valeurs masculines » et un « génie féminin » sur lesquels s’appuyer pour bâtir la civilisation de l’amour. Au cours de magnifique allocution du 13 mai devant les membres de l’Institut Jean-Paul II pour les études sur le mariage et la famille, Benoît XVI a proposé de « conjuguer la théologie du corps avec celle de l’amour » pour redécouvrir la beauté, la bonté et la vérité de la sexualité conjugale. Le Pape a en effet rappelé qu’il y a dans le corps de l’homme et de la femme « un langage qu’ils n’ont pas créé, un eros enraciné dans leur nature, qui les invite à se recevoir mutuellement par le Créateur, pour pouvoir ainsi se donner. (…).La véritable fascination de la sexualité naît de la grandeur de cet horizon qui s’ouvre : la beauté intégrale, l’univers de l’autre personne et du « nous » qui naît dans l’union, la promesse de communion qui se cache, la fécondité nouvelle, le chemin que l’amour ouvre vers Dieu, source de l’amour. L’union en une seule chair se fait alors union de toute la vie, jusqu’à ce que l’homme et la femme deviennent également un seul esprit (…). Dans cette lumière, la vertu de la chasteté reçoit un nouveau sens. Ce n’est pas un « non » aux plaisirs et à la joie de la vie, mais le grand « oui » à l’amour comme communication profonde entre les personnes, qui exige temps et respect, comme chemin parcouru ensemble vers la plénitude et comme amour qui devient capable d’engendrer la vie et d’accueillir généreusement la vie nouvelle naissante ». Un discours à dix mille lieues de l’idéologie du gender, mais surtout capable de reproposer de manière convaincante aux jeunes qui nous sont confiés le dessein originel de Dieu et la vocation à laquelle ils sont appelés à répondre pour réaliser leur vraie nature d’homme ou de femme. Vers une objection de conscience ? Les promoteurs du gender n’ont jamais caché vouloir faire de la subversion de l’éducation un axe essentiel de leur combat. Rien de tel pour formater les consciences des jeunes de tout un pays que de contrôler les programmes et les manuels scolaires. L’importance des changements opérés dans les classes de 1ère est telle qu’on peut parler sans exagérer d’une « zapatérisation » des programmes de l’Education nationale. Or, si l’on regarde de l’autre côté des Pyrénées, on s’aperçoit que des dizaines de milliers de familles catholiques avec le soutien appuyé de la Conférence épiscopale espagnole et le concours de juristes compétents se sont d’ores et déjà organisées pour contester les cours obligatoires sur le gender du gouvernement Zapatero, voire retirer leurs enfants en posant un acte d’objection de conscience. Allons-nous devoir en arriver là en France ? Citer Link to post Share on other sites
Nivazo 10 Posted October 9, 2012 Partager Posted October 9, 2012 intéressant ... si l'oms a décrété l'homosexualité non-pathologique ... ce n'est pas par hasard Non-pathologique c'est aussi un forme de déresponsabiliser et donner libre cours à l'opportunisme et l' incohérence. Citer Link to post Share on other sites
dihya.roufi 10 Posted October 9, 2012 Author Partager Posted October 9, 2012 quelques applications de cette theorie : en france : [DM]xtmtlg_la-theorie-du-genre-en-application-dans-les-creches_webcam[/DM] Citer Link to post Share on other sites
Nivazo 10 Posted October 9, 2012 Partager Posted October 9, 2012 A mon avis, celà n'est pas nouveau... De manière indirecte, c'est déjà adopté et programmé par les ... protocoles des sages de sion... Il me semble avoir lu que toutes ces fadaises de droits de l'homme, de la femme, de la piérre et de l'arbre y découlent.... Leurs buts: détruire les fondements culturelles et cultuelles des société pour mieux les asservir.... Comment!? En favorisant le vice et la perversité.... sous couvert de droit ... Il faut gouverner comme la santé : en jouir quand elle est bonne, prendre patience quand elle est mauvaise et ne faire jamais de grands remèdes sans un extrême besoin. Citer Link to post Share on other sites
djallalnamri 10 Posted October 9, 2012 Partager Posted October 9, 2012 Non-pathologique c'est aussi un forme de déresponsabiliser et donner libre cours à l'opportunisme et l' incohérence. WALLAH ghir c'est malheureux ... ces millions d'enfants innocents offerts en pâture à ces monstres à visage humain ... et tous ces gouvernements qui leur obéissent au doigt et à l’œil ... Citer Link to post Share on other sites
Egomis 12 Posted October 9, 2012 Partager Posted October 9, 2012 Et bien sûr tout ceux qui seront contre s'ront des integristes obscurantistes et tralala... Citer Link to post Share on other sites
Nivazo 10 Posted October 9, 2012 Partager Posted October 9, 2012 WALLAH ghir c'est malheureux ... ces millions d'enfants innocents offerts en pâture à ces monstres à visage humain ... et tous ces gouvernements qui leur obéissent au doigt et à l’œil ... Un outrage a la nature humaine ,immoralité . Citer Link to post Share on other sites
djallalnamri 10 Posted October 9, 2012 Partager Posted October 9, 2012 il paraît que c'est déjà dans les manuels scolaires ... Citer Link to post Share on other sites
Nivazo 10 Posted October 9, 2012 Partager Posted October 9, 2012 Et bien sûr tout ceux qui seront contre s'ront des integristes obscurantistes et tralala... un discours bien préparé pour faire taire les religieux . Citer Link to post Share on other sites
Nivazo 10 Posted October 9, 2012 Partager Posted October 9, 2012 il paraît que c'est déjà dans les manuels scolaires ... si y a plus d'hommes et de femmes dans une société .....y a plus de noms féminins et masculins ,on aura droit a un matricule .:D:D Citer Link to post Share on other sites
djallalnamri 10 Posted October 9, 2012 Partager Posted October 9, 2012 si y a plus d'hommes et de femmes dans une société .....y a plus de noms féminins et masculins ,on aura droit a un matricule .:D:D çà paraît la solution la plus appropriée ... ou bien des noms a-sexués Citer Link to post Share on other sites
Nivazo 10 Posted October 9, 2012 Partager Posted October 9, 2012 çà paraît la solution la plus appropriée ... ou bien des noms a-sexués Un tatouage a la nuque ou a l'avant bras ? Citer Link to post Share on other sites
FNP 10 Posted October 9, 2012 Partager Posted October 9, 2012 le theorie de la fin du monde:eek: Citer Link to post Share on other sites
Nivazo 10 Posted October 9, 2012 Partager Posted October 9, 2012 le theorie de la fin du monde:eek: On a dépassé la théorie .....on est en plain pratique maintenant :D Citer Link to post Share on other sites
djallalnamri 10 Posted October 9, 2012 Partager Posted October 9, 2012 le theorie de la fin du monde:eek: bon ... ces gens-là ont déjà crée un environnement propice à la dés-orientation sexuelle ... il leur manquait juste le justificatif "scientifique" ... en fait l'argumentaire à opposer aux religieux ... il faut dire qu'ils aussi ont la loi de leur côté - loi contre l'homophobie - et une organisation supra-nationale comme l'O.m.s. ... Citer Link to post Share on other sites
Egomis 12 Posted October 9, 2012 Partager Posted October 9, 2012 un discours bien préparé pour faire taire les religieux . Déjà que le monde est mis sur la féfensive quand il s'agit de denoncer la perversion... Va voir sur le topic à côté où l'on fait de la perversion une valeur et sa dénonciation une tare ... une honteuse tare :buck: Citer Link to post Share on other sites
Nivazo 10 Posted October 9, 2012 Partager Posted October 9, 2012 Déjà que le monde est mis sur la féfensive quand il s'agit de denoncer la perversion... Va voir sur le topic à côté où l'on fait de la perversion une valeur et sa dénonciation une tare ... une honteuse tare :buck: c'est pas de leurs fautes ,mais aux fameux manuelles scolaires :book: Citer Link to post Share on other sites
Nivazo 10 Posted October 9, 2012 Partager Posted October 9, 2012 bon ... ces gens-là ont déjà crée un environnement propice à la dés-orientation sexuelle ... il leur manquait juste le justificatif "scientifique" ... en fait l'argumentaire à opposer aux religieux ... il faut dire qu'ils aussi ont la loi de leur côté - loi contre l'homophobie - et une organisation supra-nationale comme l'O.m.s. ... et Les droits de l'homme ou Les droits du genre ils ont leur mots a dire aussi en cas de refus de ce droit existentiel. Citer Link to post Share on other sites
Egomis 12 Posted October 9, 2012 Partager Posted October 9, 2012 On veut remener l'homme et la femme à la dimension de ... primate puisque on parle de primate humanoïde... Pour illustrer leur démonstration, les manuels citent l’existence dans d’autres espaces culturels de « troisièmes genres », « ni homme ni femme », comme les Hijras en Inde (Belin, p. 145) ou les Mahu en Polynésie (Bordas, p. 176). Punaise! Quel bel exemple significatif!!... les Hijras en Inde et les Mahu en polynésie!!!!!... Ça doit être des civilisations au sommet de ... je perds mon lexique:mdr: Citer Link to post Share on other sites
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