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Charte pour la paix et la réconciliation nationale: Des dispositions complémentaires en vue


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Le président de la Commission nationale consultative pour la promotion et la protection des droits de l’homme (CNCPPDH), Me Ksentini a révélé ce mardi à Alger que des dispositions complémentaires pour les victimes de la décennie noire sont prévues dans la Charte pour la paix et la réconciliation nationale adoptée par référendum le 29 septembre 2005. Les catégories concernées sont notamment les déportés des camps du sud, les victimes du terrorisme qui ont subi des dégâts matériels et les enfants nés au maquis dont la filiation n’est pas encore régularisée.

 

« Il y a des dispositions complémentaires qui sont envisagées par le texte et qui peuvent être prises par le président de la République lui‑même », a‑t‑il précisé dans des déclarations à la presse en marge de la rencontre sur le dialogue autour des droits de l’Homme dans les pays arabes et européens. « Il y a une disposition dans la Charte qui attribue spécifiquement ce pouvoir au chef de l’État, et c’est lui seul qui décidera quand il le voudra, et c’est à lui seul de juger de l’opportunité de le faire », a‑t‑il encore ajouté, selon des propos rapportés par APS.

 

Mais Me Ksentini a laissé entendre que ces dispositions seraient bientôt prises. « Je pense qu’il y a des dispositions complémentaires qui seront prises ». Par ailleurs, Me Ksentini a exprimé le souhait que l’organisme qu’il préside soit constitutionnalisé. « Inscrire la CNCPPDH dans la Constitution signifie la fin des accusations qui prétendent à tort que la Commission appartient à quelque parti que ce soit et une preuve supplémentaire qu’elle appartient au peuple algérien et c’est très important ».

 

Source: TSA

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Le président de la Commission nationale consultative pour la promotion et la protection des droits de l’homme (CNCPPDH), Me Ksentini a révélé ce mardi à Alger que des dispositions complémentaires pour les victimes de la décennie noire sont prévues dans la Charte pour la paix et la réconciliation nationale adoptée par référendum le 29 septembre 2005. Les catégories concernées sont notamment les déportés des camps du sud, les victimes du terrorisme qui ont subi des dégâts matériels et les enfants nés au maquis dont la filiation n’est pas encore régularisée.

 

« Il y a des dispositions complémentaires qui sont envisagées par le texte et qui peuvent être prises par le président de la République lui‑même », a‑t‑il précisé dans des déclarations à la presse en marge de la rencontre sur le dialogue autour des droits de l’Homme dans les pays arabes et européens. « Il y a une disposition dans la Charte qui attribue spécifiquement ce pouvoir au chef de l’État, et c’est lui seul qui décidera quand il le voudra, et c’est à lui seul de juger de l’opportunité de le faire », a‑t‑il encore ajouté, selon des propos rapportés par APS.

 

Mais Me Ksentini a laissé entendre que ces dispositions seraient bientôt prises. « Je pense qu’il y a des dispositions complémentaires qui seront prises ». Par ailleurs, Me Ksentini a exprimé le souhait que l’organisme qu’il préside soit constitutionnalisé. « Inscrire la CNCPPDH dans la Constitution signifie la fin des accusations qui prétendent à tort que la Commission appartient à quelque parti que ce soit et une preuve supplémentaire qu’elle appartient au peuple algérien et c’est très important ».

 

Source: TSA

 

J'espere que l’Algérie arrivera à s'en sortir

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Le président de la Commission nationale consultative pour la promotion et la protection des droits de l’homme (CNCPPDH), Me Ksentini a révélé ce mardi à Alger que des dispositions complémentaires pour les victimes de la décennie noire sont prévues dans la Charte pour la paix et la réconciliation nationale adoptée par référendum le 29 septembre 2005. Les catégories concernées sont notamment les déportés des camps du sud, les victimes du terrorisme qui ont subi des dégâts matériels et les enfants nés au maquis dont la filiation n’est pas encore régularisée.

« Il y a des dispositions complémentaires qui sont envisagées par le texte et qui peuvent être prises par le président de la République lui‑même », a‑t‑il précisé dans des déclarations à la presse en marge de la rencontre sur le dialogue autour des droits de l’Homme dans les pays arabes et européens. « Il y a une disposition dans la Charte qui attribue spécifiquement ce pouvoir au chef de l’État, et c’est lui seul qui décidera quand il le voudra, et c’est à lui seul de juger de l’opportunité de le faire », a‑t‑il encore ajouté, selon des propos rapportés par APS.

 

Mais Me Ksentini a laissé entendre que ces dispositions seraient bientôt prises. « Je pense qu’il y a des dispositions complémentaires qui seront prises ». Par ailleurs, Me Ksentini a exprimé le souhait que l’organisme qu’il préside soit constitutionnalisé. « Inscrire la CNCPPDH dans la Constitution signifie la fin des accusations qui prétendent à tort que la Commission appartient à quelque parti que ce soit et une preuve supplémentaire qu’elle appartient au peuple algérien et c’est très important ».

 

Source: TSA

 

Parmi les catégories concernées par ces "dispositions" figurent les déportés des camps du Sud (emprisonnés par le regretté Président Mohamed Boudiaf). In fine, l’amnistie générale des " égarés" sera bientôt promulguée par ce président qui, il y a quelques années, déclaré que " s’il avait l’âge des terroristes islamistes, il les aurait sûrement rejoint au maquis".

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