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MELISSMELL


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J'ai perdu mon sourire Qui pendait pour un rien

Y a même plus de plaisir A partager mon sein

J'ai vendu ma souffrance J'ai perdu mon amour

J'ai pleuré mon errance A te chercher toujours

 

Dans mes nuit froides j'attends Que tu m'appelles enfin

Que tes bras trouvent le temps De courir vers les miens

A combler tes absences A briser les falaises

Et t'aimer en silence Sur ma lune à misère

 

Je me souviens maman, des rêves qu'on avait

Je me souviens des temps, où nous marchions ensemble.

J'avais des rêves maman, des rêves de liberté,

J'aimais rêver maman, j'aimais la vie maman.

 

J'ai jeté mes souvenirs Dans tous les vides ordures

Pour retrouver l'exil Pour me pendre sur nos murs

Et retrouver la paix La paix des oubliés

Celle qu'on ne cherche plus Qu'on efface d'un trait.

 

J'ai marché trop longtemps A user mes souliers

A oublier les vents Contraires à nos filets

J'me suis perdue souvent Pour des histoires d'un jour

Alors qu'aucun amants Aurait suivi ma route

 

Je me souviens maman, des rêves qu'on avait

Je me souviens des temps, où nous marchions ensemble.

J'avais des rêves maman, des rêves de liberté

J'aimais rêver maman, j'aimais la vie maman.

 

J'ai vendu ma souffrance J'ai perdu mon amour

J'ai pleuré mon errance A te chercher toujours

Je me souviens maman, des rêves qu'on avait

Je me souviens des temps, où nous marchions ensemble.

J'avais des rêves maman, des rêves de liberté

J'aimais rêver maman, j'aimais la vie maman.

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Merci Merci Merci Merci Merci Merci Merci Merci Merci Merci et encore Merci

Ces paroles me font tant de bien dans l'immensité dans l'adversité dans ma fatigue dans les tout petits moments que je vole pour moi je suis toujours là vivant peut être donnant encore parfois épuisé parfois comme un enfant qui cherche ... joue discute veut tout tout de suite parfois se lasse de tout ... mais j'aime tout et tous je ne sais pas faire autrement ... je crois que c'est parce que je n'ai pas eu beaucoup de choses ou j'ai eu l'amour de maman si immense que que je veux faire partager cela avec tous et avec tout peut -être je ne le recherche pas il est en moi et il déborde mais je suis seul fort de ça mais seul dans ma recherche j'explore minutieusement tout aurais-je assez de temps ne faut il pas sélectionner, échantillonner, faire un choix, négliger ne pas tenir compte ne pas prêter attention ne pas calculer ne pas chercher à comprendre ... je ne collectionne pas mais je ne peux pas me permettre d’omettre les toutes toute petites choses parfois apparemment sans importance mais qui s'avèrent de toute l'importance ... Merci ANA

C'est peut-être peu ce que tu as mis mais cela m'a permis de voler un moment pour moi les étudiants travaillent dans le calme et moi j'ai parlé Merci ...

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C'est dur mais ça se confirme

Je reste sans voix

Ton bleu chavire au marine

La France me déçoit

 

J'ai vu des siècles apporter

La majorité

Peut tomber bien bas

 

C'est l'homme qui va parler

Adieu les idées

J'en frémis déja

 

Ma France tu m'fatigues

tu me fatigues

tu me fatigues

tu me fatigues

Ma France

tu me fatigues

tu me fatigues

tu me fatigues

tu me fatigues

 

Avant, tu avais du style

L'audace imbécile

L'envie devant toi

Aujourd'hui, c'est terminé

La fraternité

La France des droits

 

Les morts vont bientôt bruler

Les vieilles cités

Les siècles des rois

 

Les morts vont tout dévorer

Mais sans déconner

Tu te fous de moi

 

Ma France tu me fatigues

tu me fatigues

tu me fatigues

tu me fatigues

Ma France

tu me fatigues

tu me fatigues

tu me fatigues

tu me fatigues

 

Paris se la joue futile

Les filles ....?

Champagne et vodka

 

Et les autres ont disparu

Paris n'entend plus

la colère d'en bas

 

Et les marchands de sublime

BlaBlateurs habiles

récoltent des voix

 

Ton bleu chavire

Au Marine

Ta rougeur sanguine

Salira tes doigts

 

Ma France tu me fatigues

tu me fatigues

tu me fatigues

tu me fatigues

Ma France

tu me fatigues

tu me fatigues

tu me fatigues

tu me fatigues

Ma France tu me fatigues

tu me fatigues

tu me fatigues

tu me fatigues

Ma France

tu me fatigues

tu me fatigues

tu me fatigues

tu me fatigues

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A l'horizon l'humeur est grise

Et le ciel est toujours bouché

Je suis une enfant de la crise

J'ai fait mes armes à ses côté

J'ai tout connu, les grands sommets

La possession, la décadence

J'ai pris le temps de rêvasser, je crois

Je crois, j'ai perdu la cadence

 

Quand les murs se sont effondrés

Nous avons cru pour un instant

Enfin, enfin maîtres du monde

L'humilité de l'Occident

Les Glorieuses n'avaient laissé

Que de la poussière et des cendres

On nous apprenait à monter

Pas à descendre, pas à descendre

 

{Refrain:**

Toi, là-bas, ne sens-tu pas dans l'air ?

J'entends monter les voix

Le monde est à refaire

Loin, là-bas, tout est si loin derrière

Ne te retourne pas

Le monde est à refaire

 

Oh, nous les enfants de la crise

Avons le coeur un peu serré

On ne console pas l'enfant pourri gâté

J'ai tout connu, les grands sommets

La possession, la décadence

Mais ça ne l'a jamais comblé

Au fond de moi, ce vide immense

 

{au Refrain**

 

A l'horizon l'humeur est grise

Et le ciel est toujours bouché

Je suis une enfant de la crise

J'ai fait mes armes à ses côtés

J'ai tout connu, les grands sommets

La possession, la décadence

J'ai pris le temps de rêvasser

Je crois, j'ai perdu la cadence

 

Quand les murs se sont effondrés

Nous avons cru pour un instant

Enfin, enfin maîtres du monde

L'humilité de l'Occident

Les Glorieuses n'avaient laissé

Que de la poussière et des cendres

On nous apprenait à monter

Pas à descendre, pas à descendre

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  • 1 year later...

Oh monsieur tout est grave, vous avez l'arrogance et cet air un peu fier.

De sonder l’existence, de lui chercher un sens, d’embêter l’univers.

On ne vous à jamais dit ; que la vie est un jeu.

Qu'a forcer les sourires à ignorer le pire on parait plus heureux.

Oh monsieur tout est grave, il y a dans vos silences et l'acide et l'amer.

Qui entament en cadence une valse un peu rance, qui entame les nerfs.

On ne vous à jamais dit ; que les autres sont là.

Vous frôlez le mépris donnez nous quelques mots même un n'importe quoi.

 

[refrain]

Non madame rien n'est grave, mais c'est juste un hommage à la mélancolie.

Qui m'à ouvert les bras, qui ma sauvé la vie.

Qui ma sauvé milles fois, de votre mortel ennuie.

 

Oh monsieur tout est grave, vous savez l'innocence est un bien éphémère.

Ne gâchez pas la chance ni votre âme en avance, allez donc prendre l'air.

On ne vous à jamais dit ; que vous n'êtes pas sexy.

Que votre teint blafard à le ton du cauchemar et l'odeur de la pluie.

 

 

Non madame rien n'est grave, mais c'est juste un hommage à la mélancolie.

Qui m'à ouvert les bras, qui ma sauvé la vie.

Qui ma sauvé milles fois, de votre mortel ennuie.

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merci ANA :40:

 

J'aimerai tant qu"elle soit ainsi pour moi ... car on fond de moi je suis resté petit ! mais là j'ai a sensation de porter le monde sur mon dos ...

tant mieux je vais écouter melissmel elle est excellente !

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