Il y a 19ans jour pour jour ...

[tasmine 10]

Quel traumatisme cette décennie, quelles horreurs se sont produites.

Inoubliables martyrs que sont tous les Algériens qui ont péris sous les lames et les armes.

Rien que pour cela, jamais je ne pourrais me détourner des mes compatriotes...

[Guest mounir 73]

ah , allah yérhmou lui aussi

 

euh c'est à cause du sourire khdér que j'ai pensé qu'il s agissait d'une anecdote concernant djha :confused:

 

mesmar dj'ha s'etait le défunt chadli enfin je crois je garde très peu de souvenir ! :D

[das Leben 10]

Tala Amara, le village qui l'accueillit à sa naissance, et qui le reprit pour son ultime voyage.

 

 

C'est où?

 

PS/ Salut rrroule

[rrroule 10]

C'est où?

 

PS/ Salut rrroule

 

Je ne connais pas à vrai dire, mais c'est à Tizi Rached (Tizi Ouzou of course)

 

PS/ salut à toi ma chère!

[rrroule 10]

Hommage à toutes les fleurs de la décennie noire, fauchées par les chasseurs de lumière (isseǧǧaden n'tafeth) [ghess yemuth machi yenggar, imi azekka adyekker egmes ]

[YOUTUBE]AG4ub1fBm5I&noredirect=1[/YOUTUBE]

[das Leben 10]

Je ne connais pas à vrai dire, mais c'est à Tizi Rached (Tizi Ouzou of course)

 

PS/ salut à toi ma chère!

 

Ah ok. Merci pour ta réponse. Je savais que c'était à Tizi mais le nom du village ne me disait rien.

 

PS/ J'espère que tu vas bien

[rrroule 10]

Ah ok. Merci pour ta réponse. Je savais que c'était à Tizi mais le nom du village ne me disait rien.

 

PS/ J'espère que tu vas bien

 

Merci Das, ça rrrrrrrrrrrroule (désolée, je le fais à ta place ... je rajoute même l'accent qui va avec :D )

Bonne fin de soirée, au plaisir de te relire !

Mouah.

[si-nistri 10]

Circonstances de son assassinat:

 

Il est presque 8 heures quand Smaïl Yefsah quitte son domicile, situé au bâtiment A1, et se dirige vers sa voiture, garée dans le parking de la cité, pour se rendre au 21, boulevard des Martyrs où se trouve le siège de la télévision.

A quelques mètres de son véhicule, une 405 Peugeot grise, trois terroristes qui guettaient sa sortie, le surprennent et lui portent plusieurs coups de couteau dans le dos. Atrocement blessé, souffrant le martyre, le journaliste tente de fuir en criant : «Je n'ai rien fait ! Je n'ai rien fait !»

Les assassins sortent alors leurs armes à feu et lui tirent dessus. Touché de trois balles au ventre et à la poitrine, il tombe. Les tueurs, pensant qu'il était mort, récupèrent leurs trois autres complices postés non loin d'eux, montent dans sa voiture et prennent la fuite.

Encore vivant, Smaïl Yefsah rassemble ses dernières forces, se relève et, titubant, parcourt une cinquantaine de mètres, à la recherche d'un lieu sûr, d'un refuge, d'un secours. Arrivé au niveau de la cage 6 de l'immeuble, il s'y engouffre et monte péniblement, une à une, les marches.

Arrivé au deuxième étage, il frappe à la porte de l'appartement d'un de ses voisins et les mains serrées sur son ventre, s'écrie : «Refermez vite la porte !», avant de s'écrouler, sans vie. Tout au long de son parcours, du parking à l'appartement, les traces de son sang perdu maculent le sol, les escaliers, les murs.

A l'hôpital de Belfort où il a été transporté par des policiers du commissariat de Bab-Ezzouar, les médecins constatent le décès.

Smaïl Yefsah était un homme affable qui ne pouvait avoir d’ennemi que ceux qui redoutent son ouverture d’esprit et son intelligence. Il aimait bien son travail de journaliste à la télévision. Il le faisait avec cœur. Il était promis à un brillant avenir dans le journalisme audiovisuel. Ce sont ses qualités et ses vertus qui avaient fait de lui un homme à abattre par les terroristes intégristes.