Vives tensions entre salafistes et les forces de l'ordre en Tunisie

[Bourourou 11]

"ellahoumma hedjill nissa'ouhoum, ellahoumma yettime awladouhoum" sont les incantations proférées dans les mosquées algériennes par les imams du FIS après que Chadli leur avait livré les mosquées.

Lorsque j'ai vu la vidéo publiée par woulidouu, les souvenirs de cette terrible tragédie, se sont rassemblés encore une fois!

[Bourourou 11]

je crois que le parti Ennahda va faire l'erreur de laisser les mosquées aux mains des salafistes en pensant faire alliance avec ces têtes brûlées.

S'il fait ça, il ne pourra plus contrecarrer la surenchère qui va suivre.

[Sydney 10]

Ne pas oublier qu'Enahda reste un parti islamiste donc.......

[Bourourou 11]

Ne pas oublier qu'Enahda reste un parti islamiste donc.......

 

effectivement ! ce parti a voulu paraître modérer et je sens qu'il va atre pris en tenaille dans son propre jeu.

Soit il sévit contre les extrémistes salafiste et alors il risque perdre des plumes dans ses rangs car il doit y avoir des membres sensibles au discours chauds des nouveaux imams.

Soit il doit laisser et sera dépassé par la surenchère extrémiste!

[Sydney 10]

effectivement ! ce parti a voulu paraître modérer et je sens qu'il va atre pris en tenaille dans son propre jeu.

Soit il sévit contre les extrémistes salafiste et alors il risque perdre des plumes dans ses rangs car il doit y avoir des membres sensibles au discours chauds des nouveaux imams.

Soit il doit laisser et sera dépassé par la surenchère extrémiste!

En definitive c'est son fond de commerce qui est en jeu

[woulidouuu 10]

Des salafistes tunisiens manifestent pour la libération de prisonniers

 

Plusieurs centaines de salafistes ont manifesté hier à Tunis pour réclamer la libération des personnes arrêtées ces derniers mois, notamment la centaine de militants emprisonnés après l’attaque de l’ambassade américaine. « Nous ne sommes pas des extrémistes, nous sommes des musulmans », ont scandé les manifestants, rassemblés face au ministère de la Justice et encadrés par un important dispositif de sécurité. La mouvance salafiste, qui se dit victime d’une répression, estime à 900 le nombre de ses partisans placés en détention en Tunisie depuis la révolution de janvier 2011 qui avait été suivie d’une amnistie pour les prisonniers politiques.

 

humanité.fr