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Enrico Macias espère toujours..


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2 ans .et en plus le gaz va chuter ... en meme temps que l interet des kabyles pour l algerie .ça va devenir le paradis

 

wach djab leqbayel la discussion ? c,est ton cauchemar ?

t,as la haine de tout le monde, du qbayli, de fafa, des juifs, des americains.

quel hypocrite, tes acolytes zaama n,aiment pas la france mais risquent leur vie en barque pour te rejoindre en france, comme tu l,as certainement fait.

aussi, pourquoi tu n,es pas alle en egypte pour faire zaama les etudes et t,es alle chez fafa que tu detestes.

 

BARRA L,HYPOCRISIE !!

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En tout cas, celui-ci n'a pas de sang sur les mains ( malgré qui soutient des criminels, ça ne le regarde qu'uniquement) je le préfère lui a un fils de put.e comme Ali Bakradj nta3 z*** qui lui en plus de ne pas être Algérien est a l'origine d'un bain de sang d'Algériens.

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« Lyrique, Enrico Macias ne s’écrie-t-il pas, à la même occasion :

 

« Machiah ( Le Messie) est arrivé le jour de la création de l’Etat d’Israël.

 

Rien n’arrêtera le cours de notre histoire. Je serai toujours aux côtés d’Israël et si des épreuves personnelles ne m’en avaient pas empêché, je serais moi-même aujourd’hui à gaza, aux côtés des soldats de Tsahal. Ils sont en train de mourir pour nous. Je veux mourir pour eux. »

 

Pendant ce temps des femmes et des enfants étaient mitraillés méthodiquement avec des balles au phosphore à Gaza. Enrico Macias était la veille encore ambassadeur des Nations Unies pour l’Enfance. Pour tous les enfants du monde ?

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wach djab leqbayel la discussion ? c,est ton cauchemar ?

t,as la haine de tout le monde, du qbayli, de fafa, des juifs, des americains.

quel hypocrite, tes acolytes zaama n,aiment pas la france mais risquent leur vie en barque pour te rejoindre en france, comme tu l,as certainement fait.

aussi, pourquoi tu n,es pas alle en egypte pour faire zaama les etudes et t,es alle chez fafa que tu detestes.

 

BARRA L,HYPOCRISIE !!

il faut bien que quelqu un compense ton amour irraisonné pour ceux qui font des bras d honneur a 1 million et demi de chouhadas.

toi tu es plus precis t'as de la haine que pour les arabes .moi c'est les colons et leurs supplétifs.

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j ai aussi trouvé ça .il parait qu il est sur une liste noire ???

Enrico Macias est un homme redoutable. Militant sioniste déclaré, il a toujours entretenu des rapports ambigus avec l'Algérie, dont il a largement contribué à imposer cette image de pays de la douceur de vivre et de la kémia,une image qui a nourri tant de nostalgie chez les pieds-noirs.

 

Ses tirades sur le pays du soleil et de la haine, de la joie de vivre et de la passion, ce pays perdu dont on ne se console jamais, ont arraché des larmes à de nombreuses générations de pieds- noirs. Mais Gaston Ghenaïssia–le vrai nom de Macias- n'a jamais abordé le volet le plus sombre de son histoire algérienne. Il n'a jamais dit comment il a lui-même contribué à mettre le feu à ce pays bien aimé. Il a, en fait, réussi à maintenir un voile pudique sur son militantisme de cette époque, un militantisme qui l'a mis dans la même tranchée que Maurice Papon !

 

Enrico Macias évoque régulièrement sa volonté de revoir son «pays natal», et comment il en est empêché. Sa visite devait se faire en 2007, en compagnie de Nicolas Sarkozy. Auparavant, il avait affirmé que le président Abdelaziz Bouteflika lui-même l'avait invité, mais que des méchants, héritiers de la tendance obscurantiste du FLN, s'étaient opposés à son retour. Qu'en est-il au juste ?

 

A Alger, on affirme officiellement qu'Enrico Macias peut se rendre en Algérie quand il veut, mais qu'il est hors de question d'en faire un évènement politique. Certains fonctionnaires montrent un certain embarras devant le tapage médiatique provoqué par Enrico Macias lui-même. «Il n'a pas envie de revenir, il ne viendra pas, et il le sait parfaitement», a déclaré, sûr de lui, un ancien haut responsable. «Et ce n'est pas seulement à cause de son soutien public à Israël», ajoute-t-il, estimant que le thème Algérie ne constitue pour Enrico qu'un «fond de commerce».

 

Pour cet homme, qui avoue avoir apprécié la musique de Enrico dans sa jeunesse, Enrico Macias ne reviendra pas en Algérie parce qu'il y a commis des crimes pendant la guerre de libération. Selon lui, Enrico faisait partie d'une milice locale, les «unités territoriales», composées de partisans de l'Algérie française, qui formaient des milices de supplétifs de l'armée coloniale. L'unité à laquelle appartenait Enrico Macias a commis de nombreuses exactions, et a participé à des ratonnades, affirme cet ancien haut fonctionnaire.

 

A cette époque, Enrico Macias est un jeune artiste prometteur, qui joue dans la troupe du «Cheikh Raymond», le plus célèbre artiste juif de Constantine. Raymond Leyris est alors au faîte de sa gloire : notable de la communauté juive, ami des «arabes» de la ville, il est riche et célèbre. Sa musique est si appréciée qu'une jeune recrue FLN, en pleine guerre d'Algérie, rejoint le maquis ALN en wilaya II avec des disques de «Cheikh Raymond», nous raconte un ancien moudjahid qui a passé toute la guerre dans le Nord Constantinois !

 

Raymond Leyris n'avait pas d'enfants. Il en a adopté deux, dont Enrico Macias. Celui-ci est donc à la fois l'enfant adoptif, le disciple et l'héritier de CheiKh Raymond. A-t-il été l'héritier en tout ? Seul Macias pourra le dire. En tous les cas, les réseaux FLN avaient alors une conviction. Pour eux, Raymond Leyris avait été contacté par les services spéciaux israéliens. Il organisait des collectes, montait des réseaux, et travaillait en sous-main avec les services spéciaux israéliens, qui avaient alors un objectif : organiser le transfert massif des juifs des pays arabes vers Israël. En Algérie, leur première cible était Constantine, avec ses 25.000 à 30.000 juifs : il y avait presque autant de juifs à Constantine que dans les grandes villes israéliennes.

 

En mai 2005, le journal israélien Maariv citait un ancien officier du Mossad chargé de piloter l'opération. Cet officier affirme avoir recruté deux agents, Avraham Barzilaï et Shlomo Havilio, qui arrivent dans la région de Constantine début 1956, sous la couverture de modestes enseignants. Quatre mois plus tard, une grenade explose dans un café fréquenté par les Juifs de Constantine, rue de France. S'ensuit une opération de vendetta organisée par les cellules mises en place par le Mossad, selon l'officier en question. Les ratonnades font de nombreux morts. L'historien Gilbert Meynier, qui l'évoque dans une de ses études, et parle de «pogrom», est contraint à une longue mise au point. (Mise au point sur les événements de Constantine en 1956 (Gilbert Meynier) - études-coloniales).

 

Quel est le rôle exact de Raymond Leyris ? Difficile à dire. Mais l'homme surfe déjà sur une vague de célébrité et de respectabilité. Artiste adulé, il a atteint une renommée qui va au-delà des communautés. Il est le notable juif par excellence. Il garde le contact avec les arabes qui veulent préserver la communauté juive ; il reste l'interlocuteur des autorités coloniales au sein de la communauté juive ; il poursuit une activité clandestine avec le Mossad.

 

Mais peu à peu, les réseaux FLN acquièrent la certitude que Cheikh Raymond n'est plus un artiste aussi innocent. Il est partie prenante dans l'action de réseaux que le FLN n'arrive pas encore à identifier. Des témoins avaient vu des armes transportées à partir de chez lui, en pleine nuit.

 

Au FLN, la prudence reste de mise. Des consignes strictes sont données pour tenter de conserver de bonnes relations avec la communauté juive. Des contacts réguliers sont établis. Début 1961, le FLN envoie de nouveau un émissaire auprès des notables de cette communauté. L'émissaire envoie un message à Raymond Leyris, et prend rendez-vous. L'organisation fonctionne alors selon un cloisonnement très strict.

 

L'émissaire du FLN est tué alors qu'il gagnait le lieu du rendez-vous. Ce fait, troublant, intervient après d'autres évènements suspects. L'organisation du FLN en tire une conclusion : seul Raymond Leyris pouvait avoir organisé la fuite pour permettre aux autorités coloniales d'éliminer le responsable du FLN.

 

Les anciens moudjahidine de la Wilaya II, qui étaient opérationnels à ce moment là, sont toutefois formels : aucune instance du FLN n'a prononcé un verdict clair contre Raymond Leyris. Aucun responsable n'a, formellement, ordonné une exécution. Mais le doute planait, et dans le Constantine de l'époque, ce n'est qu'une question de temps. Le 22 juin 1961, neuf mois avant le cessez-le-feu, Raymond Leyris croise Amar Benachour, dit M'Djaker, membre d'une cellule locale de fidayine, qui l'abat en plein marché, devant des dizaines de témoins. La personnalité de Amar Benachour, l'homme qui a abattu Raymond Leyris, posera aussi problème. Il s'agit en effet d'un personnage qui répond peu au profil traditionnel du moudjahid. Benachour est plutôt un marginal, plus branché sur le «milieu» que sur les réseaux nationalistes. Ce qui a d'ailleurs jeté une ombre sur l'affaire : Benachour a vécu jusqu'au début du nouveau siècle, mais l'opération qu'il a menée a toujours été entourée de suspicion, certains n'hésitant pas à parler de provocation ou de manipulation. Plusieurs moudjahidine qui étaient dans la région au moment des faits continuent d'ailleurs à soutenir l'idée d'une manipulation.

 

La mort de Raymond Leyris accélère le départ massif des juifs de Constantine, un exode largement engagé auparavant par les catégories les plus aisées. Mais la mort de Raymond Leyris sonne également le début d'une opération de vengeance meurtrière, à laquelle Enrco Macias participe, selon des moudjahidine de la Wilaya II. Il est impossible d'établir exactement le bilan exact des expéditions punitives. En 1956, après l'attentat de la rue de Constantine, Gilbert Meynier n'écarte pas le chiffre de cent trente morts. En mai 1961, la même folie furieuse se déchaîne mais, curieusement, affirme un constantinois qui a vécu les évènements, les Juifs de Constantine étaient plus préoccupés par l'idée de départ que par la vengeance. A l'exception d'Enrico, qui garde un silence pudique sur cet période, se contenant d'évoquer la mémoire de Raymond Leyris, un homme innocent doublé d'un artiste qui aimait la vie, mais qui a été assassiné par le FLN, selon lui.

 

Selon cette image, très médiatique, Enrico lui-même n'était qu'un jeune homme amoureux de la vie et des filles, un modeste instituteur de campagne, devenu un immense artiste grâce à son talent. A Chelghoum Laïd, où il a enseigné, son nom est connu mais il est presque impossible de trouver des gens qui l'ont côtoyé. A Constantine, par contre, un spécialiste de la musique affirme que de nombreux «ouled el bled» lui rendent visite régulièrement en France.

 

Par ailleurs, le discours de Enrico Macias a longtemps bénéficié d'une cacophonie chez les responsables algériens, qui n'ont jamais adopté une position claire sur le personnage. En fait, côté algérien, plusieurs points de vue se côtoyaient : ceux qui faisaient l'éloge de l'artiste, ceux qui prônaient la réconciliation, ceux qui dénonçaient son soutien à Israël, et ceux qui étaient d'abord soucieux d'établir les faits historiques.

 

Un ancien haut fonctionnaire af-firme toutefois que Enrico n'avait aucune chance de revenir en Algérie. Les anciens pieds noirs étaient classés en plusieurs catégories, explique ce fonctionnaire. Enrico Macias fait partie d'une sorte de liste rouge officieuse, qui comporte les noms de militaires, colons et ultras ayant commis des exactions. Ceux-là ne peuvent pas entrer en Algérie, dit-il.

 

Autre détail troublant dans l'his toire d'Enrico : quand il sévissait au sein des «unités territoriales», il collaborait avec un personnage célèbre, Maurice Papon ! Celui-ci a en effet exercé comme préfet à Constantine, où il a contribué à organiser de redoutables escadrons de la mort. Milices, unités paramilitaires, escadrons de la mort, tout ce monde collaborait joyeusement quand il s'agissait de réprimer. Des témoins sont encore vivants.

 

Autre curiosité dans l'histoire de Enrico Macias en Algérie : les Ghenaïssia, sa famille, sont des Algériens pure souche, installés en Algérie depuis plusieurs siècles, affirme un historien. Ils se sont francisés à la faveur du décret Crémieux, qui offrait la citoyenneté française aux Juifs d'Algérie, en 1871. A partir de là, les Juifs se sont rapprochés de l'administration coloniale, accédant à l'école et à la citoyenneté. Mais une frange des Ghenaïssia a gardé son ancienne filiation, prenant le chemin inverse de celui de Enrico Macias.

 

Ainsi, Pierre Ghenaïssia, né à Cherchell, a rejoint les maquis du FLN en mai 1956 dans la région du Dhahra, entre Ténès et Cherchell. Il est mort au maquis un an plus tard dans la région de Chréa, près de Blida, comme combattant de l'ALN. A l'indépendance de l'Algérie, une rue de Ténès, sur la côte ouest, a été baptisée à son nom. Quelques années plus tard, elle a été rebaptisée rue de Palestine!

par Abed Charef

 

 

Enrico Macias et la guerre d'Algérie: Quand Gaston chassait du fellaga...

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Entièrement d'accord mais d'un autre coté en lui refusant l’accès on en fait une victime et c'est ce qu'ils attendent.

Les palestiniens qui ont quitté la Palestine en 47 sont interdits d'y retourner.

Les pieds noirs qui ont quitté l'Algérie en 62 peuvent y revenir.

Enrico Macias veut d'un coté défendre la politique d'Israel entre autre à Gaza et tout en sachant que cela ne plait pas à l'Algérie,il demande à y revenir et quand on le lui refuse il se présente en victime ça s'appelle tayhoudit:D

 

Bravo! Tu as bien résumé.

 

Je ne supporte vraiment plus les pleurnicheries de ce vieux c.on.

Selon moi, c'est un début de sénilité qu'il nous fait là.

S'il veut visiter son pays d'origine, il n'a qu'à le faire à ses frais et dans la discrétion. S'il voulait revenir par la grande porte, il n'avait qu'à ne pas afficher son sionnisme.

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  • 1 year later...
  • 11 months later...

Salut sekini

 

th10.jpgLe chanteur franco-israélien Enrico Macias espère toujours revisiter son pays natal, l’Algérie. Dans un entretien accordé à l’AFP à l’occasion de ses cinquante ans de carrière, l’artiste a affirmé qu’il vivait très mal de ne pas avoir pu revoir l’Algérie mais refuse de perdre espoir de la revoir un jour.

 

Une déclaration qui tombe très mal à un moment où plus de 140 Palestiniens dont un bon nombre de femmes et d’enfants ont été massacrés par l’Etat d’Israël que l’artiste de 74 ans soutient sans réserve et de façon ostentatoire, même si aujourd’hui il tente de tempérer un peu sa position.

 

“Je vis très mal cela, mais je ne ferme pas la porte à l’avenir, même à l’âge que j’ai. On ne sait jamais… Je me sens vexé, humilié, insulté. Je pense que le peuple algérien qui ne peut me voir depuis tant d’années l’est aussi. Je pense qu’un jour, ça va changer” a souligné le chanteur qui qui n’est plus revenu en Algérie depuis l’exil familial en 1961.

 

Enrico Macias impute cette situation à des “groupes extrémistes algériens qui voient très mal sa venue” en Algérie, se présentant comme le “symbole de l’exil” et rêvant de devenir “le symbole de la réconciliation de tous les enfants d’Algérie, les Pieds-noirs, les harkis, le peuple algérien…”. Rien que cela !

 

Celui qui a été fait “chanteur de la paix” par l’ancien secrétaire général de l’ONU, l’Autrichien Kurt Waldheim, a tenté à plusieurs reprises de concrétiser son rêve de venir dans son pays natal et sa région de Constantine qui l’a vu naître et grandir, mais à chaque fois, il y renonce devant la protestation d’une partie de la classe politique algérienne, et même de la société, en raison de son soutien inconditionnel à Israël.

 

Les Algériens ont pour rappel choqués par sa participation à une manifestation de soutien à Israël au moment où l’armée israélienne bombardait Ghaza, faisant plus de 1400 morts, dont des centaines de femmes et d’enfants.

 

J’ai toujours défendu mon peuple (Israël). Ce sont mes frères, mais je défends aussi les Palestiniens. J’estime qu’ils doivent avoir un pays eux aussi. On peut très bien vivre ensemble, Israéliens et Palestiniens. Je suis un homme tolérant. Mon message a toujours été universel, insiste Macias dans une tentative d’équilibrer un peu sa position.

[source Algérie 1 | Actualités, informations politiques et économiques algériennes en direct, Algerie1.com

 

L'humilité nous enseigne le pardon...

 

Que celui qui n'a pas pêché se présente, je dirais que c'est un menteur...

 

Reprocher telle ou telle citation de Macias, pourquoi pas?

 

A son âge, pourquoi lui refuser de revenir sur ses pas?

 

Que les uns soient pour et les autres contre n'a guère de poids...

 

A quoi bon rajouter de la douleur à la souffrance...

 

C'est pas...musulman...

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th10.jpgLe chanteur franco-israélien Enrico Macias espère toujours revisiter son pays natal, l’Algérie. Dans un entretien accordé à l’AFP à l’occasion de ses cinquante ans de carrière, l’artiste a affirmé qu’il vivait très mal de ne pas avoir pu revoir l’Algérie mais refuse de perdre espoir de la revoir un jour.

 

Une déclaration qui tombe très mal à un moment où plus de 140 Palestiniens dont un bon nombre de femmes et d’enfants ont été massacrés par l’Etat d’Israël que l’artiste de 74 ans soutient sans réserve et de façon ostentatoire, même si aujourd’hui il tente de tempérer un peu sa position.

 

“Je vis très mal cela, mais je ne ferme pas la porte à l’avenir, même à l’âge que j’ai. On ne sait jamais… Je me sens vexé, humilié, insulté. Je pense que le peuple algérien qui ne peut me voir depuis tant d’années l’est aussi. Je pense qu’un jour, ça va changer” a souligné le chanteur qui qui n’est plus revenu en Algérie depuis l’exil familial en 1961.

 

Enrico Macias impute cette situation à des “groupes extrémistes algériens qui voient très mal sa venue” en Algérie, se présentant comme le “symbole de l’exil” et rêvant de devenir “le symbole de la réconciliation de tous les enfants d’Algérie, les Pieds-noirs, les harkis, le peuple algérien…”. Rien que cela !

 

Celui qui a été fait “chanteur de la paix” par l’ancien secrétaire général de l’ONU, l’Autrichien Kurt Waldheim, a tenté à plusieurs reprises de concrétiser son rêve de venir dans son pays natal et sa région de Constantine qui l’a vu naître et grandir, mais à chaque fois, il y renonce devant la protestation d’une partie de la classe politique algérienne, et même de la société, en raison de son soutien inconditionnel à Israël.

 

Les Algériens ont pour rappel choqués par sa participation à une manifestation de soutien à Israël au moment où l’armée israélienne bombardait Ghaza, faisant plus de 1400 morts, dont des centaines de femmes et d’enfants.

 

J’ai toujours défendu mon peuple (Israël). Ce sont mes frères, mais je défends aussi les Palestiniens. J’estime qu’ils doivent avoir un pays eux aussi. On peut très bien vivre ensemble, Israéliens et Palestiniens. Je suis un homme tolérant. Mon message a toujours été universel, insiste Macias dans une tentative d’équilibrer un peu sa position.

[source Algérie 1 | Actualités, informations politiques et économiques algériennes en direct, Algerie1.com

 

Qu'il aille en enfer lui est ses frères sioniste!

Quand les bombes d’Israël bruler les vivants de Ghaza; il s'est trouvé comme excuse de dire que c'est "légitime"!= mon c.....!

 

et moi de mon coté si un jour je sache que tu vas mettre tes pieds en Algérie

se sera le crime de ma vie:ranting2::ranting2::ranting2:

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Salut sahraoui

 

Qu'il aille en enfer lui est ses frères sioniste!

Quand les bombes d’Israël bruler les vivants de Ghaza; il s'est trouvé comme excuse de dire que c'est "légitime"!= mon c.....!

 

et moi de mon coté si un jour je sache que tu vas mettre tes pieds en Algérie

se sera le crime de ma vie:ranting2::ranting2::ranting2:

 

De qui parles-tu?

 

De mes pieds des siens?

 

Tu vas bien mon ami?

 

Je compte me rendre en Kabylie ce printemps et peut-être aller faire un tour dans le désert?

 

A moins que tu ne fasses valoir ton droit de veto...

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