clairvoyant 10 Posted November 29, 2012 Partager Posted November 29, 2012 bonjour C'est dommage de constater le parti pris de Obama. Comparer des roquettes artisanales avec des bombardiers , c'est incroyable. C'est le lobby juif , mais Kennedy a fait mieux. Citer Link to post Share on other sites
Ladoz 11 Posted November 29, 2012 Partager Posted November 29, 2012 bonjour C'est dommage de constater le parti pris de Obama. Comparer des roquettes artisanales avec des bombardiers , c'est incroyable. C'est le lobby juif , mais Kennedy a fait mieux. Obama ne fait que son boulot .... Le problème réside en ceux qui auraient pu croire un seul instant qu'il prendrait une toute autre position ! Les USA sont une dictature lobbyiste institutionnalisée ! PS : Peut-être que c'est parce qu'il a "fait mieux" que Kennedy a été exécuté . Citer Link to post Share on other sites
Zoubir8 174 Posted November 29, 2012 Partager Posted November 29, 2012 bonjour C'est dommage de constater le parti pris de Obama. Comparer des roquettes artisanales avec des bombardiers , c'est incroyable. C'est le lobby juif , mais Kennedy a fait mieux. Extrait d'un ouvrage sur la force du lobby sioniste. Un lobby parmi tant d'autres, dans cette Amérique où les groupes de pression font partie intégrante de la vie démocratique? Oui, mais il jouit d'un atout dont aucun ne dispose : la concentration électorale. «Depuis 1876 (sauf Wilson en 1916) — écrira à Truman, en 1947, son conseiller Clark Clifford — aucun candidat ayant perdu New York n'a gagné la Présidence»23. Or ce qui vaut pour New York s'applique, à des degrés divers, à plusieurs autres Etats. Pas plus donc que les présidentiables, les postulants à la Chambre des Représentants ou au Sénat, les candidats-maires ou gouverneurs, les appareils des partis, voire les directeurs de journaux et de radios ne sauraient mésestimer le poids de l'électoral juif et, au-delà, celui des autres Américains sensibles au destin des survivants du génocide. Rien d'étonnant à ce que, durant ces années, au bas des pétitions des amis de Wise et Silver, se soient retrouvées les signatures de quelque soixante sénateurs, deux cent cinquante représentants, sans compter les gouverneurs et les maires, et ce avec l'appui de toute la presse, mis à part le New York Times. De ce quotidien, et sous la plume de James Reston, un jugement selon lequel l'attitude de Harry Truman — mais ne s'applique-t-il pas également à Frankiin D. Rooseveit? — «illustre l'influence de la politique intérieure sur la politique extérieure des Etats-Unis, et démontre les limites de la théorie selon laquelle la politique s'arrête au bord de l'eau»2*. Le premier ministre britannique Attlee n'hésita d'ailleurs pas à formuler publiquement le même reproche, en termes encore plus désobligeants. Mais l'intéressé lui-même ne reconnut-il pas qu'il était fondé ? Recevant un jour les ambassadeurs américains dans les pays arabes, venus se plaindre des conséquences des déclarations pro-sionistes, Harry Truman rétorqua franchement : «Je suis désolé, Messieurs, mais j'ai à répondre à des centaines de milliers qui se soucient du succès du sionisme; je n 'ai pas des centaines de milliers d'Arabes parmi mes électeurs »25!... Propos pertinentissime s'agissant de la présidentielle de 1948, qui s'annonce difficile pour Truman — même pas assuré, faute de l'autorité indiscutée d'une élection, de l'investiture démocrate. Un temps, le partage lui parut donc sans doute la position la plus équilibrée entre les pressions qu'il subissait, et la plus rentable. p 127 in «*Palestine 47 un partage avorté*» Alain Gresh, Dominique Vidal Editions Complexe. 1994. Citer Link to post Share on other sites
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