bien sur 10 Posted December 1, 2012 Partager Posted December 1, 2012 il a toujours des condepts et des phrases assassines. je propose donc de les rassembler ici au fil du temps .et votre interprétation ou votre contre feu pour peut etre aider ses contradicteurs .car il agit comme un meneur d opinions et ses themes sont repris a grande echelle. j ecoutais donc ce matin et il concluait en voulant defendre la tauromachie "Les nazis n'allaient pas a la corrida mais à l 'opéra " Dans la foulée je propose de rappeler que les nazis n'allaient pas à la mosquée mais à l'église. voila pour ce matin .à vous lire Citer Link to post Share on other sites
bien sur 10 Posted December 2, 2012 Author Partager Posted December 2, 2012 finkie avait pour ligne strategique de poser un voile pudique sur la droite vichyste. il preferait etablir des relations amicales avec l extreme droite classique meme si antisemite. on connait sa defense de renaud camus qui avait trouvé qu il y avait trop de juifs a france culture. mais il a trouvé un soutien avec sarko qui avait ouvert la voie a Buisson.on a encore les soubresauts de cette union a l ump. alos je vous propose ici de rappeler certains ecrits de buisson On connaît moins l’autre facette de Patrick Buisson, l’écrivain, président de la petite chaîne Histoire (propriété de TF1), intarissable sur la sexualité des Français sous Vichy. Dans les deux tomes de ses Années érotiques 1940-1945, ce catholique, fervent défenseur de la messe en latin, brosse le tableau d’une France en pâmoison devant l’occupant nazi, couchée devant (ou avec) le bel ennemi blond et germanique. Avec l’historien Buisson, ce n’est plus la zone occupée, c’est partout la zone érogène : « En cet été 1940, la France entière est transformée en un immense camp naturiste (…). Du matin au soir, les soldats allemands sont nus (…). L’ennemi n’est plus cette créature d’épouvante, idéologisée à l’extrême, mais un corps à l’antique, délié et agile, musclé et harmonieux, sculpté par une même esthétique, façonné par une même discipline ; autant dire un objet de désir. » Quand on lui demande s’il ne s’est pas laissé emporter par sa plume agile , le conseiller très droitier de Nicolas Sarkozy appelle en renfort Simone de Beauvoir, sensible à la « gentillesse toute spontanée et amicale et ronde » des vainqueurs. Soit, mais on est quand même loin de la « fureur utérine » décrite de page en page dans cette France vaincue, un lupanar où l’auteur voit surtout des « femmes qui acceptent d’emblée le contact avec la troupe ennemie, sans parler de celles qui le provoquent ». L’amusement qu’on peut prendre, aux tout premiers chapitres, à lire la prose d’un « catholique de tradition », comme se définit Patrick Buisson, fantasmant sur la canne « phallique » du Maréchal Pétain et sur « la toute beauté païenne » de soldats allemands « à qui la victoire confère grâce et magnificence », s’estompe à mesure que la misogynie de l’auteur recouvre le récit. Patrick Buisson et le vice Vichy - Idées - Télérama.fr Citer Link to post Share on other sites
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