Zoubir8 174 Posted December 10, 2012 Partager Posted December 10, 2012 Quelle exploitation: 750 hectares, techniques modernes. TOP 50 DES VIDEOS: Superbe vidéo de semis direct à Sétif. Bravo aux cadres agricoles de Sétif qui ont su impulser une véritable dynamique afin de vulgariser cette technique qui peut ... nous sauver. Eh oui, les mots ne sont pas trops forts. Semis direct au Maroc. Reportage en langue arabe. Témoignage Algérie A. Benhamadi Agriculteur, Benbadis, Constantine (Algérie) I – Présentation Je me présente Abdelatif Benhamadi, Agriculteur à Benbadis Wilaya de Constantine et à Aïn Makhlouf, Wilaya de Guelma. II – Témoignage Mon témoignage porte sur mon expérience dans le domaine des semis direct et simplifié. Cette expérience débuta il y a de cela 3 ans, lorsque je décidais d’abandonner totalement le labour profond conventionnel pour me consacrer exclusivement au travail simplifié et au non labour. Plusieurs raisons furent à l’origine de ce changement, dont entre autres : (i) Le semis direct sous couvert diminue fortement la consommation du carburant à l’hectare. (ii) Il diminue le nombre d’heures de travail ainsi que les besoins en main d’oeuvre, tout en allongeant la vie des tracteurs. (iii) Les rendements changent peu, sinon ils sont plus élevés qu’en le labour conventionnel ; ce qui est favorable à la sécurité alimentaire du pays. (iv) La production est plus régulière, permettant d’avoir une idée du potentiel réalisable et des possibilités d’amélioration pour son atteinte. (v) Il y a un retour progressif vers une biodiversité. (vi) Le semis direct permet une lente restauration de la matière organique, ce qui contribue à restaurer la fonction «puits de carbone» du sol, permettant ainsi à l’agriculteur de contribuer à réduire de l’impact des modifications climatiques. (vii) Le sol est plus résiliant face aux aléas climatiques, en particulier vis-à-vis de la sécheresse. J’ai tout d’abord commencé, en 2008/2009, avec un essai sur 84 ha, en utilisant le semoir de semis direct prêté par l’Institut Technique des Grandes Cultures (ITGC). Les résultats de cette expérience furent assez encourageants, j’ai obtenu un rendement grain moyen de 34 q ha-1. Ceci malgré un semis tardif, fait dans des conditions très sèches, suite à l’avènement très tardif des pluies automnales. Au vu de ces résultats encourageants, j’ai acheté mon propre semoir. Pour cette campagne 2009-2010, j’ai emblavé 240 ha de blé sur différents précédents dont le blé, la lentille, la féverole et le pois fourrager. Le reste de mes terres, soient 510 ha, ont été emblavées en utilisant les techniques culturales simplifiées. La végétation, à la fin de ce mois d’avril 2010, est assez satisfaisante. En SD et TCS, en plus d’un engraissement conséquent, j’ai réalisé des résultats très positifs en 2008/2009 sur l’ensemble de mes 750 ha. Pour la campagne 2009-2010, les résultats sont plus que prometteurs. 90 Options Méditerranéennes, A no. 96, 2010 Citer Link to post Share on other sites
Zoubir8 174 Posted December 10, 2012 Author Partager Posted December 10, 2012 «Je m’inspire beaucoup des techniques françaises» Khaled Yacine Bachtarzi. Meilleur producteur céréalier à Guelma Lyès Mechti El Watan : 19 - 06 - 2012 Khaled Yacine Bachtarzi a été retenu, cette année, parmi les rares céréaliculteurs qui ont produit jusqu'à 80 quintaux de blé à l'hectare. Il nous parle, dans cet entretien, de son expérience et des techniques qui lui ont permis de réaliser cette prouesse. - Parlez-nous un peu des performances que vous avez réalisées… Actuellement, je tourne autour de 70 à 80 quintaux à l'hectare en blé tendre, surtout pour la variété HD 1220. Je suis champion dans ma région et mes performances ont été progressives, passant de 39 à 42 q, puis 44 q avec des pics de 54 q à 58 q sur de petites parcelles. Cette année, je suis arrivé à plus de 70 q à l'hectare. - Quel est le secret de cette performance ? Il est beaucoup plus lié à la préparation du lit de semence, le savoir-faire, le désherbage d'appoint au moment opportun, sans oublier bien sûr le concours du bureau d'études Syngenta Algérie qui nous a accompagnés et a fait un travail de vulgarisation de l'utilisation de produits agricoles. L'utilisation préventive des fongicides pour le traitement des maladies est aussi pour beaucoup dans les performances que j'ai réalisées. Je dois aussi préciser que je m'inspire beaucoup des techniques françaises, en ce sens que la France demeure un modèle dans céréaliculture. - Qu'en est-il du blé dur ? En blé dur, j'exploite de petites surfaces de 10 ou 15 hectares seulement, où je réalise quelques pics de 50 q. Mais l'incitation des 1000 DA de différence entre le prix garanti pour le blé tendre et le blé dur à la collecte m'a poussé à reprendre la production du blé dur. - Quel type d'irrigation utilisez-vous ? Cela fait trois ans que j'utilise une irrigation d'appoint. Mais beaucoup plus en avril, lorsque la pluviométrie diminue. - Quelles sont les conditions techniques pour améliorer les rendements ? Nous avons actuellement une perte flagrante de production estimée à hauteur 30% qu'on peut récupérer bien sûr. Mais cela demande une bonne préparation des lits de semence avec un matériel un peu spécifique et des semoirs plus performants. C'est une affaire de densité au mètre carré. Pour réduire les pertes, en ce qui me concerne, je fais deux passages en désherbant et trois en fongicide, avec une rampe de pulvérisateurs de 12 mètres. Par contre, avec des pulvérisateurs de 24 mètres, on peut éviter l'empiétement des céréales. Mais les grandes pertes actuellement, estimées entre 10 et 15%, sont engendrées par les moissonneuses-batteuses qui sont conçues pour des récoles de 15 à 25 quintaux à l'hectare. Ce sont d'anciens modèles, alors que la norme aujourd'hui est à l'euro 3 et l'euro 4, disposant de secoueurs. Citer Link to post Share on other sites
csagrimat 10 Posted April 29, 2013 Partager Posted April 29, 2013 Je représente une nouvelle génération de semoirs de semis direct. Le sillon en T inversé dépose la graine et le fertilisant en un seul passage entre 8 et 12 km/h et des perturbations minimes (presque invisibles) Citer Link to post Share on other sites
csagrimat 10 Posted April 29, 2013 Partager Posted April 29, 2013 Pas mal ! 750 ha en semis direct, vous devez avoir un matériel en conséquence ! mais pas encore le nôtre... Citer Link to post Share on other sites
Zoubir8 174 Posted April 30, 2013 Author Partager Posted April 30, 2013 Je représente une nouvelle génération de semoirs de semis direct. Le sillon en T inversé dépose la graine et le fertilisant en un seul passage entre 8 et 12 km/h et des perturbations minimes (presque invisibles) Intéressant. Pourriez vous insérer une photo ou une vidéo. Merci. Citer Link to post Share on other sites
csagrimat 10 Posted May 7, 2013 Partager Posted May 7, 2013 Intéressant. Pourriez vous insérer une photo ou une vidéo. Merci. Bonjour Merci de prendre contact avec nos équipes par mail infos@csagrimat.com Citer Link to post Share on other sites
csagrimat 10 Posted May 7, 2013 Partager Posted May 7, 2013 Bonjour Merci de prendre contact avec nos équipes par mail infos@csagrimat.com Nous sommes une entreprise française spécialiste dans la fabrication des semoirs de semis direct innovants. Nos semoirs utilisent les techniques du sillon en « T inversé » qui permet un placement de la graine et du fertilisant en une seule passe et ceci à une vitesse de croisière entre 8 et 12 km /h Nos machines sont « très en avance » sur celles des autres constructeurs car nous avons développé un système performant de commande L’hydraulique, l’électronique et l’informatique constituent, en plus d’une mécanique fiable, les outils d’une gestion performante du semoir. Notre projet est de proposer aux agriculteurs algériens des machines de cette technologie qui leur permet une très grande amélioration des rendements des cultures de céréales par la gestion optimale des techniques de semis direct sous couvert végétal. Nous avons appris que l’Algérie fabrique ses propres tracteurs condition de réussite de l’agriculture. Nous pouvons organiser une visite d’une ferme dans notre région et une rencontre avec des agriculteurs utilisateurs de nos machines pour favoriser un échange de techniques et de procédés et réaliser un transfert de technologie supplémentaire. Merci de nous répondre et de diffuser ce message auprès de votre groupe pour que ce projet puisse avancer. Bien Cordialement infos@csagrimat.com Citer Link to post Share on other sites
Zoubir8 174 Posted May 7, 2013 Author Partager Posted May 7, 2013 Photo trouvée sur le Net: Citer Link to post Share on other sites
Zoubir8 174 Posted May 7, 2013 Author Partager Posted May 7, 2013 J'ai entendu parlé des semoirs Aitchison avec le T inversé pour semer. - cela protégerait la graine, - mais ce serait pour rénover d'anciennes prairies comme en Nouvelle Zélande selon la doc. Ce serait intéressant de voir ce que cela donne dans les conditions algériennes. http://agriculture-de-conservation.com/sites/agriculture-de-conservation.com/local/cache-vignettes/L400xH231/aitchison-sillon-T-a22e9.jpg[/url http://agriculture-de-conservation.com/sites/agriculture-de-conservation.com/local/cache-vignettes/L400xH206/aitchison-sillon-V-2d04e.jpg La technique Aitchison AC2 le site de l'agriculture de conservation des sols. La dent La solution est de créer un lit de semence en bandes avec un soc en forme de patte d’oie monté sur une dent à deux spires. Ce système, qui est moins cher à l’achat et d’entretien très simple, permet surtout d’obtenir des résultats techniques impressionnants. Le soc pénètre le feutre herbacé, dégage les débris végétaux et taille les racines présentes. Les graines sont ensuite déposées au fond du sillon où elles restent en contact avec l’humidité. La vibration de la dent crée de la terre fine qui recouvre les graines. Le sillon est légèrement refermé, ce qui laisse un sillon en forme de T-inversé. Ce sillon capte et conserve l’humidité mais laisse également la lumière pénétrer pour un bon réchauffement. La bande ainsi créée est l’environnement idéal pour la germination et le développement racinaire, et permet de réussir l’implantation. Sillon en T inversé JPEG - 61.9 ko Aitchison sillon T Bonne germination + meilleur enracinement = belle implantation Le soc dégage la végétation et taille les racines de l’herbe existante en sursemis. Le sillon capte l’humidité et retient la chaleur. Sillon en V JPEG - 27.9 ko Aitchison sillon V Avec un disque on ne crée pas un lit de semence idéal, ni pour la germination, ni pour l’enracinement Les graines sont coincées dans un sillon étroit et tassé. Il y a moins de terre fine. Un disque risque d’enfouir le débris végétal dans le sillon avec les graines. La distribution JPEG - 59.3 ko Après le soc, la seconde particularité du semoir Aitchison est la méthode de distribution des semences. C’est un système de débit par éponge qui sème toutes les graines avec une précision étonnante, depuis un trèfle pur à 2 kg/ha, jusqu’à 350 kg/ha pour les grosses graines. Facile à régler avec un variateur de vitesse très simple, ce système sème en continu sans écraser les graines fragiles comme les pois ou les féveroles. On peut également semer n’importe quel mélange de grosses et petites graines, ou encore des granulés anti-limaces mélangés aux semences. Citer Link to post Share on other sites
Zoubir8 174 Posted May 7, 2013 Author Partager Posted May 7, 2013 Bonjour Merci de prendre contact avec nos équipes par mail infos@csagrimat.com Merci d'avoir laissé vos coordonnées. D'après des amis céréaéliers, la technique du "T" inversé est très intéressante. Citer Link to post Share on other sites
csagrimat 10 Posted May 7, 2013 Partager Posted May 7, 2013 Merci d'avoir laissé vos coordonnées. D'après des amis céréaéliers, la technique du "T" inversé est très intéressante. Merci il est temps de profiter de ces techniques pour améliorer la fertilité des sols, économiser l'eau, protéger les sols.... Citer Link to post Share on other sites
csagrimat 10 Posted May 10, 2013 Partager Posted May 10, 2013 Merci il est temps de profiter de ces techniques pour améliorer la fertilité des sols, économiser l'eau, protéger les sols.... Message à Zoubir8 : Comment pourrions nous prendre contact avec les agriculteurs algériens et leur proposer des partenariats technologiques ? Merci Citer Link to post Share on other sites
Zoubir8 174 Posted May 10, 2013 Author Partager Posted May 10, 2013 Message à Zoubir8 : Comment pourrions nous prendre contact avec les agriculteurs algériens et leur proposer des partenariats technologiques ? Merci D'après un ami, il faut contacter: - l'ITGC à Alger (un institut technique), - un groupe d'agriculteurs et de techniciens sur SETIF. Association Trait d'Union (A.T.U). L'agriculture de conservation démarre fort en Algérie http://www.agriculturedeconservation.com agriculture-de-conservation.com/L-AC-bien-presente-en-Algerie.html?... Les membres de l'association Trait d'union ont déjà développé des solutions de semis direct, la culture continue (abandon de la jachère), des associations ... Plus d'infos dès que j'en ais. Résultats en tapant "semis direct trait d'union" sur google. Trait d'Union Paysan » semis direct http://www.tup31.com/tag/semis-direct/ 21 oct. 2010 – Beaucoup de monde pour cette première expérience de comparaison de différents outils de semis direct en conditions réelles ... rencontre du semi direct a setif • DzAgro :: site web :: http://www.dzagro.net/forums/viewtopic.php?t=1442 8 avr. 2010 – les 4 éme rencontres du semi direct seront organise a sétif du 03 au 05 mai 2010 par l'association trait d'union. lamouchi lazhar: Expert Expert ... RCM: 6ème Journée Nationale de l'Agriculture de Conservation ... http://www.forum-algerie.com/economie/www.rcmed.org/index.php?id=57&tx_ttnews%5Btt...13&tx... L'association Trait d'Union a organisé, en collaboration avec l'INRAA, l'ITGC, ... organisée en des visites de sites d'agriculteurs pratiquant le semis direct. Ciheam Zaragoza Semis Direct Setif listes des fichiers PDF ciheam ... http://www.extpdf.com/ciheam-zaragoza-semis-direct-setif-pdf.html Cas pratique 2 : Effets du semis direct concernant la fertilisation des céréales . ... Algérie : Association Trait d'Union (Sétif) en relation avec l'ITGC et l'INRAA . Résultats pour des recherches similaires Citer Link to post Share on other sites
csagrimat 10 Posted May 10, 2013 Partager Posted May 10, 2013 D'après un ami, il faut contacter: - l'ITGC à Alger (un institut technique), - un groupe d'agriculteurs et de techniciens sur SETIF. Association Trait d'Union (A.T.U). L'agriculture de conservation démarre fort en Algérie http://www.agriculturedeconservation.com agriculture-de-conservation.com/L-AC-bien-presente-en-Algerie.html?... Les membres de l'association Trait d'union ont déjà développé des solutions de semis direct, la culture continue (abandon de la jachère), des associations ... Plus d'infos dès que j'en ais. Résultats en tapant "semis direct trait d'union" sur google. Trait d'Union Paysan » semis direct http://www.tup31.com/tag/semis-direct/ 21 oct. 2010 – Beaucoup de monde pour cette première expérience de comparaison de différents outils de semis direct en conditions réelles ... rencontre du semi direct a setif • DzAgro :: site web :: rencontre du semi direct a setif • DzAgro :: site web :: 8 avr. 2010 – les 4 éme rencontres du semi direct seront organise a sétif du 03 au 05 mai 2010 par l'association trait d'union. lamouchi lazhar: Expert Expert ... RCM: 6ème Journée Nationale de l'Agriculture de Conservation ... http://www.forum-algerie.com/economie/www.rcmed.org/index.php?id=57&tx_ttnews%5Btt...13&tx... L'association Trait d'Union a organisé, en collaboration avec l'INRAA, l'ITGC, ... organisée en des visites de sites d'agriculteurs pratiquant le semis direct. Ciheam Zaragoza Semis Direct Setif listes des fichiers PDF ciheam ... http://www.extpdf.com/ciheam-zaragoza-semis-direct-setif-pdf.html Cas pratique 2 : Effets du semis direct concernant la fertilisation des céréales . ... Algérie : Association Trait d'Union (Sétif) en relation avec l'ITGC et l'INRAA . Résultats pour des recherches similaires Merci pour les infos mais ce sont plutot des exploitants agricoles que nous recherchons, pour le reste mes collègues s'en occuppent. Citer Link to post Share on other sites
Zoubir8 174 Posted May 10, 2013 Author Partager Posted May 10, 2013 Merci pour les infos mais ce sont plutot des exploitants agricoles que nous recherchons, pour le reste mes collègues s'en occuppent. Concernant les exploitants agricoles, à mon avis l'Association Trait d'Union est la structure la plus dynamique en la matière et la plus proche du terrain et la structure qui compte le plus d'exploitants. A noter l'ONG parisienne FERT qui mène des actions locales en Algérie. Autres canaux: - le blog d'El Watan "Paysans d'Algérie" - forums algériens à dominante agricole. Citer Link to post Share on other sites
Bourourou 11 Posted May 10, 2013 Partager Posted May 10, 2013 Message à Zoubir8 : Comment pourrions nous prendre contact avec les agriculteurs algériens et leur proposer des partenariats technologiques ? Merci Il y a les DSA qui sont des organisations administratives du Ministère de l'agriculture. Il y aussi les chambres de l'agriculture dans chaque wilaya. Personnellement, je fais partie d'un groupe de champ école; un programme piloté par la FAO. Ces groupes sont encadrés par des experts formés et je crois qu'ils font partie de l'INPV. Il me semble qu'ils sont plus receptifs aux nouvelles techniques. Envoie moi de la doc et je toucherais un mot. Actuellement je suis en voyage. Je ne retourne en Algérie qu'à partir du 25 mai. Moi je suis dans l'arboriculture et l'élevage. Je serais intéressé par une vulgarisation sur l'utilisation des techniques d'ensilage et hydroponique. Citer Link to post Share on other sites
Zoubir8 174 Posted May 10, 2013 Author Partager Posted May 10, 2013 Il y a les DSA qui sont des organisations administratives du Ministère de l'agriculture. Il y aussi les chambres de l'agriculture dans chaque wilaya. Personnellement, je fais partie d'un groupe de champ école; un programme piloté par la FAO. Ces groupes sont encadrés par des experts formés et je crois qu'ils font partie de l'INPV. Il me semble qu'ils sont plus receptifs aux nouvelles techniques. Envoie moi de la doc et je toucherais un mot. Actuellement je suis en voyage. Je ne retourne en Algérie qu'à partir du 25 mai. Moi je suis dans l'arboriculture et l'élevage. Je serais intéressé par une vulgarisation sur l'utilisation des techniques d'ensilage et hydroponique. Mr Bourourou, il fallait me dire que vous recherchiez des infos sur la technique de "l'orge germée". Je voulais justement mettre des messages sur cette techniques. Quelques remarques: - dans un garage quelques plataux suffisent, - attention il y aurait risque de développement de moisissures (aflatoxine), pas bon pour les chevaux. A suivre. Ces moisissures se développent si la culture est trop vieille. A suivre. Séminaire sur la culture hydroponique de l’Orge fourragére visité 332 fois , 3 Visites aujourdhui Start Date: February 17, 2013 End Date: February 17, 2013 Time: 10:00 am to 2:00 pm Location: Hotel Nour Palace Mahdia Tunisie Add to my calendar Location Map Image Gallery Description Entreprendre dans le domaine de l’élevage ne semble plus rentable de nos jours. En effet, les prix élevés des fourrages ne permettent pas aux producteurs de réaliser des chiffres d’affaires suffisants pour se développer et pérenniser leurs activités. Une grande partie de ces produits est importée dans la mesure où la production nationale des produits fourragers ne permet plus de couvrir les besoins alimentaires du bétail. Pour palier ces problèmes, la Culture hydroponique de l\'orge fourragère peut être une solution. C’est une nouvelle technologie pour la production fourragère au moindre coût. Dans cette optique, la Jeune Chambre Internationale de Mahdia organise en partenariat avec l\'Association Transparence Mahdia un séminaire sur la « Culture hydroponique de l\'orge fourragère / الشعير المستنبت» qui sera présenté par le conseiller Mohamed Jadlaoui président de l\'Association des Solutions Stratégique pour le Développement. Le programme du séminaire qui se déroulera le dimanche 17 Février 2013 est le suivant: 09h30 : Acceuil et inscription 10h00 : Présentation sur la Culture hydroponique de l\'orge fourragère 11h00 : Pause café 11h30 : Débat sur l’efficacité de la nouvelle technologie 12h30 : Opportunité d’investir dans ce type de projet 13h30 : Clôture du séminaire Votre présence nous honore. Organizers Organized by : JCI Mahdia Citer Link to post Share on other sites
Zoubir8 174 Posted May 10, 2013 Author Partager Posted May 10, 2013 Culture hydroponique d'herbe fraîche pour herbivores Un concept d’entreprise à exploiter ou …distribuer Culture hydroponique d'herbe fraîche pour herbivores Un concept d’entreprise à exploiter ou …distribuer Même en plein désert, il est désormais possible de fournir, tous les jours, de l'herbe fraîche aux moutons, vaches, chevaux, etc. La solution, mise au point par des australiens : une chambre de culture hydroponique semi-automatisée comprenant plusieurs plateaux sur lesquels les semences sont étalées chaque jour de façon à permettre la production d'herbe fraîche et pleine de minéraux, en quantité suffisante pour l'alimentation quotidienne des herbivores. Des semences aux jeunes pousses prêtes à consommer, 6 jours suffisent. Les dimensions de la chambre de culture sont fonction du volume d'herbe nécessaire. Idéal pour les régions au climat extrême, mais aussi en zone tempérée pendant les mauvaises saisons. Fonctionnement : Des semences de céréales et légumineuses sont étalées sur les plateaux de culture spécialisée et arrosées automatiquement à intervalles pré-établis grâce à des pulvérisateurs intérieurs. Un niveau de température est maintenu en permanence dans la chambre pour assurer la meilleure croissance et valeur nutritionnnelle possible au fourrage. Chaque jour, le seul travail de l'opérateur est de faire glisser l'herbe prête, hors des plateaux , de passer les plateaux à l'eau, puis de ré-ensemencer de nouveau. Le système comporte suffisamment de plateaux pour fournir la quantité de fourrage nécessaire chaque jour. Les semences sélectionnées germent en 24 h et poussent sur leur plateau d'origine pendant 6 jours. Les jeunes pousses qui sont alors d'une hauteur de 15 à 20 cm et forment un véritable tapis, sont prêtes à être récoltées. Tout est consommable, y compris les racines, si bien qu'il n'y a aucun déchet. Il n'y a rien à ajouter d'autre. La qualité de l'herbe fournit tous les éléments nutritifs nécessaires aux herbivores, et constitue un aliment vivant. Energie : Un courant simple phase de 15 ampères suffit, et les chambres de culture sont livrées prêtes à fonctionner, une fois qu'elles sont branchées au cable d'entrée de 15 amp. Le système ne coûte pas plus de 2€ /Jour en frais d'électricité, du fait de sa très bonne isolation et de sa conception qui a privilégié la faible consommation en énergie. Il peut être installé en extérieur, mais on obtient de meilleurs résultats, avec de plus faibles coûts de fonctionnement s'il peut être mis sous un abri, ou au moins hors du soleil direct pendant les mois les plus chauds. Des solutions d'énergie alternative (solaire ou éolien) peuvent être fournies pour les régions où l'électricité est trop chère ou pas disponible. Travail de l'opérateur Selon les dimensions de la chambre de culture, le temps de travail va de 15 à 60 minutes par jour, pour récolter, nettoyer et re-ensemencer le système. capacité de production : de 25 kg à 3 000kg par jour. Il existe 8 options de système transportable :25kg/j, 40, 60, 100, 120, 150, 250 et 300 kg. Les autres sont fixes. Consommation en eau : Econome en eau : 2 à 3 litres d'eau suffisent à produire 1 kg d'herbe fraîche. Les méthodes de culture traditionnelle nécessitent environ 80 litres d'eau pour cette même quantité. Tout type d'eau propre peut convenir : eau de pluie, eau de barrage, eau d'irrigation et du robinet. S'il est nécessaire de traiter l'eau, des filtres et systèmes de purification d'eau peuvent être fournis. Bénéfices notables pour les animaux meilleure santé générale augmentation de la production de lait (vaches laitières) augmentation de la fertilité diminution des soins vétérinaires augmentation du poids L'opportunité : a) De nombreux agriculteurs et éleveurs, partout dans le monde, se trouvent confrontés au problème d'alimentation de leur cheptel, et dépensent énergie, temps et argent pour des solutions de pis-aller. Vous leur proposerez cet équipement. b) La chambre de culture peut aussi être utilisée pour faire pousser des légumineuses et céréales germées - recommandées pour une alimentation humaine revivifiante- alfafa, blé, etc.. Temps de culture : seulemen t4 jours des semences à la récolte. En vous dotant de ce système, vous pourrez approvisionner les magasins diététiques, les marchés bio, les particuliers soucieux de leur alimentation, et même les rayons bio des grandes surfaces, en jeunes pousses garanties sans engrais, à un prix très abordable, et pour un minimum de travail quotidien. Prix A moins de 5000 € pour une chambre de culture produisant 40 kg de fourrage frais par jour.(16 000 Eur pour une unité de 300 KG/jour) Citer Link to post Share on other sites
Bourourou 11 Posted May 10, 2013 Partager Posted May 10, 2013 C'est bien toutes ces infos de types informatives ! Moi je cherche de la pratique. Comment faire en utilisant les matériaux de tous les jours ! Comment mettre en place le système d'irrigation. Comment enrichir l'eau, quoi mettre et à quelles proportions. Actuellement, j'ai un grand dépôt de vente et distribution d'aliments de bétails dans la Mitidja : Avicole, ovin, bovin, cunicole, camelin. Je fabrique les litières pour bétail. Je veux pouvoir produire à moindre frais de l'herbe fraîche pour ovin et bovin. J'entame un voyage en Chine pour voir entre-autres cette technique. J'espère ramener des infos de type pratique et s'il y'a des choses à acheter je le ferai (A partir de mes comptes bancaires à l'etranger :D "argent volé par un prédateur") pour essayer de monter quelque chose en Algérie ! Citer Link to post Share on other sites
Zoubir8 174 Posted May 12, 2013 Author Partager Posted May 12, 2013 Pour alimenter la discussion. http://agriculture.gouv.fr/local/cache-vignettes/L688xH516/SEMEATO_cle0e4f81-3eba6.jpg La Vidéo: purée quel bête cet engin. Rassurez vous, il y a plus petit... Citer Link to post Share on other sites
Zoubir8 174 Posted May 12, 2013 Author Partager Posted May 12, 2013 En Algérie, si tu procèdes de la sorte, les gens vont te prendre pour un fou. Mais pourtant, d'après les spécialistes, cet agriculteur est dans le vrai. Citer Link to post Share on other sites
Zoubir8 174 Posted May 20, 2013 Author Partager Posted May 20, 2013 Il y a les DSA qui sont des organisations administratives du Ministère de l'agriculture. Il y aussi les chambres de l'agriculture dans chaque wilaya. Personnellement, je fais partie d'un groupe de champ école; un programme piloté par la FAO. Ces groupes sont encadrés par des experts formés et je crois qu'ils font partie de l'INPV. Il me semble qu'ils sont plus receptifs aux nouvelles techniques. Envoie moi de la doc et je toucherais un mot. Actuellement je suis en voyage. Je ne retourne en Algérie qu'à partir du 25 mai. Moi je suis dans l'arboriculture et l'élevage. Je serais intéressé par une vulgarisation sur l'utilisation des techniques d'ensilage et hydroponique. Bourourou, j'ai trouvé cela sur le Net. C'est une assoc Frères des Hommes qui organise le projet. Bolivie : culture hydroponique projet hydroponie Objectif : Promouvoir la culture de fourrage vert hydroponique ( FVH ) pour obtenir davantage de têtes de bétail et ne pas subir les effets de la sécheresse, dans le cadre d’un développement durable. Activités principales : Construction de 22 serres pour produire du FVH pour 22 familles productrices de l’association locale ORLIPA (du 2ème au 5ème mois de l’action) Production du FVH de façon durable (du 5ème au 18ème mois) Formations théorique et pratique à la culture de FVH pour les familles productrices (du 5ème au 18ème mois) Démarches pour l’obtention de la personnalité juridique d’ASPROGAR (à partir du 1° mois, obtention le 6ème mois). Partenaire local : L’ONG Centre Wiñay est une asbl qui soutient le développement durable des communautés urbaines et rurales en offrant des services de consultance et l’appui à des projets susceptibles d’améliorer la qualité de vie. Elle travaille avec les organisations économiques paysannes et les producteurs écologiques affiliés aux plateformes CIOEC et AOPEB. Bénéficiaires : Directs : 22 familles (environ 110 personnes) de producteurs associés à l’organisation locale et communautaire ORLIPA. Indirects : 32 familles productrices d’ORLIPA (environ 160 personnes), membres des modules d’organisation et de formation en FVH , de même que 30 familles productrices (environ 150 personnes) issues des 9 organisations économiques paysannes travaillant dans la province de Camacho. Durée du projet : Ce projet de 2 ans se terminera fin 2011. Le budget total de l’action est de 87.384 € Projet de l’asbl Frères des Hommes cofinancé par Wallonie Bruxelles International (WBI) Vous désirez soutenir ce projet. Possibilité de verser en toute sécurité un don en ligne: : la culture hydroponique. 0 Response Citer Link to post Share on other sites
Zoubir8 174 Posted May 27, 2013 Author Partager Posted May 27, 2013 Superbe vidéo Citer Link to post Share on other sites
Zoubir8 174 Posted May 27, 2013 Author Partager Posted May 27, 2013 Je précise il s'agit d'une vidéo sur le semis direct Citer Link to post Share on other sites
Zoubir8 174 Posted May 27, 2013 Author Partager Posted May 27, 2013 OBI 360 obione.fr Un pâturage tranquille pour les vaches et les éleveurs Citer Link to post Share on other sites
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