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L'armée syrienne frappe durement les rebelles.


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tien tien on croirait entendre les" gendarmes" du monde parlé ..:rolleyes:

il s'agit de syriens avant toute chose apres ca de freres de la meme religion venu les aidé tel le fassad qui se fait aidé par des milices chiite de tout bord ..;)

 

Tu dois te méfier :crazy::crazy:

 

Ces terroristes sont parfois méchants , d'autres fois bons et si jamais ils étaient décrétés définitivement mauvais , toute personne les ayant soutenus se retrouverait dans de beaux ...draps :crazy::crazy:

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que tu les soutienne ou pas ca ne changera a leur quotidien comme tout tyran qui se "respecte" il leur a fait voir de toute les couleurs et si demain ils arrivent le lui faire payé en personne c'est pas moi qui vais le pleurer ..;)

 

...........tire chapeau au grand zaim et leader Bachar Assad d'avoir fait voir de toutes les couleurs aux terroristes de tous bords :bash::bash:

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irhabi liquidé

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مقتل الإرهابي المدعو "أبو مدري مين"، مدري من مخابرات أي دولة، بنيران الجيش العربي السوري في مدينة #إدلب .

العجيب أن جميع الفصائل الإرهابية المشاركة في الهجوم على إدلب لم تستطع أن تتعرف على هذا الإرهابي الفاطس و تحدد هويته، رغم أنه كان يقاتل في صفوفهم، فاكتفوا بأن أطلقوا عليه اسم "الغريب"!

و أغلب الظن أن الفاطس ضابط استخبارات أجنبي، اما تركي

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A Damas, les commandos féminins en première ligne face aux rebelles

27 Mar 2015 AFP

1

 

AFP / Joseph Eid

 

 

Une militaire syrienne conduit un char à Damas le 25 mars 2015

 

Assises sur un plancher surélevé en tôle, un fusil de précision russe à la main, les deux meilleures tireuses embusquées de l'armée syrienne guettent leur "proie" dans le quartier de Jobar à Damas.

 

La sergente Rim, 20 ans, et la sergente chef Samar, 21 ans, appartiennent à la Première Brigade des commandos féminins de la Garde républicaine. Cette unité d'élite est en charge du front le plus difficile, face à des rebelles déterminés dans le triangle Jobar - Zamalka - Aïn Tarma, trois zones de l'est de la capitale.

 

Devant elles, un trou d'où dépasse leur SV-98. En face, des immeubles en ruines, des maisonnettes démembrées, des carcasses de voitures. Il semble qu'il n'y ait pas âme qui vive sur ce champ de bataille. Mais l'apparence est trompeuse: le sol est traversé de tunnels et la mort rôde derrière chaque bâtisse.

 

AFP / Joseph Eid

 

 

Une militaire syrienne près de Damas le 25 mars 2015

 

Leur commandant les a présentées comme les plus fines gâchettes de la brigade. "C'est vrai que nous avons beaucoup de patience, première qualité d'un tireur embusqué", affirme timidement Rim.

 

Derrière un visage rond, un sourire enfantin et des yeux légèrement maquillés se cache une redoutable guerrière. "J'atteins généralement trois ou quatre cibles par jour et honnêtement quand je rate un homme armé d'en face, il m'arrive d'en pleurer de rage", confie-telle.

 

- 'Pas une question de sexe' -

 

Son record: 11 rebelles abattus en une journée. "Mon chef m'a remis une sorte de diplôme, comme à l'école", rit-elle. Sa coéquipière se targue d'un record de sept victimes.

 

L'immeuble stratégique où elles opèrent se trouve à moins de 200 mètres de la première ligne de front. Il est entièrement tenu par des militaires femmes.

 

AFP / Joseph Eid

 

 

Une militaire syrienne saute d'un char près de Damas le 25 mars 2015

 

Derrière une autre façade est postée Zeinab avec son B-10, un canon sans recul russe de 82 mm. Equipée d'un casque anti-bruit, elle vient de tirer dans un fracas épouvantable sur une maison située à 500 mètres et "l'objectif a été touché", dit-elle fièrement.

 

Cette femme de 21 ans, cheveux long et regard clair, a choisi la carrière militaire après son baccalauréat. Ses amis et sa famille l'ont encouragée et après trois mois d'entraînement, elle a rejoint les commandos.

 

Pourquoi manier un canon aussi impressionnant? La réponse est radicale: "le tireur embusqué tue une personne à la fois, mais avec le B-10, quand j'ai tiré sur la maison, je suis sûre que tous les gens s'y trouvant sont morts".

 

Le capitaine Ziad, en charge de l'immeuble, est satisfait de l'attitude au feu des femmes sous ses ordres. "Il n'y a pas de différence entre hommes et femmes. Certains ont le cœur solide et un courage chevillé au corps, d'autres pas. Ce n'est pas une question de sexe".

 

- 800 soldates -

 

La brigade des commandos féminins, la seule unité de femmes combattantes, a été crée il y a près de deux ans et compte 800 soldates reparties sur tout le front est et sud-est de Damas, face aux bastions rebelles.

 

Quand on demande à leur chef, le commandant Ali, si cette unité a été crée pour palier aux pertes importantes subies par l'armée depuis le début de la révolte -- une ONG a décompté plus de 46.000 soldats tués en quatre ans -- il nie catégoriquement.

 

"C'est une décision du président Bachar al-Assad qui veut promouvoir le rôle de la femme syrienne et montrer qu'elle est capable de réussir dans tous les domaines," assure-t-il.

 

Les troupes armées syriennes comptaient près de 200.000 hommes et plusieurs milliers de réservistes.

 

Le recrutement des soldates s'est fait par le biais d'affiches. Ainsi, Angham, 21 ans, a vu une annonce dans un magasin à Hama (centre). Recrutée, elle a été formée cinq mois à l'Académie de la marine de guerre à Jbelé (nord-ouest) avant d'être transférée à Damas.

 

"Mes trois frères sont soldats et j'ai une sœur qui veut me rejoindre", déclare cette spécialiste de la Doushka, une mitrailleuse lourde.

 

Selon le commandant Ali, les recrues ont signé un contrat de dix ans.

 

A l'extérieur du bâtiment, une jeune femme de 19 ans manœuvre un tank avec deux coéquipières, soulevant un épais nuage de poussière. "Nous sommes plusieurs femmes à avoir appris à conduire un tel engin. Il fait 43 tonnes", dit-elle. "C'était très difficile, mais nous avons réussi", s’enorgueillit la tankiste sous son casque.

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  • 3 weeks later...

7/4/2015

SAA forces ambushed a terrorist group in ‪#‎Suwaeda‬ northern countryside tens of ‪#‎ISIS‬ terrorists have been killed in the ambush and 2 were captured alive with 54 M79 Osa (Wasp) 90 mm portable anti-tank rockets .

Each costs between $20 to 25 thousand. ( last photo from the archive not from Suweida)

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  • 2 weeks later...

Ce qu'oublie de dire ce propagandiste c'est que les tchéchenes et autres saoudiens avaient une dotation surabondante de missiles TOW de dernière génération.

En Syrie, les rebelles se rapprochent du port stratégique de Lattaquié

LE MONDE | 27.04.2015 Par Benjamin Barthe (Beyrouth, correspondant)

 

A Jisr Al-Choghour, le 26 avril.

 

Un mois après s’être emparés d’Idlib, capitale de la province du même nom, dans le nord-ouest du pays, les rebelles syriens ont conquis samedi 25 avril la ville voisine de Jisr Al-Choghour. Conclue de manière expéditive, en trois jours, soit un de moins que la prise d’Idlib, l’opération a été menée par une coalition de groupes armés, baptisée l’Armée de la conquête, conduite par le Front Al-Nosra, affilié à Al-Qaida, et Ahrar Al-Sham, une brigade salafiste. « C’est une bataille d’une importance capitale, se réjouit Ossama Abou Zayd, conseiller de l’Armée syrienne libre, la branche modérée de l’insurrection, dont quelques unités ont participé à l’offensive. Nous ne sommes plus qu’à une quarantaine de kilomètres de Lattaquié. »

 

Ce port, l’un des principaux bastions du régime syrien le long de la plaine côtière, est au cœur d’une zone doublement stratégique : d’une part parce qu’elle abrite une grosse partie de la communauté alaouite, l’ossature du système Assad, qui fournit le gros des troupes gouvernementales ; d’autre part parce que l’axe reliant le littoral à Damas est la principale voie de ravitaillement du régime, tant en produits alimentaires importés de l’étranger, qu’en armes, livrés par la Russie à Tartous, l’autre grand port de la région, où Moscou, allié du président syrien, dispose d’une base militaire.

 

Une attaque rebelle contre Lattaquié porterait donc un coup majeur à la « Syrie...

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Assad riposte. Espérons que l'AAS reprenne la ville.

 

 

Le régime syrien bombarde Jisr al-Choughour

 

Home ACTUALITE Flash Actu

Par Le Figaro.fr avec AFPMis à jour le 26/04/2015

L'aviation militaire syrienne a multiplié dimanche les raids contre la ville stratégique de Jisr al-Choughour au lendemain de sa prise par al-Qaida et les rebelles, qui représente un nouveau revers pour le régime de Bachar el-Assad.

 

Au moins vingt raids ont visé, selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH), cette ville du nord-ouest située au carrefour des régions de Lattaquié à l'ouest, et de Hama au centre, qui sont sous le contrôle du régime. Aucun bilan n'était disponible dans l'immédiat mais les bombardements menés samedi ont causé la mort d'au moins 27 personnes, dont 20 combattants, selon l'OSDH. "Le bilan devrait cependant s'alourdir avec les raids de la nuit et de dimanche matin", a indiqué le directeur de l'ONG, Rami Abdel Rahmane.

 

Des combats se poursuivaient en outre au sud de la ville qui comptait quelque 45.000 habitants avant le déclenchement du soulèvement de 2011. Selon l'OSDH, les forces du régime ont tenté en vain de libérer 30 soldats et 10 miliciens de l'Armée de défense nationale (ADN) fait prisonniers dans l'hôpital général qui se trouve dans le sud de la ville. Pour sa part, la télévision syrienne a affirmé que l'armée avait tendu une embuscade "et a tué un groupe de terroristes" aux alentours de l'hôpital général.

 

La veille, des combattants du Front al-Nosra, la branche syrienne d'al-Qaïda, et des groupes rebelles islamistes avaient pris le contrôle total de la cité, moins d'un mois après avoir mis la main sur Idleb, la capitale provinciale.

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Syrie: les djihadistes s'approchent des derniers bastions d'al ...

fr.sputniknews.com/presse/20150427/1015849629.html

Il y a 2 jours - La prise de Jisr al-Choghour ouvre aux rebelles la voie vers la province de ... en particulier des missiles antichar guidés ont permis à l'ASL de ...

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Syrie : pourquoi Bachar el-Assad est menacé

 

Le Point - Publié le 28/04/2015 à 07:34

Ferme devant les médias étrangers, le président syrien enchaîne pourtant les revers militaires face à une rébellion islamiste dominée par Al-Qaïda.

Le président syrien a subi samedi un nouveau revers majeur avec la chute de la ville stratégique de Jisr al-Choughour, un mois après avoir cédé celle d'Idleb (Nord-Ouest).

Le président syrien a subi samedi un nouveau revers majeur avec la chute de la ville stratégique de Jisr al-Choughour, un mois après avoir cédé celle d'Idleb (Nord-Ouest). © AY-COLLECTION / SIPA

Par Armin Arefi

 

Inébranlable la semaine dernière sur France 2, Bachar el-Assad masque à merveille ses défaites sur le front face à la rébellion syrienne. Pourtant, le maître de Damas a une nouvelle fois subi samedi un revers majeur en enregistrant la perte de la ville stratégique de Jisr al-Choughour, un mois après celle d'Idleb, dans le nord-ouest de la Syrie. "Il s'agit d'une avancée considérable pour les rebelles car la prise de Jisr al-Choughour leur ouvre la voie de Hama (centre) et surtout de Lattaquié", souligne Rami Abdel Rahmane, directeur de l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH), ONG basée à Londres disposant d'un vaste réseau de militants et de médecins en Syrie.

 

Située sur la côte méditerranéenne, la ville de Lattaquié est vitale pour le régime syrien. Fief de la communauté alaouite (secte issue du chiisme minoritaire en Syrie), à laquelle appartient Bachar el-Assad, elle fournit au pouvoir et à l'armée syrienne un grand nombre de ses cadres, et assure le ravitaillement en armes et en vivres de la capitale. "L'axe Lattaquié-Homs-Damas est la colonne vertébrale du régime qui reste aujourd'hui solide", rappelle Fabrice Balanche, maître de conférences à l'université Lyon-2 et directeur du Groupe de recherches et d'études sur la Méditerranée et le Moyen-Orient. "Mais si leur fief était attaqué, les Alaouites pourraient délaisser la bataille de Damas, où le régime syrien possède toutes ses infrastructures."

 

Comme à son habitude, l'aviation syrienne a pilonné en représailles la ville perdue durant tout le week-end, tuant 73 civils dont 19 enfants et 11 femmes. Mais rien n'y a fait. Les rebelles ont poursuivi lundi matin leur offensive éclair en s'emparant d'une importante base de l'armée syrienne à al-Qarmid, faisant main basse sur un important arsenal d'armes lourdes et de tanks. Sur les réseaux sociaux, les combattants ont publié des photos d'explosions provoquées par leurs kamikazes. Samedi, ces mêmes combattants s'étaient photographiés en hissant sur les toits d'immeubles et de voitures les drapeaux noirs de Jabhat al-Nosra (Front de défense du peuple syrien).

Al-Nosra, la branche syrienne d'Al-Qaïda

 

Ce groupe djihadiste n'est autre que la branche syrienne d'Al-Qaïda, créée en avril 2011, après que Bachar el-Assad a décidé de libérer de la prison de Sednaya, au nord de Damas, des centaines de djihadistes syriens qui avaient combattu en Irak. À la différence de l'organisation État islamique (EI), qui a établi un "califat" à cheval sur l'est de la Syrie et l'ouest de l'Irak, le Front al-Nosra n'a pas, pour l'heure, l'ambition de créer un État. Composé en majorité de djihadistes syriens, auxquels se sont greffés des combattants étrangers, ce groupe expert en guérilla et en attaques suicides reste jusqu'ici focalisé sur la chute de Bachar el-Assad, ce qui explique sa popularité au coeur des zones rebelles.

 

Classé "organisation terroriste" par les États-Unis et l'ONU, après son allégeance à la nébuleuse islamiste en 2013, Al-Nosra vient inexorablement conforter la rhétorique du président syrien qui s'emploie depuis quatre ans à discréditer ses opposants, pourtant tout d'abord pacifiques et démocratiques. Éclipsé en 2014 par l'essor de l'EI dans l'est de la Syrie, Jabhat al-Nosra est revenu sur le devant de la scène le 24 mars dernier en s'alliant à d'autres brigades islamistes, dont les salafistes d'Ahrar al-Cham, pour créer l'"Armée de la Conquête" anti-Assad. Une coalition d'inspiration islamiste radicale dont la principale composante - le Front al-Nosra - avait déjà pris soin d'expulser en novembre 2014 de la province d'Idleb (Nord-Ouest) les deux principales formations modérées de l'opposition - le Front révolutionnaire syrien et le mouvement Hazem. Bombardés par la coalition internationale depuis septembre 2014 au même titre que l'EI, les djihadistes d'Al-Nosra ne leur ont jamais pardonné leurs liens étroits avec les États-Unis.

 

"Une partie des groupes modérés ont été décimés, mais il reste quelques factions minoritaires se revendiquant de l'ASL dans la région", affirme toutefois Ignace Leverrier*, ancien diplomate en poste à Damas. "Mais ils ne disposent clairement pas des mêmes moyens que les djihadistes et c'est la raison qui explique que de nombreux jeunes les délaissent". D'après Rami Abdul Rahmane, le directeur de l'OSDH, la coalition islamiste possèderait notamment des missiles anti-chars américains TOW qui lui auraient été livrés depuis la frontière turque, proche de la ville de Jisr al-Choughour.

Soutien de l'Arabie saoudite

 

Ce soudain "réveil islamiste" trouverait donc ses origines à l'étranger. De l'avis des experts, il serait la conséquence directe du rapprochement entre l'Arabie saoudite, le Qatar et la Turquie, longtemps désunis dans leur soutien à la rébellion armée, et désormais décidés à coordonner leur action face à l'influence grandissante de l'Iran, grand parrain de Damas, dans la région. "L'accord sur le nucléaire iranien (qui rapproche Téhéran de Washington, NDLR) couplé aux frappes de la coalition internationale contre l'EI (qui ont réhabilité Bachar el-Assad) ont poussé ces trois pays à unifier l'opposition syrienne autour d'une force capable de créer une réelle alternative à Bachar el-Assad", soutient le spécialiste de la Syrie, Fabrice Balanche. À la baguette, le nouveau roi saoudien Salman, vent debout contre la domination de la République islamique chiite en Syrie, en Irak et au Yémen.

 

"Un rapprochement entre l'Arabie saoudite, le Qatar et la Turquie semble en train de prendre forme, mais il ne s'est pas encore matérialisé sur le terrain", nuance Peter Harling, directeur du projet Égypte-Syrie-Liban du programme Moyen-Orient de l'International Crisis Group. "L'opposition syrienne peut donc encore monter en puissance, alors que le régime et ses alliés n'avancent plus et ne semblent plus en mesure de le faire."

 

Privée de ses alliés du Hezbollah libanais, davantage occupés à sécuriser Damas et la frontière libanaise, l'armée syrienne a donc le plus grand mal à contenir les assauts de la rébellion nouvellement formée. Acculé dans le Nord-Ouest, toujours amputé d'une grande partie de son territoire à l'est par le "califat" de l'EI, Bachar el-Assad enchaîne également les revers dans le sud du pays, où le Front al-Nosra et l'Armée syrienne libre demeurent cette fois alliés contre lui. Mercredi, les rebelles se sont d'ailleurs emparés du dernier poste-frontière avec la Jordanie, facilitant le transfert d'armes et de combattants en direction de la capitale.

Érosion du régime

 

"Les victoires engrangées par les différentes factions de l'opposition créent indéniablement un climat d'inquiétude dans le camp de Bachar el-Assad et il devient difficile pour les loyalistes de ne pas se rendre compte que le régime s'érode depuis quatre ans", souligne Peter Harling. "En revanche, les victoires les plus significatives de la rébellion ont toutes été enregistrées dans des zones où la présence du régime s'appuyait sur des bases - notamment sociales - très ténues", tempère le chercheur, qui rappelle que "l'opposition n'a pas remporté de victoire en terrain adverse". Comme quoi, s'il n'a jamais été autant en difficulté depuis près de deux ans, le maître de Damas est encore loin d'être vaincu.

 

(*) Ignace Leverrier, auteur du blog Un oeil sur la Syrie du Monde.fr.

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150 soldats syriens enceclés dans un hôpital.

Des braves qui résistent aux mercenaires payés par les pétro-monarchies.

Espérons que cela n'arrive jamais en Algérie.

Ces chiens de bédouins sont capables de tout.

 

 

 

TOUT EN ASSURANT QUE LA GUERRE N'EST PAS PERDUE

 

Assad admet des revers

 

Jeudi 07 Mai 2015

 

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Assad admet des revers

 

Le président syrien Bachar al-Assad a reconnu hier pour la première fois que son armée avait subi des revers mais assuré que la guerre contre les rebelles n'était pas perdue.

 

«Nous ne parlons pas de dizaines, ni de centaines mais de milliers de batailles et naturellement dans des batailles il y a des retraites, des victoires et des pertes. Il y a des hauts et des bas», a-t-il dit à Damas à l'occasion de la Journée des martyrs. «Aujourd'hui, nous sommes engagés dans une guerre et une guerre ce n'est pas une bataille, mais une série de batailles», a-t-il ajouté lors de ce discours prononcé dans une école pour les enfants de soldats morts au combat.

L'armée syrienne a perdu en un peu plus d'un mois Idleb et Jisr al-Chougour, deux villes importantes dans le nord, et dans le sud le dernier poste frontière qu'elle contrôlait avec la Jordanie.

En outre, ses tentatives pour avancer dans la région de Damas se sont soldées par un échec face à une rébellion unifiée. Chemise col ouvert et costume sombre, M.Assad, qui était entouré de pupilles de la nation en uniforme kaki, a voulu rassurer ses partisans dont le moral est en berne devant les échecs de l'armée.

«Dans des batailles, tout peut changer à l'exception de la foi dans les combattants et la foi du combattant dans la victoire. Aussi, quand il y a des revers, nous devons, en tant que société, faire notre devoir et soutenir le moral de l'armée et ne pas attendre que ce soit elle qui soutienne le nôtre», a-t-il insisté. Il a donc demandé que soit banni «l'esprit de frustration et de désespoir après une perte ici ou là».

Sans reconnaître officiellement la perte de Jisr al-Choughour, il a rendu hommage aux forces armées syriennes qui sont assiégées par les rebelles dans un hôpital du sud de la ville. «L'armée va arriver bientôt vers ses héros bloqués dans l'hôpital de Jisr al-Choughour», a-t-il assuré. Depuis deux semaines, 150 soldats sont assiégés dans cet hôpital et de violents accrochages les opposent au Front al-Nosra, la branche syrienne d'Al Qaîda, et d'autres rebelles islamistes qui les encerclent. Sur le plan international, M.Assad a qualifié le président turc Recep Tayyip Erdogan d'«assassin» et l'a comparé à Jamal Pacha, le gouverneur ottoman de la Grande Syrie, surnommé le «boucher» pour avoir, le 6 mai 1916, pendu des nationalistes arabes à Damas et Beyrouth.

La Journée des martyrs a été instituée en leur mémoire.

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Syrie : contre-offensive de l’armée dans le nord-ouest

 

 

 

Par Agence | 09/05/2015

 

L’armée syrienne progressait samedi en direction de Jisr al-Choughour, ville du nord-ouest perdue au profit des rebelles il y a deux semaines et d’où elle veut sauver 250 soldats et leurs familles assiégés dans un hôpital de la cité, rapporte une ONG.

 

Proche de la frontière avec la Turquie –pays favorable à la rébellion– et à la périphérie de la province de Lattaquié –fief du régime–, Jisr al-Choughour est tombée le 25 avril aux mains du Front Al-Nosra, la branche syrienne d’Al-Qaïda, et ses alliés rebelles.

 

L’armée a lancé une contre-offensive mercredi pour tenter de sauver près de 250 personnes, dont des soldats, leurs familles, et des civils pro-régime bloqués dans l’hôpital de Jisr al-Choughour depuis la chute de la ville.

 

Cet hôpital se situe à la périphérie sud-ouest de la ville, selon l’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH).

 

« Les forces du régime et les combattants loyalistes se trouvent désormais à deux km de l’hôpital et veulent à tout prix sauver les 250 personnes qui y sont assiégés », a affirmé à l’AFP Rami Abdel Rahmane, directeur de l’ONG.

 

« De violents combats se déroulaient samedi entre l’armée et les rebelles qui tentent depuis deux semaines de prendre d’assaut l’hôpital », précise M Abdel Rahmane.

 

Il n’était pas clair dans l’immédiat de savoir comment les soldats bloqués sont parvenus à résister pendant deux semaines.

 

Le régime syrien a subi ces derniers mois une série de revers militaires, dont notamment la perte d’Idleb, la capitale de la province éponyme, et de Jisr al-Choughour, après plus d’un an de victoires successives face aux rebelles qui tentent de le renverser depuis 2011.

 

A Alep (nord), ex-capitale économique du pays, cinq civils ont été tués et 19 autres, dont des femmes et des enfants, ont été blessés samedi par un tir d’obus des rebelles sur le quartier de Salaheddine sous contrôle gouvernemental, ont rapporté les médias du régime.(Afp)

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Les maudits saoudiens sionistes et les turcs génocidaires (ils ont l'habitude de massacrer les minorités) travaillent pour israel et le sionisme radical international. :eek:

Je ne vois pas d'autre explication à leur politique de trahison du monde musulman.Le chiisme a bon dos.Je n'y crois pas du tout à cet "argument" qui nous est balancé par les saoudos sionistes et les médias sionisés. :o

 

Que Dieu leur rendra ce qu'ils ont semé : la haine; la destruction et la mort de leurs pays. :bash:

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