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L'armée syrienne frappe durement les rebelles.


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Last week, the Islamic State of Iraq and Al-Sham (‪#‎ISIS‬) surprised the Syrian Arab Army (‪#‎SAA‬) with a full-scale assault on the Jazal Mountains in the ancient city of ‪#‎Palmyra‬’s northwestern countryside; this attack resulted in the capture of Jazal and half of the Jazal Oil and Gas Fields located directly west of the town.

 

However, ISIS’ success did not last very long, as the Syrian Arab Army’s 67th Brigade of the 18th Tank Division – in coordination with the Liwaa Assoud Al-Jabal (Lions of the Mountain Brigade) and Liwaa Suqour Al-Sahra (Desert Hawks Brigade) – launched a counter-offensive to recapture this strategic area in the ‪#‎Homs‬ Governorate’s eastern countryside.

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BTR-80 operators. Russia will supply Kazakhstan until 2013, with 100 armoured vehicles BTR-82: 30 in 2011 and 70 in 2012.

 

Variants

- BTR-82: basic version with 14.5 mm machine gun

- BTR-82A: armed with one 2A72 30mm cannon

- BTR-82AM: upgraded version of BTR-80 to the standard of BTR-82A

 

Technical Data

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Armament

The firepower of the BTR-82A is increase by the use of a new unified fighting module with electric drive armed with one 2A72 30mm cannon coupled with a 7.62 mm machine gun. The turret is fully stabilized on the two axes and fitted with new sights. The BTR-82 can fire on the move in day and night operations.

Design and protection

The layout of the BTR-82A is very similar to the BTR-80A. The BTR-82A is more protected than the basic version of BTR-80A. The vehicle is fitted with a reinforced multi-layer floor which provides protection against mines and improvised explosive devices (IEDs). The BTR-82A is also equipped with new seats and a special suspension that have energy-absorbing properties which increase the protection for the personnel inside the vehicle against mine blast. The hull of the BTR-82A is made with new armored vehicle ballistic protection of laminated synthetic material such as Kevlar.

Propulsion

The BTR-82A wheeled armored infantry fighting vehicle features energy absorbing structures and a new powerful Diesel engine KAMAZ 740.14-300 developing 300 hp of power. The BTR-82A is also fitted with a new transmission components and suspension allowing an increased average speed in rough terrain. The BTR-82A can run at a maximum speed of 80 km/h on road with a maximum range of 600 km.

Accessories

The gunner gets a new stabilized day/night fire control system TKN-4GA. The vehicle command system is equipped with advanced communications, topographic maps and a surveillance camera (TKN-AI) for the vehicle's commander. TKN-AI is fitted with laser range finder which allows the commander of the vehicle to detect enemy target at a distance of 3 km. The BTR-82A is also equipped with an improved fire extinguishing system that improves safety in case of fire and explosion. To increase the comfort of the crew, the BTR-82A is equipped with air-conditioning system, which also serves to optimize operations conditions of electronic devices of the vehicle. The BTR-82A is equipped with new radio station R-168-25-U2, topographic orientation system, "Trona-1" with an independent satellite channels and receiver navigation data. The Trona-1 positioning system is designed to enhance the accuracy and credibility of navigation data by integration of the vehicle's navigation system with the receiver of the GLONAS and NAVSTAR satellite navigation systems. The BTR-82A is fully amphibious, and an overpressure NBC system, night vision equipment and a central tyre-pressure regulation system are fitted.

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Syrie: quatre hélicoptères russes aperçus par les Etats-Unis

© Sputnik. Alexei Kudenko

International

14:18 17.09.2015

Les Etats-Unis affirment avoir détecté des hélicoptères russes sur un aérodrome en Syrie, rapporte l'agence Reuters se référant à des sources à Washington.

 

Selon les informations obtenues par l'agence, au moins quatre appareils russes, dont des hélicoptères d'assaut, ont été aperçus sur un aérodrome syrien. Les modèles des hélicoptères, ainsi que la date de leur arrivée dans le pays, ne sont pas précisés.

 

L'avion

© Sputnik. Maksim Blinov

La Russie pourrait construire une base aérienne en Syrie

Ces dernières semaines, les médias occidentaux ne cessent d'accuser la Russie de chercher à renforcer sa présence militaire en Syrie via notamment la construction d'une base militaire à l'aéroport international de Lattaquié (est).

 

Le 14 septembre dernier, Reuters a fait état de l'envoi de pièces d'artillerie russe et de sept chars T-90 sur un aérodrome situé dans la province de Lattaquié. L'ambassadeur syrien à Moscou Riad Haddad a par la suite démenti ces informations.

 

Images prises par satellite du groupe américain Stratfor

© Airbus/Stratfor (Screenshot)

"Présence russe" en Syrie: le faux scoop de Stratfor à la loupe

La semaine dernière, l'agence Reuters a constaté l'arrivée de deux bâtiments de débarquement russes en Syrie et les livraisons de systèmes de missiles antiaériens russes Pantsir S-1 dans le pays. Les interlocuteurs de l'agence au sein de l'administration américaine ont également affirmé qu'environ 200 marins russes combattaient en Syrie.

 

Auparavant, le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov a expliqué que des militaires russes étaient présents "depuis longtemps" en Syrie en tant qu'instructeurs chargés de familiariser les forces syriennes avec les armements et équipements militaires achetés à Moscou. D'après le chef de la diplomatie russe, l'armée syrienne assume un rôle clé dans la lutte contre les groupes terroristes tels que l'Etat islamique et d'autres organisations extrémistes.

 

Lire la suite: Syrie: quatre hélicoptères russes aperçus par les Etats-Unis

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Que se passe-t-il vraiment en Syrie ?

 

De l'amitié et de la solidarité dans un monde de brutes...................!!!

 

Ammar Alnahas était de Raqqua. Il s'est engagé à 19 ans dans l'armée et a fait partie de toutes les batailles.

 

Kassab, Quseir, Homs, Alep et Daraa.

 

Il a été tué à Jisr Al Shuggour.

 

Cette histoire aurai pu s'arrêter là mais. Sa famille, mise au courant de sa mort n'a pu rapatrier son corps de Lattaquié, ni même "célébrer" son martyr.

 

Néammoins, son frère prend le risque de sortir de Raqqua afin de rendre un dernier hommage à son frère et l'amener au cimetière de Lattaquié.

 

Arrivé à Lattaquié, il conduit son frère dans sa dernière demeure à bord d'une ambulance lorsqu'il tombe sur un barrage impressionnant de l'armée.

 

Il ne comprend pas tout de suite et se trouve désemparé.

 

Le groupe est composé de soldats, sous officiers et officiers. Ils sont tous venus spontanément pour Ammar, pour celui qui avait combattu à leurs côté pendant tout ce temps.

 

Les soldats de l''armée Syrienne ne se battent pas pour eux, ni même pour Bachar.

 

Forcés ou pas, Ils se battent pour leurs familles, leurs voisins, leur pays.

 

C'est pour cela que, malgré l'aide massive de nos pays, les excréments ne gagneront jamais !!.

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Syrie: Moscou donne des armes à l'armée

Home ACTUALITE Flash Actu

Par LeFigaro.fr avec AFPMis à jour le 22/09/2015

 

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Téléviseurs :Pour plus de sensations !

J'en profite

1/5

L'armée syrienne a reçu ces derniers jours de son allié russe au moins cinq avions de combat ainsi que des avions de reconnaissance et du matériel militaire pour l'aider à lutter contre le groupe jihadiste Etat islamique (EI), affirmé mardi une source militaire. «Notre armée a reçu de Moscou au moins cinq avions de combat et des avions de reconnaissance qui aident à identifier les objectifs avec une grande précision, ainsi que du matériel de combat sophistiqué pour combattre l'EI», a déclaré ce haut responsable sous couvert de l'anonymat.

 

«Il s'agit d'armes de défense et d'attaques», notamment «des armes sophistiquées qui ciblent avec précision et des missiles téléguidés», a-t-il ajouté. D'après cette source, les avions sont arrivés vendredi dans une base militaire dans la province de Lattaquié, fief du régime d'Assad dans l'ouest du pays. «L'effet des armes russes commence à se faire sentir sur le territoire syrien et l'armée syrienne a commencé à les utiliser dans les villes de Deir Ezzor et Raqa, particulièrement sur les positions de l'EI», a souligné ce responsable. Une autre source militaire interrogée à Lattaquié, fief du régime dans le nord-ouest, a indiqué que l'armée avait «reçu des avions de reconnaissance russes qui permettent aux forces terrestres et aériennes syriennes d'identifier les objectifs avec précision», ainsi que «des radars et de jumelles à infra-rouge».

 

Au moins 38 jihadistes de l'Etat islamique (EI) ont péri lundi dans des frappes de l'armée de l'air du régime de Bachar al-Assad sur des positions du groupe dans le centre de la Syrie, rapporte une ONG mardi. L'armée du régime multiplie ces derniers jours ses frappes contre l'organisation extrémiste, parallèlement au renforcement de la présence militaire de son allié russe en Syrie.

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Bombarder en Syrie ? « Une erreur », selon Villepin

 

 

L’ex-premier ministre français, Dominique de Villepin, a estimé mardi que les bombardements français en Syrie étaient « une erreur » et préconisé des pourparlers, y compris avec « les représentants du régime Assad ».

 

Interrogé sur RMC et BFMTV sur les bombardements français en Syrie, l’ancien ministre des Affaires étrangères a déclaré: « c’est une erreur, ce n’est pas la vocation de la France, ce n’est pas son rôle, ce n’est pas là où la France peut faire la différence ». « Il n’y a pas de solution militaire (en Syrie) », a-t-il estimé.

 

« Rassemblons tout le monde autour de la table y compris les représentants du régime d’Assad et faisons en sorte qu’une paix locale puisse être signée », a avancé l’ex-Premier ministre. « Bachar el-Assad est un problème pour la Syrie mais il n’est pas tout le problème et son départ ne réglerait pas tout. Daech est un énorme problème pour la Syrie mais n’est pas tout le problème. Le vrai problème c’est la radicalisation des sunnites dans ce pays ».

 

« La solution militaire n’est pas la bonne parce qu’elle accroît la capacité du virus à se mobiliser. On accroît le recrutement extérieur (de Daech), on accroît l’adhésion des populations sunnites sur le plan local, et on multiplie la capacité de Daech à agir dans les pays voisins » a déploré M. de Villepin.

 

« Gagner sur le terrain ? C’est une illusion. On ne gagnera pas la guerre contre le terrorisme à coups de bombes », a prévenu M. de Villepin. La France a mené dimanche ses premières frappes contre le groupe Etat islamique en Syrie, au nom de la « légitime défense ».(Afp)

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من عجائب الثوره السوريه التي لاتعد ولا تحصى :ممثله" فى مرتزقه من 63 جنسيه

و38 ميليشيا ممولين من قطر و تركيا ..

1: اول ثوره لديها تأمين صحي في مشافي الكيان الصهيوني ....

2:اول ثوره تمارس ال " سلميه" باسلحة متوسطة وثقيله وصواريخ صناعه اميركية .....

3: اول ثوره تستورد مقاتليها من الخارج وتستقوي بالافغاني والشيشاني والسعودي والتركي، على مواطينها

4: اول ثوره تكلف صانعيها 225 مليار دولار ....

5: اول ثوره تسرق قمح ونفط ومصانع أهلها وتبيعه باثمان بخسه للاتراك ...

6: اول ثوره عربيه يدعمها الاتحاد الأوروبي ومجلس التعاون الخليجي والكيان الصهيوني والبيت الأبيض ...

7: اول ثورة متعدده الجنسيات من 63 جنسيه ممثلين فى 38 ميليشيا

8 : اول ثوره قادتها جميعهم خارج سوريه، ولا يحملون الجنسيات السوريه ويقيمون في فنادق 7 نجوم .... - وبمكنكم اضافة عجائب اخرى ...وفي النهاية بقى يشار الأسد فى السلطه دون أن تستطيعوا طوال خمس سنوات ان يفعلوا شيئا" سوى تدمير سوريا الحبيبه و قتل مئات الالوف من شعبها الأبى هم عبارة عن عصابات مرتززقه أجانب .....جاري تطهير سورية العربية .... تحيا سوريا الغاليه عزيزة مرفوعه الرأس دائما"

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Guerre en Syrie: l’armée syrienne repousse une solide offensive blindée rebelle sur Derâa

Publié le 11 juillet 2015 par Strategika51

Standard

 

Derâa (Syrie méridionale): les unités de l’armée régumière syrienne défendant la ville de Derâa ont pu mettre en échec trois tentatives d’assaut consécutives des forces de l’armée de la conquête composées de 33 unités évoluant sur cinq axes.

 

Première bataille de chars: utilisant des chars T-55, T-62 ainsi que quelques T-72 et évoluant en provenance du Nord de la Jordanie, les forces rebelles ont été prises à partie par les chars T-72S des unités blindées syriennes. La bataille de chars qui s’en est suivie a duré plus de trois heures. La plupart des chars rebelles ont été mis hors de combat. 11 chars rebelles ont été détruits par des obus-flèches (APFSDS: Armour Piercing Fin-Stabilized Discarding Sabot) tirés d’une distance à inférieure à 4000 mètres par les canons à âme lisse des chars de l’armée syrienne tandis qu’une vingtaine d’autres chars rebelles ont été déchiquetés par les missiles antichar tirés par des soldats des unités de l’infanterie mécanisée.

 

Des chars de l’armée régulière ont été détruits par des missiles TOW rebelles.

 

Il ne fait plus aucun doute que l’opération « Tempête du Sud » déclenchée par l’état-major rebelle installé dans une salle de commandement conjointe sise en Jordanie, s’avère être un fiasco pour Washington et Ryad. Plus de 269 rebelles ont trouvé la mort devant les remparts de Derâa en trois jours.

 

Berceau présumé de ce que les rebelles et leurs alliés occidentaux et arabes appellent « la révolution syrienne », la ville de Derâa est défendue par l’armée syrienne depuis plus de quatre années consécutives.

 

Connaissant bien le terrain, l’armée syrienne a pu contrer une dizaine d’assauts majeurs sur cette province-dont les trois offensives rebelles survenus cette semaine. Ce qui a conduit les chefs rebelles à s’accuser mutuellement de trahison et d’intelligence avec les « forces du régime ». Cet échange d’accusations entre les chefs des groupes rebelles s’est vite transformé en un échange d’obus et autres roquettes. Jusqu’à l’heure où nous écrivons ces lignes, des affrontements féroces opposent des factions rivales de l’armée rebelle en retrait des environs de Derâa.

 

Le mécontentement des rebelles à l’égard de « ceux qui se cachent dans des bureaux climatisés » en Jordanie tout en les envoyant au casse-pipe, ne cesse de croître. Certains commandants rebelles sont exaspérés de l’attitude des conseillers militaires US et britanniques (et autres de la coalition), préférant gérer le champ de bataille derrière des écrans d’ordinateurs bien au frais en Jordanie sans se soucier des lourdes pertes accusées parmi les rebelles à chaque opération.

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Syrie : les forces gouvernementales avancent dans Hama

Par Agence | 10/10/2015

Les forces gouvernementales syriennes, soutenues par les bombardements massifs de l’aviation russe qui a effectué plus de 50 frappes en 24 heures, avançaient samedi dans la province centrale de Hama, selon des médias.

 

Les combats étaient également violents dans la région de Lattaquié (ouest), fief du gouvernement. Près d’Alep, la grande ville du nord, les rebelles islamistes qui ont lancé une contre-attaque pour reprendre le terrain perdu la veille lors d’une offensive éclair de l’organisation terroriste autoproclamé « Etat islamique » (EI/Daech), selon les médis.

 

Au onzième jour de son intervention, l’armée russe a affirmé avoir effectué 64 sorties en 24 heures et frappé 55 cibles de l’EI, poursuivant ainsi l’intensification de ses bombardements entamé la veille, selon les mêmes sources.

 

Ces bombardements soutiennent l’armée syrienne qui, avec les milices pro-gouvernementales, s’est emparée de la localité d’Atchane dans la province de Hama, a annoncé la télévision d’Etat syrienne.

 

Des combats faisaient rage pour la conquête des collines de Sukayk, mitoyennes au village, selon l’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH).

 

Si l’armée réussissait à prendre ces hauteurs, cela lui ouvrirait la route vers Khan Cheikhoun, une ville aux mains des rebelles depuis mai 2014, sur la route internationale entre Damas et Alep.

 

Par ailleurs, selon l’OSDH, de violents accrochages opposaient « l’Armée de la conquête », (qui réunit le Front Al-Nosra, branche syrienne d’Al-Qaïda, à d’autres groupes) soutenue par l’Arabie saoudite, le Qatar et la Turquie, aux forces du gouvernement syrien, pour le contrôle de hauteurs stratégiques dans le nord-est de la province de Lattaquié.

 

Le ministère russe de la Défense a précisé que les 55 frappes avaient visé les provinces de Damas, Alep, Hama, Raqa et Idleb, détruisant 29 camps d’entraînement « des terroristes », 23 positions défensives, deux centres de commandement et un dépôt de munitions.

 

Dans le même temps, la coalition conduite par les Etats-Unis a annoncé avoir mené cinq frappes contre des positions de l’EI en Syrie et 20 autres en Irak. (Aps)

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Washington acte le fiasco de la « Division 30 » en Syrie

 

LE MONDE | 10.10.2015 à 10h36 | Par Gilles Paris (Washington, correspondant) et Benjamin Barthe (Gaziantep (Turquie), envoyé spécial)

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image: http://s2.lemde.fr/image/2015/10/10/534x0/4786903_7_d4ee_mahmoud-al-agel-combattant-syrien-forme-par_09963690f105d9ee2523e73643af364f.jpg

Mahmoud Al-Agel, combattant syrien formé par le Pentagone, à Gaziantep (Turquie), le 16 septembre.

 

Le télescopage des agendas est piquant. Au moment même où la Russie évoque une intensification de son opération militaire en Syrie, les Etats-Unis annoncent une révision à la baisse de leur investissement dans ce pays. Alors que Moscou affirmait vendredi 9 octobre avoir bombardé soixante « cibles terroristes » dans les dernières 24 heures, soit une nette augmentation par rapport aux journées précédentes, le Pentagone déclarait que son programme d’aide aux rebelles syriens en lutte contre l’organisation Etat islamique (EI), dont les résultats ont été jusque-là désastreux, allait être réorganisé en profondeur.

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Plutôt que de former et d’équiper des unités de pied en cap, le ministère de la défense américain se contentera de livrer du matériel létal et non létal à des brigades dûment sélectionnées, déjà engagées dans le combat contre les djihadistes. Le Pentagone « leur fournira un soutien aérien », précise le communiqué officiel. La presse américaine évoque le fait que l’attention se tournera désormais vers le nord-est de la Syrie, en vue d’agréger un groupe de tribus sunnites dans une « coalition syrienne arabe » pour combattre l’EI aux côtés des forces kurdes.

 

Le Pentagone se rallie à la méthode de la CIA, plus discrète, qui, depuis plusieurs années déjà, fournit un soutien à des groupes armés au profil non islamiste. La centrale de renseignements américaine est la principale pourvoyeuse en missiles antichars de l’Armée syrienne libre (ASL), la branche estampillée « modérée » de l’insurrection contre Bachar Al-Assad. La différence...

 

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image: http://s1.lemde.fr/image/2015/10/10/92x61/4786903_7_c2e4_mahmoud-al-agel-combattant-syrien-forme-par_09963690f105d9ee2523e73643af364f.jpg

Mahmoud Al-Agel, combattant syrien formé par le Pentagone, à Gaziantep (Turquie), le 16 septembre.

Washington acte le fiasco de la « Division 30 » en Syrie

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Gloire au Hezbollah.

 

Un deuxième haut gradé du Hezbollah tué dans la province Idleb

Par Agence | 13/10/2015 | 15:35

 

Au lendemain de l’enterrement solennel au Liban-Sud du chef des opérations du Hezbollah à Idleb, en Syrie, un deuxième chef militaire du parti chiite a été tué dans cette province du nord-ouest du pays, ont affirmé mardi au quotidien libanais anglophone The Daily Star des sources proches de la formation.

 

Mahdi Hassan Obeid, alias Abou Rida, a été tué dans des combats contre des groupes rebelles à Idleb, une province que les forces du régime et leurs alliés tentent de reprendre avec l’aide de raids aériens russes.

 

Le mouvement chiite ne précise jamais le lieu ni les circonstances dans lesquelles ses combattants sont tués en Syrie.

 

Preuve de l’importance de Hassan Hussein al-Hajj, le chef militaire du Hezbollah tué pendant ce week-end, la télévision de la formation, al-Manar, a diffusé ses funérailles lundi durant plusieurs heures, depuis l’importante localité chiite de Nabatiyé jusqu’à son village de Louaizé.

Le site « Liban Sud », proche du Hezbollah, indiquait que le défunt était le « chef des opérations du Hezbollah à Idleb ».

 

D’après le dernier bilan donné en août par l’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH), 903 membres du Hezbollah ont trouvé la mort en Syrie. Le parti chiite n’a de son côté jamais fourni de chiffres.(agences)

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  • 5 weeks later...

Études Géostratégiques

 

Alep

La deuxième ville du pays et sa capitale économique, Alep, est entrée tardivement dans la guerre mais son rôle dans le conflit est rapidement devenu essentiel. Jusque là restée calme, la riche ville d’Alep a basculé dans la violence lorsque le 20 juillet 2012, en parallèle à leur offensive sur Damas, les rebelles sont entrés soudainement dans la ville. Alep menaçait de tomber entièrement entre leurs mains après qu’ils aient conquis les quartiers sunnites déshérités de la moitié ouest, mais le régime a rapidement réagi en envoyant des renforts massifs pour soutenir les points de résistance de l’armée. Les affrontements ont été très violents jusqu’à l’automne, les rebelles essayant de percer les lignes gouvernementales mais sans grand succès.

La situation évolue beaucoup plus lentement depuis[5]. Les rebelles, de leur propre aveu, ont échoué à prendre la ville car ils n’avaient pas pris le contrôle auparavant les nombreuses bases aériennes autour d’Alep, permettant ainsi au régime de ravitailler ses troupes et de les appuyer par des tirs d’artillerie et des bombardements aériens. C’est donc à la prise de ces bases que les rebelles s’emploient désormais. L’aéroport international au sud de la ville résiste cependant toujours à leurs assauts. Dans la ville même, une ligne informelle de démarcation sépare grossièrement les quartiers rebelles, à l’ouest, des quartiers gouvernementaux, à l’est. Au nord, les quartiers kurdes, neutres au départ, ont ensuite connu des affrontements avec les djihadistes du Jabhat Al-Nosra, émanation d’Al-Qaïda en Irak, puis désormais avec les soldats syriens. La guerre urbaine ravage la ville qui est chaque jour détruite en peu plus par les bombardements aériens du régime, les tirs de mortiers des rebelles et les attentats à la voiture piégée. Le patrimoine culturel de la ville est fortement affecté par les combats. Le souk historique de la vieille ville a brûlé lors des combats de l’été puis la grande mosquée des Omeyyades a été d’abord partiellement détruite par un attentat au camion piégé avant d’être endommagée par les combats qui ont conduit à sa prise par les rebelles. La citadelle d’Alep, en plein cœur de la ville, a repris le rôle militaire qu’elle tenait lors de sa construction au XIIIe siècle. Elle est en effet occupée depuis le début des combats par l’armée syrienne qui en a fait une base pour son artillerie et ses snipers. La taille de son édifice rend sa prise très difficile pour les rebelles. Environ 20 000 soldats loyalistes combattent 8 000 rebelles dans la ville. A plusieurs reprises Bachar Al-Assad a tenté d’envoyer des renforts substantiels pour reprendre Alep (les 5e et 6e divisions blindées) mais à chaque fois une offensive rebelle a été opportunément lancée sur Damas pour immobiliser ces forces.

La bataille pour Alep dure depuis le 20 juillet 2012 mais il est à craindre qu’elle s’éternise. En tous les cas, cette bataille est bel et bien pour les deux belligérants « la mère des batailles » comme l’avait appelée Bachar Al-Assad[6]. En effet, si Alep tombe aux mains des rebelles, ils pourront alors envisager le contrôle de tout le nord de la Syrie et mettre en place les bases d’un nouvel Etat syrien (probablement islamiste au vu des revendications de nombre de groupes rebelles). Ils pourront faire d’Alep, leur « capitale de la révolution » telle que l’avait été Benghazi pour la révolution libyenne. Ainsi ils disposeraient d’une base idéale pour la poursuite de la guerre comme d’un moyen de pression supplémentaire sur la communauté internationale pour inciter celle-ci à soutenir plus amplement le nouvel Etat syrien en construction. Pour le régime, tant que ses forces tiennent une partie importante de la ville (et notamment la citadelle) il peut continuer à garder l’espoir d’une reconquête ultérieure des régions du nord passées dans le camp de l’opposition. La perte de la deuxième ville du pays comme de la capitale économique serait un coup très dur porté à sa crédibilité et à son moral. Alep est donc le front décisif dans la guerre civile qui fait rage en Syrie.

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  • 2 weeks later...

Syrie : l’armée reprend à l’EI une ville dans le centre

Par Agence | 23/11/2015 | 11:07

 

L’armée syrienne du président Bachar el-Assad a repris lundi au groupe jihadiste État islamique (EI) une ville dans le centre de la Syrie après plus d’une vingtaine de jours de combats, selon des médias officiels et une ONG.

 

« L’armée, en coopération avec les groupes de défense populaire (milices prorégimes), a pris le contrôle de Mahin et du village de Hawarine dans le sud-est de la province de Homs (centre) », a indiqué la télévision d’État citant une source au sein de l’armée. « L’armée a infligé de lourdes pertes à Daech », acronyme en arabe du groupe EI qui s’était emparé début novembre de la ville de Mahin, a ajouté la télévision.

 

L’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH) a confirmé l’avancée de l’armée syrienne appuyée par des avions et des hélicoptères russes, faisant état de dizaines de morts et de blessés parmi les jihadistes.

 

La reprise de Mahin intervient alors que le président russe Vladimir Poutine et le guide suprême iranien Ali Khamenei, proches alliés du régime Assad, s’entretiendront de la guerre en Syrie lundi à Téhéran.

 

Le secrétaire d’État américain John Kerry est lui à Abou Dhabi pour évoquer avec certains de ses homologues arabes ce conflit qui a fait plus de 250.000 morts depuis 2011.

 

Selon le directeur de l’OSDH, l’armée devrait continuer son avancée vers Al-Qaryataïne, située à une quinzaine de kilomètres à l’est de Mahin et contrôlée par l’EI depuis début août. Les jihadistes y avaient détruit un monastère syriaque catholique du Ve siècle.

 

Toujours dans la province centrale de Homs, les forces du régime de M. Assad progressaient aussi lundi vers la cité antique de Palmyre, avec l’appui d’hélicoptères russes, a ajouté M. Abdel Rahmane. Depuis son entrée à Palmyre en mai, l’EI y a détruit ses plus beaux temples et monuments inscrits par l’Unesco au Patrimoine mondial de l’humanité.

 

La Russie est engagée militairement depuis le 30 septembre en Syrie où elle frappe des groupes rebelles et l’EI en appui aux forces du régime Assad.(Afp)

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L’armée syrienne brise le siège de la base aérienne de Kwairess

Publié le 11 novembre 2015 par Strategika51

 

L’armée syrienne est parvenue avec l’aide de l’aviation russe à briser l’interminable siège de la base aérienne de Kwairess, la moins importante des dix-sept bases aériennes encore opérationnelle des forces armées syriennes.

 

Cette base assiégée de toutes part par la rébellion syrienne de décembre 2012 à mai 2015 puis depuis mai 2015 jusqu’à cette semaine par les forces de l’organisation Daech, a non seulement résisté à une multitude d’assauts et un déluge d’obus de mortier mais a continué plus ou moins à être particulièrement active: Les Albatros L.39 ZO et ZA de la base ont pu effectuer des sorties de combat jusqu’en mai 2013 où le manque de pièces de rechange et le rationnement de carburant ont amené les défenseurs de la base à interrompre provisoirement les missions de bombardement avant de reprendre les sorties en 2014.

 

Le seul lien des défenseurs de la base avec le monde extérieur, bloqués à l’intérieur de la base depuis le début de la guerre en Syrie, a été une escadrille d’hélicoptères Mil MI-8 utilisée pour les réapprovisionnements en nourriture, eau, carburant, pièces de rechanges, munitions et médicaments.

 

Manquant d’armes lourdes et de blindés, les soldats et pilotes de l’armée syrienne assiégés dans la base ont du s’adapter et faire preuve d’habilité en exploitant au maximum les possibilités tactiques offertes par le terrain et les quatorze batteries d’artillerie antiaérienne de la base, principalement des ZPU-4 de 14.5 mm, l’omniprésent ZU-23 de 23mm mais aussi quelques AZP S-60 (57mm) et une douzaine d’hélicoptères non équipés pour le combat.

 

La résistance de ces pilotes et soldats de l’armée syrienne a le mérite d’être connue. Le commandant de la base, le général Mehenna, tué au combat lors d’un pilonnage au Howitzer M-198 US 155 mm (armement lourd capturé par Daech en Irak) guidé à l’aide de drones durant le siège n’a pas fait fléchir la détermination de ses éléments. Les mécaniciens et le peronnel non-navigant s’organisent en unités de choc et se répartissent entre les batteries antiaériennes judicieusement positionnées, des pilotes et des mécanos se convertissent en snipers en utilisant massivement des fusils Dragunov SVD et des fusils anti-matériel AM50 (12.7mm) de fabrication iranienne. Plus tard, les soldats syriens sont approvisionnés via des Mil Mi-8 de matériel russe de vision nocturne et de systèmes de détection.

 

Chose étrange, malgré un ballet de Mil Mi-8 quasiment incessant, peu de ces appareils à l’allure peu fine et lourde ont été atteints par la DCA de Daech, active quasiment 24h sur 24.

 

La base aérienne dispose encore d’un système de missile SAM S-125 et de plus de 57 appareils (sur un total initial de 92) dont de vieux Meteor britanniques déclassés ainsi que deux Mig-23.

Photographie de groupe de soldats syriens armés d'AKM dans un hangar pour avion de la base aérienne assiégée de Kwaires prise en 2014. Notez que quasiment l'ensemble de ces militaires syriens n'a bénéficié d'une permission depuis novembre 2012.

 

Photographie de groupe de soldats syriens armés d’AKM dans un hangar pour avion de la base aérienne assiégée de Kwairess prise par un journaliste de la télévision syrienne en 2014. Notez que quasiment l’ensemble de ces militaires syriens n’ont pas vu à quoi ressemble le monde extérieur depuis novembre 2012.

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Exclusif : La Jeanne d’Arc Kurde Reem Hassan est tombée en héros face à DAECH

Publié le 25 septembre 2015 - par Francis Gruzelle - 145 commentaires

 

Le lieutenant Reem Hassan se serait sacrifiée, dans un combat à 1 contre 50, pour que les combattants Chrétiens et Kurdes puissent se replier….

 

L’unité kurde du lieutenant Reem Hassan avant l’embuscade dans le Ghab, région de l’Ouest syrien.

La résistance Kurde vient de le confirmer : le lieutenant Reem Hassan, chef d’une unité combattante chrétienne et kurde est tombée au combat, voici 48 heures, dans un affrontement contre l’Etat Islamique dans le Ghab, région de l’Ouest syrien. Son unité serait tombée dans une embuscade tendue par des unités de DAECH, et le lieutenant Reem Hassan se serait sacrifiée, dans un combat à 1 contre 50, pour que les combattants Chrétiens et Kurdes puissent se replier…. Pendant ce temps là, à nos frontières, les migrants font preuve de courage, en se sauvant par dizaine de milliers et en tournant le dos à leurs « pays menacés » et à l’élite de leur jeunesse qui, elle, a choisi de combattre…

 

Pour de nombreux officiers Français, tenus à un devoir de réserve, la Jeanne d’Arc Kurde Reem Hassan est devenue, en quelques heures, leur « petite soeur de combat ». Certes, le lieutenant Reem Hassan, chef d’une unité combattante chrétienne et kurde, n’avait pas le béret rouge des unités parachutistes Françaises, mais elle était devenue, ces derniers mois, le cauchemar des combattants de DAECH, son unité s’infiltrant dans les lignes ennemies, pour déstabiliser le front, dans le Ghab, région de l’Ouest syrien.

 

Ces images et ces informations, tirées de la terrible réalité des combats, n’ont rien à voir avec les opérations de manipulation de l’image du cadavre du petit Aylan Kurdi, qui est arrivée « à point » nommé pour que les opinions des pays Européens acceptent, les yeux fermés, l’accueil de centaines de milliers de réfugiés. Lire aussi http://ripostelaique.com/il-prone-laccueil-de-100-millions-dafricains-bhl-un-charognard-de-lhumanitaire-au-service-des-migrants.html

 

Il y a quelques jours, pour illustrer notre article http://ripostelaique.com/le-general-henri-poncet-accuse-la-classe-politique-francaise-dincurie.html , nous avions choisi l’unité kurde du lieutenant Reem Hassan pour illustrer les sacrifices des unités de combattantes kurdes qui tentent d’arrêter DAECH et manquent cruellement de matériel lourd, de canons, de mortiers… abandonnées dans les sables, comme les combattants de Bir Hakeim du Général Koenig et du capitaine Pierre Messmer, par une France, une Europe, des dirigeants politiques focalisés sur l’accueil des migrants et insensibles à la détresse des combattants anti DAECH !

 

Lors de notre choix photographique, nous étions loin d’imaginer l’enfer qui attendait cette petite unité combattante et la fin tragique du lieutenant Reem Hassan, qui affrontait un ennemi 50 fois supérieur, sans arme lourde, et sans les appuis aériens des Rafales et des Tornado, dont « on rebat les oreilles » aux citoyens Français et Anglais.

Francis GRUZELLE

Carte de Presse 55411

 

Lire aussi ces articles qui constituent un complément d’information :

 

http://ripostelaique.com/le-general-henri-poncet-accuse-la-classe-politique-francaise-dincurie.html

 

http://ripostelaique.com/je-propose-de-former-6300-migrants-et-de-les-renvoyer-combattre-daech-en-syrie.html

http://ripostelaique.com/les-sept-graves-erreurs-du-caporal-hollande-va-t-en-guerre-contre-letat-islamique.html

http://ripostelaique.com/intolerable-les-integristes-egyptiens-utilisent-la-france-comme-base-arriere.html

http://ripostelaique.com/enquete-gitans-et-islamo-truands-des-banlieues-equipes-darmes-de-guerre.html

 

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International

19:07 26.11.2015(mis à jour 19:25 26.11.2015) Sputnik

 

L'armée syrienne mène une offensive à Homs et a déjoué une tentative de percée des terroristes près de Palmyre.

 

L'aviation syrienne a mené 179 missions en six jours pour frapper 673 sites des terroristes, a annoncé jeudi à Lattaquié le général de brigade Ali Mayhub, porte-parole des troupes syriennes.

 

"L'Armée de l'air syrienne a effectué 179 sorties pour attaquer 673 sites contrôlés par les terroristes près de Damas, de Homs, de Hama, d'Idlib, d'Alep et dans la province de Lattaquié. Ces frappes ont permis de détruire trois postes de contrôle, deux convois automobiles et des bases de ravitaillement dans la province de Homs", a indiqué le général lors d'un point presse.

 

"Les activités de l'Armée de l'air syrienne ont porté un préjudice important au groupe du Front al-Nosra (…). Nous avons rasé des fortifications des terroristes du Front al-Nosra et éliminé beaucoup de terroristes (…) dans la province d'Idlib", a-t-il ajouté.

 

Les troupes syriennes ont en outre "détruit des centres de communication et de ravitaillement des terroristes et leurs véhicules (…) dans la province d'Alep".

 

"Des dizaines de véhicules transportant des djihadistes ont été anéantis dans la province de Lattaquié", a précisé le général.

 

L'armée syrienne mène une offensive à Homs et a déjoué une tentative de percée des terroristes près de Palmyre, d'après Ali Mayhub.

 

Lire la suite: http://fr.sputniknews.com/international/20151126/1019843737/syrie-armee-gouvernementale-terroristes-aviation.html#ixzz3sp0wtEeu

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  • 2 months later...

Syrie: l'armée coupe les voies de ravitaillement des terroristes

© Sputnik. Mikhail Voskresensky

International

08:23 03.02.2016

486855930

Comme l’ont indiqué les militaires syriens, l'armée poursuit son offensive au nord d'Alep et avance vers la frontière turque.

 

L'armée syrienne a coupé les voies de ravitaillement des djihadistes reliant la Turquie avec le nord d'Alep, a annoncé à RIA Novosti une source au sein de l'armée.

 

"L'armée a coupé les routes Mayer-Anadan et Azaz-Alep. De la sorte, les combattants ne peuvent plus recevoir de renforts et de munitions acheminés depuis la Turquie jusqu’au nord d'Alep", a indiqué l'interlocuteur de l'agence.

 

 

 

​Selon lui, il s'agit du corridor d’Azaz qui est long d’une cinquantaine de kilomètres et fait parfois à peine quinze kilomètres de large. Il relie la Turquie, via le poste frontière de Bab al-Salam, à la grande ville d’Alep.

 

Drapeau du Front d'al-Nosra

© REUTERS/ Hosam Katan

L'armée syrienne traque les djihadistes au sud d'Alep

Comme l’ont indiqué les militaires syriens, l'armée poursuit son offensive au nord d'Alep et avance vers la frontière turque. Des combats se déroulent près des villes de Nubel et de Zahra, assiégées par les djihadistes depuis trois ans. L'artillerie syrienne pilonne la ville de Retyan qui abrite un important détachement de terroristes.

 

Les avions russes et syriens réalisent des frappes contre les postes de commandement, les dépôts de munitions et les positions d'artillerie des djihadistes. Selon les militaires syriens, les djihadistes désertent en masse les localités où se déroule l'offensive de l'armée gouvernementale.

 

Lire la suite: http://fr.sputniknews.com/international/20160203/1021418174/syrie-armee-offensive.html#ixzz3z6FpwbKJ

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L’armée syrienne entre dans les localités assiégées près d’Alep

 

Par Agence | 04/02/2016 |

0

 

L’armée syrienne est entrée jeudi dans deux localités chiites assiégées depuis trois ans par les rebelles opposés aux président Bachar el-Assad, après une avancée qui lui a permis de resserrer l’étau autour d’Alep (nord), deuxième ville du pays.

 

L’agence de presse officielle du régime syrien, Sana, a rapporté que « des foules accueillaient l’armée dans les rues de Nebbol et Zahra pour célébrer la levée du siège des deux localités ».

 

Selon des images diffusés par Al-Manar, la chaîne du Hezbollah chiite allié de Damas, les habitants ont jeté des fleurs et du riz sur les soldats et les combattants prorégime qui ont tiré en l’air en guise de célébration à leur entrée à Nebbol et Zahra.

 

Al-Manar a également montré la foule et les soldats brandissant le drapeau syrien et celui du Hezbollah qui combat aux côtés de l’armée de Bachar el-Assad. « Dieu, Syrie, Bachar, c’est tout », ont-ils scandé.

 

Depuis leur assaut lancé lundi dans la province d’Alep, les forces prorégime ont pris sur leur chemin plusieurs villages et localités, avant de briser mercredi le siège imposé depuis plus de trois ans par les rebelles islamistes à Nebbol et Zahra.

 

Ces derniers se sont repliés mercredi vers le nord et le sud des deux localités.

 

Selon l’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH), cette avancée est la plus importante du régime dans la province d’Alep depuis 2012.

 

Elle a été possible notamment grâce aux bombardements intensifs menés par l’armée de l’air russe contre les positions rebelles. En brisant ce siège, l’armée syrienne est parvenue du même coup à couper la principale route d’approvisionnement des rebelles entre la ville d’Alep et la Turquie.

 

Alep, ex-capitale économique et chef-lieu de la province du même nom située dans le nord du pays, est divisée depuis 2012 entre quartiers ouest contrôlés par le régime et quartiers est tenus par les rebelles.

 

Les quartiers tenus par les insurgés sont désormais directement menacés par les forces prorégime.(Afp)

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L’armée syrienne resserre son étau autour des rebelles à Alep

 

Le Monde.fr avec AFP et Reuters | 03.02.2016 à 18h45 • Mis à jour le 04.02.2016 à 02h18

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image: http://s2.lemde.fr/image/2016/02/03/534x0/4858841_6_0824_des-forces-gouvernementales-pres-des-villages_23455331c7c0216cfa828cf3d5232d4d.jpg

Des forces gouvernementales près des villages assiégés de Nebbol et Zahra, dans la province d'Alep en Syrie, le 2 février 2016.

Des forces gouvernementales près des villages assiégés de Nebbol et Zahra, dans la province d'Alep en Syrie, le 2 février 2016. GEORGE OURFALIAN / AFP

C’est une avancée majeure pour les troupes de Bachar Al-Assad. Engagées depuis le début de la semaine dans un assaut contre la grande ville d’Alep, dans le nord du pays, elles sont parvenues, mercredi 3 février, à couper la principale route d’approvisionnement des rebelles en provenance de la Turquie, qui leur permettait de recevoir aides et renforts. Un succès remporté notamment grâce au soutien de l’aviation russe.

 

Mercredi, les forces du régime ont également affirmé avoir brisé le siège imposé depuis plus de trois ans par des rebelles islamistes aux localités de Nebbol et Zahra, au nord d’Alep. Depuis lundi, elles ont pris le contrôle, au cours de leur progression, de plusieurs villages et localités de la province. Le gouvernorat est en grande partie aux mains du Front Al-Nosra et de l’EI, la ville même d’Alep, ancienne capitale économique, divisée entre quartiers ouest contrôlés par le régime et quartiers sous contrôle rebelle.

 

Lire aussi : A Alep, les frappes très ciblées de l’aviation russe

La menace d’un siège total

 

Selon l’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH), cette avancée de l’armée est la plus importante du régime dans la province depuis 2012. « Les prorégime encerclent les quartiers rebelles à Alep des côtés sud, est et nord, à l’exception d’une seule ouverture dans le Nord-Ouest qui permet aux insurgés d’accéder à la province voisine d’Idlib, a expliqué Rami Abdel Rahmane, le directeur de l’OSDH. S’ils parviennent à poursuivre leur avancée, ils pourront alors bloquer ce seul accès » et assiéger totalement les rebelles.

 

« Les forces du régime ont accompli en trois jours à Alep ce qu’elles avaient échoué à faire en trois ans, et ce grâce à l’appui russe », a-t-il ajouté. Haut lieu de la rébellion, le gouvernorat d’Alep, qui s’est libéré quasi entièrement dans le courant de l’année 2012, est l’une des régions les plus visées par les frappes russes.

 

En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/proche-orient/article/2016/02/03/l-armee-syrienne-affirme-avoir-coupe-la-route-d-approvisionnement-des-rebelles-a-alep_4858842_3218.html#qYjo1gma91CU88RQ.99

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