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La destitution de Bouteflika est « une urgence »


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Le RCD a estimé, ce vendredi 14 décembre, que la destitution de Bouteflika est « une urgence », pour mettre « un frein à la précipitation et à l’aggravation de la crise institutionnelle et politique ». « Depuis cinquante ans, nous ne parlons que de faillite de l’école, de chômage de masse, de perte de repères, d’absence de confiance dans les institutions, de mal‑vie, de détournement et de corruption, de la double dépendance aux hydrocarbures et à l’importation… Dès le départ cet échec est celui d’un système. Aujourd’hui, il est celui d’un chef d’État dont l’incompétence économique est manifeste et qui en réduit à gérer la dépense publique. Son état de santé, qui n’est pas pour l’excuser, le rend incapable de gouverner et sa destitution, en vertu de l’article 88 de la Constitution, est une urgence si on veut freiner la précipitation et l’aggravation de la crise institutionnelle et politique », a déclaré Mohcine Bellabas, président du RCD, dans une allocution à l’ouverture des travaux du Conseil national du parti.

« Le dernier signe de son incapacité à faire face au minimum d’obligations protocolaires se révèle dans le retard [bientôt quatre mois] qui continue de s’accumuler pour l’ouverture de l’année judiciaire », a‑t‑il justifié.

 

Autre urgence aux yeux du RCD : la dissolution de la police politique. « La dissolution de la police politique est nécessaire, urgente, vitale et inéluctable », affirme M. Bellabas. « C’est par son entremise que le régime se maintient à travers un système de surveillance et de contrôle sur le partis politiques, la société civile et plus globalement de la toute la population », a‑t‑il dit.

 

Pour lui, le RCD est installé « en pôle position de l’opposition démocratique ». Il a estimé que la participation du parti aux dernières élections locales a été une grande réussite pour le parti, notamment à Tizi Ouzou où le RCD a assuré sa suprématie avec 310 élus et où il a remporté la majorité dans 30 communes. « Comme je vous le disais dans la lettre que je vous ai adressée il y a quelques jours, ce bilan est important car il démontre que le DRS, qui avait juré notre disparition, n’a plus la même maîtrise sur le cours politique », explique le président du RCD.

 

« Oui, l’alliance politique que ce service a concoctée en Kabylie pour les partis du régime apparaît, comme l’opération "Jumelles" lancée contre cette même région en 1959. Elle vise à asphyxier le RCD, et à travers lui, attenter à la résistance légendaire de populations ». « Ce qu’il faut relever, c’est que l’Histoire a retenu que "Jumelles" a été la dernière opération du colonisateur avant l’indépendance », a‑t‑il ironisé.

 

 

T.S.A

14/12/2012 à 13:21

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le RCD ont luit même est un partie de service toute comme les autre partie S'auffe quille na pas était gâté comme les autre voila

yas pas de vrais politique ont Algérie

mais même moi je suis pas démocrate est je croit pas dent cette connerie de démocratie ont Europe même elle existe pas les dissident européen le dise

la démocratie c'est juste un justification con utilise pour déstabiliser un pays

se luit qui est tré important c'est le bonne niveaux de vie pour un peuple est la c'est vrais que bouteflika est sa clique non pas réussie

perso je panse que l’Algérie na pas encor trouver sont homme

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Inchallah ya rebbi el 3alamine !!!

Mais, j'espère que ce ne sera pas le système fln(rnd) qui en profite !

C'est ca le pire !

 

Il partira en laissant l'Algerie aux charognards qu'il a mis 15 ans a placer dans les plus hauts sommets du pouvoir !

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Il s'en ira INCHAALLAH a la fin de son mandat en 2013:wavetowel::wavetowel:

 

bouteflika est trop imbu de sa petite personne.

il pense qu,il est un messie pour l,algerie

amara benyounes et consorts l,aide a se considerer comme tel en l,appelant a se presenter en 2014 encore.

il n,a aucun sens de l,etat.

 

BOUTEFLIKA PREFERE SA PETITE PERSONNE ET SON BIEN ETRE, MEME A SON AGE, MAIS PAS LE BIEN ETRE DU PEUPLE POUR LEQUEL IL A UN MERPIS SON NOM.

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Le RCD a estimé, ce vendredi 14 décembre, que la destitution de Bouteflika est « une urgence », pour mettre « un frein à la précipitation et à l’aggravation de la crise institutionnelle et politique ». « Depuis cinquante ans, nous ne parlons que de faillite de l’école, de chômage de masse, de perte de repères, d’absence de confiance dans les institutions, de mal‑vie, de détournement et de corruption, de la double dépendance aux hydrocarbures et à l’importation… Dès le départ cet échec est celui d’un système. Aujourd’hui, il est celui d’un chef d’État dont l’incompétence économique est manifeste et qui en réduit à gérer la dépense publique. Son état de santé, qui n’est pas pour l’excuser, le rend incapable de gouverner et sa destitution, en vertu de l’article 88 de la Constitution, est une urgence si on veut freiner la précipitation et l’aggravation de la crise institutionnelle et politique », a déclaré Mohcine Bellabas, président du RCD, dans une allocution à l’ouverture des travaux du Conseil national du parti.

« Le dernier signe de son incapacité à faire face au minimum d’obligations protocolaires se révèle dans le retard [bientôt quatre mois] qui continue de s’accumuler pour l’ouverture de l’année judiciaire », a‑t‑il justifié.

 

Autre urgence aux yeux du RCD : la dissolution de la police politique. « La dissolution de la police politique est nécessaire, urgente, vitale et inéluctable », affirme M. Bellabas. « C’est par son entremise que le régime se maintient à travers un système de surveillance et de contrôle sur le partis politiques, la société civile et plus globalement de la toute la population », a‑t‑il dit.

 

Pour lui, le RCD est installé « en pôle position de l’opposition démocratique ». Il a estimé que la participation du parti aux dernières élections locales a été une grande réussite pour le parti, notamment à Tizi Ouzou où le RCD a assuré sa suprématie avec 310 élus et où il a remporté la majorité dans 30 communes. « Comme je vous le disais dans la lettre que je vous ai adressée il y a quelques jours, ce bilan est important car il démontre que le DRS, qui avait juré notre disparition, n’a plus la même maîtrise sur le cours politique », explique le président du RCD.

 

« Oui, l’alliance politique que ce service a concoctée en Kabylie pour les partis du régime apparaît, comme l’opération "Jumelles" lancée contre cette même région en 1959. Elle vise à asphyxier le RCD, et à travers lui, attenter à la résistance légendaire de populations ». « Ce qu’il faut relever, c’est que l’Histoire a retenu que "Jumelles" a été la dernière opération du colonisateur avant l’indépendance », a‑t‑il ironisé.

 

 

T.S.A

14/12/2012 à 13:21

 

Quelle crédibilité accorder à ce "particule" qui n'a même pas pu rassembler 50 personnes en plein centre d'Alger et en plein printemps arabe?

 

Quelle crédibilité accorder à des "démocrates" qui appellent à un "coup d'état"? :mdr::mdr:

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C'est bien ce que je disais plus haut, voilà pourquoi aucun changement n'est possible y aura toujours des bourricots pour dire que dès que quelqu'un appelle à un changement que ce sera un coup d'Etat, une machination et un complot de l'extérieur, un coup du voisin du Mahkzen, des franssaouis, des sionistes, des extra-terrestres, des singes verts, ... et ...

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