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ça c 'est l histoire ecrite par les perdants .paradoxalement les vainqueurs ne l ont pas encore ecrite .

dans ma famille les anciens moudjahids encore vivants me disent qu a la fin de la guerre le territoire etait pratiquement libéré.(est)les français ne circulaient plus .

Tu attends qu'ils te disent "nous avons perdu" ??? :D

 

Faut lire l'Hsitoire. Meme les Algeriens reconnaissent qu'ils n'ont pas gagne la guerre militaire. A la fin des annees 50, les combattants du FLN etaient repliés dans les recoins les plus reculés, manquant d'armes, de moyens et de leaders.

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Vous avez le droit de vous bercer d'illusions....Depuis 50 ans , la France vit bien...vous ne pouvez pas en dire autant en Algérie. Ce serait même le contraire...exemple : les caisses de retraite sont arrivés à la conclusion que les algériens vivaient plus longtemps que tous....Les retraites sont payées, payées, payées....les retraités, on n'est pas sûr qu'ils vivent encore ! Un autre exemple (vécu celui-là) : une algérienne ouvrière se trouve licenciée....Longtemps après elle nous rend visite, expliquant qu'elle vit en Algérie, bénéficiaire d'abord du chômage et ensuite du RSA simplement en donnant une fausse déclaration d'adresse en France (Chez sa soeur). Chaque année elle fait le voyage pour retirer ses sous et en avion s'il vous plaît ! Regardez autour de vous...vous verrez, vous connaissez tous des gens, petits voleurs, petits escrocs et après on doit écouter les leçons de repentance....à d'autres !

Ceux qui vivent sous perfusion, c'est bien vous, les algériens, dont le rêve premier est de quitter l'Algérie pour venir grossir les banlieues françaises....Les banlieues tant critiquées mais moins miséreuses que les quartier surpeuplés de vos villes

 

Et encore heureux que le droit de se bercer nous est accordé ".

 

"A tous ceux qui nous refusent le droit de rêver, nous les emêcherons de dormir"!"

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Guest mounir 73
Ni l'un, ni l'autre......Lorsqu'on débat sur un forum, il faut être capable d'entendre quelqu'un qui n'est pas de votre avis...

Contrairement à d'aucun, je n'insulte personne

 

français pur "jus" ou maghrébin complexé ? :D

ce qui peut te sembler un avis peut être vu comme une insulte par d'autre ..

mettre a pied d’égale le bourreau et ca victime relève d'une "connerie intellectuelle" et comparé cela avec les guerres occidental qui elle son d'un tout autre genre pour une tout autre raison l'est encore plus ..et comme ca ne suffisait pas tu demande a ce que tout soi oublier comme si de rien n’était ajib ! comment peut on oublier ce qui na pas encore était avouer ou reconnu ?

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Tu attends qu'ils te disent "nous avons perdu" ??? :D

 

Faut lire l'Hsitoire. Meme les Algeriens reconnaissent qu'ils n'ont pas gagne la guerre militaire. A la fin des annees 50, les combattants du FLN etaient repliés dans les recoins les plus reculés, manquant d'armes, de moyen et de leaders.

 

Exact mon ami !

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Guest jagellon
Exact mon ami !

 

Sahit Wahrani kirak dayer

 

C'était un choix économique de la part de De Gaulle. Sachant que de toutes les manières il y'aurait toujours un vent de revolte de la part des algériens autant ne plus investir en Algérie, ne plus financer d'eternelles opérations militaires tout en gardant l'essentiel, le pétrole et les bases militaires. De Gaulle a préféré mettre les fonds français pour financer le nucléaire afin d'essayer de rattrapper le retard pris sur les deux géants américain et soviétique.

C'est à partir de la nationalisation de 71 que le vent a réellement commencé a tourner.Peut ete un peu avant avec celle de Mers El Kebir.

La guerre de 54-62 n'a jamais été gagnée par les algériens sur le plan militaire, peut-etre sur le terrain de la communication et de l'opinion publique internationale mais aucune puissance n'aurait intercédé pour les algériens si ce n'était les français eux-memes qui avaient décidé de partir de manière très planifiée. Dès le printemps 61 il ne restait plus grand monde pour tirer le coup de feu.

 

Ouvrir les archives des deux cotés qu'ils disent. Je vois mal Stora ou Harbi oser ouvrir cerraines archives ou meme demander l'accés à ces archives.

Ce sont les anglais qui ont donné le plus d'infos, d'autres ont étés obtenues par les russcoffs sur le comment et le pourquoi la France a décidé seule de partir et de laisser en plan Algérie, pied-noirs,harkis tout en y sauvegardant ses interets économiques et organisant un boxon historico-tragique.

 

Non ce n'est pas en Algérie que les révélations d'archives feraient le plus de mal. Nous savons très bien que les gars de l'ALN se sont entretués , qu'il y'a eu lutte pour le koursi dès le début et qu'elles continue, que plein de sombres affaires entourent cette révolution idéalisée par les manuels mais en France ça aurait un effet dévastateur, les fondements memes du leitmotiv égalitaire tant chéri par la nième raie publique voleraient en eclat.

 

Tu vois je n'aime pas boutef, je ne l'ai jamais aimé et je n'apprécie guère sa politique mais c'est le seul assez retors pour jouer sur ce terrain pour essayer d'obtenir une véritable indépedance, de sortir du guet-apens tendu en 61 lors d'une réunion à Matignon, de réellement obtenir notre indépendance.

 

S'il faut passer par la main d'oeuvre chinoise et le vautourisme américain ben nous le ferons et c'est d'ailleurs ce que nous sommes en train de faire.

Boutef finira bien par se casser ou casser sa pipe.

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Tu attends qu'ils te disent "nous avons perdu" ??? :D

 

Faut lire l'Hsitoire. Meme les Algeriens reconnaissent qu'ils n'ont pas gagne la guerre militaire. A la fin des annees 50, les combattants du FLN etaient repliés dans les recoins les plus reculés, manquant d'armes, de moyen et de leaders.

 

Sur le tard,comme à Diên Bên Phu ou Alésia, il est admis que l'ANL aurait remporté son duel contre l'armée française. En revanche, il est vrai que l'ANL l'avait emporté par jet d'éponge de l'adversire K.O. debout dans les cordes.

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Sahit Jag , el hamdoulillah !

 

Dis moi ce que tu penses de ça , malgré l'erreur qui donne El Hadj Lakhdar comme victime de l'explosion du poste qui a tué Ben Boulaid .

 

Ben Boulaïd est né le 5 février 1917 à Arris (Aurès) dans une famille de paysans. En 1936, émigré dans la région de Metz, il est élu responsable syndical. Mobilisé dans l’armée française en 1939, il est libéré en 1942 et devient meunier à Arris. Il est élu responsable du syndicat des commerçants de la région et, dès 1943, il commence à s’intéresser à la politique grâce à un militant du PPA, Mahieddine Bekkouche, libéré de la prison de Lambèse la même année. En 1943, il est mobilisé à Khenchela comme réserviste jusqu’en 1945 et c’est après son retour à la vie civile qu’il adhère au PPA clandestin puis au MTLD.

 

En 1953, Messali intervient pour que Ben Boulaïd soit coopté au comité central comme responsable de l’OS reconstituée, sur la base d’un second rapport de Hocine Aït Ahmed de 1952, et placée sous la direction du secrétaire général Ben Khedda et du président du parti Messali Hadj.

 

Pendant la crise du MTLD, il se rend à Niort (ouest de la France) en février 1954 et pendant les discussions avec Messali, il plaide pour éviter une cassure du parti, sans comprendre la nature de la crise. De retour en Algérie, il préconise "la neutralité", ce qui explique l’absence d’une délégation des Aurès au congrès d’Hornu. Informé des résultats de ce congrès, il revient à Niort en juillet 1954 et il apprend de son chef hiérarchique, car l’OS existe toujours, que la direction issue d’Hornu, le Conseil national de la révolution (CNR) réorganise le parti pour l’engager dans la lutte pour l’indépendance en décembre 1954, après la session de novembre de l’ONU.....

 

....Le 15 août, Ben Boulaïd se rend à Tripoli où il informe Ben Bella des résolutions prises le 25 juillet par les 22 du CRUA de déclencher la lutte armée. Après les assurances reçues, il revient en Algérie et arrache l’adhésion de Krim Belkacem au CRUA.

 

Le 1er novembre, c’est au nom de Messali Hadj que Chihani Bachir, Ben Boulaïd et toute la wilaya des Aurès entrent dans l’insurrection. Les armes promises par Ben Bella qui devaient transiter par la Tripolitaine et le Sous n’arrivant pas, Ben Boulaïd nomme Chihani Bachir chef de l’Idara (état-major) des Aurès et se rend à Tripoli. Arrêté le 11 février à Ben Gardane dans le Sud tunisien, il est transféré à la prison de Constantine. Interrogé par Vincent Monteil, le 16 février, il lui dira qu’il reste fidèle au programme du PPA, dont le mot d’ordre central : l’élection d’une Assemblée Constituante souveraine, reste la solution au problème algérien.

 

....Le 10 novembre, la presse annonçait l’évasion de Ben Boulaïd et onze condamnés, organisée par le MNA. En prison, Ben Boulaïd avait pu avoir, via son avocat Yves Dechezelles, un échange avec Abdallah Filali, originaire de Constantine et dirigeant du PPA clandestin au sein du MTLD puis du MNA. Ben Boulaïd indigné d’apprendre l’exécution de Chihani Bachir à l’issue d’un procès inique ainsi que la guerre engagée par Abane Ramdane contre les messalistes adhéra au MNA comme me l’a confirmé Filali. Libéré, il reprend le contrôle de sa wilaya, reconstruit l’Idara désarticulée par Laghrour Abbès puis envoie des courriers aux autres chefs de wilayas pour constituer un état-major de l’ALN, indépendant du FLN et du MNA, le problème politique devant être réglé par des élections libres à une Assemblée constituante. C’est alors que le 27 mars, Ben Boulaïd manoeuvrant un poste de radio piégé à son PC fut déchiqueté par une violente explosion, dans laquelle périrent aussi son lieutenant Hadj Lakhdar Chelihi et deux autres cadres.

 

Dans un tract parvenu les 6 et 7 décembre aux journaux parisiens, le MNA qui a mené une enquête sur place a établi que Adjoul, l’un des adjoints de Laghrour Abbès, étant en contact avec Krim, l’assassinat de Chihani Bachir et de Ben Boulaïd n’était pas le fait du hasard. Zighout Youcef, et Ben Tobbal, chefs de la wilaya du Nord-Constantinois n’accepteront pas la version de la mort de Ben Boulaïd faite par Amirouche, rejetant la responsabilité sur le seul Adjoul. Quant à Ali Kafi, il manifestera son scepticisme en indiquant que "les versions contradictoires sur la mort de Ben Boulaïd se sont multipliées".

 

En cette fin 1955, le FLN n’était en rien la direction de l’ALN, puisqu’il ne défendait pas le chef de la wilaya des Aurès. Dès septembre 1955, Robert Barrat, Francis Jeanson et le lobby pro-FLN qui se met en place ne mènent aucune lutte pour empêcher les condamnés à mort en Algérie.

 

En novembre 1955, Jean Daniel et France Observateur font partie d’un lobby qui soutient le FLN, à la différence d’Albert Camus qui défend la campagne du Comité et sa résolution générale. Il est étonnant que l’itinéraire et le combat de Ben Boulaïd ainsi que l’action menée par un Comité pour empêcher son exécution par le pouvoir colonial restent toujours méconnus ou dénaturés. À titre d’exemple, le dernier livre, très médiatisé de Benjamin Stora : La guerre des Algériens vue par les Algériens, Denoël, 2012 !

 

Lire l'article entier sur lematindz.com

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Guest jagellon

Merci pour l'article du matin Wahrani.

 

Comme quoi la scabreuse histoire de la naissance de l'ALN n'est pas un sujet tabou dans les médias algériens.

 

C'est dans cette transition MTLD, OS, ALN , comités intermédiaires puis plus tard l'assassinat de Ben Boulaid et de Krim par leurs supposés pairs ,, la bleuite de Amirouche, la main mise des MALGaches jusqu'à nos jours, la mise au ban de Ben Khedda, Ait Ahmed etc.., la diabolisation de Messali, la mise à l'écart de Mostefa Lacheraf et plein d'autres trucs, que réside le noeud de l'histoire.

 

Pourquoi? ben parce que le FLN a arrangé plein de connexions dès le début et les arrange toujours.

 

Est-ce que les algériens ont peur de cette vérité? Non pas du tout. Ils la soupçonnent depuis le départ.

 

ps: Une fois j'ai surpris une discussion entre jeunes au café. Le sujet était feu Boudiaf. J'ai été vraiment surpris d'entendre ces jeunes dire qu'au final il n'avait fait que payer pour ce qu'il avait fait entre 54-62. C'est dire si les algériens sont prets à connaitre leur véritable histoire.

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C'est cela l'intelligence de journalistes algériens? Honte au brillant pourtant Mohamed Benchicou!

 

Ceci dit, le" mendesiste" Jean Daniel ne s'était pas rangé du côté des indépendantistes, mais militait à une solution négociée comme en Tunisie ou au Maroc: "L'indépendance dans l'interdéndance"

 

A Evian, contre les crimes de l'OAS, Krim Belkacem montera le ton et de fait obtiendra plus que l'impossible.

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Guest jagellon
C'est cela l'intelligence de journalistes algériens? Honte au brillant pourtant Mohamed Benchicou!

 

Ceci dit, le" mendesiste" Jean Daniel ne s'était pas rangé du côté des indépendantistes, mais militait à une solution négociée comme en Tunisie ou au Maroc: "L'indépendance dans l'interdéndance"

 

A Evian, contre les crimes de l'OAS, Krim Belkacem montera le ton et de fait obtiendra plus que l'impossible.

 

On se fiche de Benchicou comme du dernier plumitif du comité central. Le matin a publié un article et cela n'engage que son auteur plus la rédaction.

L'essentiel est que ce point sensible puisse etre abordé par la presse , par l'histoire et par les algériens en dehors des sentiers consensuels.

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On se fiche de Benchicou comme du dernier plumitif du comité central. Le matin a publié un article et cela n'engage que son auteur plus la rédaction.

L'essentiel est que ce point sensible puisse etre abordé par la presse , par l'histoire et par les algériens en dehors des sentiers consensuels.

 

Soit que ta raison délire ou bien alors encore bien plus pire?

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Sur le tard,comme à Diên Bên Phu ou Alésia, il est admis que l'ANL aurait remporté son duel contre l'armée française. En revanche, il est vrai que l'ANL l'avait emporté par jet d'éponge de l'adversire K.O. debout dans les cordes.

 

c'est tres tres rare que je sois d accord avec toi .

le miracle de noel ?

a bientot pour d autres aventures :D

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C'est surtout le bombardement du village tunisien de Sakiet Sidi Youssef qui a déclenché le tollé de la communauté internationale et forcé la France sous la pression de l'ONU de solder la guerre, et en passant de hâter le retour de De Gaulle. Sans parler de la crise parlementaire et de la fin de la IV République et de l'instabilité politique qui y régnait. Sans Guy Mollet nul doute que la guerre aurait pris très tôt un autre tournant.

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C'est surtout le bombardement du village tunisien de Sakiet Sidi Youssef qui a déclenché le tollé de la communauté internationale et forcé la France sous la pression de l'ONU de solder la guerre, et en passant de hâter le retour de De Gaulle. Sans parler de la crise parlementaire et de la fin de la IV République et de l'instabilité politique qui y régnait. Sans Guy Mollet nul doute que la guerre aurait pris très tôt un autre tournant.

 

C'est le ghetto d'Alger plutôt qui sonnera le glas de la colonisation fraçaise en Algérie. En l'espèce, le nazis furent des amateurs à comparer aux exactions françaises.

 

Et puis que fais-tu de la crise de Suez?

En Algérie, la France n'avait aucune chance de s'en sortir comme du reste en Indochine. C'est la seule nation qui a perdu toutes les guerres: d'Alésia jusqu'à Alger.

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C'est finalement le blocus d'Alger qui engendrera une prise de conscience par la jeunesse algérienne qu'il se déroulait une véritable guerre en Algérie. Sur 70' 000 habitants que comptait la casbah, 24'000 furent arrêtés et 4'000 furent exécutés sommairement..

!!!

Mais lors de l'état d'Alger, l'armée française ignorait que lot gros lot: Krim Belkacem était sur place. Et dans ce cas, il est démontré que l'instinct de survie

de l'individu est unique au monde et aucune autre espèce ne peut égaler. Il avait fallu 30 jours au "fauve kabyle" pour se sortir d'une "souricière" et rejoindre sa Kabylie...à pieds!.

 

Tous les 5 membres du CCE (Abbane, Ben Khedda, Ben Mhidi,Dahleb, et Krim)étaient à Alger comme ça a été decidé au congré de la Soummam. Abbane, Ben Kheda et Dahleb y résidaient en permanence depuis 1955 (Abbane s'y est marié en fevrier 56).

Après l'Arrestation à Alger d'un certain nombre de personnalités, accusées de collaboration avec le FLN , et la repression qui s'est exercée sur les civils, les quatre dirigeants du CCE ont décidé de se scinder en deux groupes Pour rejoindre Tunis . Krim et Ben Khedda ont emprunté la voie orientale via la Kabylie où ils ont été accompagnés en 2CV par le Dr Chaulet (pas à pied) et Abane et Dahleb la voie occidentale par le Maroc via la w4. N'ayant pas été averti comme les autres, Ben Mhidi sera arrêté 2 jours plutard par les paras de Bigeard et lâchement assassiné.

Les arrestations de Bitat (chef de la zone centre) en 1955 à Alger , et de Ben Mhidi (chef du CCE) en fevrier 57 à Alger sont des énigmes non élucidées jusqu'à present. Les archives sont attendues impatiemment.

 

 

Incontestablement, il est le seul héros intègre de l'indépendance algérienne et son effigie mériterait de paraître sur un billet de dinar. Krim Belkacem est au-dessus du "Che" Guevara, Ben Barka, Ho-Chi-Minh ou Mandela.

 

Chacun a la place qu'il mérite au sein des siens.

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moi j aurais été de gaulle , j aurais gagné la guerre , j aurais pas laché le sahara..

evidemment des millions d appelés dans les djebels , des villages qui se couchent devant les trains pour empecher les trains d emmener les enfants des villages se faire tirer par des arabes ...

tout ça pour sauver les interets de colons qui vont jusqu a faire payer l eau aux appelés français venus pour les defendre..

tout ça ça fait desordre.

la france n avait pas gagné la guerre et elle ne voulait plus mourir pour les pieds noirs.

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Guest mounir 73
moi j aurais été de gaulle , j aurais gagné la guerre , j aurais pas laché le sahara..

evidemment des millions d appelés dans les djebels , des villages qui se couchent devant les trains pour empecher les trains d emmener les enfants des villages se faire tirer par des arabes ...

tout ça pour sauver les interets de colons qui vont jusqu a faire payer l eau aux appelés français venus pour les defendre..

tout ça ça fait desordre.

la france n avait pas gagné la guerre et elle ne voulait plus mourir pour les pieds noirs.

 

y'avait pas que ca l’indépendance vu le contexte de l’époque était inévitable c'est ce qui me fait dire souvent qu'on auraient pu l'avoir a moindre cout ..

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y'avait pas que ca l’indépendance vu le contexte de l’époque était inévitable c'est ce qui me fait dire souvent qu'on auraient pu l'avoir a moindre cout ..

 

de toutes façons au vu du resultat c'était vraiment pas la peine :

 

Le "butin de guerre" cher au grand écrivain algérien Kateb Yacine, qui décrivait ainsi la langue française au lendemain de l'indépendance de l'Algérie, a été bien conservé. Journaux, affiches publicitaires, enseignes commerciales, jusqu'aux commentaires des matches de football sur les radios, ou dans les conversations, où il se mélange parfaitement à l'arabe parlé, le Français est partout présent dans les rues d'Alger.

 

La capitale s'apprête à accueillir dans l'effervescence le président François Hollande, en visite d'Etat les 19 et 20 décembre, quelques jours avant la fin de l'année du cinquantenaire des accords d'Evian.

 

Pas une langue officielle, mais pas tout à fait non plus une langue étrangère, le français a suivi, ici, tous les bouleversements de la société. Autrefois réservée à quelques privilégiés durant les cent trente années de colonisation, la langue de Molière s'est paradoxalement développée... après l'indépendance.

 

Alors que l'Algérie n'est que membre observateur de l'Organisation internationale de la francophonie, une étude, en 2008, estimait à un tiers le nombre d'Algériens sachant lire, écrire et parler en langue française. Certes, cette dernière s'est trouvée aux prises avec un conflit idéologique et la généralisation de l'enseignement arabe décrétée dans les années 1970 et 1980. "C'était des batailles homériques dans les facs entre les francophones, dont je faisais partie, et les arabophones qui nous délivraient des certificats de trahison", se souvient Salim Rabia, journaliste.

 

LES ENTRETIENS D'EMBAUCHE EN FRANÇAIS

 

Malmenée pendant la décennie de repli sur soi, lors de la guerre civile qui a opposé l'armée algérienne aux islamistes, le français a pourtant refait surface. Les tentatives d'infuser l'anglais n'ont pas détrôné sa prééminence. "Dans les entreprises privées, les entretiens d'embauche se déroulent en français, et la première question est : maîtrises-tu cette langue ?", rapporte Maaga Saïda, 23 ans, rencontrée dans la jolie petite cour de l'Institut français d'Alger. Ses études en droit des affaires achevées, la jeune femme a rejoint les 11 065 étudiants ou salariés inscrits en 2012, moyennant la somme non négligeable de 12 000 dinars (110 euros) pour une cinquantaine d'heures de perfectionnement, dans l'un des cinq instituts français d'Algérie qui ont rouvert en 2008. A cette date, ils n'étaient alors que 4 571.

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