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Le groupe Cevital veut racheter le volailler français Doux


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Les ambitions de Cevital en France se confirment. Le groupe algérien veut racheter le volailler français Doux, ex‑leader européen, en redressement judiciaire depuis le 1er juin dernier. Selon nos informations, le premier groupe privé algérien en termes de chiffre d’affaires (3,5 milliards de dollars) est en discussions depuis quelques mois avec Doux pour racheter l’ensemble de ses activités. « Nous sommes intéressés par le rachat de Doux, mais nous ne pouvons pas en dire plus. Nous avons un accord de confidentialité à respecter », affirme ce mercredi 19 décembre à TSA, la direction de Cevital.

 

Le patron du groupe algérien, Issad Rebrab, a déjà évoqué le sujet avec les ministres français du Redressement productif Arnaud Montebourg et de l’Agriculture Stephane Le Foll. La France ne s’oppose pas à ce que des intérêts algériens prennent des participations dans le capital des groupes français, avait déclaré fin novembre à TSA Jean‑Pierre Raffarin, chargé du suivi des investissements français en Algérie. La colocalisation proposée par le gouvernement français pour bâtir un partenariat d’exception avec l’Algérie prévoit des participations croisées dans les entreprises des deux pays.

 

« Les opportunités qui se présentent aujourd’hui en France et en Europe d’une façon générale, pour le rachat d’activités, en raison de la crise économique, ne risquent pas de se reproduire dans au moins cent ans. Il faut les saisir maintenant », estime M. Rebrab. Toutefois, excepté Sonatrach, l’Algérie n’autorise pas ses entreprises à se développer à l’international et à investir à l’étranger. La Banque d’Algérie n’autorise pas les entreprises à transférer des devises pour acquérir des actifs à l’international. Pour y parvenir, les groupes algériens doivent obtenir une dérogation du Conseil de la monnaie et du crédit.

 

In :tsa-algerie.com

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:mdr::mdr::mdr:

 

On lui appliquera alors la règle de "proches du régime dictatorial" dont les biens doivent être saisis :mdr::mdr:

 

Est-il assez stupide ou bien mettra-t-il tout ça sous le nom de son binational de fils en espérant que .....

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:mdr::mdr::mdr:

 

On lui appliquera alors la règle de "proches du régime dictatorial" dont les biens doivent être saisis :mdr::mdr:

 

Est-il assez stupide ou bien mettra-t-il tout ça sous le nom de son binational de fils en espérant que .....

 

Hey mais c'est une entreprise en banqueroute car moins compétitive. Qu'en fera-t-il?

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Hey mais c'est une entreprise en banqueroute car moins compétitive. Qu'en fera-t-il?

 

Il ne cherche pas à gagner de l'argent mais autre chose :crazy::crazy:

 

De plus l'argent qu'il va investir sera celui des "......" plus que le sien :mdr:

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Guest L'observateur
Il ne cherche pas à gagner de l'argent mais autre chose :crazy::crazy:

 

De plus l'argent qu'il va investir sera celui des "......" plus que le sien :mdr:

Oui ,mais Cevital pour lui :mdr:

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Les ambitions de Cevital en France se confirment. Le groupe algérien veut racheter le volailler français Doux, ex‑leader européen, en redressement judiciaire depuis le 1er juin dernier. Selon nos informations, le premier groupe privé algérien en termes de chiffre d’affaires (3,5 milliards de dollars) est en discussions depuis quelques mois avec Doux pour racheter l’ensemble de ses activités. « Nous sommes intéressés par le rachat de Doux, mais nous ne pouvons pas en dire plus. Nous avons un accord de confidentialité à respecter », affirme ce mercredi 19 décembre à TSA, la direction de Cevital.

 

Le patron du groupe algérien, Issad Rebrab, a déjà évoqué le sujet avec les ministres français du Redressement productif Arnaud Montebourg et de l’Agriculture Stephane Le Foll. La France ne s’oppose pas à ce que des intérêts algériens prennent des participations dans le capital des groupes français, avait déclaré fin novembre à TSA Jean‑Pierre Raffarin, chargé du suivi des investissements français en Algérie. La colocalisation proposée par le gouvernement français pour bâtir un partenariat d’exception avec l’Algérie prévoit des participations croisées dans les entreprises des deux pays.

 

« Les opportunités qui se présentent aujourd’hui en France et en Europe d’une façon générale, pour le rachat d’activités, en raison de la crise économique, ne risquent pas de se reproduire dans au moins cent ans. Il faut les saisir maintenant », estime M. Rebrab. Toutefois, excepté Sonatrach, l’Algérie n’autorise pas ses entreprises à se développer à l’international et à investir à l’étranger. La Banque d’Algérie n’autorise pas les entreprises à transférer des devises pour acquérir des actifs à l’international. Pour y parvenir, les groupes algériens doivent obtenir une dérogation du Conseil de la monnaie et du crédit.

 

In :tsa-algerie.com

 

et oui l'argent des pauvres,c'est des colons nationaux.ll'huile ça graisse les rouages

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Il ne cherche pas à gagner de l'argent mais autre chose :crazy::crazy:

 

De plus l'argent qu'il va investir sera celui des "......" plus que le sien :mdr:

 

vas-y !! dis-nous que c,est l,argent de boutef, ton bien aime, qu,il va investir.

ne me dis surtout pas l,argent du peuple.

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Wallah Mr Rebrab on ne vous comprend pas.

En Feance, vous risqueriez de vous attirer chez les jeunes une remarque du genre "eh, bouffon!".

 

Au début vous vouliez construire une aciérie, puis après aller faire de l'agriculture en Afrique. Doka britt t'rabi l'djadje fi Franssa!

 

Où est la logique dans tout ça;

Ya zinou, 3andak el flouss ("je suis en surliquidités" clame-t-il sur tous les toits), eh bien investit les, comme Groupe Benamor, dans l'approvisionnement de vos usines en produits locaux.

 

Yaw loukane les pays européens i gat3oulak l'approvisionnement en matière première, walah gheir t'coulé fi lial!

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ça dépend ce qu'il veut en faire... investir ici pour ouvrir un marché en Algérie ensuite en jouissant de la renommée de la marque pourquoi pas... tout dépend des objectifs de ce monsieur...

 

A mon humble avis, ces "liquidités" proviennent des licences d'importation que l'Etat lui a accorder pour acheter les graines oléagineuses et le sucre roux qu'il raffine.

 

Ces "liquidités" ont été payées par les consommateurs algériens. Je ne voit pas pourquoi ces sommes iraient s'investir à l'étranger.

 

Mr Rebrab, suivez l'exemple de Benamor.

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A mon humble avis, ces "liquidités" proviennent des licences d'importation que l'Etat lui a accorder pour acheter les graines oléagineuses et le sucre roux qu'il raffine.

 

Ces "liquidités" ont été payées par les consommateurs algériens. Je ne voit pas pourquoi ces sommes iraient s'investir à l'étranger.

 

Mr Rebrab, suivez l'exemple de Benamor.

 

je ne connais pas les détails ni l'histoire de ce monsieur etc donc je ne peux me prononcer.. je ne connais même pas ce gars, j'ai déjà entendu le nom mais sans plus...

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je ne connais pas les détails ni l'histoire de ce monsieur etc donc je ne peux me prononcer.. je ne connais même pas ce gars, j'ai déjà entendu le nom mais sans plus...

 

On peut s'étonner sur la réussite de Mr Rebrab:

- avoir le monopole de l'importation des graines d'oléagineux,

- recevoir donc quantité de devises de la part de l'Etat,

- triturer ces graines dans des moulins,

- et vendre l'huile aux Algériens en en tirant un gras bénéfice.

 

Wallah, d'autres auraient pu le faire. Il baigne dans l'import-import.

 

L'usine de verre; ok, bravo.:artist:

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je crois qu il voudrait aussi acheter des terres arables en afrique ou ailleurs.

je pense que ce serait bien.la stabilité climatique en algerie est incertaine .on peut encore avoir des periodes de secheresse.

 

 

Qu'il fasse comme Groupe Benamor qui aide les agriculteurs à produire plus pour alimenter ses usines.

 

Mr Rebrab, prenez exemple sur lui;

 

ps: il y a des techniques pour protéger les sols fragiles et produire avec des techniques économisant l'eau.:drunk:

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