Jump to content

«Le ministère des Affaires Etrangères est au bord de l’explosion…»


Recommended Posts

EL WATAN, le 10 Janvier 2013 :

 

Syndicat autonome des personnels du MAE

«Le ministère est au bord de l’explosion…»

 

 

La contestation sociale gagne tous les secteurs, y compris l’auguste ministère des Affaires étrangères. Feu chez Medelci.

 

 

Le personnel du ministère dénonce sans détour «une situation au bord de l’explosion socioprofessionnelle, dont nul ne pourrait prévoir les conséquences». Il agite la menace d’une grève. Une première. Le ministre, Mourad Medelci, est officiellement saisi. Il risque de se retrouver avec une crise sans précédent sur les bras.

 

Dans une correspondance aux accents peu diplomatiques adressée au ministre, le Syndicat autonome des personnels du ministère des Affaires étrangères (SAPMAE) se dit prêt à en découdre : «Après les nombreuses réunions qu’il a tenues, depuis bientôt deux ans avec les secrétaires généraux ainsi qu’avec la direction générale des ressources, le SAPMAEA a le regret de constater que les négociations engagées avec l’administration se trouvent jusqu’à ce jour dans une impasse dangereuse pour l’avenir de notre institution.»

 

Les négligences, la mauvaise volonté, l’incompétence des représentants de l’administration qui règnent en maîtres au sein du ministère des AE ne laissent aucune autre possibilité au personnel du MAE que de menacer de recourir à la grève, explique encore le syndicat.

Après l’échec de l’approche administrative, le syndicat, dirigé par Mme Fatiha Souissi, ne jure que par un traitement politique des revendications «légitimes des fonctionnaires pour sortir le ministère de l’impasse dans laquelle il se trouve actuellement».

L’une des principales requêtes des fonctionnaires des Affaires étrangères est la promotion au sein de l’administration centrale et, aussi et surtout, la nomination à des postes à l’étranger. Les hautes fonctions au sein du département de Medelci semblent être la chasse gardée de quelques «privilégiés» en raison de la non-application de la loi sur la retraite. Dans une lettre adressée au Premier ministre, Abdelmalek Sellal, en novembre dernier, le syndicat fait état d’une situation «délétère» qui règne au ministère des Affaires étrangères.

 

 

Absence de transparence dans les nominations à l’étranger

 

 

«La situation au sein de notre ministère a malheureusement atteint un seuil qui n’encourage pas à travailler. Les promotions au sein de l’administration centrale et à l’extérieur sont devenues quasi impossibles en raison du monopole des postes que se partagent certaines personnes qui refusent de partir en retraite», affirme le syndicat. La carrière des jeunes diplomates se voit, du coup, bloquée. Gérontocratie. «Est-il raisonnable que plus de 100 cadres supérieurs de plus de soixante et soixante-cinq ans, qui devraient partir en retraite, si la loi était appliquée en toute objectivité et transparence, sont toujours en poste. Cela permettrait d’ouvrir des horizons devant les générations et leur donner un brin d’espoir», s’indignent les fonctionnaires des AE, qui portent ainsi à la connaissance de l’opinion publique le fonctionnement peu transparent de ce département hautement stratégique. Une situation qui déteint sur le rendement de la diplomatie algérienne en ces temps de crise. Au-delà de revendications essentiellement liées au plan de carrière, à la régularisation des salaires et primes de rendement et de titularisation, le SAPMAEA soulève une question centrale : la nomination des cadres dans les directions centrales et à des postes à l’étranger où l’opacité la dispute outrageusement à la transparence.

 

Le représentant des fonctionnaires exige «une organisation du mouvement diplomatique et consulaire et surtout la transparence dans la nomination des cadres à la centrale et à l’étranger et qui devrait tenir compte de l’ancienneté, de l’expérience et du grade».

Le syndicat réclame l’application stricte des délais réglementaires à «tout le monde» et propose soixante-cinq ans comme âge maximum de départ à la retraite pour «les ambassadeurs, les consuls généraux, les directeurs généraux, les directeurs ainsi que leurs adjoints».

En somme, Mourad Medelci, qui a passé deux ans à sillonner les capitales étrangères pour rassurer de «la stabilité» de l’Algérie, se trouve confronté à une «émeute» chez lui.

Hacen Ouali

 

:gun_guns::gun_guns::gun_guns::gun_guns::gun_guns:

Link to post
Share on other sites
EL WATAN, le 10 Janvier 2013 :

 

Syndicat autonome des personnels du MAE

«Le ministère est au bord de l’explosion…»

 

 

La contestation sociale gagne tous les secteurs, y compris l’auguste ministère des Affaires étrangères. Feu chez Medelci.

 

 

Le personnel du ministère dénonce sans détour «une situation au bord de l’explosion socioprofessionnelle, dont nul ne pourrait prévoir les conséquences». Il agite la menace d’une grève. Une première. Le ministre, Mourad Medelci, est officiellement saisi. Il risque de se retrouver avec une crise sans précédent sur les bras.

 

Dans une correspondance aux accents peu diplomatiques adressée au ministre, le Syndicat autonome des personnels du ministère des Affaires étrangères (SAPMAE) se dit prêt à en découdre : «Après les nombreuses réunions qu’il a tenues, depuis bientôt deux ans avec les secrétaires généraux ainsi qu’avec la direction générale des ressources, le SAPMAEA a le regret de constater que les négociations engagées avec l’administration se trouvent jusqu’à ce jour dans une impasse dangereuse pour l’avenir de notre institution.»

 

Les négligences, la mauvaise volonté, l’incompétence des représentants de l’administration qui règnent en maîtres au sein du ministère des AE ne laissent aucune autre possibilité au personnel du MAE que de menacer de recourir à la grève, explique encore le syndicat.

Après l’échec de l’approche administrative, le syndicat, dirigé par Mme Fatiha Souissi, ne jure que par un traitement politique des revendications «légitimes des fonctionnaires pour sortir le ministère de l’impasse dans laquelle il se trouve actuellement».

L’une des principales requêtes des fonctionnaires des Affaires étrangères est la promotion au sein de l’administration centrale et, aussi et surtout, la nomination à des postes à l’étranger. Les hautes fonctions au sein du département de Medelci semblent être la chasse gardée de quelques «privilégiés» en raison de la non-application de la loi sur la retraite. Dans une lettre adressée au Premier ministre, Abdelmalek Sellal, en novembre dernier, le syndicat fait état d’une situation «délétère» qui règne au ministère des Affaires étrangères.

 

 

Absence de transparence dans les nominations à l’étranger

 

 

«La situation au sein de notre ministère a malheureusement atteint un seuil qui n’encourage pas à travailler. Les promotions au sein de l’administration centrale et à l’extérieur sont devenues quasi impossibles en raison du monopole des postes que se partagent certaines personnes qui refusent de partir en retraite», affirme le syndicat. La carrière des jeunes diplomates se voit, du coup, bloquée. Gérontocratie. «Est-il raisonnable que plus de 100 cadres supérieurs de plus de soixante et soixante-cinq ans, qui devraient partir en retraite, si la loi était appliquée en toute objectivité et transparence, sont toujours en poste. Cela permettrait d’ouvrir des horizons devant les générations et leur donner un brin d’espoir», s’indignent les fonctionnaires des AE, qui portent ainsi à la connaissance de l’opinion publique le fonctionnement peu transparent de ce département hautement stratégique. Une situation qui déteint sur le rendement de la diplomatie algérienne en ces temps de crise. Au-delà de revendications essentiellement liées au plan de carrière, à la régularisation des salaires et primes de rendement et de titularisation, le SAPMAEA soulève une question centrale : la nomination des cadres dans les directions centrales et à des postes à l’étranger où l’opacité la dispute outrageusement à la transparence.

 

Le représentant des fonctionnaires exige «une organisation du mouvement diplomatique et consulaire et surtout la transparence dans la nomination des cadres à la centrale et à l’étranger et qui devrait tenir compte de l’ancienneté, de l’expérience et du grade».

Le syndicat réclame l’application stricte des délais réglementaires à «tout le monde» et propose soixante-cinq ans comme âge maximum de départ à la retraite pour «les ambassadeurs, les consuls généraux, les directeurs généraux, les directeurs ainsi que leurs adjoints».

En somme, Mourad Medelci, qui a passé deux ans à sillonner les capitales étrangères pour rassurer de «la stabilité» de l’Algérie, se trouve confronté à une «émeute» chez lui.

Hacen Ouali

 

:gun_guns::gun_guns::gun_guns::gun_guns::gun_guns:

 

Le régionalisme mine le MAE car Bouteflka a été rattrapé par ses vieux démons du régionalisme qu'il pratiquait systématiquemen t au MAE entre 1963 et 1978.

Depuis 1999, c'est Messahel qui gère la baraque au nom de son maitre d'El Mouradia. Ni Attaf, ni Yousfi, ni Belkhadem, ni Bedjaoui ni Medelci ne décident quoi que ce soit.

Lire El Watan d'aujourd'hui pour plus de détails sur l'ambiance explosive qui règne au MAE, à la dérive.:evil::evil::evil::evil:

Link to post
Share on other sites

Et dire qu'il clamait a qui voulait l'entendre que « TAB EDJNANOU » et qu'il fallait laisser la place aux jeunes compétences...... Enfin comme toujours c'était du baratin pour L'EKBECHES qui aiment entendre ce genre de connerie

 

ERFED RASSEK YA BAH

Link to post
Share on other sites
secouons el cocotier

il parait que l'ambassadeur d'Algérie en France a presque 80 ans.:mdr:

 

Dis neuneu, quelle marque de couche utilise cet ....quoi déjà....ah oui vieux sénile...:mdr:

 

Comme disait un célèbre général "la vieillesse est un naufrage"....:cool:

Link to post
Share on other sites
Y'en a marre des ces tlemcennis. Qu'ils partent dans leur maroc de malheur et nous laisse en paix. Tout ce qu'ils savent faire c'est manger manger manger.

 

C'est pas des tlemçenis ! les tlemeçenis aussi souffrent de ce régionalisme !! Tu connais M'çirda ? c'est de la que viennent 13 ministres et une grande partie des hommes clés dans le pouvoir !!!

Link to post
Share on other sites
EL WATAN, le 10 Janvier 2013 :

 

Syndicat autonome des personnels du MAE

«Le ministère est au bord de l’explosion…»

 

 

La contestation sociale gagne tous les secteurs, y compris l’auguste ministère des Affaires étrangères. Feu chez Medelci.

 

 

Le personnel du ministère dénonce sans détour «une situation au bord de l’explosion socioprofessionnelle, dont nul ne pourrait prévoir les conséquences». Il agite la menace d’une grève. Une première. Le ministre, Mourad Medelci, est officiellement saisi. Il risque de se retrouver avec une crise sans précédent sur les bras.

 

Dans une correspondance aux accents peu diplomatiques adressée au ministre, le Syndicat autonome des personnels du ministère des Affaires étrangères (SAPMAE) se dit prêt à en découdre : «Après les nombreuses réunions qu’il a tenues, depuis bientôt deux ans avec les secrétaires généraux ainsi qu’avec la direction générale des ressources, le SAPMAEA a le regret de constater que les négociations engagées avec l’administration se trouvent jusqu’à ce jour dans une impasse dangereuse pour l’avenir de notre institution.»

 

Les négligences, la mauvaise volonté, l’incompétence des représentants de l’administration qui règnent en maîtres au sein du ministère des AE ne laissent aucune autre possibilité au personnel du MAE que de menacer de recourir à la grève, explique encore le syndicat.

Après l’échec de l’approche administrative, le syndicat, dirigé par Mme Fatiha Souissi, ne jure que par un traitement politique des revendications «légitimes des fonctionnaires pour sortir le ministère de l’impasse dans laquelle il se trouve actuellement».

L’une des principales requêtes des fonctionnaires des Affaires étrangères est la promotion au sein de l’administration centrale et, aussi et surtout, la nomination à des postes à l’étranger. Les hautes fonctions au sein du département de Medelci semblent être la chasse gardée de quelques «privilégiés» en raison de la non-application de la loi sur la retraite. Dans une lettre adressée au Premier ministre, Abdelmalek Sellal, en novembre dernier, le syndicat fait état d’une situation «délétère» qui règne au ministère des Affaires étrangères.

 

 

Absence de transparence dans les nominations à l’étranger

 

 

«La situation au sein de notre ministère a malheureusement atteint un seuil qui n’encourage pas à travailler. Les promotions au sein de l’administration centrale et à l’extérieur sont devenues quasi impossibles en raison du monopole des postes que se partagent certaines personnes qui refusent de partir en retraite», affirme le syndicat. La carrière des jeunes diplomates se voit, du coup, bloquée. Gérontocratie. «Est-il raisonnable que plus de 100 cadres supérieurs de plus de soixante et soixante-cinq ans, qui devraient partir en retraite, si la loi était appliquée en toute objectivité et transparence, sont toujours en poste. Cela permettrait d’ouvrir des horizons devant les générations et leur donner un brin d’espoir», s’indignent les fonctionnaires des AE, qui portent ainsi à la connaissance de l’opinion publique le fonctionnement peu transparent de ce département hautement stratégique. Une situation qui déteint sur le rendement de la diplomatie algérienne en ces temps de crise. Au-delà de revendications essentiellement liées au plan de carrière, à la régularisation des salaires et primes de rendement et de titularisation, le SAPMAEA soulève une question centrale : la nomination des cadres dans les directions centrales et à des postes à l’étranger où l’opacité la dispute outrageusement à la transparence.

 

Le représentant des fonctionnaires exige «une organisation du mouvement diplomatique et consulaire et surtout la transparence dans la nomination des cadres à la centrale et à l’étranger et qui devrait tenir compte de l’ancienneté, de l’expérience et du grade».

Le syndicat réclame l’application stricte des délais réglementaires à «tout le monde» et propose soixante-cinq ans comme âge maximum de départ à la retraite pour «les ambassadeurs, les consuls généraux, les directeurs généraux, les directeurs ainsi que leurs adjoints».

En somme, Mourad Medelci, qui a passé deux ans à sillonner les capitales étrangères pour rassurer de «la stabilité» de l’Algérie, se trouve confronté à une «émeute» chez lui.

Hacen Ouali

 

:gun_guns::gun_guns::gun_guns::gun_guns::gun_guns:

 

Apparemment c'est le Mali qui va faire exploser le MAE avec le départ précipité des deux gagas de Tlemcen qui le dirigent pour le compte de leur parrain d'Oujda.:zoo_dog::zoo_dog::zoo_dog::zoo_dog:

Link to post
Share on other sites
EL WATAN, le 10 Janvier 2013 :

 

Syndicat autonome des personnels du MAE

«Le ministère est au bord de l’explosion…»

 

 

La contestation sociale gagne tous les secteurs, y compris l’auguste ministère des Affaires étrangères. Feu chez Medelci.

 

 

Le personnel du ministère dénonce sans détour «une situation au bord de l’explosion socioprofessionnelle, dont nul ne pourrait prévoir les conséquences». Il agite la menace d’une grève. Une première. Le ministre, Mourad Medelci, est officiellement saisi. Il risque de se retrouver avec une crise sans précédent sur les bras.

 

Dans une correspondance aux accents peu diplomatiques adressée au ministre, le Syndicat autonome des personnels du ministère des Affaires étrangères (SAPMAE) se dit prêt à en découdre : «Après les nombreuses réunions qu’il a tenues, depuis bientôt deux ans avec les secrétaires généraux ainsi qu’avec la direction générale des ressources, le SAPMAEA a le regret de constater que les négociations engagées avec l’administration se trouvent jusqu’à ce jour dans une impasse dangereuse pour l’avenir de notre institution.»

 

Les négligences, la mauvaise volonté, l’incompétence des représentants de l’administration qui règnent en maîtres au sein du ministère des AE ne laissent aucune autre possibilité au personnel du MAE que de menacer de recourir à la grève, explique encore le syndicat.

Après l’échec de l’approche administrative, le syndicat, dirigé par Mme Fatiha Souissi, ne jure que par un traitement politique des revendications «légitimes des fonctionnaires pour sortir le ministère de l’impasse dans laquelle il se trouve actuellement».

L’une des principales requêtes des fonctionnaires des Affaires étrangères est la promotion au sein de l’administration centrale et, aussi et surtout, la nomination à des postes à l’étranger. Les hautes fonctions au sein du département de Medelci semblent être la chasse gardée de quelques «privilégiés» en raison de la non-application de la loi sur la retraite. Dans une lettre adressée au Premier ministre, Abdelmalek Sellal, en novembre dernier, le syndicat fait état d’une situation «délétère» qui règne au ministère des Affaires étrangères.

 

 

Absence de transparence dans les nominations à l’étranger

 

 

«La situation au sein de notre ministère a malheureusement atteint un seuil qui n’encourage pas à travailler. Les promotions au sein de l’administration centrale et à l’extérieur sont devenues quasi impossibles en raison du monopole des postes que se partagent certaines personnes qui refusent de partir en retraite», affirme le syndicat. La carrière des jeunes diplomates se voit, du coup, bloquée. Gérontocratie. «Est-il raisonnable que plus de 100 cadres supérieurs de plus de soixante et soixante-cinq ans, qui devraient partir en retraite, si la loi était appliquée en toute objectivité et transparence, sont toujours en poste. Cela permettrait d’ouvrir des horizons devant les générations et leur donner un brin d’espoir», s’indignent les fonctionnaires des AE, qui portent ainsi à la connaissance de l’opinion publique le fonctionnement peu transparent de ce département hautement stratégique. Une situation qui déteint sur le rendement de la diplomatie algérienne en ces temps de crise. Au-delà de revendications essentiellement liées au plan de carrière, à la régularisation des salaires et primes de rendement et de titularisation, le SAPMAEA soulève une question centrale : la nomination des cadres dans les directions centrales et à des postes à l’étranger où l’opacité la dispute outrageusement à la transparence.

 

Le représentant des fonctionnaires exige «une organisation du mouvement diplomatique et consulaire et surtout la transparence dans la nomination des cadres à la centrale et à l’étranger et qui devrait tenir compte de l’ancienneté, de l’expérience et du grade».

Le syndicat réclame l’application stricte des délais réglementaires à «tout le monde» et propose soixante-cinq ans comme âge maximum de départ à la retraite pour «les ambassadeurs, les consuls généraux, les directeurs généraux, les directeurs ainsi que leurs adjoints».

En somme, Mourad Medelci, qui a passé deux ans à sillonner les capitales étrangères pour rassurer de «la stabilité» de l’Algérie, se trouve confronté à une «émeute» chez lui.

Hacen Ouali

 

:gun_guns::gun_guns::gun_guns::gun_guns::gun_guns:

 

Apparemment c'est l'affaire du Mali qui va faire exploser le MAE dirigé par les deux gagas de Tlemcen pour le compte de leur parrain d'Oujda.:wavetowel3::wavetowel3::wavetowel3:

Link to post
Share on other sites

Join the conversation

You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.

Guest
Répondre

×   Pasted as rich text.   Paste as plain text instead

  Only 75 emoji are allowed.

×   Your link has been automatically embedded.   Display as a link instead

×   Your previous content has been restored.   Clear editor

×   You cannot paste images directly. Upload or insert images from URL.

×
×
  • Create New...