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Mali: intérêts français contre intérêts qataris.


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Yal khawa, il y a de l'eau dans le gaz (kima gal el gawri) entre la France et le Qatar.LIRE l'article suivant du Figaro.

 

 

Égypte et Tunisie opposées à l'opération française au Mali

 

 

Par Georges Malbrunot Publié le 22/01/2013 Le Figaro.

 

Les pouvoirs égyptien et tunisien, liés aux Frères musulmans, n'ont pas hésité à afficher leur opposition à l'intervention militaire française au Mali.

 

Soutenir leurs partisans intégristes plutôt que la lutte antiterroriste menée par la France. Les pouvoirs égyptien et tunisien, liés aux Frères musulmans, n'ont pas hésité à afficher leur opposition à l'intervention militaire française au Mali contre les djihadistes. Ils ont été soutenus par leur sponsor du Qatar, pourtant l'un des plus proches alliés de Paris au Moyen-Orient.

 

La charge la plus franche est venue du président égyptien Mohammed Morsi, issu de la Confrérie. «Nous ne serons jamais d'accord avec une intervention militaire au Mali parce que cela va attiser le conflit dans cette région», a déclaré le raïs égyptien en déplacement en Arabie saoudite, n'hésitant pas à parler d'une «agression». Pour Morsi, «l'intervention doit être pacifique et (…) des fonds doivent être investis dans le développement. Ce que nous ne voudrons jamais, c'est séparer le Nord arabe du cœur de l'Afrique».

 

 

Soucieux de coller à une rue islamiste prompte à dénoncer «les invasions étrangères», les dirigeants tunisiens ont commencé par se montrer opposés à l'offensive militaire française, avant de se rétracter quelque peu. Il y a une semaine, le ministre des Affaires étrangères, membre des Frères musulmans, Rafik Abdelsallem, estimait que «les problèmes en Afrique doivent être résolus dans un cadre africain», tout en se disant «contre une intervention étrangère, dans tous les cas de figures».

 

Quelques jours auparavant, le président Moncef Marzouki - un laïc - s'était déjà gardé d'apporter son soutien à Paris, indiquant qu'il aurait «préféré une solution politique négociée». Y a-t-il eu des réactions courroucées de Paris en coulisses? Toujours est-il qu'après une rencontre entre l'ambassadeur de France à Tunis, François Gouyette, et Rafik *Abdelssalem, ce dernier a adouci sa position, disant «comprendre» l'opération française. «La Tunisie est bien consciente des exigences de l'intervention militaire française et des problèmes de sécurité qui ont nécessité ce processus pour empêcher la transformation du Mali en un foyer de terrorisme et de violence», indiquait alors le ministère tunisien des Affaires étrangères dans un communiqué cousu de fil blanc.

 

Tout aussi embarrassante pour la France a été la réaction de ses alliés qatariens. Le premier ministre, Hamad Ben Jassem, a mis en doute le bien-fondé de l'intervention française, estimant que le recours à la force ne réglerait pas le problème au Mali. Dans la foulée, le très influent cheikh Youssef Qaradaoui, hébergé à Doha, critiquait «la précipitation de la France à déclencher la guerre, avant d'avoir épuisé tous les moyens de parvenir à une solution pacifique et à la réconciliation nationale». Une attaque émise au nom de l'Union internationale des oulémas musulmans, l'organisme que dirige Cheikh Qaradaoui, un ami des dirigeants qatariens, qui n'a pas pu s'exprimer sans un feu vert de l'émir Cheikh Hamad, lui-même. L'activisme humanitaire du Qatar au Mali est regardé avec suspicion par les services de renseignements français

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ENAHDA et le parti "liberté et justice" obéissent au doigt et à l'oeil à l'éléphant du Qatar ...

 

Seulement , il faut éviter d'être trop naif et croire que le moustachu se la joue solo .....

 

IL soustraite au profit de Washington et Tel Aviv et tout ce cinéma rentre dans le cadre de luttes intestine entre occidentaux pour le contrôle de certaines richesses ......

 

Washington n'a certes que peu d'intérêts au Sahel mais l'entité sioniste (qui a déjà bien pris ses aises en Afrique de l'Est et en Libye) semble bien chercher quelque chose au Sahel ....

 

Devinez quoi :crazy::crazy:

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ENAHDA et le parti "liberté et justice" obéissent au doigt et à l'oeil à l'éléphant du Qatar ...

 

Seulement , il faut éviter d'être trop naif et croire que le moustachu se la joue solo .....

 

IL soustraite au profit de Washington et Tel Aviv et tout ce cinéma rentre dans le cadre de luttes intestine entre occidentaux pour le contrôle de certaines richesses ......

 

Washington n'a certes que peu d'intérêts au Sahel mais l'entité sioniste (qui a déjà bien pris ses aises en Afrique de l'Est et en Libye) semble bien chercher quelque chose au Sahel ....

 

Devinez quoi :crazy::crazy:

INstaller une base au Mali, en addition a celle deja operationel en lybie. en plus ils ont besoin du sable et de la rocaille malienne pour la decoration
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Guest rechveret

le Qatar est un pays minuscule, les russes voulaient le rayer de la carte par c equ ils parlent beaucoup

je me demande ils attendent quoi, si le qatar venait a insulter l algerie, l algerie trop fier ne se laissera pas faire

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le Qatar est un pays minuscule, les russes voulaient le rayer de la carte par c equ ils parlent beaucoup

je me demande ils attendent quoi, si le qatar venait a insulter l algerie, l algerie trop fier ne se laissera pas faire[/quote/quoi, vous voulez attaquer vos freres? soyez serieux. au moins ne les laissez pas chasser la gazelle et l'outarde, wa dhalika adh9afou el imane,et chassez le r'khiss qui vous sert de president.

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Yal khawa, il y a de l'eau dans le gaz (kima gal el gawri) entre la France et le Qatar.LIRE l'article suivant du Figaro.

 

 

Égypte et Tunisie opposées à l'opération française au Mali

 

 

Par Georges Malbrunot Publié le 22/01/2013 Le Figaro.

 

Les pouvoirs égyptien et tunisien, liés aux Frères musulmans, n'ont pas hésité à afficher leur opposition à l'intervention militaire française au Mali.

 

Soutenir leurs partisans intégristes plutôt que la lutte antiterroriste menée par la France. Les pouvoirs égyptien et tunisien, liés aux Frères musulmans, n'ont pas hésité à afficher leur opposition à l'intervention militaire française au Mali contre les djihadistes. Ils ont été soutenus par leur sponsor du Qatar, pourtant l'un des plus proches alliés de Paris au Moyen-Orient.

 

La charge la plus franche est venue du président égyptien Mohammed Morsi, issu de la Confrérie. «Nous ne serons jamais d'accord avec une intervention militaire au Mali parce que cela va attiser le conflit dans cette région», a déclaré le raïs égyptien en déplacement en Arabie saoudite, n'hésitant pas à parler d'une «agression». Pour Morsi, «l'intervention doit être pacifique et (…) des fonds doivent être investis dans le développement. Ce que nous ne voudrons jamais, c'est séparer le Nord arabe du cœur de l'Afrique».

 

 

Soucieux de coller à une rue islamiste prompte à dénoncer «les invasions étrangères», les dirigeants tunisiens ont commencé par se montrer opposés à l'offensive militaire française, avant de se rétracter quelque peu. Il y a une semaine, le ministre des Affaires étrangères, membre des Frères musulmans, Rafik Abdelsallem, estimait que «les problèmes en Afrique doivent être résolus dans un cadre africain», tout en se disant «contre une intervention étrangère, dans tous les cas de figures».

 

Quelques jours auparavant, le président Moncef Marzouki - un laïc - s'était déjà gardé d'apporter son soutien à Paris, indiquant qu'il aurait «préféré une solution politique négociée». Y a-t-il eu des réactions courroucées de Paris en coulisses? Toujours est-il qu'après une rencontre entre l'ambassadeur de France à Tunis, François Gouyette, et Rafik *Abdelssalem, ce dernier a adouci sa position, disant «comprendre» l'opération française. «La Tunisie est bien consciente des exigences de l'intervention militaire française et des problèmes de sécurité qui ont nécessité ce processus pour empêcher la transformation du Mali en un foyer de terrorisme et de violence», indiquait alors le ministère tunisien des Affaires étrangères dans un communiqué cousu de fil blanc.

 

Tout aussi embarrassante pour la France a été la réaction de ses alliés qatariens. Le premier ministre, Hamad Ben Jassem, a mis en doute le bien-fondé de l'intervention française, estimant que le recours à la force ne réglerait pas le problème au Mali. Dans la foulée, le très influent cheikh Youssef Qaradaoui, hébergé à Doha, critiquait «la précipitation de la France à déclencher la guerre, avant d'avoir épuisé tous les moyens de parvenir à une solution pacifique et à la réconciliation nationale». Une attaque émise au nom de l'Union internationale des oulémas musulmans, l'organisme que dirige Cheikh Qaradaoui, un ami des dirigeants qatariens, qui n'a pas pu s'exprimer sans un feu vert de l'émir Cheikh Hamad, lui-même. L'activisme humanitaire du Qatar au Mali est regardé avec suspicion par les services de renseignements français

 

il faut bien lancer des miettes au peuple pour le calmer autrement il y aurait des manifs dans la rue et c'est le grand désordre après...

Quelle possibilité avait-il que celle de mentir a la foule...du calme du calme je râle a votre place et aller vaquer a vos occupations...

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