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L’Iran et l’Algérie, cibles de Washington et Ryad


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Manoeuvres presque ouvertes de l’impérialisme américain et wahhabite

 

L’Iran et l’Algérie, cibles de Washington et Ryad

 

Les pays du Golfe avouent ouvertement souhaiter la création d’une alliance géopolitique autonome incluant au départ deux ou trois pays, dont l’Arabie Saoudite et le Bahreïn. Pourquoi cette soudaine précipitation ? Les dirigeants du Conseil de coopération des États arabes du Golfe (CCG), qui comprend l’Arabie saoudite, le Koweït, Bahreïn, le Qatar, les Emirats arabes unis et le sultanat d’Oman, ne cachent pas leur inquiétude face aux ambitions régionales de l’Iran. Le Bahreïn, dirigé par la dynastie sunnite Al Khalifa, est, en particulier, le théâtre, depuis le début du « printemps arabe », d’une contestation de la majorité chiite, soutenue en sous-main par l’Iran, qui a des vues sur le territoire insulaire.

 

Un destin commun ?

 

Par ailleurs, le Qatar, l’Arabie saoudite mais aussi les Frères Musulmans d’Egypte, semblent déterminés à faire chuter l’Algérie. Anna Marie Lisa, présidente honoraire du Sénat belge, accuse ouvertement l’Arabie Saoudite « d’œuvrer à déstabiliser volontairement les frontières sud de l’Algérie », à travers notamment, le financement des salafistes et de groupes djihadistes. Pour l’Arabie saoudite, l’Algérie devra payer, tôt ou tard, pour avoir combattu le terrorisme durant les années 1990. Ceci se produit au moment où de l’argent, provenant de paiements de rançons d’otages européens et des spoliations en Libye arrivent, de la façon la plus illégale qui soit, aux terroristes sévissant dans la région, et plus particulièrement au Nord du Mali, devenu indépendant. En tout cas, cette déclaration confirme qu’il y a bien (ce que nous vous disons ici depuis plusieurs mois déjà : affaire libyenne etc) une déstabilisation en cours de l’Algérie, entretenue par des bailleurs de fonds saoudiens.

 

Eric Denussy, directeur du Centre français de recherches sur le terrorisme, et ancien officier des services secrets, a tiré récemment la sonnette d’alarme : « La situation est très grave. L’Algérie est considérée par le Qatar et l’Arabie Saoudite, et par l’alliance entre les USA et les Frères musulmans, comme le domino du « printemps arabe » qui n’est pas tombé et qui doit tomber, coûte que coûte ». L’Otan et les Américains nul doute participent en secret à cette démarche de vouloir reconfigurer le Maghreb et le Machrek, ainsi que le Sahel, par terrorisme interposé et mercenaires richement payés. D’ailleurs, certains pays auraient largué des armes, profitant aux terroristes du GIA, devenu GSPC puis AQMI, après que les terroristes eurent été défaits en Algérie et qu’ils eussent fuient vers le Sud. Pour l’instant, après des législatives sans fraude véritable, l’Algérie, qui se sent menacée, tient bon et n’a pas chuté, malgré toutes ces tentatives de déstabilisation, y compris du côté marocain (le problème du Polisario évoqué au Conseil Européen).

 

Mais au Mali, la crise s’obscurcit et il est un peu difficile d’y voir vraiment clair. La moitié septentrionale de son territoire est toujours sous le contrôle de rebelles touareg, d’islamistes armés et de divers groupes criminels. Un nouveau groupe armé, dénommé Front de Libération Nationale de l’AZAWAD (FLNA), qui revendique 500 éléments, avait annoncé, le 8 avril, sa création dans le Nord-Est du pays. Il se proclame indépendant du groupe islamiste Ansar Dine, dirigé par Iyad Ag Ghali qui a participé aux accords d’Alger de 2006 entre Bamako, la rébellion touarègue et le Mouvement National de Libération de l’AZAWAD (MNLA).

 

Cette nouvelle formation se présente comme un mouvement laïc et explique sa création par l’abandon” de la région par l’Etat malien depuis des années. Il aurait pour objectif la libération de l’AZAWAD, l’instauration d’un climat de confiance entre ses communautés, la sécurisation des personnes et des biens et l’instauration d’un cadre de dialogue pour une paix durable” dans la région, dont le FLNA ne définit pas les limites géographiques et qui, par voie de conséquence, pourraient inclure des territoires algériens et nigériens !

 

Aux côtés de tous ces mouvements touaregs, religieux ou laïcs, du Nord Mali, on retrouve, bien entendu, des éléments du Polisario et ceux de l’AQMI, dont un des chefs, Mokhtar Belmokhtar, vient justement de refaire surface à Gao, avec ses partisans, à la faveur des enlèvements de sept diplomates algériens. Un autre groupe, et pas des moindres, a également signalé sa présence à Gao. Il s’agit du mouvement islamiste nigérian Boko Haram, mouvement violent et extrêmement puritain, très anti-chrétien et dont au moins une centaine d’éléments ont été signalés récemment au Nord du Mali. Par ailleurs, l’exécutif MNLA aurait proposé à l’Algérie son aide pour la libération des diplomates enlevés et son leader, Bilel Ag Cherif, aurait décidé d’enquêter sur les circonstances de ces enlèvements.

 

Face à cette nouvelle donne, les Algériens ont fermé leurs frontières avec le Mali. Mais une telle décision, aussi ferme soit-elle, reste toujours problématique dans cette région : parler de « fermeture des frontières » dans une zone de nomades, cela-t-il encore un sens ? Est-ce qu’elles ont jamais existé, d’ailleurs ? N’est-ce pas comme si on voulait arrêter le vent du sud de souffler ? C’est bien connu, les terroristes d’AQMI et les narcotrafiquants passent par les postes frontières et présentent leurs papiers aux douaniers, aux gardes frontières et aux militaires algériens qui grouillent dans le secteur sans pour cela être forcément inquiétés. Les dollars circulent.

 

L’Algérie prise au piège ?

 

C’est pourquoi, à moins de construire un mur sur tout le parcours de cette frontière de plus de 1200 kms, il est réellement impossible de fermer cette passoire, où immigrants, terroristes et contrebandiers se faufilent comme bon leur semble. Le Sud algérien paraît donc bel et bien le ventre mou du pays dans lequel circulent des terroristes d’AQMI et des contrebandiers mais aussi des déstabilisateurs étrangers, payés par les Etats du Golfe.

 

Le ministère algérien de la Défense a annoncé avoir déployé des avions de transport militaires et des hélicoptères aux bases de l’extrême sud et a mis en état d’alerte maximum 3 000 hommes des forces spéciales de l’armée et des unités militaires de la sixième, troisième et quatrième région militaire, notamment dans les wilayas de Tamanrasset, Ghardaïa, Biskra, Bechar et Adrar. Certains se demandent, comme de faux naïfs : pourquoi l’Algérie n’avait pas, plus tôt, lutté contre AQMI et la criminalité transnationale ?

 

Pour l’AQMI, il était, sans doute pour elle plus judicieux de refiler le bébé au Mali (consolidation d’un glacis protecteur) et quant à la drogue venue de Guinée-Bissau, elle rapporte forcément beaucoup au passage. N’oublions pas que toutes les productions du pays (l’agriculture étant moribonde) se concentrent actuellement au Sud, au Sahara où se retrouvent toutes les richesses du pays (hydrocarbures, or, fer).

 

En conclusion, s’il est possible d’émettre l’hypothèse que l’enlèvement des diplomates algériens, la proclamation de l’indépendance de l’AZAWAD par un groupe proche d’Alger et la présence d’AQMI et autres groupes islamiques radicaux sont, directement ou indirectement, liés à l’Algérie, la grande puissance régionale du coin, il est indéniable que sur le terrain, l’opération malienne n’est pas seulement une opération montée de toutes pièces par les autorités militaro-civiles algériennes pour redorer leur blason à l’approche des élections législatives en Algérie.

 

Dans ce pullulement de groupes militarisés divers, la situation sur le terrain est bien trop confuse pour ne pas déceler aussi la rivalité de courants servant d’autres intérêts, comme ceux des monarchies du Golfe ou de l’OTAN, dans la perspective d’une déstabilisation cruciale de l’Algérie ou encore, discrètement, des intérêts chinois, dans la perspective d’un contrôle par Pékin du Niger tant convoité.

 

En tout cas, la seule chose assurée, c’est que, en dehors du coup d’Etat qui a ébranlé le pouvoir légitime au Mali, tous les événements qui secouent aujourd’hui le Nord de ce pays sahélien ne sont que la conséquence trouble d’un jeu de domino dangereux engagé par l’Otan, l’Occident et les pays du Golfe dans la région (Tunisie, Lybie, Egypte). En voulant déstabiliser demain l’Algérie, c’est le Maghreb, en tant que bloc institutionnel qui serait alors géopolitiquement menacé en tant que tel. La démarche algérienne pour contrer le terrorisme au Sahel aurait besoin, à la lumière du drame malien, d’une profonde mise à jour de ses tenants et aboutissants, voire même peut-être d’une petite aide de l’ex-mère patrie. Paris ne peut, sans conséquences directes, laisser tomber aujourd’hui Alger.

 

Michel Lhomme

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Peut on avoir le lien directe vers l'article?

 

merci par avance

 

Metamag.fr - L'Iran et l'Algérie, cibles de Washington et Ryad - Manoeuvres presque ouvertes de l'impérialisme américain et wahhabite

 

 

Spéciale dédicace a l'anti marocain Tamnart :

 

Quand Rabat triomphe d’Alger

Bons baisers du Sahara occidental

Metamag.fr - Quand Rabat triomphe d?Alger - Bons baisers du Sahara occidental

 

 

.

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pourquoi tu me réponds de la sorte??

 

pourquoi tu t'ecartes du sujets??

 

tu es l'admin, tu dois montrer l'exemple de la bonne conduiteet ne pas professer la provocation!!

 

Moi je suis un algerien horr.

 

et que je sois contre la racaille et la vermine anti-algérienne que ce soit les sujets du makhzenistan ou les barbus salafistes....c'est tout à mon honneur de patriote algérien.

 

en revanche je ne comprends pas comment toi, tu peux soutenir la racaille anti-algérienne contre ton proppre pays....si l'Algérie est vraiment ton pays!!!

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Hechem rouhou , meskine!:D

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pourquoi tu me réponds de la sorte??

 

pourquoi tu t'ecartes du sujets??

 

Je te montre la credibilite de ta source...

 

Moi je suis un algerien horr.
Mais bien sur... Qu'est-ce qu'on pari, tu as la nationalite francaise...
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Guest anais25
pourquoi tu me réponds de la sorte??

 

pourquoi tu t'ecartes du sujets??

 

tu es l'admin, tu dois montrer l'exemple de la bonne conduiteet ne pas professer la provocation!!

 

Moi je suis un algerie horr.

 

et que je sois contre la racaille et la vermine anti-algérienne que ce soit les sujets du makhzenistan ou les barbus salafistes....c'est tout à mon honneur de patriote algérien.

 

en revanche je ne comprends pas comment toi, tu peux soutenir la racaille anti-algérienne contre ton proppre pays....si l'Algérie est vraiment ton pays!!!

 

 

Moi je te comprends Tamnart, malgre je trouve que tu exagere en appelant les salafistes des "vermines". Je n aime pas ca. Ce sont des etres humains et leur mouvements sont tres differents. Je connais plein des salafistes patriotes, tolerants et concernant la question des droits de femmes plus ouverts que beaucoup des hommes qui se prennent pour des "modernistes".

Moi ca me fais mal pour chaque algerien et algerienne qui meure, n importe du groupe a laquelle la personne appartienne.

 

 

 

PS: J attend ton commentaire Macki, bessah enta khir matahdarch. Tu n es pas plus credible de critiquer ou de soutenir l algerie que tamnart. Toi aussi tu vis a l etranger. Si on suit ta logique alors seule les algeriens vivant en algerie ont le droit de s exprimer. Et tu ne fais pas parti des ces gens la.

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L’Iran et l’Algérie, cibles de Washington et Ryad

 

Les pays du Golfe avouent ouvertement souhaiter la création d’une alliance géopolitique autonome incluant au départ deux ou trois pays, dont l’Arabie Saoudite et le Bahreïn. Pourquoi cette soudaine précipitation ? Les dirigeants du Conseil de coopération des États arabes du Golfe (CCG), qui comprend l’Arabie saoudite, le Koweït, Bahreïn, le Qatar, les Emirats arabes unis et le sultanat d’Oman, ne cachent pas leur inquiétude face aux ambitions régionales de l’Iran. Le Bahreïn, dirigé par la dynastie sunnite Al Khalifa, est, en particulier, le théâtre, depuis le début du « printemps arabe », d’une contestation de la majorité chiite, soutenue en sous-main par l’Iran, qui a des vues sur le territoire insulaire.

 

Un destin commun ?

 

Par ailleurs, le Qatar, l’Arabie saoudite mais aussi les Frères Musulmans d’Egypte, semblent déterminés à faire chuter l’Algérie. Anna Marie Lisa, présidente honoraire du Sénat belge, accuse ouvertement l’Arabie Saoudite « d’œuvrer à déstabiliser volontairement les frontières sud de l’Algérie », à travers notamment, le financement des salafistes et de groupes djihadistes. Pour l’Arabie saoudite, l’Algérie devra payer, tôt ou tard, pour avoir combattu le terrorisme durant les années 1990. Ceci se produit au moment où de l’argent, provenant de paiements de rançons d’otages européens et des spoliations en Libye arrivent, de la façon la plus illégale qui soit, aux terroristes sévissant dans la région, et plus particulièrement au Nord du Mali, devenu indépendant. En tout cas, cette déclaration confirme qu’il y a bien (ce que nous vous disons ici depuis plusieurs mois déjà : affaire libyenne etc) une déstabilisation en cours de l’Algérie, entretenue par des bailleurs de fonds saoudiens.

 

Eric Denussy, directeur du Centre français de recherches sur le terrorisme, et ancien officier des services secrets, a tiré récemment la sonnette d’alarme : « La situation est très grave. L’Algérie est considérée par le Qatar et l’Arabie Saoudite, et par l’alliance entre les USA et les Frères musulmans, comme le domino du « printemps arabe » qui n’est pas tombé et qui doit tomber, coûte que coûte ». L’Otan et les Américains nul doute participent en secret à cette démarche de vouloir reconfigurer le Maghreb et le Machrek, ainsi que le Sahel, par terrorisme interposé et mercenaires richement payés. D’ailleurs, certains pays auraient largué des armes, profitant aux terroristes du GIA, devenu GSPC puis AQMI, après que les terroristes eurent été défaits en Algérie et qu’ils eussent fuient vers le Sud. Pour l’instant, après des législatives sans fraude véritable, l’Algérie, qui se sent menacée, tient bon et n’a pas chuté, malgré toutes ces tentatives de déstabilisation, y compris du côté marocain (le problème du Polisario évoqué au Conseil Européen).

 

Mais au Mali, la crise s’obscurcit et il est un peu difficile d’y voir vraiment clair. La moitié septentrionale de son territoire est toujours sous le contrôle de rebelles touareg, d’islamistes armés et de divers groupes criminels. Un nouveau groupe armé, dénommé Front de Libération Nationale de l’AZAWAD (FLNA), qui revendique 500 éléments, avait annoncé, le 8 avril, sa création dans le Nord-Est du pays. Il se proclame indépendant du groupe islamiste Ansar Dine, dirigé par Iyad Ag Ghali qui a participé aux accords d’Alger de 2006 entre Bamako, la rébellion touarègue et le Mouvement National de Libération de l’AZAWAD (MNLA).

 

Cette nouvelle formation se présente comme un mouvement laïc et explique sa création par l’abandon” de la région par l’Etat malien depuis des années. Il aurait pour objectif la libération de l’AZAWAD, l’instauration d’un climat de confiance entre ses communautés, la sécurisation des personnes et des biens et l’instauration d’un cadre de dialogue pour une paix durable” dans la région, dont le FLNA ne définit pas les limites géographiques et qui, par voie de conséquence, pourraient inclure des territoires algériens et nigériens !

 

Aux côtés de tous ces mouvements touaregs, religieux ou laïcs, du Nord Mali, on retrouve, bien entendu, des éléments du Polisario et ceux de l’AQMI, dont un des chefs, Mokhtar Belmokhtar, vient justement de refaire surface à Gao, avec ses partisans, à la faveur des enlèvements de sept diplomates algériens. Un autre groupe, et pas des moindres, a également signalé sa présence à Gao. Il s’agit du mouvement islamiste nigérian Boko Haram, mouvement violent et extrêmement puritain, très anti-chrétien et dont au moins une centaine d’éléments ont été signalés récemment au Nord du Mali. Par ailleurs, l’exécutif MNLA aurait proposé à l’Algérie son aide pour la libération des diplomates enlevés et son leader, Bilel Ag Cherif, aurait décidé d’enquêter sur les circonstances de ces enlèvements.

 

Face à cette nouvelle donne, les Algériens ont fermé leurs frontières avec le Mali. Mais une telle décision, aussi ferme soit-elle, reste toujours problématique dans cette région : parler de « fermeture des frontières » dans une zone de nomades, cela-t-il encore un sens ? Est-ce qu’elles ont jamais existé, d’ailleurs ? N’est-ce pas comme si on voulait arrêter le vent du sud de souffler ? C’est bien connu, les terroristes d’AQMI et les narcotrafiquants passent par les postes frontières et présentent leurs papiers aux douaniers, aux gardes frontières et aux militaires algériens qui grouillent dans le secteur sans pour cela être forcément inquiétés. Les dollars circulent.

 

L’Algérie prise au piège ?

 

C’est pourquoi, à moins de construire un mur sur tout le parcours de cette frontière de plus de 1200 kms, il est réellement impossible de fermer cette passoire, où immigrants, terroristes et contrebandiers se faufilent comme bon leur semble. Le Sud algérien paraît donc bel et bien le ventre mou du pays dans lequel circulent des terroristes d’AQMI et des contrebandiers mais aussi des déstabilisateurs étrangers, payés par les Etats du Golfe.

 

Le ministère algérien de la Défense a annoncé avoir déployé des avions de transport militaires et des hélicoptères aux bases de l’extrême sud et a mis en état d’alerte maximum 3 000 hommes des forces spéciales de l’armée et des unités militaires de la sixième, troisième et quatrième région militaire, notamment dans les wilayas de Tamanrasset, Ghardaïa, Biskra, Bechar et Adrar. Certains se demandent, comme de faux naïfs : pourquoi l’Algérie n’avait pas, plus tôt, lutté contre AQMI et la criminalité transnationale ?

 

Pour l’AQMI, il était, sans doute pour elle plus judicieux de refiler le bébé au Mali (consolidation d’un glacis protecteur) et quant à la drogue venue de Guinée-Bissau, elle rapporte forcément beaucoup au passage. N’oublions pas que toutes les productions du pays (l’agriculture étant moribonde) se concentrent actuellement au Sud, au Sahara où se retrouvent toutes les richesses du pays (hydrocarbures, or, fer).

 

En conclusion, s’il est possible d’émettre l’hypothèse que l’enlèvement des diplomates algériens, la proclamation de l’indépendance de l’AZAWAD par un groupe proche d’Alger et la présence d’AQMI et autres groupes islamiques radicaux sont, directement ou indirectement, liés à l’Algérie, la grande puissance régionale du coin, il est indéniable que sur le terrain, l’opération malienne n’est pas seulement une opération montée de toutes pièces par les autorités militaro-civiles algériennes pour redorer leur blason à l’approche des élections législatives en Algérie.

 

Dans ce pullulement de groupes militarisés divers, la situation sur le terrain est bien trop confuse pour ne pas déceler aussi la rivalité de courants servant d’autres intérêts, comme ceux des monarchies du Golfe ou de l’OTAN, dans la perspective d’une déstabilisation cruciale de l’Algérie ou encore, discrètement, des intérêts chinois, dans la perspective d’un contrôle par Pékin du Niger tant convoité.

 

En tout cas, la seule chose assurée, c’est que, en dehors du coup d’Etat qui a ébranlé le pouvoir légitime au Mali, tous les événements qui secouent aujourd’hui le Nord de ce pays sahélien ne sont que la conséquence trouble d’un jeu de domino dangereux engagé par l’Otan, l’Occident et les pays du Golfe dans la région (Tunisie, Lybie, Egypte). En voulant déstabiliser demain l’Algérie, c’est le Maghreb, en tant que bloc institutionnel qui serait alors géopolitiquement menacé en tant que tel. La démarche algérienne pour contrer le terrorisme au Sahel aurait besoin, à la lumière du drame malien, d’une profonde mise à jour de ses tenants et aboutissants, voire même peut-être d’une petite aide de l’ex-mère patrie. Paris ne peut, sans conséquences directes, laisser tomber aujourd’hui Alger.

 

Michel Lhomme

 

Cher Tamnart

 

Il y a une chose que je ne comprends pas. Les Etats-Unis semblent être très proches de l'Algérie en matière de stratégie sécuritaire Tout au moins depuis le 11 Septembre 2001. Comment pourraient-ils donc entrer dans une alliance contre ce pays?

 

Bien à vous, Rafiq.

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Manoeuvres presque ouvertes de l’impérialisme américain et wahhabite

 

L’Iran et l’Algérie, cibles de Washington et Ryad

 

Les pays du Golfe avouent ouvertement souhaiter la création d’une alliance géopolitique autonome incluant au départ deux ou trois pays, dont l’Arabie Saoudite et le Bahreïn. Pourquoi cette soudaine précipitation ? Les dirigeants du Conseil de coopération des États arabes du Golfe (CCG), qui comprend l’Arabie saoudite, le Koweït, Bahreïn, le Qatar, les Emirats arabes unis et le sultanat d’Oman, ne cachent pas leur inquiétude face aux ambitions régionales de l’Iran. Le Bahreïn, dirigé par la dynastie sunnite Al Khalifa, est, en particulier, le théâtre, depuis le début du « printemps arabe », d’une contestation de la majorité chiite, soutenue en sous-main par l’Iran, qui a des vues sur le territoire insulaire.

 

Un destin commun ?

 

Par ailleurs, le Qatar, l’Arabie saoudite mais aussi les Frères Musulmans d’Egypte, semblent déterminés à faire chuter l’Algérie. Anna Marie Lisa, présidente honoraire du Sénat belge, accuse ouvertement l’Arabie Saoudite « d’œuvrer à déstabiliser volontairement les frontières sud de l’Algérie », à travers notamment, le financement des salafistes et de groupes djihadistes. Pour l’Arabie saoudite, l’Algérie devra payer, tôt ou tard, pour avoir combattu le terrorisme durant les années 1990. Ceci se produit au moment où de l’argent, provenant de paiements de rançons d’otages européens et des spoliations en Libye arrivent, de la façon la plus illégale qui soit, aux terroristes sévissant dans la région, et plus particulièrement au Nord du Mali, devenu indépendant. En tout cas, cette déclaration confirme qu’il y a bien (ce que nous vous disons ici depuis plusieurs mois déjà : affaire libyenne etc) une déstabilisation en cours de l’Algérie, entretenue par des bailleurs de fonds saoudiens.

 

Eric Denussy, directeur du Centre français de recherches sur le terrorisme, et ancien officier des services secrets, a tiré récemment la sonnette d’alarme : « La situation est très grave. L’Algérie est considérée par le Qatar et l’Arabie Saoudite, et par l’alliance entre les USA et les Frères musulmans, comme le domino du « printemps arabe » qui n’est pas tombé et qui doit tomber, coûte que coûte ». L’Otan et les Américains nul doute participent en secret à cette démarche de vouloir reconfigurer le Maghreb et le Machrek, ainsi que le Sahel, par terrorisme interposé et mercenaires richement payés. D’ailleurs, certains pays auraient largué des armes, profitant aux terroristes du GIA, devenu GSPC puis AQMI, après que les terroristes eurent été défaits en Algérie et qu’ils eussent fuient vers le Sud. Pour l’instant, après des législatives sans fraude véritable, l’Algérie, qui se sent menacée, tient bon et n’a pas chuté, malgré toutes ces tentatives de déstabilisation, y compris du côté marocain (le problème du Polisario évoqué au Conseil Européen).

 

Mais au Mali, la crise s’obscurcit et il est un peu difficile d’y voir vraiment clair. La moitié septentrionale de son territoire est toujours sous le contrôle de rebelles touareg, d’islamistes armés et de divers groupes criminels. Un nouveau groupe armé, dénommé Front de Libération Nationale de l’AZAWAD (FLNA), qui revendique 500 éléments, avait annoncé, le 8 avril, sa création dans le Nord-Est du pays. Il se proclame indépendant du groupe islamiste Ansar Dine, dirigé par Iyad Ag Ghali qui a participé aux accords d’Alger de 2006 entre Bamako, la rébellion touarègue et le Mouvement National de Libération de l’AZAWAD (MNLA).

 

Cette nouvelle formation se présente comme un mouvement laïc et explique sa création par l’abandon” de la région par l’Etat malien depuis des années. Il aurait pour objectif la libération de l’AZAWAD, l’instauration d’un climat de confiance entre ses communautés, la sécurisation des personnes et des biens et l’instauration d’un cadre de dialogue pour une paix durable” dans la région, dont le FLNA ne définit pas les limites géographiques et qui, par voie de conséquence, pourraient inclure des territoires algériens et nigériens !

 

Aux côtés de tous ces mouvements touaregs, religieux ou laïcs, du Nord Mali, on retrouve, bien entendu, des éléments du Polisario et ceux de l’AQMI, dont un des chefs, Mokhtar Belmokhtar, vient justement de refaire surface à Gao, avec ses partisans, à la faveur des enlèvements de sept diplomates algériens. Un autre groupe, et pas des moindres, a également signalé sa présence à Gao. Il s’agit du mouvement islamiste nigérian Boko Haram, mouvement violent et extrêmement puritain, très anti-chrétien et dont au moins une centaine d’éléments ont été signalés récemment au Nord du Mali. Par ailleurs, l’exécutif MNLA aurait proposé à l’Algérie son aide pour la libération des diplomates enlevés et son leader, Bilel Ag Cherif, aurait décidé d’enquêter sur les circonstances de ces enlèvements.

 

Face à cette nouvelle donne, les Algériens ont fermé leurs frontières avec le Mali. Mais une telle décision, aussi ferme soit-elle, reste toujours problématique dans cette région : parler de « fermeture des frontières » dans une zone de nomades, cela-t-il encore un sens ? Est-ce qu’elles ont jamais existé, d’ailleurs ? N’est-ce pas comme si on voulait arrêter le vent du sud de souffler ? C’est bien connu, les terroristes d’AQMI et les narcotrafiquants passent par les postes frontières et présentent leurs papiers aux douaniers, aux gardes frontières et aux militaires algériens qui grouillent dans le secteur sans pour cela être forcément inquiétés. Les dollars circulent.

 

L’Algérie prise au piège ?

 

C’est pourquoi, à moins de construire un mur sur tout le parcours de cette frontière de plus de 1200 kms, il est réellement impossible de fermer cette passoire, où immigrants, terroristes et contrebandiers se faufilent comme bon leur semble. Le Sud algérien paraît donc bel et bien le ventre mou du pays dans lequel circulent des terroristes d’AQMI et des contrebandiers mais aussi des déstabilisateurs étrangers, payés par les Etats du Golfe.

 

Le ministère algérien de la Défense a annoncé avoir déployé des avions de transport militaires et des hélicoptères aux bases de l’extrême sud et a mis en état d’alerte maximum 3 000 hommes des forces spéciales de l’armée et des unités militaires de la sixième, troisième et quatrième région militaire, notamment dans les wilayas de Tamanrasset, Ghardaïa, Biskra, Bechar et Adrar. Certains se demandent, comme de faux naïfs : pourquoi l’Algérie n’avait pas, plus tôt, lutté contre AQMI et la criminalité transnationale ?

 

Pour l’AQMI, il était, sans doute pour elle plus judicieux de refiler le bébé au Mali (consolidation d’un glacis protecteur) et quant à la drogue venue de Guinée-Bissau, elle rapporte forcément beaucoup au passage. N’oublions pas que toutes les productions du pays (l’agriculture étant moribonde) se concentrent actuellement au Sud, au Sahara où se retrouvent toutes les richesses du pays (hydrocarbures, or, fer).

 

En conclusion, s’il est possible d’émettre l’hypothèse que l’enlèvement des diplomates algériens, la proclamation de l’indépendance de l’AZAWAD par un groupe proche d’Alger et la présence d’AQMI et autres groupes islamiques radicaux sont, directement ou indirectement, liés à l’Algérie, la grande puissance régionale du coin, il est indéniable que sur le terrain, l’opération malienne n’est pas seulement une opération montée de toutes pièces par les autorités militaro-civiles algériennes pour redorer leur blason à l’approche des élections législatives en Algérie.

 

Dans ce pullulement de groupes militarisés divers, la situation sur le terrain est bien trop confuse pour ne pas déceler aussi la rivalité de courants servant d’autres intérêts, comme ceux des monarchies du Golfe ou de l’OTAN, dans la perspective d’une déstabilisation cruciale de l’Algérie ou encore, discrètement, des intérêts chinois, dans la perspective d’un contrôle par Pékin du Niger tant convoité.

 

En tout cas, la seule chose assurée, c’est que, en dehors du coup d’Etat qui a ébranlé le pouvoir légitime au Mali, tous les événements qui secouent aujourd’hui le Nord de ce pays sahélien ne sont que la conséquence trouble d’un jeu de domino dangereux engagé par l’Otan, l’Occident et les pays du Golfe dans la région (Tunisie, Lybie, Egypte). En voulant déstabiliser demain l’Algérie, c’est le Maghreb, en tant que bloc institutionnel qui serait alors géopolitiquement menacé en tant que tel. La démarche algérienne pour contrer le terrorisme au Sahel aurait besoin, à la lumière du drame malien, d’une profonde mise à jour de ses tenants et aboutissants, voire même peut-être d’une petite aide de l’ex-mère patrie. Paris ne peut, sans conséquences directes, laisser tomber aujourd’hui Alger.

 

Michel Lhomme

 

Ne vous en faites pas, il y aura toujours MEDIENE, le DRS et les GENERAUX que vous n'avez jamais cessé de dénigrer qui seront là pour veuiller sur vous. Vous pouvez ajouter une autre couverture et dormir tranquillement, surtout par le temps qu'il fait. Un conseil, à votre réveil, ne soyez plus ingrat et cessez vos critiques vénimeuses et empoisonées à l'encontre de ce qui vous protègent après DIEU LE TOUT PUISSANT.

Salutations Algériennes.

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question: si l’Algérie est la cible de Washington ... que font les soldats américains dans le sud algérien ???

 

Y en a tout simplement pas !!!

 

 

Il y avait un intéressant article sur un journal anglais (Independant ou guardian) ironisant sur les drones Américains et leur impuissance à agir dans des pays souverains ...

 

L'auteur parlait de l'affaire d'IN Amenas et du refus catégorique de l'ANP d'autoriser le survol de la zone attaquée par les drones US (contrairement à la manipulation médiatique de TV ENAHAR "sous l'impulsion" des Bouteflika).

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Guest anais25
Cher Tamnart

 

Il y a une chose que je ne comprends pas. Les Etats-Unis semblent être très proches de l'Algérie en matière de stratégie sécuritaire Tout au moins depuis le 11 Septembre 2001. Comment pourraient-ils donc entrer dans une alliance contre ce pays?

 

Bien à vous, Rafiq.

 

 

Toujours clairs et logiques vos commentaires monsieur Rafiq :)

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Guest anais25

@ Tamnart

 

Hier soir j ai parcouru l article seulement tres vite, et je connais ces theories de l essaie de destabilisation de l algerie et de l iran qui sont reelles, malgre ne pas dans la facon comment c est decrit dans l article. Ni le qatar ni les us ont un interet de voir l algerie dans un etat de destabilisation, bien en contraire. Plutot un, deux autres pays.

 

Avoue tamnart que l article est douteux, et ca ne fait pas plaisir a des patriotes (donc tu fais parti) de lire un souhait comme celui que la "expatrie" france doit nous donner un coup de main. Nous n avons rien avoir avec ce pays qui nous a occupe et detruit a l epoque et qui cree le chaos partout ou ils interviennent, et notre armee n a pas besoin des autres pour proteger ses frontieres.

C est ca la grande difference entre les pays comme le mali et l algerie.

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Toujours clairs et logiques vos commentaires monsieur Rafiq :)

 

Chère anais25

 

Je vous remercie pour votre mot. J'apprécie pour ma part vos positions patriotiques et la force de votre conscience en dépit de l'univers médiatique malsain dans lequel nous vivons.

 

Amitiés, bien à vous, Rafiq.

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Guest rechveret

les hypocrites de saoudiya peuvent aller voir ailleurs, si l'algerie le décide leurs moines des satellites et ceux du qatar, elle leurs donnera la leçon de leurs vie

saoudiya et qatar sont des traitres, des corrompus, des vendus, c'est la M.... , les faux en islam

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Guest rechveret

honte à saoudiya, pays corrompu, et le qatar ils sont tellement sals dans leurs avis, ils sont plus à présenter

le qatar est minuscule et parle beaucoup, ça m'étonne qu'ils sont arabes, ça doit etre des indiens ou des mongoles

et c'est pas non plu des musulmans dans leurs conduites, ce sont des mages avec des tenues de moines

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Guest anais25

 

 

Juste sur le fond, mechant sur la forme.

Il ne merite pas ca Tamnart.

 

Il est un peu brut quelque fois certes, mais il est sincere et il aime l algerie.

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Guest anais25
Chère anais25

 

Je vous remercie pour votre mot. J'apprécie pour ma part vos positions patriotiques et la force de votre conscience en dépit de l'univers médiatique malsain dans lequel nous vivons.

 

Amitiés, bien à vous, Rafiq.

 

Merci mon frere Rafik. C est toujours un plaisir de vous lire :)

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Juste sur le fond, mechant sur la forme.

Il ne merite pas ca Tamnart.

 

Il est un peu brut quelque fois certes, mais il est sincere et il aime l algerie.

 

 

Qu'est-ce qui est méchant ? Le traiter d'anti-marocain ? Non seulement c'est la stricte vérité, mais en plus, lui même le revendique haut et fort ! Il ne rate aucune occasion pour verser sa haine contre les Marocains !

 

Quant à aimer l'Algérie, les harkas aussi prétendaient l'aimer !

 

La patriotisme c'est comme la confiture, moins en ont un, plus on étale !

 

Merci de garder vos leçons de patriotisme à la noie, ça devient fatiguant à la fin !

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Guest anais25
Qu'est-ce qui est méchant ? Le traiter d'anti-marocain ? Non seulement c'est la stricte vérité, mais en plus, lui même le revendique haut et fort ! Il ne rate aucune occasion pour verser sa haine contre les Marocains !

 

Quant à aimer l'Algérie, les harkas aussi prétendaient l'aimer !

 

La patriotisme c'est comme la confiture, moins en ont un, plus on étale !

 

Merci de garder vos leçons de patriotisme à la noie, ça devient fatiguant à la fin !

 

 

Personne ne te donne des lecons de patriotisme! Ni a toi ni aux autres. Les personnes expriment leur avis, comme toi tu exprime les tiens. Pourquoi ont les uns plus les droits et des legitimations de s exprimer sur ce forum que les autres? Qu est ce qu il t arrive admin de parler comme ca? Tu as vu que tamnart a ete blesse d obtenir une telle reponse.

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Les USA sont contre les pays anti-américains et qui portent atteinte à leurs interêts !!!!!!

Peut-on classer le régime algérien dans cette catégorie ???????????? Sûrement pas....:cool:

Des fois sous la pression de l'opinion américaine la maison blanche "souhaite" la démocratie et des réformes dans certains pays comme l'algérie.Où est le mal pour nous autres enfants du peuple...Fikou ya nass ...Rakoum ragdine....:mdr:

L'ennemi étranger est toujours la stratégie du pouvoir des clans maléfiques qui tuent notre pays....:rudolph:

On fait peur au ghachi pour qu'il ne revendique pas ses droits....Une vieille méthode de la DRS-DAF reprise par le clan des tribalistes....Afakou....:mdr:

 

Pour l'iran c'est autre chose.Les USA s'en foutent de l'iran.C'est le lobby pro-israelien qui pousse à la confrontation....:(

 

Conclusion : les USA ne complotent pas du tout contre l'algérie.C'est juste une stratégie des prédateurs : utiliser la peur de l'étranger....:mad:

 

Evidement cela n'empêche pas les vampires d'avoir des comptes et des biens aux USA, en europe et en occident en général....Pendant ce temps les hmirs vivent dans la peur de l'envahisseur américain....:cool:

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