Pourquoi ne jugerait-on pas les responsables comme on juge le sélectionneur national

[warseniss2 10]

Les voleurs de conscience, les lâches-peureux, les pourris, les ordures, les politiciens véreux, leurs chiens galeux, les idiots utiles se "lachent" contre l'équipe nationale de foot comme si c'était d'importance capitale alors ce n'est que du foot, un amusement entre jeunes....:p

 

Par contre tous ces minables ferment leur sale gueule devant leurs chikours pour des problèmes extrêmement importants, graves et vitaux pour le pays...Yakhi khorotos...Tfou....:o

 

Décryptage – Hafidh Derradji

 

Pourquoi ne jugerait-on pas les responsables comme on juge le sélectionneur national ?

 

 

 

 

Hafid Derradji_5.jpg

 

Hormis l’élimination précoce et amère de notre sélection nationale au premier tour de la Coupe d’Afrique des Nations suite à la double défaite, incroyable et sans pareille, devant la Tunisie et le Togo, le plus frappant reste cette hostilité et cette cruauté à l’égard du staff technique et des joueurs ainsi que ce jugement sévère et permanent de la part de certains analystes et médias concernant les choix et les décisions du sélectionneur national.

Le renchérissement de cette élimination est tel que celle‑ci est assimilée à une catastrophe nationale sans précédent, dépassant même tous les désastres, fractures et pertes sur le triple plan politique, économique et social auxquels nous faisons face en permanence.

 

Comme si cette contre‑performance était la première du genre et qu’on avait toujours remporté la Coupe d'Afrique des Nations. On en oublierait même qu’on ne s’est pas qualifié en finale depuis plusieurs années, que nous avons été absents et que nous n’avons participé qu’une fois au quatre dernières éditions.

 

Il est vrai que tout ce qui a trait à notre sélection nationale suscite en nous énormément d’émotions et de sentiments. Il est également vrai que le ballon rond est devenu notre unique rempart car le foot a fait nos joies dans des moments où les échecs se multipliaient dans de nombreux domaines. Nous ne pouvons, certes, occulter le droit des masses à aspirer à la victoire et à la qualification. Mais il serait judicieux de réaliser les autres aspirations du public dans la dignité, la justice et à travers une vie décente en demandant des comptes à chaque coupable, à chaque perdant et à chaque personne ne parvenant pas à atteindre des résultats de la même façon que nous l’exigeons de notre sélection nationale.

 

Alors il nous faudrait, avec autant d’enthousiasme, de diligence, de détermination et de virulence, exiger du président, du ministre et du directeur, qu’ils rendent des comptes. Si nous le faisions, notre situation serait meilleure qu’elle ne l’est aujourd'hui et l'Algérie se porterait mieux ; nous aurions surmonté le sous-développement, le déclin et l'échec qui se répandent à tous les niveaux. On éliminerait le régionalisme, le favoritisme, le gaspillage, le pillage, le vol et tous les fléaux qui hantent notre société. On parviendrait à construire une société équilibrée et disciplinée qui honorerait et apprécierait le travail et l'effort et serait respectueuse de l’humain et des institutions.

 

Malheureusement, on a peur de critiquer le président, malgré ses écarts et ses erreurs, et on a peur de s’en prendre au ministre ; on n’ose même pas dénoncer les pratiques contraires à l'éthique affligées à notre société, parce que nous sommes lâches et hagarine ! Le sélectionneur national et les joueurs ont tantôt fauté et gagné, joué et échoué, tantôt joué et réussi, mais ils ont fourni des efforts, ont été à la hauteur et ont démontré d’énormes qualités. Et toute personne les ayant regardé jouer de cette manière sans précédent a eu de la sympathie pour eux.

 

Ce n’est pas le cas des philosophes du ballon rond, des mal intentionnés et des stagiaires qui s’enlisent dans leurs échecs à chaque analyse haineuse qui ne leur a été d’aucun intérêt lorsque ces derniers jouaient ou coachaient. Ils ne trouveraient pas aujourd’hui un seul club qui daignerait les recruter, parce ce sont des ratés.

 

Quant à certains journalistes, que Dieu leur pardonne, ils s'éloignent chaque jour du professionnalisme et se mêlent d’aspects physiques et techniques qui leur sont étrangers. Ils ne cessent de donner des leçons à l'entraîneur, aux joueurs et aux spectateurs, et oublient qu’eux‑ mêmes ne sont pas exempts de défauts, de lacunes et de faiblesses dans la pratique d’une profession qui exige responsabilité et honnêteté !

 

La défaite de l’équipe et son élimination au premier tour est juste un trébuchement et un échec qui ne cesse de se répéter dans le ballon rond en général. Ce n’est nullement une catastrophe nationale, ni une perte pour l'Algérie et la patrie, comme décrite par certains et comme mise en pratique par d'autres responsables dans divers domaines, et cela depuis l'indépendance. Le sélectionneur national Halilhodzic n'a pas trompé les Algériens comme l’ont fait les présidents, les ministres, les directeurs et autres partis politiques et associations.

 

Le plus navrant est que nous continuons à manquer de civisme, nous nous montrons haineux et durs à l’égard de notre sélection, du coach et de bon nombre de joueurs, mais au même moment, nous portons un regard complice sur les défaillances de responsables dans des secteurs importants et sensibles ; ces derniers manipulent nos sentiments, nos ressources et notre destin. Ils échouent et répètent inlassablement les mêmes erreurs mais nous continuons à les applaudir et à les admirer par crainte et par cupidité !

 

Bravo Hafidh.....Franchement je trouve que t'es un algérien digne des sacrifices de nos chouhadas....:gun_smilie:

[An-Nisr 6 595]

Malheureusement, on a peur de critiquer le président,

 

Dire que les Algériens ont peur de critiquer le président est un mensonge éhonté. Le président algérien se fait même insulté en live à la TV dans les stades. La presse quant à elle dit ce qui lui plaît.

[warseniss2 10]

Dire que les Algériens ont peur de critiquer le président est un mensonge éhonté. Le président algérien se fait même insulté en live à la TV dans les stades. La presse quant à elle dit ce qui lui plaît.

 

T'as des ailes pour t'élever le nisr....et élever le débat.......:confused:

Ah on te les a coupé....Désolé.....:mdr:

 

Si tu réfléchis un peu t'aurais compris qu'il vise les commentateurs, les journaleux, les responsables médiatico-politiques etc....Pas les "morts-vivants" qui n'ont rien à attendre de ce régime corrompu.....;)

[An-Nisr 6 595]

Si tu réfléchis un peu t'aurais compris qu'il vise les commentateurs, les journaleux, les responsables médiatico-politiques etc....

 

Comme je l'ai dit les journaux critiquent ouvertement le président algérien. Les partis politiques aussi.

 

Enlève tes lunettes elles sont trop noires et t’empêchent de bien voir ce qu'on écrit.

[warseniss2 10]

Comme je l'ai dit les journaux critiquent ouvertement le président algérien. Les partis politiques aussi.

 

Enlève tes lunettes elles sont trop noires et t’empêchent de bien voir ce qu'on écrit.

 

Ces lunettes me permettent de "distinguer" dans l'obscurité......:thumbup:

[kherrata2014 10]

Chacun à son domaine mon ami,compris Hafid .

Le problème c'est que les Algériens ne sont pas encadré par des politiciens.

C'est a dire y a pas d'alternative

[warseniss2 10]

Chacun à son domaine mon ami,compris Hafid .

Le problème c'est que les Algériens ne sont pas encadré par des politiciens.

C'est a dire y a pas d'alternative

 

Chaque citoyen a le droit d'exprimer ses doutes ou ses satisfécits sur la politique....Halte au chantage.....:boxing:

[admin 2]

Dire que les Algériens ont peur de critiquer le président est un mensonge éhonté. Le président algérien se fait même insulté en live à la TV dans les stades. La presse quant à elle dit ce qui lui plaît.

 

Justement, on se demande pourquoi toi tu n'as JAMAIS critiqué le président.

 

De deux, ou bien il est parfait et ne mérite aucune critique.

 

Ou bien, tu es tellement indifférent au sort de ton pays que tu t'en fou royalement que le Président le méprise et le nargue matin et soir.

[admin 2]

 

Alors il nous faudrait, avec autant d’enthousiasme, de diligence, de détermination et de virulence, exiger du président, du ministre et du directeur, qu’ils rendent des comptes. Si nous le faisions, notre situation serait meilleure qu’elle ne l’est aujourd'hui et l'Algérie se porterait mieux ; nous aurions surmonté le sous-développement, le déclin et l'échec qui se répandent à tous les niveaux. On éliminerait le régionalisme, le favoritisme, le gaspillage, le pillage, le vol et tous les fléaux qui hantent notre société. On parviendrait à construire une société équilibrée et disciplinée qui honorerait et apprécierait le travail et l'effort et serait respectueuse de l’humain et des institutions.

 

Malheureusement, on a peur de critiquer le président, malgré ses écarts et ses erreurs, et on a peur de s’en prendre au ministre ; on n’ose même pas dénoncer les pratiques contraires à l'éthique affligées à notre société, parce que nous sommes lâches et hagarine !

 

Je suis (agréablement) choqué que Hafidh Derradji se mette à écrire ça. Il a toujours fait le lèche botte à boutef et au pouvoir dans ses années à l'ENTV.

 

Changement radicale dans sa position ? Mieux vaut tard que jamais.

[Guest D. ESSERHANE]

Dire que les Algériens ont peur de critiquer le président est un mensonge éhonté. Le président algérien se fait même insulté en live à la TV dans les stades. La presse quant à elle dit ce qui lui plaît.

 

Par président, il voulait dire le président de FAF, Raouraoua et son ministre de la jeunesse et des sports

[admin 2]

Par président, il voulait dire le président de FAF, Raouraoua et son ministre de la jeunesse et des sports

 

C'est ce que j'avais compris à ma première lecture hier. Mais en relisant, je trouve le texte ambigue, ça m'étonnerait que Hafidh Derradji ait le courage de s'en prendre au Président.

[warseniss2 10]

Je suis (agréablement) choqué que Hafidh Derradji se mette à écrire ça. Il a toujours fait le lèche botte à boutef et au pouvoir dans ses années à l'ENTV.

 

Changement radicale dans sa position. Mieux vaut tard que jamais.

 

:mdr: :mdr:

 

C'est la raison pour laquelle il ne faut jamais perdre l'espoir que l'humain change....;)

[admin 2]

 

C'est la raison pour laquelle il ne faut jamais perdre l'espoir que l'humain change....;)

 

Je pense qu'il parle de Raouraoia (pourtant c'est son ami et porte-parole).

[Guest D. ESSERHANE]

C'est ce que j'avais compris à ma première lecture hier. Mais en relisant, je trouve le texte ambigue, ça m'étonnerait que Hafidh Derradji ait le courage de s'en prendre au Président.

 

 

On a tout essayé, par le passé, pour faire briller l'EN, mais sans résultat

comment peut-on gagner avec une équipe dont les joueurs ne se connaissent même pas ou presque

 

Perso, j'ai évité de regarder les matchs

[warseniss2 10]

Il parle de sous-developpement, de pillage, de vols, de gaspillage etc...Donc de politique et donc du gouv et de son gourou le nain.....:mad:

J'ai lu aussi ailleurs ses critiques acerbes envers le gouv et sa politique.Je vous dis, il "lave" sa conscience....;)

[rrroule 10]

La gestion du football en Algérie est une transposition de la gestion de tout le pays.

Mais franchement je ne comprends pas comment ce Voyou de Raouraoua a pu reprendre son post après avoir été écarté je ne me rappelle plus quelle année, pour une gestion pourrie à la tête de la FAF, des accusations graves ont été portées à son encontre (justifiées bien évidemment)! Il revient donc à son poste, continue à m***er, à abuser de son pouvoir ... et vouloir briguer un troisième mandat!

 

Qu'on l'étête dans un stade archi comble et qu'on fasse de sa tête le ballon officiel pour la suite de la saison du championnat :D

[Guest jagellon]

Cela fait belle lurette que Hafidh oulala vise la présidence de la FAf avec Madjer comme entraineur. Il est soutenu par le club des algériens d'el Jazira sport ( Berrich, Habib Benali et l'autre dont j'ai oublié le nom, le gars qui a confondu deux équipes pendant une mi-temps lors de la coupe d'Afrique en Tunisie).

Il profite de chaque occasion pour tirer sur Raouraoua. Navré d'aller contre certains avis mais Raouraoua est un bon président de fédé. Ce n'est pas un enfant de coeur, les Havelange, Blatter, Platini, Hayatou etc..ne le sont pas ou ne l'étaient pas. S'ils l'avaient étés il ne seraient pas là ou ils sont. C'est un monde de coups bas et de lobbying féroce.

En peu de temps Raouraoua a réussi a faire partie du comité exécutif de la FIFA , a être le potentiel ( voir probable ) président de la CAF, et surtout à auto-financer le foot en Algérie. La FAF prend en charge toutes les sélections de foot et participe à la restructuration de clubs en avançant du fric. Raouraoua a négocié les contrats de pub, d'équipement et d'engagements qui ont ramené de quoi éviter de toucher aux deniers publics. Le foot c'est aussi une histoire de fric et d'autonomie. Je ne dis pas que c'est parfait mais c'est nettement mieux qu'avant. L'équipe nationale dispose de tous les moyens nécessaires, aucun expatrié n'a a payer son billet d'avion pour y venir comme c'était le cas cela ne fait pas si longtemps que ça.

Depuis Saib et Tasfaout le championnat n'a plus produit de noms. C'était soit des tripoteurs de ballons à peine aptes a jouer dans des sixtes de bon niveau ( Dziri, Achiou, Boukessassa, Hadj Aissa etc..) soit de très bons joueurs qui ont vu leurs carrières se terminer en queues de poissons suite à un mauvais encadrement ( Bourahli, Meçabih, Benali qui lui est plus ancien quand même, Mezair, Mezouar etc...), des joueurs qui étaient meilleurs à 20 ans qu'ils ne le sont devenus à 24 ans et meilleurs à 24 ans qu'ils ne le sont devenus à 28 ans. Cela fait un paquet d'années qu'on n'a pas vu apparaitre autant de bons joueurs car les Soudani, Belkalem, Slimani, Halliche, Bouchouk, Doukha, Aoudia, Tedjar sont une bonne génération, une génération comme on n'en avait pas vu depuis longtemps. Ce sont surtout des joueurs qui sont repérés, pris en charge et encadrés. L'Algérie a même été championne du monde des militaires avec des joueurs du cru, les Belaili et Aouedj peuvent percer.

C'est déjà une étape de franchie. La prochaine serait de produire de très bons joueurs, des Belloumi, Madjer, Slimani ( l'ex d'El Harrach) , Adjissa, Zorgane, Yahi, Maidi, Belkhetouat, Meguenni, Boukar etc..des joueurs aptes à donner l'impulsion de jeu et à minimiser le facteur chance comme seul Meghni a pu le faire avec l'équipe actuelle.

[admin 2]

Cela fait belle lurette que Hafidh oulala vise la présidence de la FAf avec Madjer comme entraineur. .

 

Il est de notoriete publique que Hafidh Derradji ne porte pas Madjer dans son coeur, et vise versa. Il a toujours ete ami et porte-parole de Raouraoua, un autre ennemi de Majder.

 

Je me suis arrete a cette phrase, je vais lire la suite. :D

[admin 2]

Il est soutenu par le club des algériens d'el Jazira sport ( Berrich, Habib Benali et l'autre dont j'ai oublié le nom, le gars qui a confondu deux équipes pendant une mi-temps lors de la coupe d'Afrique en Tunisie).

 

Hafidh Derraji n'a que des ennemis dans Al Jazeera Sport parmi le club des Algeriens.

 

Il est connnu que lui et Lakhder Berrich ne s'apprecient pas trop (la froideur qu'il y a entre eux se sent quand ils se parlent), ni avec l'autre Algerien dont j'ai oublie le nom, son ancien subordonne a l'ENTV.

 

Hafid Derradji etait directeur du service sport a l'ENTV (il a meme etait nomme directeur de l'information, ou redacteur en chef du journal, a l'epoque de HHC). Il avait la reputation de "dictateur" et il s'etait cree beaucoup d'ennemis qui allaient devenir ses collegues quelques annees apres a Al Jazeera.

 

Bon je vais lire la suite :D

[admin 2]

Il profite de chaque occasion pour tirer sur Raouraoua.

 

Hafidh Derradji est le porte parole de Raouraoua.

 

Raouraoua l'avait nomme directeur de la comminucation a l'epoque ou il etait a l'ENTV. Hafidh Derradji ne rate occasion pour exprimer son admiration pour Raouraoua. La preuve pas plus tard qu'hier il est intervenu dans Echourouk TV pour soutenir Hallilozivitch et Saadan lui reprocher d'une maniere indirecte de parler au nom de la FAF et Raouraoua.

 

Bon je vais lire la suite. :D

[admin 2]

Navré d'aller contre certains avis mais Raouraoua est un bon président de fédé.

Je suis d'accord. Il ne peut a lui seul nettoyer toute la corruption et la mauvaise gestion qu'il y a dans le foot algerien. Le probleme est profond et depasse ses preogatives. Le foot algerien est l'image du pays.

 

Bon je ne vais pas lire la suite, je suis fatigue :D

[Guest jagellon]

Il est de notoriete publique que Hafidh Derradji ne porte pas Madjer dans son coeur, et vise versa. Il a toujours ete ami et porte-parole de Raouraoua, un autre ennemi de Majder.

 

Je me suis arrete a cette phrase, je vais lire la suite. :D

 

Hafidh oulala interviewant Rachid Mekhloufi sur El Jazira sport pour dire à quel point Madjer est l'homme qu'il faut à la tete de l'équipe nationale ça ne te dit rien?

 

Je suppose que tu es aussi au courant de qui a toujours soutenu Hafidh oulala. M. S. lui même ancien directeur des sports sur un quotidien national et fils de l'ex procureur général d'Alger :D

[rrroule 10]

Cela fait belle lurette que Hafidh oulala vise la présidence de la FAf avec Madjer comme entraineur. Il est soutenu par le club des algériens d'el Jazira sport ( Berrich, Habib Benali et l'autre dont j'ai oublié le nom, le gars qui a confondu deux équipes pendant une mi-temps lors de la coupe d'Afrique en Tunisie).

Il profite de chaque occasion pour tirer sur Raouraoua. Navré d'aller contre certains avis mais Raouraoua est un bon président de fédé. Ce n'est pas un enfant de coeur, les Havelange, Blatter, Platini, Hayatou etc..ne le sont pas ou ne l'étaient pas. S'ils l'avaient étés il ne seraient pas là ou ils sont. C'est un monde de coups bas et de lobbying féroce.

En peu de temps Raouraoua a réussi a faire partie du comité exécutif de la FIFA , a être le potentiel ( voir probable ) président de la CAF, et surtout à auto-financer le foot en Algérie. La FAF prend en charge toutes les sélections de foot et participe à la restructuration de clubs en avançant du fric. Raouraoua a négocié les contrats de pub, d'équipement et d'engagements qui ont ramené de quoi éviter de toucher aux deniers publics. Le foot c'est aussi une histoire de fric et d'autonomie. Je ne dis pas que c'est parfait mais c'est nettement mieux qu'avant. L'équipe nationale dispose de tous les moyens nécessaires, aucun expatrié n'a a payer son billet d'avion pour y venir comme c'était le cas cela ne fait pas si longtemps que ça.

Depuis Saib et Tasfaout le championnat n'a plus produit de noms. C'était soit des tripoteurs de ballons à peine aptes a jouer dans des sixtes de bon niveau ( Dziri, Achiou, Boukessassa, Hadj Aissa etc..) soit de très bons joueurs qui ont vu leurs carrières se terminer en queues de poissons suite à un mauvais encadrement ( Bourahli, Meçabih, Benali qui lui est plus ancien quand même, Mezair, Mezouar etc...), des joueurs qui étaient meilleurs à 20 ans qu'ils ne le sont devenus à 24 ans et meilleurs à 24 ans qu'ils ne le sont devenus à 28 ans. Cela fait un paquet d'années qu'on n'a pas vu apparaitre autant de bons joueurs car les Soudani, Belkalem, Slimani, Halliche, Bouchouk, Doukha, Aoudia, Tedjar sont une bonne génération, une génération comme on n'en avait pas vu depuis longtemps. Ce sont surtout des joueurs qui sont repérés, pris en charge et encadrés. L'Algérie a même été championne du monde des militaires avec des joueurs du cru, les Belaili et Aouedj peuvent percer.

C'est déjà une étape de franchie. La prochaine serait de produire de très bons joueurs, des Belloumi, Madjer, Slimani ( l'ex d'El Harrach) , Adjissa, Zorgane, Yahi, Maidi, Belkhetouat, Meguenni, Boukar etc..des joueurs aptes à donner l'impulsion de jeu et à minimiser le facteur chance comme seul Meghni a pu le faire avec l'équipe actuelle.

 

Je suis s'accord pour Blatter et cie, même si je ne considère pas que Raouraoua et Blatter ont les mêmes types de responsabilités.

Pour le financement des clubs, je pense que ça s'est imposé, on ne peut concevoir que le fonctionnement des clubs se fasse aujourd'hui des caisses de l'état!

Les résultats sont là! ce n'est pas normal que notre équipe nationale soit aussi mauvaise malgré tous ces moyens! Des pays qui étaient à la traîne nous ont rattrapés et surpassés.

Pour Raouraoua, non seulement il était mêlé à des affaires de mauvaise gestion, voire de détournement, mais en plus je garde en tête sa vulgarité et son non professionnalisme lors des incidents du match Algérie-Egypte (c'est un hadj :D )

C'est sûr qu'il n'est pas la source des maux, mais il y contribue à mon avis et doit assumer son rôle de Président et ne pas continuer à baigner aussi habilement dans les eaux troubles!

 

PS1 : je ne nie pas que c'est par intérêt que Derradji attaque Raouraoua, et même si lui et Madjer sont des opportunistes avérés, cela ne fait pas de Raouraoua quelqu"un de bien à mes yeux! ils mènent leurs guerres internes!

 

PS2 : Moi j'ai tout lu (tilimidha nadjiba leyssa mithla adminouche el kassoul) :D

[admin 2]

Hafidh oulala interviewant Rachid Mekhloufi sur El Jazira sport pour dire à quel point Madjer est l'homme qu'il faut à la tete de l'équipe nationale ça ne te dit rien?

 

Je suppose que tu es aussi au courant de qui a toujours soutenu Hafidh oulala. M. S. lui même ancien directeur des sports sur un quotidien national et fils de l'ex procureur général d'Alger :D

 

C'est leger ca.

 

A moins qu'il ait change de camps depuis.

 

Les deux hommes se sent souvent disputés a travers presse interposee.

 

J'ai toujours connu Hafidh Derradji comme leche botte de Raouraoua et ennemi jure de Madjer a qu'il demande souvent de faire ses preuves sur les terrain avant de demander la tete de l'EN. S'il a change de fusil d'epaule dernierement, je ne suis pas au courant.

[admin 2]

Une interview qui date d'il y a trois annees qui confirme tout ce que j'ai dit (sa relation avec Raouraoua, Madjer, les Algeriens d'Al Jazeera, etc.)

 

• Quelle est votre relation actuellement avec Mohamed Raouraoua ?
  Il reste pour moi un très grand ami, je dirai même un frère. On s’appelle régulièrement et on est en contact permanent. Nous partageons beaucoup de points en commun. On s’appelle tout le temps et on essaie de ne pas parler football. Lui, surtout, parce que pour moi, c’est impossible. Alors je l’embête un peu avec mes questions ; mais il prend toujours cela du bon côté parce qu’il connaît ma passion pour le foot.

• Que pensez-vous de ceux qui disent que Raouraoua n’a jamais été footballeur et qu’il occupe un poste qui devrait revenir en principe, impérativement à un ancien footballeur qui connaît plus la réalité du terrain et les sensations des joueurs sur le terrain ?
  Je ne suis pas d’accord avec cela. Le football d’aujourd’hui a besoin de gestionnaires chevronnés. Que peut faire un footballeur dans un bureau ? Va-t-il jouer au football ? Il n’est donc pas impératif d’être un ancien footballeur pour diriger la FAF.

• Et vous pensez que l’UEFA n’a rien compris en confiant la présidence à un ancien footballeur comme Michel Platini ? Tout le monde sait que Platini est plus crédible que Blatter, non ?
  Oui, mais on n’a pas confié l’UEFA à Platini juste parce que c’est un ancien joueur. Platini s’est présenté avec un projet et une équipe de gestionnaires aguerris derrière lui. C’est pour cela qu’il a obtenu plus de voix que Johannsen.

• OK, mais supposons qu’un président de fédération commence à s’immiscer dans le volet technique, en forçant le sélectionneur à opter pour tel joueur ou telle tactique ?
  Il y a des limites à tout et cela fait partie des limites que ne doit pas franchir un président de fédération. Un président de fédération ne choisit pas la tactique ni l’équipe qui doit jouer. Mais c’est lui qui est comptable devant le public. Raouraoua a payé pour l’absence des résultats de l’EN. Mais en parallèle, on ne pouvait rien lui reprocher dans sa gestion de la FAF, les ligues et le fonctionnement de nos différentes compétitions. En tant que gestionnaire, il n’avait pas failli à sa mission. Il avait donné une vraie sérénité à notre football et il continue aujourd’hui à le faire depuis son retour.

• Est-ce qu’il s’est remis un peu aujourd’hui de l’affaire Madjer ? Car il y a beaucoup de gens qui n’ont pas aimé la manière avec laquelle le plus grand footballeur algérien de tous les temps a été écarté de l’EN.
  Non, comme je le connais, El Hadj n’est pas rancunier. Depuis la séparation avec Madjer, je vous assure qu’il n’en parlait plus du tout. Il n’en dit que du bien, au contraire. Souvent, je l’ai entendu vanter le talent du football algérien en citant fièrement la carrière de Rabah Madjer à l’étranger.

• Et votre relation avec Rabah Madjer ?
  Très ordinaire. Je n’ai aucun problème avec Madjer. Au fond de moi, je n’ai jamais pensé que j’avais un problème avec Madjer. Que ce soit l’entraîneur ou l’homme en particulier. J’ai toujours considéré que Madjer avait eu des soucis avec la FAF, son bureau fédéral, son vice-président et son président. Jamais avec moi. Après, chacun est retourné à ses affaires personnelles.

• Est-ce que vous vous voyez à Doha au moins, puisque vous travaillez à Al Jazeera Sports tous les deux ?
  Oui, on se voit parfois, mais pas souvent. On a fait des voyages ensemble et on travaille dans la même boîte en effet.

• Mais à ce qu’il paraît, vous n’êtes pas les meilleurs amis du monde, non ?
  Non, on n’est pas les meilleurs amis du monde, mais en même temps, on n’est pas des ennemis non plus. Si vous voulez, même avant qu’il soit sélectionneur et moi membre de la FAF, Madjer et moi n’étions pas les meilleurs amis du monde. On se connaissait de loin et on se respectait, sans plus.

• Quelles sont vos relations avec les autres journalistes algériens qui résident à Doha ?
  Non, je n’ai pas beaucoup de relations avec les Algériens d’ici. J’évite d’en avoir exprès et pas spécialement avec les Algériens. J’évite de fréquenter beaucoup de monde. Je suis à Doha pour travailler et surtout pour en profiter avec ma petite famille. On va dire que j’ai des relations très limitées avec trois ou quatre journalistes, pas plus.

• C’est voulu ?
  Oui, c’est voulu. Je veux faire le vide autour de moi pour savourer cette «mi-temps» que je vis au Qatar. Comme ça, le jour où je déciderai de retourner en Algérie, je le ferai avec un mental retapé à neuf. Je suis venu recharger mes batteries avant de rentrer chez moi et reprendre le combat. Et Dieu merci, aujourd’hui, je peux dire que j’ai oublié pas mal de choses de tout ce que j’ai vécu en Algérie.

• Ne pensez-vous pas que le fait de répéter sans cesse que vous faites une «mi-temps» dans une chaîne aussi prestigieuse qu’Al Jazeera Sports est un peu réducteur par rapport à vos employeurs actuels qui vous ont considéré mieux que ceux de la télé algérienne ?
  Non, je dois être clair dans cette histoire. Je voue un immense respect à Al Jazeera Sports et à tous ceux qui y travaillent. Ce que je veux dire par là est que je ne suis pas venu à Qatar avec l’intention de rester à vie. Mais cette «mi-temps» comme je l’ai appelée pourrait durer 5 ans, voire 10 ans, comme elle pourrait durer un an. Mais rien ne m’empêche de rester très professionnel dans mon travail et de me donner corps et âme pour Al Jazeera Sports. Je n’ai jamais triché dans ma vie et ce n’est pas aujourd’hui que je vais commencer à le faire. Mais si les conditions de travail restent comme elles sont aujourd’hui, il n’y a pas de raison pour je quitte Al jazeera Sports.

• En arrivant à Al Jazeera Sports, aviez-vous senti des réticences ou de la jalousie de la part des journalistes algériens qui vous ont devancé ?
  Oui. Il y a même un journaliste algérien travaillant à Al Jazeera qui a téléphoné à un Cheikh hautement placé pour lui dire que vous avez embauché un type à problèmes en recrutant Hafid Derradji. Finalement, les grands responsables ont découvert qui je suis en vrai et démasqué la jalousie de cette personne. Hamdoullah, même le personnel qui avait été sans doute mis au parfum par la même personne a finalement compris qui était mauvais et qui ne l’était pas.

• Vous aviez senti cette levée de boucliers en arrivant à Al Jazeera ?
  Ce n’est pas une levée de boucliers, mais j’ai senti que les gens étaient plutôt méfiants à mon égard. Le directeur général avait aussi été prévenu par cette personne pour qu’il prenne soi-disant ses précautions vis-à-vis de moi. Dieu merci, il a tout compris avec le temps et aujourd’hui, je ne reçois que des félicitations de la part du personnel et des responsables d’Al Jazeera.

• En fin de compte, vous ne laissez personne indifférent, où que vous travaillez, non ?
  Lorsque j’étais à la télé algérienne, je dérangeais beaucoup de monde et même ceux qui travaillaient ailleurs. Ils disaient que Derradji est en train de percer et de gravir les échelons et peut-être même qu’un jour, on va le retrouver ministre. Aujourd’hui que j’ai quitté l’Algérie, les mêmes personnes continuent à me poursuivre avec leur méchanceté et leur jalousie. Que veulent-ils que je fasse ? Que je meurs ? Que je me jette à la mer ? Où que je me trouve, ça ne leur regarde pas. (Il s’énerve et s’adresse carrément à la personne qu’il visait). Et même en venant ici à Al Jazeera, je ne suis pas venu chez toi, non. Ça n’appartient pas à ta mère ! Et puis, je ne suis pas venu quémander. C’est eux qui m’ont ramené à Al Jazeera. Où est le problème ? Tout le monde peut travailler et gagner sa vie proprement, alors pourquoi vouloir empêcher Derradji ou quelqu’un d’autre de le faire dignement ?

• Mais y a-t-il au moins des journalistes algériens d’Al Jazeera qui disent un peu de bien de vous ?
  Fort heureusement ! J’ai revu avec un immense plaisir Abdelkader Damiche qui m’a dit être très content d’entendre les responsables d’Al Jazeera louer mes compétences et ma correction. J’ai aussi retrouvé avec plaisir mon ancien collègue et ami Abdelkader Cheniouni, même si on ne se voit pas beaucoup ici, à cause des emplois du temps de chacun de nous deux. J’ai aussi retrouvé mes amis Mohamed Assoul et Boualem Benoumechiara qui ont travaillé avec moi à la télé algérienne.

• Et qu’en est-il de Boutamine qui vous a égratigné lors d’une interview accordée à un confrère, en disant que c’est Derradji qui a bloqué son évolution à la télé algérienne ?
  Franchement, je n’ai pas compris pourquoi il s’en est pris à moi de la sorte. Je laisserai le soin à ses amis de lui répondre comme ils l’ont déjà fait. Mais ce que je ne comprends pas chez lui, c’est qu’il n’est jamais venu me voir pour me dire cela en face. On s’est retrouvés la veille de cette interview en famille, chez Boualem Benoumechiara et il me disait qu’il voulait rentrer au pays. J’ai essayé de l’encourager en lui disant qu’il pouvait compter sur moi s’il avait besoin de moi. J’ai essayé de lui remonter le moral comme on le fait à un ami lorsqu’on est pris de nostalgie à l’étranger. Et le lendemain matin, je découvre son interview avec toutes ces méchancetés à mon encontre. Franchement, je suis tombé des nues. Je ne m’y attendais pas du tout. Par la suite, il a essayé de faire un démenti et il a fait pire. Depuis, il m’évite et Allah issahel âlih, car il a quelque chose à se reprocher. Moi, j’ai la conscience tranquille vis-à-vis de lui ou de quelqu’un d’autre.
  Si c’était à refaire, vous auriez fait la même chose avec lui ?
  Absolument ! Car il s’agissait d’assumer mes responsabilités avant toute autre considération.

• Il vous reprochait de lui avoir fait de l’ombre injustement de peur de le voir percer.
  C’est complètement faux, car c’est grâce à moi qu’il est passé à la télévision. Il dit que j’avais arrêté l’émission «Arqam wa taâliq ». Si je ne l’avais pas arrêtée, pour la scinder en deux autres émissions (Al marma et tous les Sports) il n’aurait jamais eu la chance de passer à la télé. C’est comme ça que je lui ai permis de la présenter. On ne peut pas la comparer avec Malaïb Al âlam qui avait été lancée en 1990. Il n’y avait aucune comparaison à faire entre ces deux émissions non concurrentes de surcroît. C’est aberrant de penser qu’un responsable veuille détruire une émission de son propre programme. Enfin, Allah yahdih, c’est tout.

Le buteur.