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mafias algériennes, entre mythes et réalités


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Guest D. ESSERHANE

Mafias algériennes, entre mythes et réalités?

 

D.R - Esserhane

 

Décidément, chaque soir que Dieu fait, en remontant le soir la presse nationale, je ne cesse de rencontrer de longs articles traitant sur une nouvelle mafia spécialisée dans tel ou tel domaine d’activité que je garde, souvent en mémoire et que je ne suis pas prêt à oublier.

 

Il y en a autant, il y en a tellement de mafias que je me suis dit, que si cela pousse à ce rythme effréné, on risque de talonner les ricains et les ritales, dans le grand banditisme et le crime organisé.

 

Quelle foutaise ! Soyons sérieux, quand même!

 

Mais pour vous dire en toute franchise et ne rien vous cacher, il m’arrive si souvent d’avoir la trouille aux tripes de m’exposer inutilement dehors, surtout la nuit venue. Pas par peur des fantômes, bien sur que non!... Mais par peur de surprendre un mafiosi à l’affût, en train de me tendre un guet-apens pour m’offrir gratuitement, un joli pruneau assassin…

 

C’est dingue ces histoires de mafias algériennes que les journalistes de chez nous, tentent de nous assener à longueur d’années et puis, ce matraquage en règle, savamment distillé. Ça peut nous coûter cher, trop cher au point de nous causer de graves problèmes de santé.

 

Tenez-vous-en: Rien qu’à les compter une à une, j’ai - ya errab- une de ces tachycardies qui me rapproche un petit peu de la mort…

 

Alors, je fais mine de ne plus penser, ni à la mafia des généraux, ni à celle du rond à béton, ou celles de médocs, ni même à celle du ciment, de l’or, des devises, de l’import ou encore, celle du lait...

 

Et je me dis que ces histoires là, ne sont que des histoires à nous faire dormir… debout

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Guest D. ESSERHANE

Vérités, si je mens

 

Transparency International épingle l'Algérie

 

Par : Imène Amokrane

 

L’Algérie, l’Angola, le Cameroun, le RDC, l’Égypte, l’Erythrée, la Libye, la Syrie, et le Yémen sont les pays où il y a le plus grand risque de corruption dans leurs gouvernements. C’est ce qui ressort du dernier rapport (Index Programme de Défense et Sécurité) de l’ONG « Transparency International » (TI) publié ce mardi 29 janvier. Une étude basée sur un seul secteur, qu’est la défense. Il est ainsi à noter que les « derniers », il y a six pays africains et deux asiatiques.

 

Classant les pays selon leurs risques de corruption dans le secteur militaire, TI a établi que 70% des gouvernements manquent de transparence dans ce secteur stratégique qu’est la défense. (Voir la carte ).

 

Dans ce rapport une étude sur les méthodes mises en place par 82 pays qui ont été catégorisés en 6 groupes, de A à F, du niveau de risque le plus élevé au moins élevé :

 

GROUPE A – très peu de risque (2 pays): Australie, Allemagne

 

GROUPE B – peu de risque (7 pays): Autriche, Norvège, Corée du Sud, Suède, Taiwan, Royaume-Uni, États-Unis

 

GROUPE C – risque Modéré (16 pays): Argentine, Brésil, Bulgarie, Chili, Colombie, Croatie, République Tchèque, France, Grèce, Hongrie, Italie, Japon, Lettonie, Pologne, Slovaquie, Espagne

 

GROUPE D+ - risque Élevé (15 pays ): Bosnie-Herzégovine, Chypre, Inde, Israël, Kenya, Koweït, Lebanon, Mexique, Népal, Serbie, Singapore, Afrique du Sud, Thaïlande, Ukraine, E.A.U.

 

GROUPE D- - risque élevé (15 pays) Bangladesh, Biélorussie, Chine, Ethiopie, Géorgie, Ghana, Jordanie, Kazakhstan, Malaisie, Pakistan, Palestine, Russie, Rwanda, Tanzanie, Turquie

 

GROUPE E – risque très élevé (18 pays): Afghanistan, Bahreïn, Côte d'Ivoire, Indonésie, Iran, Iraq, Maroc, Nigeria, Oman, Philippines, Qatar, Arabie saoudite, Sri Lanka, Tunisie, Ouganda, Ouzbékistan, Venezuela, Zimbabwe

 

GROUPE F – risque critique (9 pays): Algérie, Angola, Cameroun, RDC, Égypte, Erythrée, Libye, Syrie, Yémen

 

Le rapport estime qu’il y a un manque d’informations au sujet du secteur de la défense. Il y est précisé que dans plus de la moitié des pays, les citoyens « n’ont droit à aucune information sur le budget dépensé par leur gouvernement concernant les opérations secrètes ».

 

Toujours selon le rapport de TI, « l’absence de mécanismes de base comme la mise en examen rendant l’institutionnalisation des mesures anti-corruption dans le secteur de défense qui est quasi impossible est la cause de la corruption ».

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