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je partage amplement ton avis clouseau!

 

apparament massi_Hadja tu fréquente bab el oued, je pari que tu ne dépasse pas le café de tonton ville ! :scooter:

 

A l'époque je vendais t'qachir fi bab 3ezzoune, maintenant rani fi Paris chriki !

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J'ai fait des recherches sur Khoztotoz, c'est en fait un surnom donné par de vieux algérois á ce philosophe des temps modernes. l'homme est un ancien marin d'origine nordique, suédois ou finlandais ou norvégien qui s'était disputé avec son commandants et ses collègues et qui avait passer plus de trois semaines en cale comme punition pour son arrogance et son insolence.

 

En rasant les cotes algériennes le bateau a eu des problèmes qui l'ont obligé á se rapprocher du port d'alger, les réparations durèrent longtemps á cause de la pénurie de pièces détachées . Entre temps Khoztotoz fut libéré de sa peine et obtint une permission de 48 heure pour bonne conduite, l'homme descendit du bateau direction la casbah qu'il voulait visiter en premier.

Il fit la connaissance de vieux belda amateurs de kif et d'anisette, khoztotoz a áté émerveillé par la beauté et la simplicité d'Alger et par la gentillesse et l'hospitalité de ses habitants.

 

Lorsque les 48 heures de permission passées, l'homme décida de ne pas regagner son bateau, il fit part de sa décision á ses nouveaux copains qui décidèrent de l'aider á rester parmi eux, ils le cachèrent pendant une année dans uneielle cabane jusqu'á ce que les recherches furent intérrompues etson affaire classée. Entre temps khoztotoz apprit l'algérois et la poèsie algéroise,il apprit également á jouer du mandole et á chanter le chaabi.

Comme il n'avait aucune religion, pour lui c'était trés facile de devenir musulman ce qui lui a permi d'épouser une veuve algéroise dont le mari pécheur disparut en mer avec son chalutier et tout son équipage.

 

Depuis le décés de tous ses vieux copains et de sa femme Aldjia, Khoztotoz arpente les rues d'Alger et fait la tournée des cafés pour raconter son histoire.

Bien sûr personne ne le croit et tout le monde le prend pour un fou mais aucun ne lui fait du mal. Khoztotoz vit comme un pauvre roi, il ne manque de rien mais il ne possède aucun bien.

 

PS: Si quelqu'un connait un autre chapitre de sa vie tumulteuse qu'il l'écrive.

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Belle contribution mon frère, beaucoup de style dans l'écriture !

 

Merci Massi,

 

Qu'est ce que tu en dis du personnage et de son histoire, est ce que ca colle avec l'image que tu te fais de khoztotoz.

 

J'aimerais bien que les forumeurs écrivent un paragraphe sur le personage.

 

Les chapitres peuvent etre:

-Sa vie d'avant

-Son arrivée en algérie

-sa vie de marin

- ses copains

-ses amours

- ses sources d'inspirations

- sa philosophie

- sa poèsie

Etc....

 

Ca pourrait donner une idée sur l'immagination et l'inventivité de chacun.

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Les chapitres peuvent etre:

-Sa vie d'avant

-Son arrivée en algérie

-sa vie de marin

- ses copains

-ses amours

- ses sources d'inspirations

- sa philosophie

- sa poèsie

Etc....

 

Ca pourrait donner une idée sur l'immagination et l'inventivité de chacun.

 

Le plus dire à rédiger sera celui en gras !

Je le vois bien comme un personnage à la Don Quichotte ! en plus ce que tu as écrit en haut ressmble étrangement au séjour de cervantès à Alger, sauf que lui il était emprisonné !

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Voici un apercu sur l'éxpèrience de Cervantès á Alger, je ne vois pas de similitude avec khoztotoz qui lui est resté á Alger de son plein gré.

 

 

Miguel de Cervantes Saavedra (Miguel de Cervantes) (29 septembre 1547 à Alcalá de Henares - 22 avril 1616 à Madrid, enterré le 23 avril qui est souvent cité comme la date de sa mort) est un romancier, poète et dramaturge espagnol connu universellement pour son roman Don Quichotte, reconnu comme le premier roman moderne. Miguel de Cervantes est souvent considéré comme la plus grande figure de la littérature espagnole. Il aimait à dire : « la plume est la langue de l'âme ».

Captivité à Alger

Pendant son retour depuis Naples en Espagne à bord de la galère Sol, une flottille turque commandée par Arnaut Mamí fit prisonnier Miguel et son frère Rodrigo le 26 septembre 1575. Ils furent capturés à hauteur de Cadaqués de Rosas ou Palamós, situé sur ce qu'on appelle la Costa Brava, ils furent emmenés à Alger. Cervantes est attribué en tant qu'esclave au renégat grec Dali Mamí. Le fait de trouver en sa possession les lettres de recommandations qu'il portait de la part de don Juan d'Autriche et du Duc de Sessa fit penser à ses geôliers que Cervantes était quelqu'un de très important et de qui ils pourraient obtenir une bonne rançon. Ils demandèrent cinq cent écus d'or pour sa liberté.

Pendant ses cinq ans d'emprisonnement, Cervantes, en homme à l'esprit fort et motivé, essaya de s'échapper à quatre occasions. Pour éviter les représailles sur ses compagnons de captivité, il se fit responsable de tout devant ses ennemis. Il préféra la torture à la délation. Grâce aux sources officielles et au livre de frère Diego de Haedo Topographie et histoire générale d'Alger (1612), on a pu obtenir des informations importantes sur sa captivité. Ces informations viennent compléter celles de sa comédie Los tratos de Argel (Les bains d'Alger) et la relation avec l'histoire du Captif, incluse dans la première partie de Don Quichotte entre les chapitres 39 et 41. On sait aussi, depuis longtemps, que l'œuvre publiée par Haedo n'était pas de lui, chose que lui-même reconnaît. Selon Emilio Sola, son auteur est Antonio de Sosa, bénédictin compagnon de captivité de Cervantes, et dialoguiste de cette même œuvre. Il semble donc que l'œuvre de Haedo n'est plus une confirmation indépendante de la vie de Cervantes à Alger, mais un écrit de plus de la part de Cervantes et qui portent aux nues son héroïsme.

La première tentative de fuite fut un échec, car le complice maure qui devait conduire Cervantes et ses compagnons à Oran les a abandonnés dès le premier jour. Les prisonniers durent retourner à Alger, où ils furent enfermés et mieux gardés qu'avant. Pourtant, la mère de Cervantes avait réussi à réunir une certaine quantité de ducats, avec l'espoir de pouvoir sauver ses deux fils. En 1577, après avoir traité avec les geôliers, la quantité de ducats se révélait insuffisante pour libérer les deux frères. Miguel préféra que ce soit son frère qui soit libéré. Celui-ci rentra alors en Espagne. Rodrigo avait un plan élaboré par son frère pour le libérer, lui et ses quatorze ou quinze autres compagnons. Cervantes devait se cacher avec les autres prisonniers dans une grotte, en attente d'une galère espagnole qui viendrait les récupérer. La galère, effectivement, vint et tenta de s'approcher deux fois de la plage ; mais finalement fut prise. Les chrétiens cachés dans la grotte furent aussi découverts, ceci à cause d'un traître, surnommé el Dorador (le Doreur). Cervantes se déclare alors comme le seul responsable de l'organisation de l'évasion et d'avoir convaincu ses compagnons de le suivre. Le roi d'Alger, Azán Bajá, l'enferma dans son « bain » ou prison, chargé de chaînes, où il resta durant cinq mois.

La troisième tentative, conçue par Cervantes dans le but d'arriver par la terre jusqu'à Oran. Il envoya là-bas un maure fidèle avec des lettres pour Martin de Cordoue, général de cette place, en lui expliquant et lui demandant des guides. Cependant le messager fut prit et les lettres découvertes. Les lettres dénonçaient Miguel de Cervantes et montraient qu'il avait tout monté. Il fut condamné à recevoir deux mille coups de bâtons, punition non reçue car beaucoup intercédèrent en sa faveur.

La dernière tentative de fuite s'est produite grâce à une importante somme d'argent que lui donna un marchand valencien qui était à Alger. Cervantes acheta une frégate capable de transporter soixante captifs chrétiens. Quand tout était sur le point de réussir, un de ceux qui devaient être libérés, l'ancien dominicain docteur Juan Blanco de Paz, révéla tout le plan à Azán Bajá. Comme récompense le traître reçu un écu et une jarre de graisse. Azán Bajá transféra alors Cervantes dans une prison plus sure, au sein de son palais. Ensuite, il décida de l'emmener à Constantinople, d'où la fuite deviendrait une entreprise quasi impossible à réaliser. Une fois encore, Cervantes assuma toute la responsabilité.

En mai 1580, les pères Trinitaires, frère Antonio de la Bella et frère Juan Gil arrivèrent à Alger, cet ordre effectuait des tentatives de libération des captifs, y compris en se proposant eux-mêmes comme monnaie d'échange. Frère Antonio partit dans une expédition de sauvetage. Frère Juan Gil, qui ne disposait que de trois cents écus, essaya de sauver Cervantes, pour lequel on en exigeait cinq cents. Le frère se mit alors à récolter parmi les marchands chrétiens la quantité qui manquait. Il réussit à les réunir quand Cervantes était déjà dans une galère en partance pour Constantinople, affrétée par Azán Bajá, attaché avec deux chaînes. Grâce aux cinq cents écus si durement réunis, Cervantes est libéré le 19 septembre 1580. Le 24 octobre il revient enfin en Espagne avec d'autres captifs sauvés également. Il arrive alors à Dénia, d'où il partit pour Valence. En novembre ou décembre, il retrouve sa famille à Madrid

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Je ne suis pas sûr, mais je crois qu'il a uniquement passé 3 ans en captivité, les autres 2 années il était libre de ses mouvements dans alger!

 

Peux tu nous parler de Amar bouzewar, est ce qu'il a vraiment éxisté ou est ce une légende. On dit de lui qu'il était un bandit de grands chemins et qui distribuait son butin aux pauvres, une sorte de Robbin des bois á l'algérienne.

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J'ai fait des recherches sur Khoztotoz, c'est en fait un surnom donné par de vieux algérois á ce philosophe des temps modernes. l'homme est un ancien marin d'origine nordique, suédois ou finlandais ou norvégien qui s'était disputé avec son commandants et ses collègues et qui avait passer plus de trois semaines en cale comme punition pour son arrogance et son insolence.

 

En rasant les cotes algériennes le bateau a eu des problèmes qui l'ont obligé á se rapprocher du port d'alger, les réparations durèrent longtemps á cause de la pénurie de pièces détachées . Entre temps Khoztotoz fut libéré de sa peine et obtint une permission de 48 heure pour bonne conduite, l'homme descendit du bateau direction la casbah qu'il voulait visiter en premier.

Il fit la connaissance de vieux belda amateurs de kif et d'anisette, khoztotoz a áté émerveillé par la beauté et la simplicité d'Alger et par la gentillesse et l'hospitalité de ses habitants.

Bravo

Lorsque les 48 heures de permission passées, l'homme décida de ne pas regagner son bateau, il fit part de sa décision á ses nouveaux copains qui décidèrent de l'aider á rester parmi eux, ils le cachèrent pendant une année dans uneielle cabane jusqu'á ce que les recherches furent intérrompues etson affaire classée. Entre temps khoztotoz apprit l'algérois et la poèsie algéroise,il apprit également á jouer du mandole et á chanter le chaabi.

Comme il n'avait aucune religion, pour lui c'était trés facile de devenir musulman ce qui lui a permi d'épouser une veuve algéroise dont le mari pécheur disparut en mer avec son chalutier et tout son équipage.

 

Depuis le décés de tous ses vieux copains et de sa femme Aldjia, Khoztotoz arpente les rues d'Alger et fait la tournée des cafés pour raconter son histoire.

Bien sûr personne ne le croit et tout le monde le prend pour un fou mais aucun ne lui fait du mal. Khoztotoz vit comme un pauvre roi, il ne manque de rien mais il ne possède aucun bien.

 

PS: Si quelqu'un connait un autre chapitre de sa vie tumulteuse qu'il l'écrive.

 

 

 

Bravo J'ai beaucoup aimé...quelle imagination!

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J'ai fait des recherches sur Khoztotoz, c'est en fait un surnom donné par de vieux algérois á ce philosophe des temps modernes. l'homme est un ancien marin d'origine nordique, suédois ou finlandais ou norvégien qui s'était disputé avec son commandants et ses collègues et qui avait passer plus de trois semaines en cale comme punition pour son arrogance et son insolence.

 

En rasant les cotes algériennes le bateau a eu des problèmes qui l'ont obligé á se rapprocher du port d'alger, les réparations durèrent longtemps á cause de la pénurie de pièces détachées . Entre temps Khoztotoz fut libéré de sa peine et obtint une permission de 48 heure pour bonne conduite, l'homme descendit du bateau direction la casbah qu'il voulait visiter en premier.

Il fit la connaissance de vieux belda amateurs de kif et d'anisette, khoztotoz a áté émerveillé par la beauté et la simplicité d'Alger et par la gentillesse et l'hospitalité de ses habitants.

 

Lorsque les 48 heures de permission passées, l'homme décida de ne pas regagner son bateau, il fit part de sa décision á ses nouveaux copains qui décidèrent de l'aider á rester parmi eux, ils le cachèrent pendant une année dans uneielle cabane jusqu'á ce que les recherches furent intérrompues etson affaire classée. Entre temps khoztotoz apprit l'algérois et la poèsie algéroise,il apprit également á jouer du mandole et á chanter le chaabi.

Comme il n'avait aucune religion, pour lui c'était trés facile de devenir musulman ce qui lui a permi d'épouser une veuve algéroise dont le mari pécheur disparut en mer avec son chalutier et tout son équipage.

 

Depuis le décés de tous ses vieux copains et de sa femme Aldjia, Khoztotoz arpente les rues d'Alger et fait la tournée des cafés pour raconter son histoire.

Bien sûr personne ne le croit et tout le monde le prend pour un fou mais aucun ne lui fait du mal. Khoztotoz vit comme un pauvre roi, il ne manque de rien mais il ne possède aucun bien.

 

PS: Si quelqu'un connait un autre chapitre de sa vie tumulteuse qu'il l'écrive.

 

aah :eek: c pour ca on dit tkhoz bina :D

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aah :eek: c pour ca on dit tkhoz bina :D

 

Voici quelques citations attribuées á khoztotoz

 

Smir lel Hmir

touayech lel houayech

Echerka helka

ouled la3kiba, el khatem dhiba, essensla fe r9iba we rgued fe saldiba

ould el kasbah Hnine,ezzalt we tfer3ine

9adrak 3ali, klamek hlou, ktafek 3radh

ila fettek el mekla goul chba3t, ila fettek el hadra goul sma3t

ila 9astek el 9odra ou cheddit sfina, brid fi madrid, stali fi litali we tekka fi mekka,ezzoukh ma yebni khyam we l bhar yeddi el 3ouam.

 

Fi khater ouled bab el oued win ma kanou.

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Dans sa quête de la verité, Khoztotoz a visité tous les continents, ils s'est frotté à toutes les cultures et religions, c'est ce qu'il l'a aidé à forger sa conviction que la vie est cruelle ! Ayant cotoyé des rois et rênes, mais aussi de pauvres gens malheureux, khoztotoz a gouté à tous les modes de vie !

Il fut un temps où il était juif, adorateur de Spinoza, puis chrétien, puis musulman mais au final il est arrivé à la conclusion que la meilleure religion, c'est celle que l'on fait soi même.

 

Tout en continuant sa quête de verité, Khoztotoz s'intéresse à la civilisation des pahraons, il apprend la géométrie puis s'essaye à l'astronomie où il se forge une grande renommée s'appuyant sur les vestiges grecs, la profondeur qu'il a atteinte dans cette science lui permit de conclure que l'Algérie est une planète à part, qui ne fait même pas partie de notre galaxie, conclusion qui lui a valu de s'attirer les foudres de pleins d'extrémistes religieux de tous bords.

 

Khoztotoz n'a jamais renoncé à sa théorie, il exploite toujours le savoir des anciens pour expliquer les phénomènes qui se produisent de nos jours.

De nature timide, khoztotoz évite de donner son point de vue au milieu des foules, mais il se sert d'une guitarre pour mieux faire passer la pillule, ses textes sont inspiré du terroir rendent le peuple plus récéptif et donnent aux jeunes un échapatoire aux aléas de la vie !

 

Anti-capitaliste convaincu, Khoztotoz n'a jamais voulu faire sortir ses oeuvres par des éditeurs ou producteurs, il se contente de parcourir les café de quartier et exposer ses idées aux jeunes désoeuvrés qu'il met au courant des danger de la mer et de la difficulté d'une entreprise de Harraga, il donne néanmoins des conseils de navigation à ceux qui sont vraiment déterminés à franchir le pas.

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Dans sa quête de la verité, Khoztotoz a visité tous les continents, ils s'est frotté à toutes les cultures et religions, c'est ce qu'il l'a aidé à forger sa conviction que la vie est cruelle ! Ayant cotoyé des rois et rênes, mais aussi de pauvres gens malheureux, khoztotoz a gouté à tous les modes de vie !

Il fut un temps où il était juif, adorateur de Spinoza, puis chrétien, puis musulman mais au final il est arrivé à la conclusion que la meilleure religion, c'est celle que l'on fait soi même.

 

Tout en continuant sa quête de verité, Khoztotoz s'intéresse à la civilisation des pahraons, il apprend la géométrie puis s'essaye à l'astronomie où il se forge une grande renommée s'appuyant sur les vestiges grecs, la profondeur qu'il a atteinte dans cette science lui permit de conclure que l'Algérie est une planète à part, qui ne fait même pas partie de notre galaxie, conclusion qui lui a valu de s'attirer les foudres de pleins d'extrémistes religieux de tous bords.

 

Khoztotoz n'a jamais renoncé à sa théorie, il exploite toujours le savoir des anciens pour expliquer les phénomènes qui se produisent de nos jours.

De nature timide, khoztotoz évite de donner son point de vue au milieu des foules, mais il se sert d'une guitarre pour mieux faire passer la pillule, ses textes sont inspiré du terroir rendent le peuple plus récéptif et donnent aux jeunes un échapatoire aux aléas de la vie !

 

Anti-capitaliste convaincu, Khoztotoz n'a jamais voulu faire sortir ses oeuvres par des éditeurs ou producteurs, il se contente de parcourir les café de quartier et exposer ses idées aux jeunes désoeuvrés qu'il met au courant des danger de la mer et de la difficulté d'une entreprise de Harraga, il donne néanmoins des conseils de navigation à ceux qui sont vraiment déterminés à franchir le pas.

Tu me donnes vraiment l'envie de le lire ce personnage.

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S'il est inter-continentallement imbu...

 

Dans sa quête de la verité, Khoztotoz a visité tous les continents, ils s'est frotté à toutes les cultures et religions, c'est ce qu'il l'a aidé à forger sa conviction que la vie est cruelle ! Ayant cotoyé des rois et rênes, mais aussi de pauvres gens malheureux, khoztotoz a gouté à tous les modes de vie !

Il fut un temps où il était juif, adorateur de Spinoza, puis chrétien, puis musulman mais au final il est arrivé à la conclusion que la meilleure religion, c'est celle que l'on fait soi même.

 

Tout en continuant sa quête de verité, Khoztotoz s'intéresse à la civilisation des pahraons, il apprend la géométrie puis s'essaye à l'astronomie où il se forge une grande renommée s'appuyant sur les vestiges grecs, la profondeur qu'il a atteinte dans cette science lui permit de conclure que l'Algérie est une planète à part, qui ne fait même pas partie de notre galaxie, conclusion qui lui a valu de s'attirer les foudres de pleins d'extrémistes religieux de tous bords.

 

Khoztotoz n'a jamais renoncé à sa théorie, il exploite toujours le savoir des anciens pour expliquer les phénomènes qui se produisent de nos jours.

De nature timide, khoztotoz évite de donner son point de vue au milieu des foules, mais il se sert d'une guitarre pour mieux faire passer la pillule, ses textes sont inspiré du terroir rendent le peuple plus récéptif et donnent aux jeunes un échapatoire aux aléas de la vie !

 

Anti-capitaliste convaincu, Khoztotoz n'a jamais voulu faire sortir ses oeuvres par des éditeurs ou producteurs, il se contente de parcourir les café de quartier et exposer ses idées aux jeunes désoeuvrés qu'il met au courant des danger de la mer et de la difficulté d'une entreprise de Harraga, il donne néanmoins des conseils de navigation à ceux qui sont vraiment déterminés à franchir le pas.

eT Que tu t'en moques...agma mass...retournes la tete!!!Si tu es assez vieux...prends une loupe et retrouves ton point de depart.Le retour aux sources n'est point une ...decadence.
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Ayant constaté la complexité des problèmes inhérents à la société algérienne, khoztotoz a voulu relever le défi pour trouver les causes du marasme dont souffrent les jeunes algériens, quoi de mieux pour ce faire que de se frotter aux concernés eux mêmes !

 

Dans les cafés, Khoztotoz s'attable et discute avec l'emsagher, ceux qui voient que l'unique providence qui existe sur terre est l'europe, pour eux vivre en europe c'est être au paradis, travailler la semaine, gagner bien sa vie et se saouler la gueule le week end en compagnie d'une belle blonde.

 

Khoztotoz ayant vécu plusieurs années en europe, car étant lui même européen d'origine, se met à leur expliquer toutes les dimensions de la vie à l'européenne, l'individualisme et la performance sont les maîtres mots de la vie sur le vieux continent, par contre, toutes les frustrations affectives et sentimentales n'ont aucune existence de l'autre côté de la méditerranée, même les terrain de foot en tartan n'existent pas, il y a que du gazon.

 

Les jeunes écoutent khoztotoz d'une oreille attentive, ils lui payent même un ataye au na3na3 et une pochette de kawkaw, il peut alors continuer son récit en étant sobre. il apprend quelques mots de latin aux jeunes, qui leur permetteront de se débrouiller si un jour, ils posent pied en Italie. Il a dérigé une classe de Latin moderne à laquelle il donnait des cours dans un café de Scala, fort de son succès, le café ne pouvait plus contenir les jeunes assoifés de Latin alors Khoztotoz ouvrit une autre classe à climat de france, où il apprenait aux jeunes tous les méfaits de Patex dans un sachet de lait.

 

De par sa grande popularité, Khoztotoz vivait à l'aise dans la basse couche du peuple et il ne manquait de rien, il mangeait de la grantita à midi chez brahim, avec une bonne dose de Harissa et un litre de Hamoud la blanche ! Le soir, quand il fait beau, Khoztotoz passe ses nuits au parking de la madrague après avoir dégusté un plat de pagre royal et une bouteille de Moufflon d'or chez Nasser.

 

Les jeunes, ne voient plus leur vies sans Khoztotoz, il est devenu le père spirituel de toute une couche de la société qu'il guide vers la lumière.

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En décidant d'explorer la société algérienne dans sa diversité khoztotoz ne savait pas ce qu'il allait découvrir, vu de dehors, les jeunes algériens donnent l'impression d'être des individus sans principes et sans buts, tout le monde veut avoir sa propre golf, une grise métallisée de préférence et passer ses journées à draguer à l'ITFC ou à la fac centrale, concernant les mecs, et les nanas ont comme but suprême de se trouver un tel mec, avec une golf biensûr, mais aussi une maison, les nanas exigent aussi que la maman n'aie pas beacoup de place dans la vie du mec, ni ses soeurs d'ailleurs. Elle le veut à lui toute seule, son price charmant qui va l'emmener dans sa golf à Staouali pour manger des glaces à 400 Da l'unité. Mais les soeurs du mec qui ne le voient pas de cet oeil, font tout pour monter un opération anti nana qui traîne avec mon frère, pour ça c'est facile, attendre qu'il fasse la sieste et faire parler son téléphone portable, une fois le numéro de la juliette acquis commence alors l'opération "nik tout", elles harcèlent la nana au téléphone pour qu'elle pète les plombs, sinon elle envoient un groupe de choc pour la tabasser.

 

Devant ces événements gravissimes, khoztotoz tente de semer un peu de m'raga au milieu des jeunes, il leur apprend le responsabilité que doit avoir un homme envers sa maman, envers son travail, envers le peuple en général ! Khoztotoz est assez au courant et à l'aise dans tout ce qui a trait à l'individualisme, lui qui a connu la vie en communauté avant que la société algérienne ne tombe dans la bêtise multidimensionnelle !

 

Dans une conférence improvisée dans un café du rond vallet, khoztotoz a voulu traiter du thème des jeunes gardiens de parking, qui se balladent avec une batte de base ball, et à chaque fois que tu veux te garer, tu entends "familia, rana h'na" ou "parking kho" ! Mais dès que khoztotoz a commencé sa conférence, un fréro est arrivé, le front parler ne lui a pas plu, il a appelé el houkouma qui ont embarqué khoztotoz au comissariat de bab djdid.

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En décidant d'explorer la société algérienne dans sa diversité khoztotoz ne savait pas ce qu'il allait découvrir, vu de dehors, les jeunes algériens donnent l'impression d'être des individus sans principes et sans buts, tout le monde veut avoir sa propre golf, une grise métallisée de préférence et passer ses journées à draguer à l'ITFC ou à la fac centrale, concernant les mecs, et les nanas ont comme but suprême de se trouver un tel mec, avec une golf biensûr, mais aussi une maison, les nanas exigent aussi que la maman n'aie pas beacoup de place dans la vie du mec, ni ses soeurs d'ailleurs. Elle le veut à lui toute seule, son price charmant qui va l'emmener dans sa golf à Staouali pour manger des glaces à 400 Da l'unité. Mais les soeurs du mec qui ne le voient pas de cet oeil, font tout pour monter un opération anti nana qui traîne avec mon frère, pour ça c'est facile, attendre qu'il fasse la sieste et faire parler son téléphone portable, une fois le numéro de la juliette acquis commence alors l'opération "nik tout", elles harcèlent la nana au téléphone pour qu'elle pète les plombs, sinon elle envoient un groupe de choc pour la tabasser.

 

Devant ces événements gravissimes, khoztotoz tente de semer un peu de m'raga au milieu des jeunes, il leur apprend le responsabilité que doit avoir un homme envers sa maman, envers son travail, envers le peuple en général ! Khoztotoz est assez au courant et à l'aise dans tout ce qui a trait à l'individualisme, lui qui a connu la vie en communauté avant que la société algérienne ne tombe dans la bêtise multidimensionnelle !

 

Dans une conférence improvisée dans un café du rond vallet, khoztotoz a voulu traiter du thème des jeunes gardiens de parking, qui se balladent avec une batte de base ball, et à chaque fois que tu veux te garer, tu entends "familia, rana h'na" ou "parking kho" ! Mais dès que khoztotoz a commencé sa conférence, un fréro est arrivé, le front parler ne lui a pas plu, il a appelé el houkouma qui ont embarqué khoztotoz au comissariat de bab djdid.

 

Où le rencontrer?

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Attik saha kho

 

Voici quelques citations attribuées á khoztotoz

 

Smir lel Hmir

touayech lel houayech

Echerka helka

ouled la3kiba, el khatem dhiba, essensla fe r9iba we rgued fe saldiba

ould el kasbah Hnine,ezzalt we tfer3ine

9adrak 3ali, klamek hlou, ktafek 3radh

ila fettek el mekla goul chba3t, ila fettek el hadra goul sma3t

ila 9astek el 9odra ou cheddit sfina, brid fi madrid, stali fi litali we tekka fi mekka,ezzoukh ma yebni khyam we l bhar yeddi el 3ouam.

 

Fi khater ouled bab el oued win ma kanou.

 

 

lekhbar edjibouh ettouala

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En décidant d'explorer la société algérienne dans sa diversité khoztotoz ne savait pas ce qu'il allait découvrir, vu de dehors, les jeunes algériens donnent l'impression d'être des individus sans principes et sans buts, tout le monde veut avoir sa propre golf, une grise métallisée de préférence et passer ses journées à draguer à l'ITFC ou à la fac centrale, concernant les mecs, et les nanas ont comme but suprême de se trouver un tel mec, avec une golf biensûr, mais aussi une maison, les nanas exigent aussi que la maman n'aie pas beacoup de place dans la vie du mec, ni ses soeurs d'ailleurs. Elle le veut à lui toute seule, son price charmant qui va l'emmener dans sa golf à Staouali pour manger des glaces à 400 Da l'unité. Mais les soeurs du mec qui ne le voient pas de cet oeil, font tout pour monter un opération anti nana qui traîne avec mon frère, pour ça c'est facile, attendre qu'il fasse la sieste et faire parler son téléphone portable, une fois le numéro de la juliette acquis commence alors l'opération "nik tout", elles harcèlent la nana au téléphone pour qu'elle pète les plombs, sinon elle envoient un groupe de choc pour la tabasser.

 

Devant ces événements gravissimes, khoztotoz tente de semer un peu de m'raga au milieu des jeunes, il leur apprend le responsabilité que doit avoir un homme envers sa maman, envers son travail, envers le peuple en général ! Khoztotoz est assez au courant et à l'aise dans tout ce qui a trait à l'individualisme, lui qui a connu la vie en communauté avant que la société algérienne ne tombe dans la bêtise multidimensionnelle !

 

Dans une conférence improvisée dans un café du rond vallet, khoztotoz a voulu traiter du thème des jeunes gardiens de parking, qui se balladent avec une batte de base ball, et à chaque fois que tu veux te garer, tu entends "familia, rana h'na" ou "parking kho" ! Mais dès que khoztotoz a commencé sa conférence, un fréro est arrivé, le front parler ne lui a pas plu, il a appelé el houkouma qui ont embarqué khoztotoz au comissariat de bab djdid.

 

Khozto...toz, rabi edjib meskine ghir massi liyafehmou:p

rouh ya massi, il ya une expo à corps ouvert à Lyon, c'est l'une des expos les plus contreversée là tu trouvera Khoztotoz entrain de jouer le jeux d'échec et des gens qui cherchent à comprendre cette attirance de la morbidité néfaste que dégage ce Khoz To Toz en prétendant que c'est par intérêt scientifique et pour donner plus de lumière à la physiologie, Non je dirais aux sciences humaines:D:D

Allez massi secoue toi ya sahbi

Zatla rahi daira fik hala kho:crazy:

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Khozto...toz, rabi edjib meskine ghir massi liyafehmou:p

rouh ya massi, il ya une expo à corps ouvert à Lyon, c'est l'une des expos les plus contreversée là tu trouvera Khoztotoz entrain de jouer le jeux d'échec et des gens qui cherchent à comprendre cette attirance de la morbidité néfaste que dégage ce Khoz To Toz en prétendant que c'est par intérêt scientifique et pour donner plus de lumière à la physiologie, Non je dirais aux sciences humaines:D:D

Allez massi secoue toi ya sahbi

Zatla rahi daira fik hala kho:crazy:

 

Mazalek s'ghir didou !

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Hiya ya Bir-Ghbalou hamma loulou:p:p

Merci Democrate Cytoyen ou peut être Disque Compacte c'est encore mieux:04::04:

 

DC, c'est comme Washigton ya l'habess ! Ekhredj chouya m'leblad, rouh t'chouf eddenya ! eqra, leqraya teddik win hebbit !

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