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Quand le Qatar finance la droite et l’extrême‑droite israéliennes…


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Surprenante révélation de Tzipi Livni, l’ancienne ministre israélienne des Affaires étrangères et responsable du parti centriste Kadima ! Elle a affirmé sur un plateau de télévision en Israël qu’à l’occasion des dernières élections législatives, le Qatar a financé les campagnes électorales du parti de l’actuel Premier ministre Benjamin Netanyahou, le Likoud, et de celui du ministre des Affaires étrangères Avigdor Lieberman, Israël Beïtenou. Le premier aurait empoché trois millions de dollars et le second un million et demi.

Le premier est un parti de la droite conservatrice et le second de l’extrême‑droite xénophobe et anti‑arabe. Ils ont gouverné ensemble ces quatre dernières années et ils ont en partage leur attachement à une politique de colonisation offensive et leur opposition viscérale à l’avènement d’un État palestinien souverain.

 

Doha aurait obtenu en contrepartie de leur financement que les deux formations politiques israéliennes, données favorites avant les élections, appuient la création d’une fédération jordano‑palestinienne gouvernée par le Hamas. En dehors de deux quotidiens israéliens, dont le Jerusalem Post, la nouvelle n’a pas eu un impact médiatique à la hauteur du scoop. Quant à la presse occidentale, motus et bouche cousue !

 

L’idée d’une fédération jordano‑palestinienne est une vieille trouvaille israélienne qu’ont toujours rejetée le royaume de Jordanie et le peuple palestinien. C’est dire que les dirigeants du Likoud et d’Israël Beïtenou n’ont pas eu à consentir de sacrifice pour empocher les pétrodollars nécessaires à leurs campagnes respectives.

 

Mais alors, à quoi jouent les émirs de Doha ?

 

Cela signifie au moins une chose, puisqu’aucun démenti n’est venu contredire les propos de l’ancienne ministre israélienne des Affaires étrangères : que le prochain pays sur les tablettes des faiseurs de printemps arabes, ce serait la Jordanie. La chose est d’ailleurs en bonne voie, puisqu’avec la guerre civile en Syrie ce petit royaume débordé par l’afflux de réfugiés est au bord de l’explosion.

 

C’est aussi une preuve supplémentaire que les pseudo‑révolutions arabes, généreusement appuyées par les puissances occidentales et les monarchies du Golfe, avec un zèle particulier affiché par l’émirat du Qatar, n’ont ni la démocratie ni la liberté des peuples comme motivation.

 

Leur seul objectif est la mise en œuvre du GMO, le Grand Moyen‑Orient, là aussi une vieille idée israélienne adoptée par la CIA au début des années 2000 et remise au goût du jour à la fin de 2010 avec un début de mise en œuvre en Tunisie. Avec, comme arrière pensée politique, l’installation, partout, de petits États théocratiques, sans consistance, dont les dirigeants entraîneraient les peuples de la région dans des pratiques moyenâgeuses, sans espoir de démocratie et de liberté et encore moins de développement et d’accès à la modernité.

 

De plus, faut‑il rappeler que depuis 1982, lorsque l’ayatollah Khomeiny a accaparé la cause palestinienne pour fédérer autour de sa personne le monde islamique, la cause palestinienne est devenue, à son corps défendant, un fonds de commerce et un argument de recrutement pour tous les groupes intégristes et terroristes ?

 

Et qui, plus que le Likoud et Israël Beïtenou, est engagé à maintenir le peuple palestinien dans un état d’asservissement, c’est‑à‑dire à donner du grain à moudre à tous les fous de Dieu de la planète ?

 

Source: Quand le Qatar finance la droite et l?extrême?droite israéliennes? - Politique - Tout sur l'Algérie - page 1

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Par rapport à cet article qui se veut alarmistes, je me suis appliqué à avoir une réflexion si je puis dire objective et de faire ressortir les réflexions suivantes:

 

Le fait de soutenir ce genre de partis extrémistes en Israël est en défaveur de ce dernier, car ceci ternit l'image d'Israël dont la réputation est déjà très mise à mal notamment auprès de l'opinion publique occidentale autrefois favorable à ce pays.

 

Le fait de vouloir mettre en place des états théocratiques rétrogrades à la tête des pays arabes n'est pas sans risque, surtout dans certains pays proches de l'occident (ce dernier étant accusé d'avoir fomenté ce plan), notamment l'Europe, donc sauf au cas où l'Amérique soit unilatéralement derrière ce plan et que dans cette situation elle ne donne aucune importance aux risques qu'elle fait courir à ses alliés européens en première ligne face à la montée de l'intégrisme dans les pays voisins de l'autre rive de la méditerranée à la faveur de ce qui est appelé le printemps arabe.

 

Dans tous les cas, si c'est réellement un plan fomenté par l'occident, ce dernier ne peut s'exclure de l'exposition aux conséquences désastreuses d'une prolifération d'états théocratiques soutiens de l'intégrisme.

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Surprenante révélation de Tzipi Livni, l’ancienne ministre israélienne des Affaires étrangères et responsable du parti centriste Kadima ! Elle a affirmé sur un plateau de télévision en Israël qu’à l’occasion des dernières élections législatives, le Qatar a financé les campagnes électorales du parti de l’actuel Premier ministre Benjamin Netanyahou, le Likoud, et de celui du ministre des Affaires étrangères Avigdor Lieberman, Israël Beïtenou. Le premier aurait empoché trois millions de dollars et le second un million et demi.

Le premier est un parti de la droite conservatrice et le second de l’extrême‑droite xénophobe et anti‑arabe. Ils ont gouverné ensemble ces quatre dernières années et ils ont en partage leur attachement à une politique de colonisation offensive et leur opposition viscérale à l’avènement d’un État palestinien souverain.

 

Doha aurait obtenu en contrepartie de leur financement que les deux formations politiques israéliennes, données favorites avant les élections, appuient la création d’une fédération jordano‑palestinienne gouvernée par le Hamas. En dehors de deux quotidiens israéliens, dont le Jerusalem Post, la nouvelle n’a pas eu un impact médiatique à la hauteur du scoop. Quant à la presse occidentale, motus et bouche cousue !

 

L’idée d’une fédération jordano‑palestinienne est une vieille trouvaille israélienne qu’ont toujours rejetée le royaume de Jordanie et le peuple palestinien. C’est dire que les dirigeants du Likoud et d’Israël Beïtenou n’ont pas eu à consentir de sacrifice pour empocher les pétrodollars nécessaires à leurs campagnes respectives.

 

Mais alors, à quoi jouent les émirs de Doha ?

 

Cela signifie au moins une chose, puisqu’aucun démenti n’est venu contredire les propos de l’ancienne ministre israélienne des Affaires étrangères : que le prochain pays sur les tablettes des faiseurs de printemps arabes, ce serait la Jordanie. La chose est d’ailleurs en bonne voie, puisqu’avec la guerre civile en Syrie ce petit royaume débordé par l’afflux de réfugiés est au bord de l’explosion.

 

C’est aussi une preuve supplémentaire que les pseudo‑révolutions arabes, généreusement appuyées par les puissances occidentales et les monarchies du Golfe, avec un zèle particulier affiché par l’émirat du Qatar, n’ont ni la démocratie ni la liberté des peuples comme motivation.

 

Leur seul objectif est la mise en œuvre du GMO, le Grand Moyen‑Orient, là aussi une vieille idée israélienne adoptée par la CIA au début des années 2000 et remise au goût du jour à la fin de 2010 avec un début de mise en œuvre en Tunisie. Avec, comme arrière pensée politique, l’installation, partout, de petits États théocratiques, sans consistance, dont les dirigeants entraîneraient les peuples de la région dans des pratiques moyenâgeuses, sans espoir de démocratie et de liberté et encore moins de développement et d’accès à la modernité.

 

De plus, faut‑il rappeler que depuis 1982, lorsque l’ayatollah Khomeiny a accaparé la cause palestinienne pour fédérer autour de sa personne le monde islamique, la cause palestinienne est devenue, à son corps défendant, un fonds de commerce et un argument de recrutement pour tous les groupes intégristes et terroristes ?

 

Et qui, plus que le Likoud et Israël Beïtenou, est engagé à maintenir le peuple palestinien dans un état d’asservissement, c’est‑à‑dire à donner du grain à moudre à tous les fous de Dieu de la planète ?

 

Source: Quand le Qatar finance la droite et l?extrême?droite israéliennes? - Politique - Tout sur l'Algérie - page 1

 

A vrai dire , Natanyahou n'aurait pas eu besoin de beaucoup d'argent pour financer sa campagne électorale .il prone avec liberman des idées les plus éxtrémistes concernant la cause palestenienne ce qui va avec l'opinion générale de la majorité écrasante des israéliens ,celle-là est contre la soultion des deux pays et le retour des exilées palestiniens .et avec une construction sans cesse des colonies.

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