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parmi les reves d'enfance

il ya celui de grandir

partir et s'en aller

jouer aux jeux supplices

et rendre la peine plus vive

et au milieu de l'age tendre

vint le bonheur des passions terribles

la solitude tend a disparaitre

et avec elle celle de nos desirs

et nos amours,pied a terre,ne savent que choisir

nous voila grandis par le nombre des multiples

repas chaud et inquietude a peine voilee

heureux moments et noblesse du temps

a nous offrir l'impossible

celui de grandir,partir et s'en aller.

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lhero1962,

 

On fait son baluchon et on prend le large. Le coeur battant la tête pleine de rêves. Une fois loin du port d'attache, la nostalgie nous envahit. On n'a alors qu'un seul rêve, revenir là où le coeur est resté.

Mais toi, tu sembles avoir grandi et fait tous les voyages de la vie. Que les vents continuent à t'être favorables.

Ton poème, que j'ai aimé lire, me replonge dans mon adolescence. De la fenêtre de ma chambre, je conquérais le monde.

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lhero1962,

 

On fait son baluchon et on prend le large. Le coeur battant la tête pleine de rêves. Une fois loin du port d'attache, la nostalgie nous envahit. On n'a alors qu'un seul rêve, revenir là où le coeur est resté.

Mais toi, tu sembles avoir grandi et fait tous les voyages de la vie. Que les vents continuent à t'être favorables.

Ton poème, que j'ai aimé lire, me replonge dans mon adolescence. De la fenêtre de ma chambre, je conquérais le monde.

 

Tu te connectes à l'aide d'un proxy:rolleyes:

Parce que là, ton poème à l'air d'un petit texte :cool:

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Je n'ai écrit aucun poème. Je ne fais que répondre à l'auteur du poème.

 

Ah bon, donc je suis à côté!

 

 

A la base c'était ça ou c'est mieux comme j'veux dire...

 

lhero1962,

 

On fait son baluchon et on prend le large.

Le coeur battant la tête pleine de rêves.

Une fois loin du port d'attache,

la nostalgie nous envahit.

On n'a alors qu'un seul rêve,

revenir là où le coeur est resté.

Mais toi, tu sembles avoir grandi et fait tous les voyages de la vie.

Que les vents continuent à t'être favorables.

Ton poème, que j'ai aimé lire, me replonge dans mon adolescence.

De la fenêtre de ma chambre, je conquérais le monde.

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