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Le pouvoir en Algérie selon Kamel Daoud


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Encore faut-il voir la qualité et l'état de l'école, de la fac, des autoroutes et ainsi de suite.

 

Pour ma part, je pense que ceux qui voient tout en noir ainsi que ceux qui voient tout en rose mais qui ne vivent pas en Algérie, ils doivent la mettre en veilleuse et s'occuper de la société dans laquelle ils vivent.

 

Il ne s'agit pas de voir tout en rose.

On peut voir les tentatives d'accaparement par les uns de la rente pétrolière.

Ce qu'il faut c'est voir une stituation non pas statique mais dynamique.

Les exploiteurs veulent tirer à eux la couverture, sachons la tirer du côté du plus grand nombre.

En tout cas, il s'agit que les institutions soient solides, que l'Etat se batisse. Les dangers sont grands. Sachons les affronter.

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C'est quoi ces comptes d'apothicaire ? Tu juges un systéme uniquement avec ton porte-feuille ? Pour le coup là tu es enfin toi-même ya zinou.

 

Sinon tu te demandes pas pourquoi l'Algérie perd sa matière grise ? Pourquoi les chinois bossent à la place des algériens ? Pourquoi des mecs risquent leur vies pour fuir un pays riche de 200 milliards de reserve ? Pourquoi un grabataire mégalomane se fait construire une mosquée monumentale tandis que des cancéreux s'entassent dans les couloirs des hopitaux ?

 

Comptes d'apothicaire? Allez demander à ceux qui ont reçu un logement si cela ne change pas leur vie.

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Guest somebody
Il ne s'agit pas de voir tout en rose.

On peut voir les tentatives d'accaparement par les uns de la rente pétrolière.

Ce qu'il faut c'est voir une stituation non pas statique mais dynamique.

Les exploiteurs veulent tirer à eux la couverture, sachons la tirer du côté du plus grand nombre.

En tout cas, il s'agit que les institutions soient solides, que l'Etat se batisse. Les dangers sont grands. Sachons les affronter.

 

Je serais le enième à te le rappeler, tu n'affrontes rien car tu ne vis pas le quotidien algérien.

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Je serais le enième à te le rappeler, tu n'affrontes rien car tu ne vis pas le quotidien algérien.

 

j'ai assez joué des coudes,

j'ai assez fait la chaîne,

j'ai assez pleuré pour avoir mes droits dans les administrations,

j'ai assez usé mon pantalons sur les bancs de la fac d'Alger,

j'ai assez lu El Moudjahid et vu l'Unique,

j'ai assez manifesté contre el hogra,

j'ai assez été solidaire de grèves d'ouvriers,

 

pour ne pas savoir ce qu'est vivre en Algérie.

 

Mais la question reste la même quelque soit le côté de la mer. Il nous faut construire un Etat de droit, une économie productive, utiliser la matière grise locale.

 

Mais surtout, il ne faut pas confondre incapacité à faire une analyse correcte de la situation politique en Algérie et immigration;

 

Il y a des gens en Algérie qui tiennent le même discours que moi.

Relisez le dernier communiqué UGTA-CNES et vous verrez khouya.

Voilà, balek taghlatt en lisant des Kamel Daoud et autres amuseurs publics...

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Guest somebody
j'ai assez joué des coudes,

j'ai assez fait la chaîne,

j'ai assez pleuré pour avoir mes droits dans les administrations,

j'ai assez usé mon pantalons sur les bancs de la fac d'Alger,

j'ai assez lu El Moudjahid et vu l'Unique,

j'ai assez manifesté contre el hogra,

j'ai assez été solidaire de grèves d'ouvriers,

 

pour ne pas savoir ce qu'est vivre en Algérie.

 

Mais la question reste la même quelque soit le côté de la mer. Il nous faut construire un Etat de droit, une économie productive, utiliser la matière grise locale.

 

Mais surtout, il ne faut pas confondre incapacité à faire une analyse correcte de la situation politique en Algérie et immigration;

 

Il y a des gens en Algérie qui tiennent le même discours que moi.

Relisez le dernier communiqué UGTA-CNES et vous verrez khouya.

Voilà, balek taghlatt en lisant des Kamel Daoud et autres amuseurs publics...

 

Il faut bien te mettre en tête qu'on ne croit plus à mama ghoula ici, on lit qui on veut quand on le veut, mais surtout on ne donne aucun crédit au citoyen du dimanche.

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Alors selon vous ga3 hadouq el ghachi ta3 l'UGTA et le CNES ils ne vivent pas au bled?

 

Khouya, habbass el 3ar3ar...

 

Je serais le enième à te le rappeler, tu n'affrontes rien car tu ne vis pas le quotidien algérien.

 

 

Mémorandum UGTA-CNES : Un diagnostic et 80 propositions

 

Un mémorandum sur la politique de maîtrise des prix et la sauvegarde du pouvoir d'achat des travailleurs et des citoyens, initié conjointement par la centrale syndicale (UGTA) et le Conseil national économique et social (CNES), est fin prêt pour être transmis au Président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika.

PUBLIE LE : 07-08-2012 El Moudjahid.

ne Article

D.R

 

Un mémorandum sur la politique de maîtrise des prix et la sauvegarde du pouvoir d'achat des travailleurs et des citoyens, initié conjointement par la centrale syndicale (UGTA) et le Conseil national économique et social (CNES), est fin prêt pour être transmis au Président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika.

 

Les deux parties ont convenu d’engager une réflexion collective matérialisée par un mémorandum relatif à la politique de maîtrise des prix et la sauvegarde du pouvoir d'achat des travailleurs. Ce document est le fruit du travail d'un comité ad-hoc installé le 6 mai dernier. Précédé par de conséquentes consultations auprès d'administrations centrales, d'institutions et d'organisations de la société civile, le mémorandum recèle des propositions et des recommandations d’ordre pratique, inscrites, selon ses concepteurs, sur le court et le moyen terme.

D’abord un bref rappel. Le mémorandum en tant que tel est la conséquence d’une initiative prise par les responsables des deux organisations lors d'une rencontre tenue en avril dernier. Ces responsables ont exprimé, de manière unanime, la nécessité d’engager le débat autour de thèmes d’intérêts économiques et sociaux, liés exclusivement aux préoccupations portant sur la question de l'augmentation des prix, l’examen des voies et moyens susceptibles de préserver le pouvoir d’achat des larges couches de la population. Le mémorandum accorde une bonne part de ses analyses à la régulation et au contrôle du marché. Etant entendu, et comme l’a souligné M. Mohamed Seghir Babès, il fallait dresser un bilan de la situation.

 

Réinstaurer l’autorité des pouvoirs publics

Il a estimé, à ce sujet, que compte tenu de l’insuffisance de la production et des agissements des spéculateurs, qui s'enrichissent inconsidérément et de manière fulgurante au détriment des citoyens, il n’est pas improbable de déceler des facteurs qui permettent de mettre à nu des failles qui favorisent les pratiques commerciales délictueuses.

Et d’appeler «les pouvoirs publics à réinstaurer leur autorité», estimant que «la transition de l'économie administrée vers l'économie de marché a connu des lacunes et que l'économie se trouve aujourd'hui à cheval entre deux berges». M. Babès a indiqué que le groupe sera élargi à d'autres acteurs, notamment du secteur économique, et que «les systèmes de gouvernance seront interpellés non pas pour lancer des cabales et faire des procès, mais pour dépister les indus bénéficiaires de ces failles».

Le mémorandum d'une centaine de pages consigne près de quatre-vingt propositions. Il est conçu selon les principes de la feuille de route dont les axes majeurs se proposent de fournir aux pouvoirs publics de reprendre le dessus et d’affirmer la fonction régalienne de l’état en tant qu’acteur influent au sein du processus de régulation du marché.

Le mémorandum met le doigt sur l’inflation qui a affaibli le pouvoir d’achat des foyers algériens. C’est une des observations les plus saillantes contenues dans le document élaboré par l’UGTA et le CNES. L’amélioration du pouvoir d’achat de nos compatriotes n’a pas résisté aux coups de boutoir de l’inflation qui peut hypothéquer les récentes augmentations salariales prodiguées par le gouvernement. Ces augmentations sont remises en question par des envolées des prix de large consommation.

Un seul souci, la défense du pouvoir d’achat

L’UGTA et le CNES, que président respectivement M. Abdelmadjid Sidi Saïd et M. Mohamed Seghir Babès, ont dressé un diagnostic plutôt sévère, et ces institutions vont présenter le mémorandum incessamment devant la presse nationale. Le pouvoir d’achat n’est pas à l’abri d’une détérioration, selon les appréciations contenues dans ce mémorandum. Ce handicap, s’il n’est pas maîtrisé, peut rendre caducs le relèvement du SNMG, l’amélioration des salaires des travailleurs et des fonctionnaires, inflation aidant. Il reste à déterminer les raisons qui ont provoqué cette inflation. Des explications fournies par des experts mettent sur le dos de la spéculation et du marché informel, l’augmentation du rythme de l’inflation.

Le CNES et l’UGTA estiment que le marché ne peut se protéger contre une forme de dérégulation qui l’affecte et qui s’installe dans la durée, menaçant la paix sociale. C’est un devoir de vigilance et une exhortation à agir que lancent les deux instances qui ne peuvent observer le silence.

 

Favoriser la production nationale et la création d’emplois

A ce titre, le diagnostic qu’elles émettent est accompagné de propositions orientées sur différents volets, dont la pierre angulaire repose sur la nécessaire réforme de l’intégralité du mécanisme de régulation monétaire et budgétaire. Il faut revoir le système fiscal pour parvenir à une plus grande équité devant l’impôt, un assouplissement de la charge fiscale, dans le but de dynamiser le secteur de l’investissement et renforcer, par ricochet, la création d’emplois. Le mémorandum insiste sur l’obligation de faire des changements pour ce qui concerne les prérogatives de la Banque d’Algérie. Le CNES et l’UGTA sont favorables à l’idée d’ouvrir le système bancaire aux banques privées à capitaux nationaux et à des banques mixtes. Ces deux instances sont pour une révision des taux d’intérêt pour améliorer l’épargne ménagère. L’UGTA, pour la circonstance, reprend son cheval de bataille en défendant la production nationale par la mise en place de facilités d’accès au crédit à la consommation de produits locaux. Des mesures sont proposées pour valoriser la production nationale, de garantir la stabilité juridique de l’économie, de remettre sur les rails le conseil de la concurrence, installer un conseil de la fiscalité. Ce sont des préoccupations sur lesquelles le mémorandum s’est penché. Des mesures hardies sont préconisées en direction des wilayas du Sud en matière de prix. De même qu’il est recommandé de créer 4 grands pôles agroalimentaires, la mise à niveau des 50 plus importantes entreprises industrielles, l’édification de marchés de proximité, l’augmentation des capacités de stockage et la réhabilitation des grandes surfaces.

M. Bouraib

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Il faut bien te mettre en tête qu'on ne croit plus à mama ghoula ici, on lit qui ont veut quand on le veut, mais surtout on ne donne aucun crédit au citoyen du dimanche.

 

Khouya chacun est libre d'être analphabète politiquement et de ne pas savoir faire une analyse politique de la situation algérienne.

 

Raq horr!

Mais, SVP n'imposez pas votre ignorance aux autres...

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