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L'Etat renationalise ArcelorMittal El Hadjar


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Pour sauver le complexe : l’Etat prend le contrôle d’ArcelorMittal

 

le 10.02.13 El Watan

 

 

Le groupe algérien Sider deviendra bientôt l’actionnaire majoritaire du complexe sidérurgique d’El Hadjar.

 

La situation financière critique à laquelle fait face la filiale algérienne du géant mondial de l’acier ArcelorMittal l’aurait poussé à accepter, sinon proposer l’idée de céder une partie de son capital de 70% à son partenaire minoritaire à 30%, le groupe public Sider.

Une réunion s’est tenue mercredi, au ministère de l’Industrie, à Alger, à laquelle ont pris part, outre le ministre Chérif Rahmani, Vincent Legouic (CEO BU Afrique du Nord), Serge Dubois (Corporate Affairs Manager en Algérie), Arnaud Poupart-Lafarge (Executive Vice President of Long Carbon Europe LCE et membre du Management Committee), ainsi que Chiboub Hasnaoui (PDG du groupe Sider), où la décision a été prise.

 

Cette opération obéira au principe de préemption tel que mentionné dans le pacte signé entre les deux parties en octobre 2001. L’annonce de cette transaction sera vraisemblablement rendue publique prochainement, selon des cadres du groupe Sider. L’information a été confirmée, hier, par une source sûre proche du ministère de l’Industrie. «Les négociations du ministère de l’Industrie avec le groupe mondial ArcelorMittal ont été entamées pour aboutir à la cession d’une partie des actions de sa filière algérienne au profit de l’Etat algérien à travers le groupe public Sider.

 

Une fois la transaction effectuée, ce dernier deviendra majoritaire à 51%. En contrepartie, l’Etat algérien déboursera quelque 200 millions de dollars qui seront nécessaires pour l’augmentation du capital du complexe sidérurgique. Cette augmentation du capital permettra l’acquisition d’un important crédit bancaire pour enclencher le plan de redressement afin de sauver le complexe sidérurgique», explique la même source. Contactée, la direction générale d’ArcelorMittal Annaba (AMA) n’a pas voulu s’exprimer sur la question. Un délai de trois semaines a été accordé par le ministère de l’Industrie aux deux parties pour étudier tous les aspects économiques et juridiques de cette transaction, à la faveur d’une expertise, avant sa concrétisation en mai 2013.

 

Une très grande discrétion entoure cette opération qui sera menée, du côté algérien, par les conseillers du ministre de l’Industrie, en l’occurrence Chettih Messaoud (ex-directeur général de Sider), Liassine Mohamed (ancien ministre de l’Industrie), Driss Tandjaoui (ex-secrétaire général du ministère de l’Industrie) et Hasnaoui Chiboub (PDG du groupe Sider). Du côté du groupe ArcelorMittal, ce sont Vincent Legouic, Arnaud Poupart-Lafarge et Serge Dubois qui seront chargés de la négociation.

 

Cette opportunité entre dans le cadre d’une vision globale de la sidérurgie en Algérie qui fait partie des priorités du gouvernement. Avec l’usine des Qataris à Jijel qui produira, à terme, 5 millions de tonnes d’acier, des aciéries privées et ArcelorMittal Annaba, l’Algérie veut assurer son autosuffisance en acier d’ici 2025. D’autant plus qu’en 2011, l’importation d’acier a coûté quelque 10 milliards de dollars. Mais AMA ne pourra pas suivre cette cadence si elle n’investit pas. Et elle le reconnaît.

 

Dans un document d’ArcelorMittal Annaba intitulé «Plan de redressement du complexe sidérurgique d’El Hadjar», il est écrit que «le soutien des pouvoirs publics à notre complexe porte sur la transformation et le reprofilage du crédit à court terme de 122 millions de dollars contracté auprès de Société Générale Algérie avec la garantie du groupe en un crédit à long terme BEA à taux bonifié et un délai de grâce de quatre ans avec prise en charge par le Trésor public des intérêts intercalaires. A cela, il faut ajouter l’octroi des facilités de caisse (découvert) accordées par la BEA pour un montant plafonné à 65 millions de dinars.

 

Malgré la mise en œuvre de ces mesures financières, la situation financière d’AMA a atteint un niveau critique de cessation de paiement, et ce, dès le mois d’octobre 2012. Un mois après, ArcelorMittal Annaba a sollicité de nouveau les pouvoirs publics pour une intervention massive destinée à garantir la poursuite des activités de l’entreprise en Algérie». Et c’est à partir de là que l’idée de la recapitalisation de l’usine au profit de Sider a germé.

 

Par ailleurs, selon les conclusions du cabinet international Laplace, désigné pour évaluer l’état actuel des installations de l’usine d’El Hadjar et ses besoins pour la maintenir en activité, «le complexe doit abandonner ses deux hauts fourneaux et ses aciéries à oxygène» ; en remplacement, il préconise «deux aciéries électriques pour la production des produits longs et plats. La production deviendra plus compétitive. En parallèle, une usine de pellettes (matière première enrichie en acier) qui alimentera les deux unités de Jijel et d’El Hadjar. Elle sera implantée dans la wilaya de Jijel et sera à capital public». Cette première expertise a été exposée au ministre de l’Industrie mercredi dernier.

Gaidi Mohamed Faouzi

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Guest jagellon

C'est Lakshmi qui va être content. Il va avoir du liquide pour louer la bicoque de Versailles, et les laquais poudrés qui vont avec, au cas ou il voudrait caser une autre de ses fistonnes.

 

zoubir ça te dirait tawrika a3la Sillinger Mack 4 ? Ma t'zitch ga3 techri m'khayed, mais faudra bouffer du canigou toute ta vie.

 

zépépé c'est du taf en perspective. Un peu de poudre de riz sur tes bouclettes et ça fera l'affaire.

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Pour sauver le complexe : l’Etat prend le contrôle d’ArcelorMittal

 

le 10.02.13 El Watan

 

 

Le groupe algérien Sider deviendra bientôt l’actionnaire majoritaire du complexe sidérurgique d’El Hadjar.

 

La situation financière critique à laquelle fait face la filiale algérienne du géant mondial de l’acier ArcelorMittal l’aurait poussé à accepter, sinon proposer l’idée de céder une partie de son capital de 70% à son partenaire minoritaire à 30%, le groupe public Sider.

Une réunion s’est tenue mercredi, au ministère de l’Industrie, à Alger, à laquelle ont pris part, outre le ministre Chérif Rahmani, Vincent Legouic (CEO BU Afrique du Nord), Serge Dubois (Corporate Affairs Manager en Algérie), Arnaud Poupart-Lafarge (Executive Vice President of Long Carbon Europe LCE et membre du Management Committee), ainsi que Chiboub Hasnaoui (PDG du groupe Sider), où la décision a été prise.

 

Cette opération obéira au principe de préemption tel que mentionné dans le pacte signé entre les deux parties en octobre 2001. L’annonce de cette transaction sera vraisemblablement rendue publique prochainement, selon des cadres du groupe Sider. L’information a été confirmée, hier, par une source sûre proche du ministère de l’Industrie. «Les négociations du ministère de l’Industrie avec le groupe mondial ArcelorMittal ont été entamées pour aboutir à la cession d’une partie des actions de sa filière algérienne au profit de l’Etat algérien à travers le groupe public Sider.

 

Une fois la transaction effectuée, ce dernier deviendra majoritaire à 51%. En contrepartie, l’Etat algérien déboursera quelque 200 millions de dollars qui seront nécessaires pour l’augmentation du capital du complexe sidérurgique. Cette augmentation du capital permettra l’acquisition d’un important crédit bancaire pour enclencher le plan de redressement afin de sauver le complexe sidérurgique», explique la même source. Contactée, la direction générale d’ArcelorMittal Annaba (AMA) n’a pas voulu s’exprimer sur la question. Un délai de trois semaines a été accordé par le ministère de l’Industrie aux deux parties pour étudier tous les aspects économiques et juridiques de cette transaction, à la faveur d’une expertise, avant sa concrétisation en mai 2013.

 

Une très grande discrétion entoure cette opération qui sera menée, du côté algérien, par les conseillers du ministre de l’Industrie, en l’occurrence Chettih Messaoud (ex-directeur général de Sider), Liassine Mohamed (ancien ministre de l’Industrie), Driss Tandjaoui (ex-secrétaire général du ministère de l’Industrie) et Hasnaoui Chiboub (PDG du groupe Sider). Du côté du groupe ArcelorMittal, ce sont Vincent Legouic, Arnaud Poupart-Lafarge et Serge Dubois qui seront chargés de la négociation.

 

Cette opportunité entre dans le cadre d’une vision globale de la sidérurgie en Algérie qui fait partie des priorités du gouvernement. Avec l’usine des Qataris à Jijel qui produira, à terme, 5 millions de tonnes d’acier, des aciéries privées et ArcelorMittal Annaba, l’Algérie veut assurer son autosuffisance en acier d’ici 2025. D’autant plus qu’en 2011, l’importation d’acier a coûté quelque 10 milliards de dollars. Mais AMA ne pourra pas suivre cette cadence si elle n’investit pas. Et elle le reconnaît.

 

Dans un document d’ArcelorMittal Annaba intitulé «Plan de redressement du complexe sidérurgique d’El Hadjar», il est écrit que «le soutien des pouvoirs publics à notre complexe porte sur la transformation et le reprofilage du crédit à court terme de 122 millions de dollars contracté auprès de Société Générale Algérie avec la garantie du groupe en un crédit à long terme BEA à taux bonifié et un délai de grâce de quatre ans avec prise en charge par le Trésor public des intérêts intercalaires. A cela, il faut ajouter l’octroi des facilités de caisse (découvert) accordées par la BEA pour un montant plafonné à 65 millions de dinars.

 

Malgré la mise en œuvre de ces mesures financières, la situation financière d’AMA a atteint un niveau critique de cessation de paiement, et ce, dès le mois d’octobre 2012. Un mois après, ArcelorMittal Annaba a sollicité de nouveau les pouvoirs publics pour une intervention massive destinée à garantir la poursuite des activités de l’entreprise en Algérie». Et c’est à partir de là que l’idée de la recapitalisation de l’usine au profit de Sider a germé.

 

Par ailleurs, selon les conclusions du cabinet international Laplace, désigné pour évaluer l’état actuel des installations de l’usine d’El Hadjar et ses besoins pour la maintenir en activité, «le complexe doit abandonner ses deux hauts fourneaux et ses aciéries à oxygène» ; en remplacement, il préconise «deux aciéries électriques pour la production des produits longs et plats. La production deviendra plus compétitive. En parallèle, une usine de pellettes (matière première enrichie en acier) qui alimentera les deux unités de Jijel et d’El Hadjar. Elle sera implantée dans la wilaya de Jijel et sera à capital public». Cette première expertise a été exposée au ministre de l’Industrie mercredi dernier.

Gaidi Mohamed Faouzi

 

vivement la nationalisation de hamoud boualem aussi

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On privatise pas cher....on ruine l'industrie et on rachete trés cher...la meme ruine:confused:

 

Exact.

On paye les pots cassés des tenants d'une économie ultra-libérale pour l'Algérie.

Mais on voit bien que cela ne marche pas l'ultra-libéralisme.

J'espère que des cadres compétents vont gérer l'usine.

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Exact.

On paye les pots cassés des tenants d'une économie ultra-libérale pour l'Algérie.

Mais on voit bien que cela ne marche pas l'ultra-libéralisme.

J'espère que des cadres compétents vont gérer l'usine.

 

Plutot l' ultra ignorence:confused:

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C'est Lakshmi qui va être content. Il va avoir du liquide pour louer la bicoque de Versailles, et les laquais poudrés qui vont avec, au cas ou il voudrait caser une autre de ses fistonnes.

 

zoubir ça te dirait tawrika a3la Sillinger Mack 4 ? Ma t'zitch ga3 techri m'khayed, mais faudra bouffer du canigou toute ta vie.

 

zépépé c'est du taf en perspective. Un peu de poudre de riz sur tes bouclettes et ça fera l'affaire.

 

 

Mémorandum UGTA-CNES : Un diagnostic et 80 propositions

 

Un mémorandum sur la politique de maîtrise des prix et la sauvegarde du pouvoir d'achat des travailleurs et des citoyens, initié conjointement par la centrale syndicale (UGTA) et le Conseil national économique et social (CNES), est fin prêt pour être transmis au Président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika.

PUBLIE LE : 07-08-2012 EL MOUDJAHID

 

 

 

Un mémorandum sur la politique de maîtrise des prix et la sauvegarde du pouvoir d'achat des travailleurs et des citoyens, initié conjointement par la centrale syndicale (UGTA) et le Conseil national économique et social (CNES), est fin prêt pour être transmis au Président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika.

 

Les deux parties ont convenu d’engager une réflexion collective matérialisée par un mémorandum relatif à la politique de maîtrise des prix et la sauvegarde du pouvoir d'achat des travailleurs. Ce document est le fruit du travail d'un comité ad-hoc installé le 6 mai dernier. Précédé par de conséquentes consultations auprès d'administrations centrales, d'institutions et d'organisations de la société civile, le mémorandum recèle des propositions et des recommandations d’ordre pratique, inscrites, selon ses concepteurs, sur le court et le moyen terme.

D’abord un bref rappel. Le mémorandum en tant que tel est la conséquence d’une initiative prise par les responsables des deux organisations lors d'une rencontre tenue en avril dernier. Ces responsables ont exprimé, de manière unanime, la nécessité d’engager le débat autour de thèmes d’intérêts économiques et sociaux, liés exclusivement aux préoccupations portant sur la question de l'augmentation des prix, l’examen des voies et moyens susceptibles de préserver le pouvoir d’achat des larges couches de la population. Le mémorandum accorde une bonne part de ses analyses à la régulation et au contrôle du marché. Etant entendu, et comme l’a souligné M. Mohamed Seghir Babès, il fallait dresser un bilan de la situation.

 

Réinstaurer l’autorité des pouvoirs publics

Il a estimé, à ce sujet, que compte tenu de l’insuffisance de la production et des agissements des spéculateurs, qui s'enrichissent inconsidérément et de manière fulgurante au détriment des citoyens, il n’est pas improbable de déceler des facteurs qui permettent de mettre à nu des failles qui favorisent les pratiques commerciales délictueuses.

Et d’appeler «les pouvoirs publics à réinstaurer leur autorité», estimant que «la transition de l'économie administrée vers l'économie de marché a connu des lacunes et que l'économie se trouve aujourd'hui à cheval entre deux berges». M. Babès a indiqué que le groupe sera élargi à d'autres acteurs, notamment du secteur économique, et que «les systèmes de gouvernance seront interpellés non pas pour lancer des cabales et faire des procès, mais pour dépister les indus bénéficiaires de ces failles».

Le mémorandum d'une centaine de pages consigne près de quatre-vingt propositions. Il est conçu selon les principes de la feuille de route dont les axes majeurs se proposent de fournir aux pouvoirs publics de reprendre le dessus et d’affirmer la fonction régalienne de l’état en tant qu’acteur influent au sein du processus de régulation du marché.

Le mémorandum met le doigt sur l’inflation qui a affaibli le pouvoir d’achat des foyers algériens. C’est une des observations les plus saillantes contenues dans le document élaboré par l’UGTA et le CNES. L’amélioration du pouvoir d’achat de nos compatriotes n’a pas résisté aux coups de boutoir de l’inflation qui peut hypothéquer les récentes augmentations salariales prodiguées par le gouvernement. Ces augmentations sont remises en question par des envolées des prix de large consommation.

 

Un seul souci, la défense du pouvoir d’achat

L’UGTA et le CNES, que président respectivement M. Abdelmadjid Sidi Saïd et M. Mohamed Seghir Babès, ont dressé un diagnostic plutôt sévère, et ces institutions vont présenter le mémorandum incessamment devant la presse nationale. Le pouvoir d’achat n’est pas à l’abri d’une détérioration, selon les appréciations contenues dans ce mémorandum. Ce handicap, s’il n’est pas maîtrisé, peut rendre caducs le relèvement du SNMG, l’amélioration des salaires des travailleurs et des fonctionnaires, inflation aidant. Il reste à déterminer les raisons qui ont provoqué cette inflation. Des explications fournies par des experts mettent sur le dos de la spéculation et du marché informel, l’augmentation du rythme de l’inflation.

Le CNES et l’UGTA estiment que le marché ne peut se protéger contre une forme de dérégulation qui l’affecte et qui s’installe dans la durée, menaçant la paix sociale. C’est un devoir de vigilance et une exhortation à agir que lancent les deux instances qui ne peuvent observer le silence.

 

Favoriser la production nationale et la création d’emplois

A ce titre, le diagnostic qu’elles émettent est accompagné de propositions orientées sur différents volets, dont la pierre angulaire repose sur la nécessaire réforme de l’intégralité du mécanisme de régulation monétaire et budgétaire. Il faut revoir le système fiscal pour parvenir à une plus grande équité devant l’impôt, un assouplissement de la charge fiscale, dans le but de dynamiser le secteur de l’investissement et renforcer, par ricochet, la création d’emplois. Le mémorandum insiste sur l’obligation de faire des changements pour ce qui concerne les prérogatives de la Banque d’Algérie. Le CNES et l’UGTA sont favorables à l’idée d’ouvrir le système bancaire aux banques privées à capitaux nationaux et à des banques mixtes. Ces deux instances sont pour une révision des taux d’intérêt pour améliorer l’épargne ménagère. L’UGTA, pour la circonstance, reprend son cheval de bataille en défendant la production nationale par la mise en place de facilités d’accès au crédit à la consommation de produits locaux. Des mesures sont proposées pour valoriser la production nationale, de garantir la stabilité juridique de l’économie, de remettre sur les rails le conseil de la concurrence, installer un conseil de la fiscalité. Ce sont des préoccupations sur lesquelles le mémorandum s’est penché. Des mesures hardies sont préconisées en direction des wilayas du Sud en matière de prix. De même qu’il est recommandé de créer 4 grands pôles agroalimentaires, la mise à niveau des 50 plus importantes entreprises industrielles, l’édification de marchés de proximité, l’augmentation des capacités de stockage et la réhabilitation des grandes surfaces.

M. Bouraib

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C'est Lakshmi qui va être content. Il va avoir du liquide pour louer la bicoque de Versailles, et les laquais poudrés qui vont avec, au cas ou il voudrait caser une autre de ses fistonnes.

 

zoubir ça te dirait tawrika a3la Sillinger Mack 4 ? Ma t'zitch ga3 techri m'khayed, mais faudra bouffer du canigou toute ta vie.

 

zépépé c'est du taf en perspective. Un peu de poudre de riz sur tes bouclettes et ça fera l'affaire.

Avant Lakshmi il y a eu Sawaris et le scandale de l'usine de ciment de Msila vendu a Lafarge et tout recemment et apres la visite de Hollande a Tlemcen heu....pardon a Alger la mascarade de l'usinette rinou a Oran..... et le scandale des 200 millions $ de pots de vin de saipem mais pour ca le tribunal de sa majeste bouthef 1er s'est declare incompetant pour juger cette affaire:04:

La liste est longue et meme trop longue :(

YAW MOU EL TBI3A MA YENTBA3 YA BAH ;)

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