Danger des médicaments et recette de grand mères

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Que l’on soit grippées, constipées ou enrhumées, nos grands-mères ou grandes tantes ont toujours un remède à base d’eau bouillie et de plantes qui nous semblent sauvages. Des recettes mêlant miel et gingembre, ou encore une lotion à base d’œufs et concombres. FocusElles s’intéresse à ces vieilles méthodes qui s’avèrent, souvent, être plus efficaces que des produits vendus en pharmacie.

 

Pourquoi leur fait-on confiance ?

 

Premièrement parce qu’elles existent depuis des siècles et que tout le monde dit qu’elles sont efficaces. « Lorsque je tombe malade, avant même d’aller consulter, je commence d’abord par appeler ma grand-mère pour savoir si elle a une solution miracle dans son placard à herbes. Souvent, je me fie à ses conseils, je ne sais pas si c’est parce que je lui fais confiance ou parce que ça marche bien, mais le résultat y est : je me sens mieux à chaque fois. » Raconte Hind, mère au foyer.

 

Beaucoup de médecins recommandent l’utilisation de recettes faites à la maison pour éviter de trop user de produits pharmaceutiques qui peuvent endommager le système digestif, le colon… Car souvent, les recettes que nos grands- mères préparent sont faites à base de produits à 100% naturel, et donc ne sont pas agressifs pour le corps. Ainsi, notre immunité se développe normalement et n’est pas affaiblie par des produits chimiques, souvent trop dosés.

 

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Les dangers de la consommation des médicaments :

Le phénomène de « sur-médication » est grandissant à travers le monde : en effet plusieurs Etats investissent dans des campagnes publicitaires afin de sensibiliser le peuple et le mettre au courant des dangers que peuvent engendrer les produits pharmaceutiques, l’exemple connu de tous est bien évidement l’exemple français : « Les antibiotiques c’est pas automatique, parlez en à votre médecin. »

 

L’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) rappelle les dangers de certains médicaments si l’on en abuse : antibiotiques, antidépresseurs, psychotropes… Elle insiste sur la promotion contre la surconsommation de ces produits et sensibilise les états de façon générale à réduire les prescriptions afin de limiter les dangers sur la santé, mais aussi dans un but d’économiser.