warseniss2 10 Posted February 23, 2013 Partager Posted February 23, 2013 Tu te moques de qui toi? Les USA ne jugent jamais leurs citoyens pour des actes commis en dehors de leurs territoires et n'attentant pas aux intérêts Américains . Khelil n'a pas volé les Américains (bien au contraire il les a aidés) mais les Algériens ... Mr Ladoz n'a jamais dit qu'il fallait l'enlever aux USA ! Abruti va ! Les USA ne livrent pas leurs soldats ou citoyens pour être jugésà l'étranger mais ils peuvent l'être sur place ya hmirou.....:confused: Pour l'enlevement du voleur khellil tu l'as bien dit bouchkara le servile.....:cool: T'as même voulu imiter le mossad. Citer Link to post Share on other sites
Ladoz 11 Posted February 24, 2013 Partager Posted February 24, 2013 Les USA ne livrent pas leurs soldats ou citoyens pour être jugésà l'étranger mais ils peuvent l'être sur place ya hmirou.....:confused: Pour l'enlevement du voleur khellil tu l'as bien dit bouchkara le servile.....:cool: T'as même voulu imiter le mossad. Ya djahel ... Les Américains ne jugeront jamais un de leurs concitoyens du moment qu'il n'a pas porté préjudice à leur pays . Ya djahel les états qui se respctent ne jugent jamais les actes commis en dehors de leurs territoires et ne portant pas atteinte à leurs intérêts ou concitoyens ... Chakib Khalil n'a pas volé l'argent des Américains bien au contraire !! Citer Link to post Share on other sites
Zoubir8 174 Posted February 24, 2013 Author Partager Posted February 24, 2013 Enta mqaoued kthar men echa3b elli rak tahdar a3lih ! :D Chouf fi kech poubelle , telqa surement une brillante analyse jetée par un gawri ! :mdr: Lella khouya il ne faut pas botter en touche. Roh tchouf fi "Parlons en", j'ai essayer de rédiger une analyse politique.:artist: A vous khouya!:mdr: ps: wach i taïchou el gwar (j'ai récupéré des bidons de peintures, yal wahrani t'saq chouya sbigha?), j'ai récupéré une étagère en métal noire pour cd. Djatte 3alkiff fi salon...:artist: Citer Link to post Share on other sites
Zoubir8 174 Posted February 24, 2013 Author Partager Posted February 24, 2013 Enta mqaoued kthar men echa3b elli rak tahdar a3lih ! :D Chouf fi kech poubelle , telqa surement une brillante analyse jetée par un gawri ! :mdr: Avez vous remarqué ces békayates dans notre société? Toujours à se lamenter: Aw flen wache der, Aw flen srag, Aw flen bna villa, Aw flen der tonobil , ... Certes, la critique est parfois fondée. Surtout quand on pense aux récents pots de vin de l'ENI dans l'affaire Sonatrach concernant de grands commis de l'Etat, à ces prédateurs du peuple algérien. Mais jamais les bekayates ne proposent de remèdes à ces maux. Ils en sont incapables. La cause: le hittisme mental! Simples tubes digestifs nourris depuis leur plus tendre enfance: - éducation gratuite, - nourriture importée et subventionnée, - infrastructures pratiquement gratuites (hôpitaux, autoroutes, logements, essence, ..) - puis poste budgétaire leur assurant un emploi à vie. Tout leur est venu à la bouche. Djatt taïba fel foum. Souvent employés de l'Etat, ils prennent des libertés avec les huit heures de travail. Ils n'ont jamais connu ou très peu ce qu'est "l'obligation de résultats". Mais ils sont les premiers à critiquer. La critique constructive? Ils connaissent pas. Concentrés sur leur petite personne, les bekayates ont été formés idéologiquement par les télévisions occidentales ou celles du monde arabe. A l'heure d'internet: leurs lectures se résument à la presse locale. Leur idoles? Kamel Daoud! C'est tout dire... Koul ou eskoute! Les autres? La communauté? Connais pas! Seule compte leur petite personne. Ont-ils participé à un syndicat étudiant à la fac (alors qu'on est le plus revendicatif à cet âge là) non. Jamais. Ont-ils fait parti d'initiatives citoyennes dans leur jeunesse pour rénover leur quartier, donner des cours du soir? Non jamais. Ont-ils participé à une association? Sont-ils inscrit dans un parti? Non, « ga3 saragine » lâchent-ils désabusés. Et quand on leur propose de réagir et d'agir (dirou zga) en tant que citoyen partie prenante de la société, ils répondent: Dirou zga dirou, mine tkamlou tafou daw mourakoum. Aujourd'hui adultes, mariés, installés, ils ont un emploi dans la fonction publique. Leur vie se résume à khdma- dar. De vrais tubes digestifs et cathodiques. Représentants de la classe moyenne algérienne, ils sont incapables de la moindre analyse de la société et du monde dans lequel ils vivent. Ils ne possèdent pas la moindre conscience politique. - L'Otan qui s'installe en Libye? Akhti rassi. - Les terroristes dans les maquis? Akhti dari. Paralysés par leur mentalité petite bourgeoise, ils sont incapables de voir plus loin que le bout de leur nez. Démobilisés, désorientés cette fraction de la société se transforme boulet au lieu d''être un des catalyseurs de l'avancement du pays. Pis, ils se transforment en détracteurs du système économique qui les fait vivre sous perfusion. Certes, il ne s'agit pas pour nous de justifier les erreurs du système politique actuel algérien. Mais comme on dit « hadha houwa lagmache ». Et c'est aux générations venant après celles du 1er novembre 1954 d'améliorer le système. La tâche n'est pas facile. Qui est l'ennemi? Comment avancer? Comment construire des institutions crédibles? Comment construire un Etat pour le plus grand nombre. Les réponses ne se trouvent certainement pas dans les articles d'un bouffon comme Kamel Daoud. Et pourtant dans ce pays, des Algériens font face chaque jour aux défis: - djounouds et officiers aux frontières ou contre les maquis islamistes financés par des pétromonarchies moyennageuses. Djounouds et officiers qui parfois ne reviennent pas de ces missions ou reviennent avec une jambe en moins. - cadres d'entreprises nationales qui se battent contre le maquis administratif, - ouvriers qui fiers de leur outil de travail réalisent des prouesses, investisseurs qui refusant le gain facile de l'import-import se lancent dans la production locale. Pourquoi ces mots durs à l'encontre de cette partie des classes moyennes? Il existe plusieurs couches importantes dans notre société. Il y a ces masses de jeunes sans emplois, désoeuvrés. Ils sont nombreux dans les villes mais aussi dans le monde rural. Il y a également les employés du secteur public et privé dont les salaires arrivent à peine à les faire vivre en ces temps d'inflation. Qu'ils sortent dans la rue et ils peuvent faire chuter un régime. Il y a les classes moyennes. Certes, elles descendent difficilement dans la rue et peuvent difficilement changer le cours de l'histoire par ce biais. Mais il y a une chose importante: leur adhésion à un processus. De là dépend la réussite d'un projet politique. Or quelles sont les données actuelles en Algérie? Il y a un des derniers régime nationaliste arabe qui tente de réaliser un développement économique sans que les multinationales ne pillent les ressources nationales. Une option socialisante ayant été tentée dans les années 70, nous voilà actuellement dans un type de développement économique semi-libéral et semi-ouvert. A cela s'ajoute l'édification d'institutions politiques démocratiques. La question économique fondamentale est la poursuite ou non vers plus de libéralisme. Les tenants du libéralisme se cachent derrière l'idée de plus d'efficacité. Or nous savons ce que cela a donné: attributions d'entreprises d'état pour le Dinar symbolique, attributions de juteux monopoles d'Etat (importations du sucre, huile, voitures, acier, …) a des affairistes. Loin de relancer l'économie nationale, cet ultra-libéralisme a affaibli les couches pauvres et enrichi les importateurs. Ainsi, se crée une bourgeoise d'import-import dont les intérêts sont liés aux intérêts des multi-nationales étrangères. L'édification de rente crée des contre pouvoirs qui demain pourraient tenter d'infléchir la direction du pays. Il ne s'agit pas là de critiquer la bourgeoisie nationale composée d'entrepreneurs qui fabriquent du Made in Algeria. Eux, ont une place en Algérie. Ils peuvent être les développeurs de l'économie algérienne au côté du secteur public. Il faut avoir en tête que dans un pays comme la France existe de grosses sociétés publiques: électricité, gaz, communication, nucléaire, défense, ... La classe moyenne algérienne et notamment ces bekayates doivent voir où est leur intérêt. Il peut être tentant de se dire: je me met du côté des multinationales, au moins je ferais parti du monde occidental. Or, il suffit de voir l'expérience égyptienne où ce choix a été tenté. Plus que jamais les classes moyennes se sont trouvées appauvries et méprisées par l'occident. Reste alors le choix de construite une économie algérienne productive et de refuser le choix de l'économie de bazar que certaines forces politiques nous proposent actuellement. Une économie de bazar serait l'absence de travail pour une masse croissante d'Algériens et donc une paupérisation accrue des classes populaires. Un scénario à la marocaine où les populations frontalières de l'Algérie ne survivent que grâce aux produits alimentaires qui passent les frontières ou les populations du Rif qui ne survivent qu'en produisant de la drogue. L'instabilité qui en découle rait à terme menacerait les intérêts des classes moyennes. Voilà les enjeux de l'heure. Comment se positionner? Face à ce combat de titans qui oppose les tenants de ces deux voies de développement, il s'agit d'ouvrir l'oeil. Le combat est feutré. Tous les coups sont permis. Il s'agit d'éviter de prendre positions pour des personnes et d'éviter de tomber dans des querelles subalternes de clans. Face à ces luttes, la seule question qui doit à chaque fois être posée: pour ou contre l'édification d'une économie algérienne productive? Mais cette question centrale de la voie économique de développement s'accompagne de différentes autres questions: corruption de certains grands commis de l'Etat, islamisme, régionalisme… Et c'est là que individu des classes moyennes à un rôle fondamental: participer à la lutte contre les déviance. Comment un individu peut-il à lui seul faire avancer les choses? Il ne s'agit pas d'agir seul, mais justement de rejoindre ou de créer des cadres d'action citoyen: associations, comité, syndicats, partis politiques. Quel intérêt? se débarrasser de l'idéologie petite bourgeoise, de cet immobilisme dans la tête, ce hittisme mental. Car seule la participation active peut montrer à chaque individu la force qu'il acquiert lorsqu'il agit à plusieurs dans un collectif. Mais attention, gare aux tentations gauchistes, aux tentations de confondre vitesse et précipitation. Il faut apprendre la persévérance; sinon gare au découragement. Les classes moyennes ont accès aux moyens de communication et à des postes clés. De leur adhésion à un processus peut dépendre la vitesse d'évolution de ce processus (voir au Chili d'Allende ou au Vénézuela de Chavez la lutte idéologique afin que les classes moyennes passent du côté des tenants de l'ouverture aux multinationales). Créer une société civile afin de s'attaquer aux maux tels la corruption. Seule une mobilisation forte des citoyens peut conforter les magistrats en charge des enquêtes. Et à ce point de vue, la société algérienne est assez remontée contre ces actes de grande corruption. Elle a même inventée un mot: la hoggra. Il ne faut pas sous estimer la colère des citoyens face aux révélations de corruption. Elle est forte. Il s'agit de canaliser cette colère vers des formes de protestation citoyennes. A ce titre quel peut être le rôle d'une association telle la LAADH? Citer Link to post Share on other sites
Wahrani 1 465 Posted February 24, 2013 Partager Posted February 24, 2013 Ecoute petit , quand on faisait du militantisme du temps de Boumediene au lycée puis du temps de Chadli à la fac , toi tu n'etais pas encore né . Toi tu connais le DRS , dont les gens parlent librement et les cagoules des ninja , nous on avait connu la SM et bouchkara ! Et pour bien t'expliquer que tu te gourres grave , saches que l'écrasante majorité de cette couche moyenne que tu cites , elle raisonne exactement comme toi , est optimiste comme toi et remercie Bouteflika pour ne3mat rabbi elli jab'ha m3ah ! Moi et plusieurs sur ce forum , même si socialement nous appartenons à cette catégorie , nous sommes aux antipodes de sa béatitude . Citer Link to post Share on other sites
Zombretto 1 127 Posted February 24, 2013 Partager Posted February 24, 2013 Ecoute petit , quand on faisait du militantisme du temps de Boumediene au lycée puis du temps de Chadli à la fac , toi tu n'etais pas encore né . Toi tu connais le DRS , dont les gens parlent librement et les cagoules des ninja , nous on avait connu la SM et bouchkara ! Et pour bien t'expliquer que tu te gourres grave , saches que l'écrasante majorité de cette couche moyenne que tu cites , elle raisonne exactement comme toi , est optimiste comme toi et remercie Bouteflika pour ne3mat rabbi elli jab'ha m3ah ! Moi et plusieurs sur ce forum , même si socialement nous appartenons à cette catégorie , nous sommes aux antipodes de sa béatitude . On les connaissait tous .... ainsi que leurs indics .... ils etaient installes .... rue d'Arzew .... avenue Loubet .... rue Alsace Lorraine .... rue de la Bastille .... et Bd Clemenceau .... l'un d'entre eux .... ex rue Alsace Lorraine .... est utilise comme indic .... par les RG Francais Citer Link to post Share on other sites
Wahrani 1 465 Posted February 24, 2013 Partager Posted February 24, 2013 On les connaissait tous .... ainsi que leurs indics .... ils etaient installes .... rue d'Arzew .... avenue Loubet .... rue Alsace Lorraine .... rue de la Bastille .... et Bd Clemenceau .... l'un d'entre eux .... ex rue Alsace Lorraine .... est utilise comme indic .... par les RG Francais J'ai grandi avec ceux du Loubet et de la rue d'Arzew , je les ai vu vieillir et crever dans l'anonymat . Citer Link to post Share on other sites
dockers 10 Posted February 24, 2013 Partager Posted February 24, 2013 Pour toufik;Boutef et Cie tout ce qui se passe ,sonatrach,Lavalin errih fechbek rien ne bougera; Les consequences sont tres graves c'est le systeme qui s 'effondrerait. Farid Bejaoui n'ira jamais en prison ,ni les autres d'ailleurs Citer Link to post Share on other sites
Zoubir8 174 Posted March 3, 2014 Author Partager Posted March 3, 2014 Mon Général, il faut arrêter le 4ème mandat. C'est une mascarade. Si vous n'y mettez pas fin, il y en a qui vont en profiter comme à Kiev. Attention, c'est grave. Citer Link to post Share on other sites
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